Dieu fait le bien public

15/10 11:09

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Comme la rappelle aujourd'hui Le Bien Public, Loïc Perrin fait partie avec Romain Danzé (Rennes), Yannick Cahuzac (Bastia), Nicolas Seube (Caen), Geoffrey Jourdren (Montpellier) des seuls trentenaires évoluant encore en L1 avec leur club formateur sans jamais l'avoir quitté. Contrairement aux quatre autres joueurs, le capitaine stéphanois est le seul à être né dans la ville dont il défend les couleurs. Avant le Sainté-Dijon programmé ce dimanche à 17h00, le quotidien costalorien a recueilli les propos divins. Extraits.

 

"Rester dans son club, ça se perd et c’est le foot actuel qui veut ça. Les joueurs changent souvent de club et il est rare de voir quelqu’un rester plus de cinq années au même endroit. Je prends aussi du plaisir et on fait des supers saisons depuis quelques années. Si ça n’était pas le cas, j’aurais peut-être un autre discours. Dans les catégories de jeunes, je n’ai jamais été le meilleur. Mais j’ai toujours essayé de progresser, d’écouter et d’être discipliné. J’ai aussi vécu les saisons galères. Les entraîneurs que j’ai eus ne sont pas forcément restés longtemps. Avant Christophe Galtier, il y avait des changements presque tous les ans. Frédéric Antonetti m’a pariculièrement marqué, je n'oublie pas que c’est lui qui m’a fait confiance au départ.

 

Quand j'ai été appelé en équipe de France, je ne m’y attendais pas du tout. J’espère encore, mais je sais qu’il faut qu’il y ait des absences pour y prétendre. J'ai soulevé la Coupe de la Ligue en 2013. Tout le monde attendait un trophée depuis des années et ça a fait du bien au peuple vert. Vous me demandez si je terminerai ma carrière à Saint-Etienne ? Les propositions font réfléchir. Certains clubs ne se refusent pas, mais ce serait pour franchir un palier et pas pour un club du même niveau que Saint-Etienne. En tout cas je suis très heureux de pouvoir rejouer contre Cédric Varrault ce dimanche. Je l’ai régulièrement au téléphone et on se voit au moins une fois par an. Je suis venu le voir à Dijon il y a peu. C’est un joueur très important dans un groupe, avec énormément d’expérience."

Bafé parler Ben, Jo et Roussey

15/10 10:16

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Trois anciens Verts restés très proches de Bafé Gomis parlent de l'actuel capitaine de l'OM dans la Pravda du jour.

 

Yohan Benalouane : "J'ai connu Bafé à treize ans et notre amitié est née tout de suite. C'est une personne en or. Il aime bien aider son prochain mais ne s'en vante pas. Il a le coeur sur la main."

 

Josuha Guilavogui : "Quand j'étais en échec à l'Atlético de Madrid, il a fait l'aller-retour dans la journée pour passer du temps avec moi. En août dernier, après ma grave blessure aux cervicales, on est allés se receuillir ensemble à Lourdes."

 

Laurent Roussey : "Bafé perd beaucoup d'énergie dans son rôle de capitaine et de leader. Un attaquant ne doit penser qu'au but, il doit être un peu égoïste. Il doit travailler son pied gauche, son objectif est de mettre 15 à 20 buts cette saison."

Casoni est fan d'Allan

15/10 09:45

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Selon Opta, Allan Saint-Maximin est le joueur qui compte le plus de dribbles réussis cette saison en L1 (67,5%) devant le Canari Amine Harit (65,2%), le Rennais Benjamin André (60%), le Monégasque Bernardo Silva (57,6%) et le Montpelliérain Ryad Boudebouz (56,5%).

 

L'ancienne pépite stéphanoise est l'attaquant de moins de vingt ans qui compte le plus de temps de jeu après huit journées depuis la saison 2000-2001. ASM (684 minutes) devance l'ancien Girondin Juan-Pablo Francia (676), l'ex-vilain Karim Benzema (599), l'ancien Monégasque Emmanuel Adebayor (578) et un certain Anthony Le Tallec (543 minutes).

 

Dans la Pravda du jour, Bernard Casoni ne tarit pas d'éloge sur le joueur formé à Sainté.

 

"Il provoque beaucoup, tente, souvent de manière spontanée. Et puis il va très vite, c'est un dragster. On peut le comparer au style de Paul-Georges Ntep, mais avec lui, tout est plus fin, délié. Il est plaisant à voir car il a quelque chose que les autres n'ont pas et dès qu'il remonte le ballon, tout peut arriver. Sa marge de progression est importante. A lui d'être régulier dans la performance. Défensivement, il doit penser plus vite à se replier. Quand il évolue côté gauche et rentre à l'intérieur pour se mettre en position de frapper, il devient fou-fou et il dénote. On se déplace au stade pour voir des joueurs comme lui."

Beric sera là contre Qabala ?

15/10 09:09

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Forfait demain comme Ronaël Pierre-Gabriel, Fabien Lemoine et Romain Hamouma, Robert Beric est selon Le Progrès "plus prêt d'une reprise, peut-être jeudi pour la réception de Qabala."

