Dans la lignée de son intervention de la semaine dernière sur Infosport+, Pascal Dupraz a confirmé ce soir sur RMC qu'il ne quittera pas les Violets pour les Verts cet été.

"Sans contestation aucune, je resterai à Toulouse. J’ai appelé mon président pour lui dire que malgré les sollicitations que j’ai reçues, j’honorerai mes deux années de contrat. Je n’ai pas été directement contacté par Saint-Etienne, c’était plutôt une histoire entre agents. Je serais très heureux d’entraîner les Verts un jour, qui sait, mais pour l’instant ce n’est pas d’actualité."

L'entraîneur toulousain a également commenté la rumeur d'une possible arrivée de Jérémy Clément dans la ville rose. "On veut donner un peu plus d’expérience à cette jeune équipe toulousaine. On doit cibler les joueurs idoines pour remplir ce rôle. Jérémy Clément? Il me plaisait bien, oui. Il y a quelques années..."

Depuis longtemps, le Rodez Aveyron Football constitue une terre d'accueil pour les anciens verts : on se souvient qu'Alexandre Barthe, Jessim Mahaya, Mickaël Gaffoor y ont exercé leur talent.

Jérémy Mellot est devenu Ruthénois à l'aube de la dernière saison et, maintenant c'est au tour de Nassim Ouammou de rejoindre la capitale aveyronnaise.

Formé à l'ASSE (14 ans fédéraux en 2007-2008, 15 ans en 2008-2009, 17 ans en 2009-2010), ce milieu offensif gaucher a rejoint Firminy (2010-2011), puis le club portugais de Maritimo Funchal (2011-204), Andrézieux (2014-2015), Marseille Consolat (2015-2016), Mulhouse (2016-2017), avant donc de poser ses valises en Aveyron.

Le site du quotidien autrichien Salzburger Nachrichten annonce ce soir que l'ASSE a fait une offre à Oscar Garcia mais le Red Bull Salzburg ne veut pas laisser partir un entraîneur actuellement sous contrat jusqu'en 2018.

Après Etienne, Bernard, Frédéric et Joris, un nouveau Mendy va-t-il porter notre mythique maillot vert ? Alors que la Pravda évoquait il y a trois semaines la piste menant à l'athlétique Jules (Marseille Consolat), France Bleu nous apprend que Sainté a "clairement manifesté son intérêt" pour s'attacher les services d'un autre défenseur qui fêtera demain ses 22 ans : le prénommé Ferland, auteur de 2 pions et 5 passes décisives en 35 matches disputés cette saison sous le maillot du HAC. Mais le latéral gauche formé au QSG est également courtisé par les Dogues, les Girondins et les vilains.

Selon la dernière édition du quotidien sportif portugais Record, Pedro Rui da Mota Vieira Martins est dans la top list des candidats à la succession de Galette. L'ASSE envisagerait d'actionner la clause libératoire de l'ancien joueur du Sporting Portugal estimée à 1 M€. Agé de 40 ans, le natif de Santa Maria Da Feira est l'un des coachs qui montent au Portugal. Sous sa direction, Rio Ave a terminé à la 10e place en 2014-2015 et à la 6e place en 2015-2016. Cette dernière saison, il a réussi à hisser le Vitoria Guimaraes à la 4e place derrière les intouchables Benfica, Porto et Sporting Portugal. Et si c'était lui l'heureux élu ? Margot Dumont a annoncé cet après-midi sur son compte twitter que "l'ASSE a trouvé son futur entraîneur, le choix est fait, mais celui-ci doit encore être libéré par son club."

Après son come-back raté à Sainté lors du premier semestre 2016 (11 matches médiocres ponctués par une expulsion à Nice), Franck Tabanou a eu encore moins de temps de jeu cette saison. L'ancien latéral gauche stéphanois n'a joué que 6 petits matches avec Grenade, qui a fini bon dernier de la Liga avec seulement 20 points en 38 matches.

RMC indiquait que la semaine dernière que l'ex-toulousain avait résilié à l'amiable son contrat avec Swansea mais Walesonline a démenti hier cette information. Le natif de Thiais (Val de Marne) ne devrait toutefois pas faire de vieux os au Pays de Galles. "On discute avec Franck pour essayer de lui trouver un nouveau club cet été" déclare en effet le porte-parole des Swans.

