La data, ça coûte un bras ?
17/07 07:13
"On est en train structurer un peu plus notre cellule de recrutement car on voulait faire entrer la data et l’analyse vidéo. Ces outils sont super intéressants et permettent de minimiser les risques" a déclaré Loïc Perrin dans Le Progrès du 9 juillet dernier. On a deux recruteurs terrain avec Ilan [revenu au club au printemps, ndp2] et Anthony Gillot [le fils de Francis a rejoint l'ASSE il y a 4 ans, ndp2]. On se posait la question d’en engager un en plus mais avec le budget de la Ligue 2, il faut que tous les services fassent des efforts."
Dans Corse-Matin paru avant-hier, le président du SC Bastia Claude Ferrandi souligne le coût financier et humain de la data "On sait que la data est une notion importante. Le Toulouse Football Club a basé 100 % de son recrutement sur la data. On en a discuté avec le président du club toulousain. Mais cela coûte très cher, ce n'est pas seulement une histoire de chiffres. Aujourd'hui au TFC, il y a huit personnes qui sont consacrées aux données informatiques. Cela demande des moyens immenses. Il faut prendre également en compte l'état d'esprit du joueur, encore plus chez nous. Je pense que la data sera une notion qui sera incontournable dans un futur proche pour un recrutement performant. La question qu'il faut se poser c'est : est-ce qu'on aura les moyens de le faire ?"
Président d'un TFC promu en L1 et ayant remporté hier contre la Real Sociedad son 4e match de préparation consécutif, l'ancien directeur sportif stéphanois Damien Comolli explique à quel point il s'appuie sur la data dans un entretien accordé au Johan Cruyff Institute et relayé par Les Violets.
"Toutes nos décisions sont basées sur la data, de recruter des joueurs comme améliorer la masse salariale et se projeter sur notre classement final. Nous avons regardé comment s’étaient maintenus les promus ces 17 dernières années. On sait donc ce qu’il nous reste à faire grâce à la data et cela est très clair : on ne restera pas en Ligue 1 si l’on ne fait que défendre, il nous faut marquer des buts. Pour cela, on optimise notre budget transferts pour trouver le buteur idéal qui correspond à cette philosophie. Ceci est un exemple parmi tant d’autres de notre usage de la data. On l’utilise également pour trouver le meilleur dispositif. La data est présente partout, dans tous nos secteurs : à la stratégie, à la performance, au recrutement. Elle minimise tous les risques que l’on prend."
Les Nîmois n'y sont pas
16/07 23:14
Le Nîmes Olympique, qui sera le premier club à se déplacer à Geoffroy cette saison de L2 (le samedi 6 août à 15h00), enchaîne les défaites en cette période de préparation. Battus 2-0 par Toulouse puis par Annecy, les Crocodiles se sont inclinés aujourd'hui 1-0 contre Bastia. Nicolas Usaï a conscience que son équipe aura du mal à prétendre à autre chose que le maintien, comme il l'a expliqué sur le site Ma Ligue 2.
"C’est un championnat très difficile qui s’annonce, avec quatre descentes, deux montées et pas de barrage. Donc il faut être vigilant. Ce n’est pas une question de prudence, c’est une question d’évidence : aujourd’hui, on a une équipe qui a été construite pour aller chercher le maintien dans un premier temps, et ce sera difficile. Il y a des équipes qui sont constituées comme Caen, Dijon ou Saint-Etienne par exemple. La première des choses, ce sera d’abord de se maintenir dans ce championnat très difficile. ma ligne de mire pour le moment, c’est le 30 juillet. On recevra Caen et on se prépare à cette échéance-là. Ce sera un bon premier test, tout comme le mois d’août d’ailleurs. On sait très bien que ce championnat est difficile."
Hognon croit en notre reconstruction
16/07 19:28
Vincent Hognon s'est brièvement confié au Progrès après avoir accroché hier les Verts au Chambon-sur-Lignon. Extraits.
"Affronter Saint-Etienne, ça donne envie de gagner encore plus. C’est toujours un plaisir de voir les supporters quand ça se passe bien comme ça. Cela permet de revoir des copains qui sont aujourd’hui toujours au club ou le dirigent. Comment je vois la prochaine saison de l’ASSE ? Moi, je m’occupe de Grenoble et Saint-Étienne s’occupe de Saint-Étienne.
C’est à eux de travailler pour construire quelque chose de viable. Il y a un entraîneur de qualité, des gens intelligents au club et beaucoup de moyens financiers par rapport à nous. Il n’y a aucune raison qu’ils n’arrivent pas à retrouver la Ligue 1. Si ce n’est pas cette année, ça sera l’année prochaine, mais ils sont capables de construire quelque chose de très bien."