Galette défend Beric, Selnaes et Pogba

15/10 09:00

 

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Beric dans Ekipa24, Selnaes à Bakou et Pogba au Fil ont animé la trêve internationale. Galette les a défendus hier en conférence de presse.

 

"Robert a rapidement fait un démenti concernant sa vie à l’extérieur. Par contre, moi, je peux confirmer l’avoir vu souvent faire des footings en dehors des entraînements. Je dis aux joueurs de profiter de leur temps libre. Si c’est en dehors de Saint-Etienne ou au soleil, cela n’est pas un problème.

 

Il y a l’image que vous en avez et le Ole que je côtoie au quotidien. Il a de la personnalité. Mais avoir du caractère c’est une chose. Quand on parle de son équipe, de ses coéquipiers il faut faire attention. Avec la déception, il y a parfois de la colère et ça peut vite glisser.

 

Florentin est un bon danseur et un bon patriote puisque le chanteur est franco-guinéen…. Il n’y a aucun problème. Ce ne sont pas deux ou trois pas de danse, magnifiques, qui vont le fatiguer. Je sais que Florentin est sérieux. Il n’était pas en boîte et il ne serait pas allé à ce concert si on avait joué samedi."

Keita avant tout Stéphanois

15/10 08:36

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Salif Keita revient sur ses vertes années dans un entretien paru hier soir sur le site On a tous un côté foot. Extraits.

 

"J’ai atterri à Orly où devait m’attendre un dirigeant stéphanois mais comme il n’y avait personne, j’ai pris un taxi pour… Saint-Etienne. J’avais 20 ans, je quittais mon pays pour la première fois, et je n’imaginais pas qu’il y avait autant de kilomètres. Le club a payé la note ! J’allais très vite avec le ballon et pour marquer autant de buts il fallait que je possède encore d’autres qualités techniques mais je n’aime pas trop parler de moi. Ce n’est pas dans nos mentalités au Mali de se mettre en avant. Je retiens juste que j’ai trouvé à Saint-Etienne le contexte idéal pour me permettre de m’exprimer. Avec un tel coach, un  tel public et un club qui montait en puissance, j’étais au bon endroit au bon moment comme on dit. C’était facile pour moi de jouer dans cet environnement.

 

Les jeunes d'aujourd'hui me connaissent un peu quand même, surtout à Saint-Etienne. Je suis toujours agréablement surpris par l’accueil qui m‘y est réservé. Les jeunes ne savent pas forcément quel joueur j’étais mais ils connaissent mon nom. Le club sait préserver son histoire et mettre en valeur ses anciens. Je suis invité deux ou trois fois par an et je reviens toujours avec plaisir car je suis un des ambassadeurs du club. J’étais là pour la victoire en coupe de la Ligue, pour les 80 ans du club, pour l’inauguration du musée des Verts à Geoffroy Guichard. Et je constate chaque fois que même si les résultats ne sont plus aussi fantastiques qu’à l’époque, l’engouement est toujours le même autour des Verts.

 

En 1972, après six années fantastiques à Saint-Etienne, beaucoup de grands clubs européens m’ont contacté, les meilleurs du moment, l’Ajax et le Bayern notamment. Je ne me doutais pas que le club allait continuer à grandir jusqu’à atteindre une finale de coupe d’Europe. Bien sûr, j’aurais aimé y participer mais je pense y avoir contribué en montrant la voie. On avait notamment éliminé le Bayern en remontant deux buts. C’est grâce à toute cette expérience que les joueurs d’Herbin, qui était passé entraîneur, ont pu faire tous ces exploits. Je ne regrette qu’une chose : être parti en mauvais termes avec le club. Je me suis retrouvé à l'OM par la faute des dirigeants stéphanois… alors que je ne voulais pas forcément y aller. Si ça c’était bien passé avec le président Rocher, j’aurais été prêt à rester à Saint-Etienne toute ma carrière.

 

Je ne suis resté à Marseille qu’une saison, l’ambiance n’était évidemment pas la même. Je me suis senti moins à mon aise dans un club qui plaçait les individualités au dessus du collectif, alors que c’était l’inverse à Saint-Etienne et ça correspondait mieux à l’éducation que j’avais reçue… et aux valeurs que j’ai ensuite essayé de transmettre à mon retour pour créer le premier centre de formation au Mali. J'ai joué trois ans en Espagne (Valence), trois autres au Portugal (Sporting) pour finir aux USA (Boston). Mais je suis avant tout Stéphanois ! Je suis à la retraite mais je fais encore partie du comité d’administration de mon hôtel. Je préside aussi un club, émanation du Centre Salif Keita que j’ai créé en 1994 et qui a déjà formé pas mal de bons joueurs, passés professionnels en France ou ailleurs, les Diabaté, Keita ou Diarra."

PEA arrête le Herta

15/10 00:07

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Le Borussia Dortmund a arraché ce soir le nul face au Hertha Berlin grâce à Pierre-Emerick Aubameyang, auteur de son 6e pion de la saison en Bundesliga.