Banel Nicolita (32 ans) aura attendu les deux derniers matches de la saison pour trouver le chemin des filets. Après avoir sauvé l'honneur contre Timisoara le 28 mai d'un superbe enchaînement contrôle de la poitrine / reprise de volée du gauche, l'ancien milieu de terrain stéphanois a égalisé hier contre Iasi. Malgré ses deux pions, Targu Mures est relégué en D2 roumaine. Pour rappel, l'ASSE avait éliminé ce club lors du 3e tour préliminaire de l'Europa League en 2015.

En match amical, l'Algérie a battu la Guinée 2-1 hier soir à Blida. A l'instar de Faouzi Ghoulam (décisif sur le but victorieux des Fennecs), Florentin Pogba a joué l'intégralité d'une rencontre marquée par la première sélection d'Idriss Saadi, entré en jeu à la 81e minute. Carl Medjani a quant à lui joué la dernière demi-heure.

Nommé entraîneur d'Andrézieux le 5 mai dernier, Romain Revelli vient d'enrôler l'ancien réserviste de l'ASSE Romain Reynaud (34 ans), qui jouait la saison dernière à Louvain (D2 belge).

Sur RMC, Fabio Celestini est revenu ce soir sur ses contacts inaboutis avec Sainté.

"Ça s'est très bien passé les premiers jours où les dirigeants stéphanois m'ont contacté. Il y a eu une volonté importante de leur part de vouloir travailler avec moi. Il y a eu un très bon feeling entre les deux parties, ça s'est fait comme toute négociation, toute rencontre avec un autre entraîneur. Comme tout le monde le sait, on choisit des profils. Parfois des profils correspondent à tout le directoire, parfois ce n'est pas le cas. C'est surtout par rapport à cela que ça ne s'est pas fait. C'était aussi une question de timing. Moi j'ai un contrat, j'ai une libre sortie de mon président mais il faut quand même être respectueux et honnête avec le club qui t'emploie. Je me suis déterminé à un moment donné et j'ai décidé de ne pas avancer avec Saint-Etienne.

Il faut que la situation soit claire. Moi je suis un jeune entraîneur, je n'ai entraîné qu'à Lausanne en première division et même en deuxième division. Ça ne fait que deux ans et demi que je suis là. C'est sûr que pour les supporters stéphanois, ma possible venue à Saint-Etienne ne déclenchait pas l'enthousiasme le plus grand mais ce n'est pas grave. Si on sent que dans le profil de l'entraîneur, tout le monde n'est pas d'accord… Il y avait beaucoup de risques pour moi d'aller là-bas. C'était difficile vu qu'il n'y avait pas l'accord de tout le monde à l'intérieur du club.

Je n'ai pas vraiment senti de désaccord entre les deux présidents stéphanois lors des discussions. Lors des premières discussions que j'ai eues avec Saint-Etienne, tout était extrêmement clair par rapport au profil, par rapport à ce qu'ils voulaient faire. Ça m'a vraiment beaucoup plu. Moi j'ai vu tout le monde mais la première personne que j'ai vue, c'est Monsieur Romeyer. J'ai beaucoup aimé nos discussions, leur choix était mûrement réfléchi, ils savaient beaucoup de choses sur moi, sur mes principes de jeu. Ça avait vraiment l'air d'être structuré.

Après, je sais qu'il y avait aussi une autre personne, et que peut-être de ce côté-là il cherchait plutôt un autre profil. Mais ça arrive dans tous les clubs, je respecte le choix de vouloir un peu plus d'expérience ou un nom. Le problème c'est que si on cherche quelqu'un de jeune et en même temps expérimenté, c'est un peu compliqué. L'expérience, on ne peut pas aller l'acheter au supermarché. Moi je suis jeune, j'ai forcément beaucoup moins d'expérience que tous les noms qui sont sortis. Quand on te met avec Ranieri, je comprends que c'est un peu plus compliqué pour moi. J'étais dans les trois derniers, j'ai décidé de ne pas attendre.