 

4 Verts en sélection régionale U16-U17

14/10 23:24

Etienne Green

 

Mercredi 12 octobre, avait lieu à Colombier Saugnieu le dernier rassemblement régional avant les interligues U16-U17. Ces interligues se dérouleront du 25 au 27 octobre à Méjannes Le Clap (Gard) et opposeront les ligues Rhône-Alpes, Languedoc-Roussillon, Midi-Pyrénées et Auvergne. 4 Verts feront partie de la sélection Rhône-Alpes : Aïmen Moueffek (2001, milieu), Wesley Fofana (2000, défenseur central), Bilal Benkhedim (2001, milieu offensif) et le gardien Etienne Green (2000, gardien). Encore un gardien stéphanois dans une sélection après Stefan Bajic, Nathan Crémillieux, Anthony Maisonnial, preuve de la qualité de la formation sur ce poste spécifique, orchestrée par Mickaël Dumas et Jérémie Janot.

Bravo Polo !

14/10 23:03

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En bon capitaine, Paul Baysse a marqué ce soir dès la 5e minute le premier but de la victoire (2-0) de Nice contre les vilains, réduits à dix dès la 28 minute suite à l'expulsion de Nabil Fékir, qui a marché sur le bras de l'ancien défenseur stéphanois. Les Aiglons comptent désormais quatre points d'avance sur leurs dauphins monégasques, battus 3-1 à Toulouse en match d'ouverture de la 9e journée.

 

Bien dit, Erding !

14/10 22:48

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Avant d'affronter l'OM au Vélodrome avec le FC Metz, Mevlut Erding s'est brièvement confié au Républicain Lorrain. Extraits.

 

"L’un de mes derniers vrais bons souvenirs face à l’OM, c’est avec Saint-Étienne à Geoffroy-Guichard. Nous étions menés 2-1 et j’ai égalisé à la 91e minute. Un vrai bonheur ! (...) Affronter Marseille avec Paris, c’est l’assurance d’une affiche hyper-médiatisée. Mais le derby, c’est nettement plus chaud !"

 

Bryan connaît la musique (2)

14/10 20:31
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Dans la dernière édition du mensuel Onze Mondial, Bryan Dabo parle de sa passion pour la musique.

 

"Quand j'étais petit, ma mère écoutait beaucoup de Michael Jackson, de Marvin Gaye, beaucoup de chanteurs africains aussi avec Manu Dibango, Salif Keita... J'ai commencé aussi à écouter du jazz avec mon père et à partir du centre de formation, j'ai vraiment commencé à écouter de tout : salsa, jazz, bossa nova, rap, rock... En fait, il n'y a que le hard rock que je n'écoutais pas.

 

Il y a vraiment trois styles que je me suis appropriés : le rap, Tupac, Biggie, Jay Z; le jazz à tendance soul avec beaucoup de George Benson, Donny Hathaway; et j'étais très branché salsa aussi avec des artistes sud-américains comme Michel Camilo et un groupe qui s'appelle Africando, le plus grand groupe de salsa du monde. C'est mon père qui me l'a fait découvrir. Le premier album que j'ai acheté, c'est Affirmation, de George Benson.

 

 

Quand on écoute beaucoup de musique jeune, on se construit un beau patrimoine musical. J'ai acheté un livre de solfège et j'ai appris à jouer tout seul. Mon oreille s'est développée assez vite même si j'avais des facilités. J'ai beaucoup joué, j'étais vraiment un acharné, je ne comptais pas les heures.

 

Après l'entraînement, après la sieste, je jouais de 18h00 à 20h30. Mais pour la petite histoire, je suis beaucoup plus fort à la basse qu'à la guitare ou au piano. Tout ça s'est fait naturellement. Il y a un peu de talent mais surtout beaucoup de travail. Un jour, j'ai voulu prendre des cours de piano, le prof m'a dit que je n'en avais pas besoin, que je savais déjà beaucoup de choses mais que je ne savais juste pas comment ça s'appelait.

 

Avant, j'écoutais énormément Eternel Recommencement de Youssoupha avant les matches. En balade, quand je suis tranquille, c'est toujours Donny Hathaway ou D'Angelo. En ce moment, dans mon casque, y'a de la salsa. Et Snarky Puppy, le meilleur groupe du monde."

 

Pogba s'en est bien remis

14/10 17:00

 

 

Si certains doutaient de son retour en forme, Florentin Pogba a démontré hier lors d'un concert du rappeur MHD à Saint-Etienne qu'il avait bien retrouvé toutes ses sensations... Une performance soulignée par Galette en conférence de presse “Ça ne m’agace pas, ça confirme que c’est un bon danseur.”

Kevin, N°9 !

14/10 13:22

 

 

Non, notre cascade de blessures ne va pas obliger Galette a repositionner Kevin Malcuit au sommet de l'attaque stéphanoise... mais c'est bien à ce poste qu'il a débuté sa carrière avec Monaco... C'est à 20 minutes, que notre latéral droit, a confié ses différentes expériences...