J'ai signifié à Saint-Etienne que je ne pouvais plus attendre. Il y a des éléments qui m'ont fait penser que ce n'était peut-être pas forcément la meilleure solution actuellement d'aller là-bas. Et en plus je me devais à mon club, ça va au-delà d'un contrat ou d'une grande opportunité. A un moment donné, on peut vous laisser une porte de sortie par rapport à ce que vous avez fait, c'est ce qui s'est passé à Lausanne. J'aurais pu demander sept jours de plus à mon président mais je ne l'ai pas fait, c'est une question de morale. Mais je ne regrette pas du tout d'avoir rencontré les dirigeants stéphanois, ça a été une grande expérience.

Il y a une recherche d'un entraîneur qui est vraiment peut être jeune, enthousiaste, travailleur, qui a envie de faire quelque chose, de créer un style de jeu, etc. C'est le profil qu'on m'a présenté quand j'ai vu les dirigeants. Et il y a peut-être aussi à l'intérieur du club certaines autres personnes qui pensent que peut-être ce serait mieux d'avoir un entraîneur beaucoup plus expérimenté. Quand il y a un doute par rapport à ça, on prend un peu plus de temps. En ce qui me concerne, il y a eu un grand feeling pendant une semaine à dix jours. Ils m'ont fait une grande impression, j'avais vraiment envie de faire un grand truc. Ensuite, plus ça tardait, plus ça commençait à se défiler. J'ai dû prendre une décision."

Mensuel d'informations municipales de Saint-Ouen-L'Aumône (Val d'Oise), SOAinfos met à l'honneur ce mois de juin la recrue stéphanoise Victor Monteiro Soto Maior.Extraits.

"Scolarisé en 4e, ce fan de Cristiano Ronaldo a commencé à taper dans le ballon rond dès le plus jeune âge. "Avant de jouer au foot, Victor a fait du karaté et du judo mais c’est vrai que depuis tout petit, il a toujours aimé jouer au ballon", raconte avec fierté son papa. À 8 ans, Victor intègre les rangs de l’ASSOA football où ses capacités sont très vite remarquées, se retrouvant rapidement surclassé. Capable de jouer au milieu de terrain comme au poste de latéral droit, le sportif possède des qualités certaines. «C’est un joueur rapide qui a la capacité de finir les actions avec lucidité. De plus, il possède une intelligence de jeu et il est extrêmement mature pour son âge», explique Issa Diallo, son entraîneur chez les U15 saint-ouennais.

Face à ce fort potentiel, ses éducateurs l’encouragent à participer aux tests du centre de préformation de Clairefontaine. Un lieu prestigieux qui a vu éclore de nombreux champions tels que Thierry Henry, Blaise Matuidi ou plus récemment le jeuneprodige Kylian Mbappé. Parmi 2 500 postulants, Victor se démarque et réussit l’exploit d’intégrer le cercle restreint des 23 apprentis footballeurs retenus. "Les épreuves sont vraiment exigeantes puisque nous sommes testés de façon poussée aussi bien physiquement que psychologiquement et nous devons avoir de bons résultats scolaires" explique le jeune saint-ouennais. Un esprit sain dans un corps sain.

Durant l’année scolaire, Victor passe sa semaine à Clairefontaine avant de retrouver le week-end sa famille et ses copains de l’ASSOA. Une première saison riche en apprentissage qui lui a permis de confirmer l’étendue de son talent. Le 9 avril dernier, ce saint-Ouennais a signé un contrat de 3 ans avec l’AS Saint-Étienne. Un engagement qui lui permettra d’intégrer le centre de formation au début de la saison 2018/2019 avant peut-être, un jour, de fouler la pelouse du stade Geoffroy-Guichard…"