 

je suis arrivé à l'ASSE un peu blessé dans un nouveau groupe. Il fallait que je prenne mes repères. C’était plus une année d’apprentissage pour moi. J’avais beaucoup de lacunes au niveau de la tactique et de la concentration. En Ligue 2 (à Niort de 2014 à 2015), ça passait, mais pas en Ligue 1. Le National et la L2 sont beaucoup basés sur le physique. En L1, le mental est très important.

 

A Monaco, j’étais avant-centre. J’avais signé un contrat pro de trois ans (en 2011) et ça a basculé quand les Russes sont arrivés. Il y avait un nouveau projet et avant même qu’ils ne me voient, je n’étais pas dans leurs plans. Il a fallu recommencer à zéro et j’ai eu du mal à digérer ça. Passer de pro à fédéral m’a mis un coup au moral.

 

Je suis passé latéral à Fréjus (National, de 2012 à 2014) sur un coup de tête du coach, Michel Estevan. A l’entraînement, il a vu que je courais vite et il a voulu m’essayer là. Je trouvais ça bizarre de jouer derrière mais c’est devenu mon poste.

 

J'ai pris des cartons bêtes (deux expulsions à Monaco et à Nice). Je jouais peu donc je voulais tellement me montrer et faire de bonnes choses… Je manquais d’expérience et je me suis fait avoir par les adversaires. En me mettant tout seul une pression, j’ai pénalisé le groupe.

 

Le coach (Christophe Galtier) ne m’en a jamais parlé mais j’avais la sensation qu’il ne me voyait que dans une défense à cinq. C’était à moi de lui prouver le contraire. Je ne pouvais pas compter que sur un seul schéma pour jouer. J’ai beaucoup travaillé dans les séances vidéo et maintenant, le coach sait qu’il peut m’installer dans une défense à quatre ou à cinq.

 

Plus jeune, mes modèles n’étaient que des attaquants, entre Shevchenko, Ronaldo ou Van Nistelrooy. Mais maintenant, je suis surtout attentif aux latéraux. Je progresse en regardant des joueurs incroyables comme Daniel Alves, Philip Lahm et Marcelo, notamment dans leur placement. Ça fait partie de mon travail que d’analyser ça.

 

je suis un battant. Je ne lâche rien. J’ai envie de réussir ici et je m’en donnerai tous les moyens. Je n’ai jamais eu de problème avec le coach. Peut-être voulait-il que je m’adapte doucement au groupe et à la Ligue 1. Même si ça m’a énervé, je me dis avec du recul que ça m’a aidé. Cette année, je me sens plus à l’aise.

 

Est ce que je suis le joueur le plus rapide de L1 ? Vous me posez une colle là (sourire) ! Certains vont vite comme le Rennais Pedro Henrique. Si je pousse le ballon, il faut être prêt à me rattraper… Mais le coach me dit de ne pas trop abuser de ma vitesse.

 

Au début, je me disais que je pourrais compenser tous les coups grâce à ma vitesse, comme en Ligue 2 et en National où je n’étais pas net sur mon positionnement. Mais à ce niveau, j’ai pu me faire avoir. J’ai compris qu’être bien placé permettait de récupérer davantage sur le terrain. La saison passée, je faisais tout à 2.000 à l’heure. J’étais un foufou toujours au taquet. Et puis après 30 minutes dans un match, j’étais parfois « carbo ».

 

Les matchs contre Paris, c’est spécial, je me sens infatigable (sourire) !

 

Polo et Cheikh in, Beric out (2)

14/10 13:13

Comme annoncé hier, Christophe Galtier a confirmé ce jour en conférence de presse que les "seuls" forfaits ce week-end seront Robert Beric, Romain Hamouma et Fabien Lemoine, sans oublier Ronaël Pierre-Gabriel.

Ce qui mine de rien ressemble au retour de plus de la moitié d'une équipe (et d'une défense complète!) puisque Cheick M'Bengue, Pierre-Yves Polomat, Dieu, Florentin Pogba, KTC, Henri Saivet et Alexander Søderlund postulent à une place dans le groupe.

Rudi la Sardine?

14/10 09:47

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La Pravda du jour laisse entendre que l'ancien co-entraîneur stéphanois (avec Jean-Guy Wallemme) Rudi Garcia serait sur la short list des Sardines pour prendre le poste d’entraîneur. 

Libre depuis son éviction de la Roma en janvier dernier, l'ancien adjoint de Robert Nouzaret pourrait ainsi retrouver un banc de Ligue 1, lui qui avait quitté la France et les caniches pour travers les Alpes en 2013.

Sly tacle Galette

14/10 08:03

Invité de l'émission "Le Vestiaire" diffusée hier soir sur SFR Sport 1, Sylvain Monsoreau est revenu sur son expérience de lofteur à Saint-Etienne.