Il y a deux semaines, Bernard David et Jérémie Janot étaient partis en stage d'observation à Porto pour le compte de l'ASSE. Mais c'est à l'AJA que les deux hommes pourront mettre en application ce qu'ils ont vus... Alors que le premier a décliné une proposition de prolongation de contrat pour reprendre la tête de la formation auxerroise, le second a lui aussi décidé de quitter Saint-Etienne pour l'Abbé-Deschamps. Comme l'a révélé aujourd'hui Margot Dumont sur son compte twitter, JJ rejoint en effet pour quatre ans le staff de Francis Gillot et Alain Bénédet pour entraîner les gardiens d'un club qui a éliminé les Verts de la Coupe de France le 1er février dernier. Après avoir entraîné les U19 de Villars (2014-2015), l'équipe première de Firminy (2015-2016) et les gardiens du centre de formation de l'ASSE (2016-2017), l'ancien chouchou du Chaudron éprouvait le besoin de retrouver le monde pro.

... pour sa section féminine. En effet, le club a officialisé la prise de fonction de Jérôme Bonnet à ce poste. Ce dernier, qui signe pour trois ans, était auparavant en charge des U19 féminines et coordinateur technique de l'ensemble de la section féminine.

La Pravda du jour fait le point sur la course à la succession de Galette. Extraits.

"Un rendez-vous avec un énième candidat à la succession de Christophe Galtier attendait Roland Romeyer dimanche après-midi. Puis un autre hier, visiblement dans le sud de la France, et un nouveau aujourd’hui. Une dizaine de postulants auraient déjà été rencontrés. Cinq noms resteraient en lice : l’Italien Claudio Ranieri, qui présente l’avantage d’être libre, mais cher. L’Espagnol Oscar Garcia (Red Bull Salzbourg), Claude Puel (Southampton), Hervé Renard (Maroc) et Patrick Vieira (New York City). Les quatre derniers cités ont contre eux de se trouver encore sous contrat. Ce qui explique en partie pourquoi les Verts n’ont avancé sur aucun de ces dossiers en particulier.

Soucieux de ménager ses employeurs actuels, Vieira a assuré hier qu'il allait rester à New-York. Bernard Caïazzo ne désespère toutefois pas de le rencontrer, à Paris, dans la semaine, pour le convaincre. Et convaincre Romeyer qu’un entraîneur de renom ne viendra pas seul, sans adjoint, mais, aussi, sans son préparateur physique. Or, Romeyer a verrouillé ce dernier poste. Il ne veut pas que l’on touche à Thierry Cotte, qui bénéficie d’un CDI à l’ASSE. Suivant le calendrier que les dirigeants stéphanois s’étaient fixés au début de leurs recherches, le dossier du nouvel entraî neur doit être bouclé dans la semaine. Au plus tard, le 15 juin."

Désormais entraînée par l'ancien entraîneur des Merlus Sylvain Ripoll, l'équipe de France Espoirs a battu l'Albanie 3-0 hier soir à Tirana. Actuellement sous contrat avec l'ASSE jusqu'en 2018, Jonathan Bamba a joué le dernier quart d'heure de ce match amical. Auteur d'une très bonne deuxième moitié de saison avec le SCO, l'attaquant stéphanois affrontera le Cameroun le jeudi 8 juin à Créteil (21h00, en direct sur Canal+ Sport).

15e au championnat de France des pelouses établi par la Ligue qu'on adule, GG le potager fustigé par Galtier se refait une beauté.

"Dès le lendemain du match contre Paris, le 15 mai, les techniciens de Saint-Étienne Métropole ont scalpé le gazon stéphanois, avant de décompacter le terrain puis de semer des graines" apprend-on dans Le Progrès du jour.  "Depuis, et profitant d’un temps assez propice avec ensoleillement et pluie, les jardiniers laissent la nature faire son œuvre. Une première tonte a été effectuée la semaine dernière mais on reste prudent du côté de Saint-Étienne Métropole quant à l’issue finale."

Déjà éliminée suite au match nul entre la Côte d'Ivoire et le Pays de Galles, l'équipe de France U19 a mis un point d'honneur à clôturer son Festival de Toulon par une large victoire 6-1 contre la faible sélection du Bahreïn ce soir à Aubagne.

Titularisé au poste d'ailier gauche, Arnaud Nordin a magnifiquement ouvert le score (du pied droit !) dès la 5e minute de jeu. Meilleur joueur de cette rencontre comptant pour du beurre, le prometteur attaquant stéphanois a provoqué le pénalty sur le but du 3-1 avant de délivrer une passe décisive sur le 4e pion tricolore.