 

"Tu viens pour faire ton travail, tu viens chaque jour sur ton lieu de travail, et quand t'arrives, on ne te fait pas travailler. Du jour au lendemain on te dit de rester là, sur ta chaise, à attendre. J'ai été mis à l'écart, selon le coach il y avait un plafond de salaire mis en place par le club. Pour le président, c'était un choix sportif du coach. Christophe m'avait dit c'est un choix sportif, je veux partir sur d'autres joueurs. C'était au mois de juillet. Je lui ai demandé comment ça allait se passer si j'étais encore là en septembre. Il m'a dit qu'il n'y aurait pas de problème avec moi, que tout le monde m'apprécie dans le vestiaire, que je serai réintégré. Au mois de septembre, n'ayant pas eu de match pendant toute ma préparation, je n'ai pas réussi à trouver de club. Petit à petit la situation s'est envenimée. Je me suis retrouvé dans le vestiaire CFA, avec interdiction de rejoindre le vestiaire des pros et pas mal de petites sanctions ; interdiction de stationnement, nombre plus limité de places de match, etc. Tout a été fait pour me faire partir. Au début je parlais avec les joueurs sur le parking, mais comme pour eux ça pouvait être mal vu au fur et à mesure que la situation perdurait, j'ai eu de moins en moins de contact avec eux. Petit à petit on s'isole et on se retrouve un peu tout seul dans sa galère. Cela a duré un an, c'est très long... C'est parti en procès, le club a a été condamné pour harcèlement moral. Le club de Saint-Etienne a donné une mauvaise image de moi alors que je demandais juste à faire mon travail. J'ai gagné mon procès mais ça ne m'a pas redonné les trois ans de ballon que j'ai perdus.

 

J'ai côtoyé Christophe pendant trois ans, au départ on était proche. J'ai eu des petites histoires dans ma vie privée qui ont fait que je n'ai pas pu trop jouer pendant un an  et demi à Saint-Etienne. Christophe en tant qu'adjoint était très proche de moi, il avait compris ma situation et on a eu beaucoup de contacts extra-sportifs. Dans ma reconstruction, par rapport à ce que j'avais vécu, c'est quelqu'un qui m'a fait du bien à un moment donné. Comme je suis affectif, quand il est devenu numéro un, j'ai réussi à me reconditionner comme joueur de foot, à revenir et à faire une saison complète en 2010-2011 avec Saint-Etienne. J'ai vraiment pris du plaisir à retrouver mon métier, à prendre le ballon, à avoir une vision simple du football. Mais ensuite avec ce qui s'est passé cet été là, c'est comme si on m'avait repplongé dans un gouffre. J'ai perdu une personne dans ma vie, dans des conditions tragiques, un accident de voiture. Le fait d'avoir retrouvé mon quotidien de footballeur m'avait fait du bien. Le fait de m'avoir mis à l'écart m'a fait replonger. J'en ai voulu à Christophe non pas par rapport à ses choix d'entraîneur, mais pour le côté humain. Je n'ai pas compris pourquoi il me faisait ça. Pour moi c'était faire du mal gratuitement à quelqu'un. Je pensais avoir une relation un peu particulière par rapport à mon vécu avec lui. Au final, cette personne avec qui j'avais eu plaisir à parler disparaissait complètement. Je n'étais plus son problème. Un jour il y a eu un Troyes-Saint-Etienne, il est venu me parler comme s'il ne s'était rien passé, ça m'a choqué."

Dijon sans pression

14/10 07:24

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Dans Le Progrès, l'attaquant dijonnais Jérémie Bela évoque le déplacement de son équipe à Saint-Etienne.

 

"On y va sans pression. L’ASSE est le favori. C’est logique, d’autant plus que les Verts vont jouer chez eux. Mais on va jouer notre jeu. Il faudrait faire très attention dans les dernières minutes, car Saint-Etienne marque beaucoup lors de ces instants. Un match nul serait une très bonne performance…"

Monnet-Paquet a de la caisse

14/10 07:15

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L'indestructible Kévin Monnet-Paquet se confie aujourd'hui dans Le Progrès. Extraits.

 

"Depuis que je suis entré au centre de formation de Lens, je n’ai pas le souvenir d’avoir eu de blessure musculaire sérieuse. J’ai dû avoir un ou deux pépins, mais des trucs légers. Physiquement, je suis assez présent alors que j’ai un jeu qui demande pas mal d’efforts. Il est basé sur l’enchaînement des courses, sur la rupture. Sur le côté, il faut que j’avale mon couloir. Souvent, c’est l’enchaînement des matches qui crée une sensation de bien-être chez le joueur. En ce qui me concerne, j’ai de la caisse et j’ai besoin de la remplir. Je ne m’économise pas. Ça me fait du bien de me dépenser.

 

J’ai joué latéral par la force des choses, pour le bien de l’équipe. Mais ce n’est pas le poste que je préfère, ni celui auquel je veux me fixer. Sur la durée, je pourrais coûter quelques buts à l’équipe. Ce n’est pas quelque chose d’inné en moi. Ça se travaille. Je ne sais pas si on a vraiment le temps de prendre le risque à ce niveau-là. Le coach sait que c’est une solution de dépannage s’il y a beaucoup de blessés. Mais il sait aussi que ce n’est pas ma préférence. Contrairement à ce que les gens croient, le coach ne m’a jamais essayé à ce poste à l’entraînement. J’ai dû apprendre rapidement."