Venant de remporter son premier titre de champion avec les U17 du QSG neuf ans après avoir gagné la Coupe Gambardella avec Rennes, l'ancien milieu de terrain stéphanois Laurent Huard savoure la progression de ses protégés avant de commenter la promotion de son ancien capitaine.

"On a battu en finale Monaco, qui avait éliminé Sainté en quart de finale. Mais les Verts avaient fait un bon match à Louis-II de ce que j'avais pu voir et savoir. C'est bien d'avoir décroché ce titre de champions en U17, mais le plus important, pour le formateur que je suis, c'est d'avoir vu évoluer et progresser les jeunes. J'avais une équipe qui n'a pas autant dominé son championnat que les leaders des autres poules, on est monté en régime toute la saison. J'avais un groupe très juvénile en termes athlétiques, beaucoup de U17 jouaient en U19. Mais les joueurs ont adhéré au projet de jeu. Je m'éclate à Paris, cette nouvelle expérience est très intéressante. J'ai encore un an de contrat. On dispose de très bons jeunes.  L'objectif du club, c'est de faire un peu comme le Real ou le Barça, que Paris devienne le meilleur ou l'un des meilleurs clubs formateurs français. Même si c'est un grand club européen, le PSG se doit d'avoir une grande école de football, c'est notamment pour ça que les dirigeants m'ont demandé de venir.

A défaut d'être anecdotiques, les titres chez les jeunes, c'est plus du bonus qu'autre chose. A Rennes, ma satisfaction n'est pas la victoire en Gambardella en elle-même, mais le fait que de nombreux joueurs ayant remporté cette coupe fassent une belle carrière en pro, notamment Kévin Théophile-Catherine et Vincent Pajot, mais aussi Brahimi, Souprayen, Le Marchand… On ne juge pas un formateur sur les titres, mais sur sa propension à faire progresser les joueurs pour que les meilleurs d'entre eux arrivent ensuite à s'imposer chez les pros. Je suis content quand je vois jouer en équipe de France des garçons issus du centre de formation du Stade Rennais comme Ousmane Dembele et Tiémoué Bakayoko. Le plus important, c'est que les jeunes évoluent et qu'ils aient encore de la marge de progression. Gagner à 17 ans, si tu n'as pas de marge de progression, ça ne veut pas dire grand-chose. Je suis avant tout focalisé sur le progression de mes joueurs, j'ai donc suivi de loin le parcours des équipes de jeunes à l'ASSE. J'ai vu que les Verts avaient remporté leur derby contre Lyon en U17 au terme d'un match renversant et extraordinaire.

J'ai appris également que Julien Sablé avait été nommé directeur du centre de formation. Je suis content pour Julien car il semble avoir trouvé sa voie et souhaite s'inscrire dans la formation sur la durée. J'ai échangé l'an dernier avec lui au téléphone, il est passionné et ne fait pas les choses à moitié. Il m'a dit qu'il se retrouvait complètement dans la formation. On n'a pas mal discuté des problématiques qu'on pouvait avoir. Je sens que Julien veut s'investir, sachant qu'il va former une équipe. Il n'est pas tout seul, il aura des personnes d'expérience autour de lui. Un centre de formation, c'est comme une équipe. Ce n'est pas une individualité qui fait la différence, c'est un collectif, c'est du management. Il faut être travailleur, ne pas compter ses heures, il faut arriver à fédérer une équipe, faire en sorte que tout le monde tire dans le même sens. Julien a les qualités pour réussir dans sa mission. Il a été capitaine, il sait mobiliser une équipe... Julien a le profil ! J'espère qu'on lui laissera du temps et des moyens pour mettre en pratique ses convictions."

Faisant référence à de récents échanges entre l'Ange Vert et Claude Puel, France Bleu nous informe que l'actuel entraîneur des Saints a réitéré son refus de s'engager avec Sainté.