 

 

 

 

Gigliotti atterrit à Marignane

14/10 06:56

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Expulsé pour la 6e fois en 25 mois sous le maillot de Consolat (National), l'incorrigible David Gigliotti (31 ans) ne jouera plus pour ce club des quartiers nord de Marseille. Selon la dernière édition de La Provence, l'ancien attaquant stéphanois s'est engagé avec Marignane (CFA).

Abed pour affronter Abeid

13/10 23:49

 

Pour affronter le Dijon FCO de Mehdi Abeid, les Verts seront arbitrés par le jeune arbitre quasi homonyme Karim Abed. Il n'affiche pour le moment que 4 matchs en L1 dont une défaite 1-0 du DFCO face au FC Nantes.

Aubame ne vise pas l'argent

13/10 22:44

 

Le nouveau numéro de Onze Mondial paru le 1er octobre dernier, fait la part belle à Aubame à travers une longue interview. Extraits.

 

"J'ai refusé une grosse proposition du Qatar pour rester à Saint-Etienne. Bien sûr, je savais que je pouvais mettre ma famille à l'abri. Ça a été une réflexion que j'ai eue avec mon père. J'aurais vraiment pu mettre tout le monde à l'abri. Mais je me suis dit que ces conditions-là, je les retrouverai un jour en jouant dans un grand club et en gagnant les grandes compétitions. L'argent n'était pas mon objectif, j'avais vraiment envie de continuer sur ma lancée à Sainté. En plus, c'est à double tranchant. Si ton contrat ne va pas au bout, tu ne sais pas ce qui peut se passer.

Je regarde toujours la Ligue 1. J'ai bien envie de voir comment ça va se terminer cette saison. Ibra a quitté Paris, tout le monde descend Cavani. Bon, là il a un peu mis tout le monde d'accord avec son quadruplé. Je pense qu'il va marquer un max de buts cette année. J'ai envie de voir ce que Monaco va donner et puis j'aimerais bien voir Sainté s'introduire dans les trois, quatre premiers. Evidemment, j'ai encore des potes chez les Verts. Même chez les nouveaux, puisque j'ai joué avec Malcuit à Monaco. Et on s'envoie toujours des sms avec Galtier."

Le Vestiaire d'Anto ?

13/10 22:28

 

Intervenu dans l'emission Le Vestiaire, sur SFR Sport 1, hier soir, Hérita Ilunga est revenu sur ses vertes années. Extraits.

 

Le vestiaire le plus fou que j'aie connu lors de ma carrière ? Le plus chaleureux, c'est l'année où on monte avec Saint-Etienne, en 2004. Il n'y a pas de surprise. Il y a tout, tout nous réussit. C'est important, on se dit les choses. Il y a eu des réunions où ça a gueulé, c'était important de crever l'abcès.

 

Le coéquipier le plus rigolo que j'aie connu dans un vestiaire, c'est Pascal Feindouno. C'était quelque chose lui ! Lors de ma deuxième année à Sainté, ma première en Ligue, il était à côté de moi. Il avait reçu un petit flacon de rhum de Martinique. A chaque début d'entraînement, avant d'aller sur le terrain, il prenait une gorgée le mec. Tranquille ! C'est Pascal, quoi ! Il a un côté attachant, fou, et c'est un fantastique joueur !

 

 

Il est également revenu sur les relations tendus entre Anto et le duo présidentiel en évoquant un épisode croustillant qu'il situe comme la genèse de cette brouille.


Il y décrit un Nanard s'incrustant dans le vestiaire avec l'ancien maire, Michel Thiollière, pour parler à Anto jusqu'à ce que ce dernier éructe "Vous vous prenez pour qui ? Je suis le seul à pouvoir critiquer mes joueurs ! Vous connaissez le foot, vous ? Sortez de mon vestiaire !", le volcanique corse n'acceptant donc d'entendre quelqu'un d'autre critiquer ses joueurs à part lui.

 

Problème, il évoque un match de coupe, sous Antonetti, gagné grâce à deux buts de Bafé Gomis, sous la présidence Caïazzo. Or, aucun match de la période Ilunga ne lie ne serait-ce que deux de ces caractéristiques...

Rivière déborde d'envie

13/10 19:16

Interviewé par le site officiel de Dijon, Yohann Rivière, buteur avec son club à Montpellier évoque sa venue dans le Chaudron :

"Cela fait partie des gros matchs d’une saison de Ligue 1. Tout joueur de football rêve d’évoluer dans ce type de stade. Saint-Etienne, c’est une ambiance énorme, un stade avec beaucoup de souvenirs… C’est un gros match à jouer.

Il faut faire attention à tout ça, même si on s’y prépare dans la semaine et que le coach nous répète qu’il faut être acteur. Jouer dans ce type de stade, il faut que cela soit positif. Pas un truc qui nous stresse. On est là pour vivre ce genre de match. Dans une carrière de footballeur, tout le monde n’a pas la chance de pouvoir jouer dans des stades comme ça. On se prépare pour faire un gros match, et même si on découvre des choses à chaque match, il n’y aura pas de problème sur ce point.

Saint-Etienne a fait un recrutement énorme pour pouvoir jouer sur plusieurs compétitions. Ils restent sur une défaite dans le derby, mais ils vont tout faire pour nous prendre à la gorge directement. Il faudra être solide."

Zéro effet Euro

13/10 07:25

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Directeur commercial France chez Lagardère France en charge de la régie publicitaire de l'ASSE, Xavier Oddone se confie aujourd'hui dans la Pravda. Extraits.

 

"Il y a eu zéro effet Euro sur le sponsoring, rien à voir avec l'après-1998. Nous nous attendions à davantage d'engouement pour le foot français, notamment des marques étrangères, par exemple des sponsors de l'UEFA, mais ils n'ont pas basculé vers les clubs. Il faut dire que la L1 n'est pas le championnat européen le plus sexy, et la culture du sponsoring est aussi bien plus faible en France. En Allemagne, chaque Land a au moins une grande entreprise sur le maillot de l'équipe régionale. Les entreprises du CAC 40 se tournent plus volontiers sur d'autres suppports, comme le rugby. Leurs choix ont sans doute à voir avec les valeurs, l'image du foot aujourd'hui. Le constat, en tout cas, est clair : on n'a pas cette chance dans le football de club de pouvoir s'appuyer sur elles.

 

Pour les promus, trouver des partenaires à 3 ou 4 fois le prix de la Ligue 2 n'est pas chose facile. Le cas de Bordeaux montre que même de grands clubs peinent dès que leurs performances sportives, donc leur visibilité médiatique, sont moins importantes. Si Metz a trouvé preneur dès le 3e match, Bordeaux n'a toujours pas trouvé de successeur à Kia, son sponsor depuis dix ans, qui lui versait autour de 2 M€/an. L'état de forme du sponsoring maillot est variable dans l'élite. Si certains clubs sont en souffrance, d'autres sont attractifs comme Paris, Lyon et Marseille. Idem pour Saint-Etienne et Monaco, selon leurs performances. Tous les supports sur ces maillots sont vendus cette saison et souvent pour de longues durées, comme Hyundai, resté fidèle à Lyon.

Polo et Cheikh in, Beric out

13/10 06:57

 

Dernier buteur stéphanois à avoir marqué à GG en première mi-temps en L1 (il y a un an !), Robert Beric est forfait pour la réception de Dijon selon Le Progrès. Le quotidien régional annonce que Pierre-Yves Polomat et Cheikh M'Bengue sont opérationnels, à l'instar de Loïc Perrin, Florentin Pogba, Kévin Théophile-Catherine et Henri Saivet, tous remis de leurs blessures. Seulement 22 000 places ont été vendues pour ce match de la 9e journée programmé ce dimanche à 17h00 dans le Chaudron.

Sainté pionnier

12/10 23:26

 

Si le football féminin peine encore à se faire une place aux côtés des hommes, Sainté s'est montré pionnier de la mixité, en même temps que le Barça, en ouvrant à ses féminines une place sur la photo officielle, traditionnellement réservée à l'effectif masculin.

Dieu toujours vert

12/10 22:51

 

Dans une longue interview donnée au site de l'UEFA, Dieu Loïc Perrin s'est confié sur son attachement aux Verts et sur la Coupe d'Europe et Sainté, au passé comme au présent. Extraits.

 

"Ce n'est pas un départ idéal, mais vu la physionomie des deux matches, je pense que c'est deux bons points parce qu'on a marqué à chaque fois en fin de match, notamment le match à domicile face à Anderlecht. C'était dur et ce but inscrit à la fin va nous faire du bien. On n'est pas trop mal parti, il va falloir gagner le prochain match à domicile pour bien se positionner dans ce groupe.

 

Ça serait l'idéal pour aborder les deux derniers matches. On va voir ce qui va se passer, mais le but c'est de prendre les trois points déjà à domicile, comme on est toujours dépendant un tout petit peu des autres résultats aussi. L'important c'est vraiment de gagner le prochain match.

 

L'AS Saint-Étienne, c'est tout pour moi. Saint-Étienne c'est ma ville, c'est mon club. Je n'ai connu que ce club-là, ce maillot vert. Quand on grandit à Saint-Étienne on est obligé d'être supporter de Saint-Étienne parce que le foot représente tout ici. C'est une petite ville ouvrière. Tout le monde connaît le club, ne le soutient pas forcément, mais tout le monde suit les résultats du club malgré les années difficiles qu'il y a eu aussi, et encore plus aujourd'hui avec le retour en Coupe d'Europe. On a vu la ferveur monter.


J'ai toujours connu cette couleur verte parce que je joue sous ce maillot vert depuis l'age de 12 ans. Ça commence à faire quelques années, presque une vingtaine d'années. Ce serait bizarre pour moi de mettre un autre maillot en fait. Cette couleur est un peu particulière parce ce qu'il n’y a pas beaucoup de clubs qui évoluent en vert, quand on parle de ce maillot vert, à Saint-Étienne tout le monde le connaît, mais même en France et à l'étranger aussi il y a beaucoup de supporters qui viennent d'un peu de partout, des quatre coins du monde.