Portant le nom d'une délicieuse viennoiserie, John Bostock fait saliver Sainté. Vainqueur du trophée UNFP du meilleur joueur de L2 de la saison, cet athlétique milieu de terrain gaucher d'1m88 et 84 kg a claqué 6 pions et délivré 4 passes décisives cette saison en championnat sous le maillot Sang et Or. Selon la dernière édition de La Voix du Nord, le SCO d'Angers convoite l'Anglo-Trinidadien de 25 ans mais "les Verts ont passé la vitesse supérieure et la piste Bostock à Saint-Étienne a pris de l’épaisseur ces derniers jours."

Le Télégramme nous apprend que les U11 de l'ASSE ont brillamment remporté le prestigieux tournoi de Dirinon (Finistère) ce week-end de l'Ascension. Sacrés champions du monde l'année dernière au Mini-Mondial d'Orvault sous la houlette de Vincent Paccalet, les petits Verts entraînés par Georges Mariez et encadrés par Nicolas Pietto ont éliminé Brest aux tirs au but (8-7 !) en 8e de finale au terme d'un match nul et vierge. Ils ont ensuite battu Strasbourg 2-0 en quart de finale grâce à des buts de Prince et Manny. Ce dernier a inscrit l'unique but de la victoire contre les Canaris en demi. En finale, les Stéphanois ont dominé l'OM 2-1 devant 3 500 spectateurs grâce à des réalisations de Rayane et Alban, auteur d'une magnifique madjer.

Dans une interview diffusée hier par OM TV, l'actuel entraîneur adjoint de Rudi Garcia Claude Fichaux est revenu sur ses vertes années (1996-1999). Extraits.

"Deux années de suite on a failli descendre en National mais je ne regrette pas d'avoir rejoint les Verts. Les deux premières saisons là-bas ont été compliquées. La première beaucoup plus que la seconde car on n'était pas prêt. La première, on est 4^e au classement à Noël, tout va bien, l'équipe est construite pour remonter. Mais tout le cycle retour se passe très mal, jusqu'à jouer le maintien à la dernière journée.  Cela a été très dur, il y avait beaucoup de pression. Saint-Etienne, c'est comme Marseille : il y a un public, une attente. On se maintient.

La deuxième année, on avait anticipé qu'elle serait compliquée, très difficile. Mais pareil, on se maintient à la dernière journée. Je me souviens du dernier match, à Lille. Le LOSC doit gagner pour éventuellement monter en L1, nous on ne doit pas perdre par plus de 3-0 pour se sauver. C'était un match un peu compliqué. Lille gagnait 2-1, nous ce résultat nous satisfaisait. C'était devenu un non match ce dernier quart d'heure, plus personne ne jouait. Finalement, on se maintient.

Ma troisième et dernière année a été une belle saison. On a bien travaillé. C'est cette saison là que j'ai rencontré Rudi. C'est allé crescendo, jusqu'à la trêve de Noël, où on est dans les trois premiers. On enchaîne par sept victoires d'affilée en janvier-février. On assure quasiment la montée à ce moment-là. C'est devenu à nouveau la folie à Geoffroy-Guichard. A l'époque Rudi était préparateur physique et entraîneur adjoint de Robert Nouzaret. Il avait plus de proximité avec les joueurs. Moi j'avais trente ans, Rudi avait forcément un peu plus d'affinités avec des anciens comme moi qu'avec les jeunes. C'est à ce moment que lien entre nous deux s'est créé."

Courtisé par Nanard et figurant sur la short list des candidats à la succession de Galette selon Le Progrès, Patrick Vieira balaye la rumeur qui l'envoie à Sainté dans la dernière édition du New-York Post.

"Bien sûr que je vais rester ici, je suis embarqué dans un projet à long terme avec New York City. La seule chose que tu ne peux pas contrôler, c'est ce que racontent les journalistes. A New-York j'ai un projet intéressant et j'y suis très impliqué. J'adore chaque jour que je passe ici. Les spéculations font partie de notre monde, je m'y suis habitué."

Entre deux coups de pédale, Roro embraye sur la course à la succession de Galette dans Le Progrès du jour.

"Le vélo, ça me permet de me changer les idées. Arrivé à Riotord vers midi samedi, on a pris l’orage. Sur le vélo, j’étais frigorifié. Cela ne m'a pas empêché de boucler les 128 kilomètres qui étaient au programme avec l'amicale laïque de Firminy. Ce dimanche matin, on a parcouru avec l'association Coeur Vert et Cyril Dessel le circuit emprunté trois heures plus tard par les coureurs du Critérium du Dauphiné dans le final de l’étape stéphanoise. Cette première étape, c’est un peu comme pour mon entraîneur, c’est compliqué… Il y a du dénivelé, c’est casse-pattes. Mais ce sont des champions. Ils vont monter trois fois plus vite que nous. Je devais suivre dans une voiture officielle la fin de l’étape, de l’intérieur. Mais, au dernier moment, mes obligations professionnelles m'ont rattrapé.  A mon grand regret, je n'ai pas pu voir l'arrivée. Je continue les entretiens aujourd'hui (hier), demain (aujourd'hui), mardi."

Vous avez pu suivre la finale en direct sur notre forum en cette fin d'après-midi grâce à Abdel, envoyé spécial dans le Pilat : entraînée par Jean-Philippe Primard, l'ASSE a remporté le tournoi U17 de Maclas-Pélussin en s'imposant 4-2 aux tirs au but contre Toulouse à l'issue d'un match nul et vierge.

Dominateurs face à des Violets qui jouaient bas et voulaient les piéger en contre, les Verts ont eu une grosse occase d'ouvrir le score avant la pause mais Stanislas Grange n'a pas pu attraper le cadre sur le centre fort de Francis Menétrieux. A une minute de la fin du temps réglementaire, ce dernier a eu la malchance de voir son tir enveloppé stoppé par le poteau.

Comme ce matin en demi-finale, Etienne Green, élu meilleur joueur du tournoi, a fait deux arrêts de grande classe lors de la séance de tirs au but. Peu importe que Victor Petit ait tiré en force sur la barre, Mathis Mezaber, Marvin Tshibuabua, Azdine Bellakhdar et enfin Baptiste Gabard ont tous trompé le portier toulousain.

La compo : Green - Mezaber (c), Tshibuabua, Roubat, Leleux - Petit, Gago, Gabard - Menétrieux, Grange, Bernocolo (Bellakhdar, 30')

La réaction de Jean-Philippe Primard : "La victoire est méritée, on a quand même eu beaucoup de possession par rapport à Toulouse sur cette finale. On a eu deux grosses occases, une à chaque mi-temps alors qu'on n'a pas été inquiété. Les gamins était un peu fatigués, c'était pareil en face. Le rythme de cette finale n'était pas effréné mais je trouve qu'on a quand même produit une bonne prestation dans l'ensemble. La séance de tirs au but nous a souri comme ce matin, Etienne Green a de nouveau été décisif. On avait démarré petitement ce tournoi par une victoire très difficile contre le FC Lyon, mais petit à petit on s'est mis dans le rythme. C'était déjà un peu mieux contre Tours, notre dernier match de poule contre Toulouse était très bon. On a répété ça cet après-midi. Je suis satisfait des prestations individuelles et du collectif de cette équipe. On finit la saison sur une bonne note."

Champion de France avec Monaco (il a joué à Nantes lors de la 2e journée de L1 avant de partir en Allemagne), l'ancien défenseur toulousain Marcel Tisserand ne devrait pas rester à Ingolstadt, relégué en L2 allemande. Suivi également par le Werder et Leipzig selon la Pravda, l'international congolais a confirmé des contacts avec plusieurs clubs français dont l'ASSE ce matin sur beIN Sport dans l'émission "La Causerie". Extraits.

"Saint-Etienne, Lyon et Marseille ? C'est des petits contacts, des petites discussions, il n'y a rien de bien concret encore aujourd'hui. Le mercato est encore assez long. On n'a jamais trop le temps dans le foot mais c'est vrai que j'ai cette petite période là pour penser à mon avenir. J'espère que ça se fera d'ici peu de temps. En Allemagne ou en France ? La France c'est mon pays, l'Allemagne c'est mon pays d'adoption. C'est difficile de choisir. J'ai eu une très bonne expérience en Allemagne, ça va peut-être m'amener à rééditer l'expérience, pourquoi pas rester en Bundesliga ? Après, si j'ai une très bonne opportunité en France ou ailleurs, je l'étudierai également."