 

Je pense que les joueurs qui signent à Saint-Étienne sont conscients du passé du club. Ils le connaissent parce que pour la plupart ils évoluaient dans le championnat de France. Et après pour les étrangers, je pense que quand ils signent ils se renseignent de l'importance qu'a eue ce club dans les belles années.


Quand je parle des belles années, des années 70, 76... Tout le monde rêve de faire l'histoire, on n’y est pas encore, mais ce parfum de la Coupe d'Europe on le retrouve à Saint-Étienne parce qu'on a la chance d'être qualifié depuis trois ans. Les gens retrouvent ces soirées européennes et je pense que ça leur fait du bien parce que ça représente vraiment quelque chose à Saint-Étienne. Il n’y a qu'à voir les soirs des matches les jeudis soirs, le stade est quand même bien rempli pour un soir de semaine. Ce n'est pas non plus évident et ce n’est pas pareil dans tous les stades. Il n’y a pas partout cette ferveur qu'il y a dans ce stade et à l'extérieur aussi parce que les gens nous suivent.


Je pense qu'on a pris de l'expérience, on a eu des déconvenues aussi. La première année on ne s'est pas qualifié, on a perdu en barrages, au Danemark. C'est des moments qui font prendre de l'expérience et ça nous a servi aussi pour les années d'après. C'est difficile de se qualifier. Cette année on a dû faire deux matches avant de passer dans les poules. Deux matches qui n'étaient pas gagnés d'avance avec l'AEK Athènes et Beitar Jerusalem, c'est pas des déplacements faciles. On se rend compte qu'en Coupe d'Europe il y a des bonnes équipes partout. C'est une vraie performance de se qualifier pour la troisième année consécutive.

 

L'élimination à Bâle, c'était très douloureux et dur à encaisser. Il n'y a que le foot qui permet de vivre des émotions comme celles-ci. On était qualifiés, deux minutes après tout s'effondre. Ça a été vraiment dur à digérer. Mais c'est pareil, ça nous a servi pour la suite. L'objectif pour l'Europe pour cette saison, c'est de faire mieux que l'année dernière. Christophe Galtier a pris le club dans une situation très très compliquée, et depuis qu'il est à la tête de l'équipe on a réussi à franchir des paliers, battu des records, on a retrouvé l'Europe donc forcément quoi qu'il arrive il aura fait beaucoup et il aura marqué le club."

Trop de sons pour Thomasson

12/10 22:47

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"Au niveau de la taille, le stade de L1 le plus impressionnant est le Vélodrome. La façon dont les tribunes sont faites donne l’impression que le stade est immense. Mais au niveau de l’ambiance, c’est Geoffroy-Guichard le plus impressionnant. Les supporters stéphanois font tellement de bruit qu’on ne s’entend même pas parler sur le terrain !" déclare le milieu offensif franco-croate des Canaris Adrien Thomasson dans la dernière édition du Dauphiné Libéré. Ce ne sont pas les Mauves qui diront le contraire !

Benoît sans-ami

12/10 22:17

 

Si les interventions de Benoît Assou-Ekoto dans les médias sont rares, elles ont souvent le mérite d'être croustillante. Celle paru ce matin dans Le Républicain Lorrain ne déroge pas à la règle.

 

Il y revient tout d'abord peu longuement sur son expérience stéphanoise pour souligner le "groupe fantastique" avec lequel il a pu travailler malgré son peu d'intérêt pour les amitiés de vestiaire.

 

Maintenant, je n’ai plus besoin de connaître des gens dans le vestiaire. Si personne ne me parle, ça ne me dérange pas plus que ça

 

Il est également revenu sur la mentalité de travail anglaise en la comparant à la française, avec un refrain que l'on commence fort à connaître, mais toujours avec sa patte, en s'expliquant.

 

En Angleterre, les clubs ont 30-40 joueurs. La bagarre est rude pour avoir sa place. Tu es toujours dans l’agressivité, l’engagement à l’entraînement. Cet état d’esprit, j’en ai mangé pendant dix ans. En France, question de mœurs, tu joues avec un frein. Tu peux moins aller au tampon, les arbitres sont plus à cran, ils n’ont pas la même approche.

 

Il en a également profité pour envoyer une pique à l'ambiance dans le stade des Sardines.

 

Vous voulez que je vous dise que c’est une ambiance fantastique ? Bah, il ne m’a pas inspiré plus que ça. C’est un stade comme un autre, avec peut-être un peu plus de bruit.

Oussama n'y arrive pas !

12/10 21:59

 

La Pravda s'est aujourd'hui penchée avec les chiffres d'Opta sur les frappeurs les plus inefficaces de L1. Et parmi ceux qui ont le plus visé la cible sans parvenir à inscrire le moindre but, notre international marocain Oussama Tannane est troisième, derrière Di Maria et Bammou.

 

Et ce n'est pas en sélection marocaine, où il n'a toujours pas inscrit le moindre but et avec qui il est resté sur le banc hier soir lors du large succès en amical des Lions de l'Atlas, qu'il se rattrape. Son dernier but, toutes compétitions confondues, remonte déjà au moi de mars dernier.

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