Recommandé par Mouhamadou Dabo et auteur de 5 buts et 4 passes décisives en 35 matches de L1 cette saison, le U19 caennais Yann Karamoh évoque ses contacts avec les Verts dans un entretien paru aujourd'hui sur le site Goal.

"Partir n’était pas forcément la seule option mais maintenant le football est devenu un métier pour moi et s’il faut le faire je le ferais. On me parle de grands clubs et ça me dépasse un peu. Je ne m’y attendais pas. Quand on dit que je vais signer demain à Monaco, c’est faux. On ne sait jamais ce qui peut se passer mais personne ne m’a appelé. Saint-Étienne l’a fait. J’ai parlé directement avec un cadre du club. Pour tout le reste, il n’y a rien. Saint-Étienne a un projet sportif dans lequel ils veulent m’intégrer. Monaco en propose un autre. Je ne sais pas si j’irai à Saint-Étienne, à Monaco ou ailleurs mais si j’avais le choix, j’irais dans un club où je jouerais. Par exemple, je n’ai pas envie d’aller à Monaco pour me faire prêter. Quand je vois Saint-Maximin qui a été faire une saison à Bastia... Je me dis que je viens de faire 35 matches et je me demande si ça vaut le coup. Je suis catégorique, je veux jouer. Je n’ai aucune prétention, je sais d’où je viens, je veux aller dans un club avec des moyens plus élevés que Caen mais où je pourrais continuer d’évoluer pour arriver à maturité d’ici deux ou trois ans."

Les U17 stéphanois se sont qualifiés pour la finale du tournoi de Maclas-Pélussin après avoir éliminé Clermont Foot aux tirs au but en fin de matinée.

Auteurs d'une bonne première période, les Verts ont marqué à la 12e minute de jeu grâce à un tir du gauche à ras de terre de Mathis Mezaber, idéalement servi par Francis Menétrieux. A la 33e, les Clermontois ont égalisé sur un pénalty concédé par Etienne Green (photo) suite à une mauvaise passe en retrait de Morad Touit. Le bien nommé et prénommé gardien des Verts a réalisé deux arrêts lors d'une séance de tirs au but remportée 4-2. Mathis Mezaber, Victor Petit, Azdine Bellakhdar et Marwin Tshibuabua ont successivement trompé le portier auvergnat.

La compo : Green- Mezaber, Chaigneau, Tshibuabua, Touit - Gago, petit, Gabard - Menétrieux (Bernocolo, 25'), Grange, Bellakhdar.

Les protégés de Jean-Philippe Primard retrouveront les Violets en finale ce dimanche à 17h00. Le TFC a en effet crée la surprise en éliminant le favori auxerrois 1-0.

Comme l'avait fait son ancien coéquipier stéphanois Yoric Ravet deux mois auparavant, Danijel Aleksic a marqué avant hier devant plus de 30 000 spectateurs dans ce Parc Saint-Jacques de sinistre mémoire.

Malgré ce magnifique coup franc en pleine lucarne, le FC Bâle s'est imposé 4-1. L'attaquant serbe de Saint-Gall n'aura claqué que 3 pions cette saison dans le championnat suisse, quatre fois moins que la saison précédente.

Au classement du nombre des tirs tentés cette dernière saison de L1 publié sur le site de la Ligue qu'on adule, l'ASSE (410 tentatives) pointe à une piètre 16e place alors qu'elle était 6e la saison précédente ! Les Verts ne devancent que le TFC, le FC Metz et deux relégués (le SCB et l'ASNL). Au classement des tirs cadrés, c'est à peine mieux. 14e, Sainté présente un ratio (32,7%) à peine moins médiocre que lors du précédent exercice (31,5%). On aura noté que le joeuur stéphanois qui a le plus tenté sa chance (Romain Hamouma, 48 tentatives) cadre plus souvent que ses coéquipiers et frôle la barre symbolique des 42% (41,7%).