C'est ballot pour Spano !
16/07 19:18
A deux semaines de sa réception des Verts lors de la 1ère journée de L2, le DFCO a concédé le nul face au promu Annecy ce samedi à Lons-le-Saunier. Les Dijonnais, qui avaient mis 6 buts à Saint-Apollinaire (N3) et à Villefranche (N1), n'ont claqué cette fois qu'un petit pion, leur expérimenté avant-centre Mickaël Le Bihan ayant ouvert le score juste avant la mi-temps. Les protégés d'Omar Daf joueront leur quatrième et dernier match de préparation vendredi prochain contre Le Havre à Clairefontaine. On aura noté par ailleurs que les Hauts-Savoyards ont perdu deux joueurs sur blessure, notamment Romain Spano. Touché à l'épaule, le beau-frère de Loïc Perrin "risque d'être absent plusieurs semaines" aux dires de son entraîneur Laurent Guyot.
Crivelli claque
16/07 16:48
Va-t-il suivre la trajectoire d'Anthony Modeste ? Enzo Crivelli, qui n'a pas marqué un but lors de son prêt à Saint-Etienne (6 matchs, 170 min) a claqué un pion avec son club turc de Başakşehir. Un tir à bout portant qui a permis à ses coéquipiers de s'imposer 1-0 contre Konyaspor hier en match amical.
Pour rappel, Anthony Modeste a scoré 20 fois la saison passée en Bundesliga (+ 3 en Coupe d'Allemagne) avec son club de Cologne juste après son prêt raté à Sainté (8 matchs en 2021, 370 min, 0 but). Et si les Verts rapatriaient Enzo pour que, si l'histoire se répète, elle profite enfin aux hommes de Laurent Batlles ? L'ancien bordelais n'a plus qu'un an de contrat en Turquie.
Une soirée fabuleuse devenue très malheureuse
16/07 15:35
Pour Jacques Vendroux, Dominique Bathenay est revenu sur la demi-finale de Coupe d'Europe des clubs champions contre le PSV Eidhoven la semaine dernière sur Europe 1.
"En demi-finale, on joue contre le PSV Eindhoven. Il y a une belle ambiance dans le Chaudron, on sait que cette équipe batave a des attaquants quand même très redoutables. Ils ont Edström devant, qui fait près de deux mètres. Une fois il nous a échappé mais il n’a pas échappé à Ivan Curkovic qui sur une sortie lui a un peu sonné les cloches. Edström est un peu dans le pâté car Ivan Curkovic l’a percuté. Ce joueur sort, ça nous enlève une grosse épine du pied.
Le match retour, ça reste avec Split mon meilleur souvenir. Ce match à Eindhoven est mon meilleur souvenir car ça été le match de la solidarité. Ça a été un match où tout le monde est allé au bout de lui-même. C’est une victoire collective, c’est une qualification collective. On est vraiment heureux. Je me souviens de Jean-Michel, de Dominique, de Jacques, de Patrick, de Christian, d’Osvaldo. On est heureux d’être ensemble, on est heureux d’avoir combattu tous ensemble. On est allé au bout de nous-mêmes, c’est le plus important.
Le retour est quand même très joyeux jusqu’à l’arrivée à Bouthéon où les gens nous attendent. Les gens n’attendent pas que notre petit avion s’arrête, ils veulent tellement nous congratuler, nous toucher, nous fêter, nous aimer que malheureusement un drame arrive. L’hélice n’est pas encore arrêtée, quelqu’un se fait happer par l’hélice sur le tarmac de Bouthéon. C’était une soirée qui était fabuleuse qui se termine d’une manière très malheureuse."
Bordeaux fait de la résistance à Vichy
16/07 14:09
Initialement prévue mardi, l'audience des Girondins devant le CNOSF, après leur appel de la rétrogradation administrative du club en National par la DNCG, a été reportée au 21 juillet, dans l'attente d'un jugement d'homologation du Tribunal de commerce de Bordeaux.
En attendant d'être fixés sur leur sort, les hommes de David Guion, victorieux contre Rodez (2-1) et Trélissac (3-0), sont en stage depuis lundi à Vichy. Ils y affonteront ce soir Orléans (club de N1 où évolue Théo Vermot) avant d'y défier les Verts le mercredi 20 juillet à 18h00.
C'est où Galette ?
16/07 10:12
La Pravda du jour revient sur les déclarations de Galette lors de sa présentation au Parc des Princes. Il avait notamment lâché un spontané (et bien compréhensible) "ce n'est peut-être pas l'endroit où il y a la plus grosse ambiance mais c'est sûrement un des stades qui marquent le plus avec sa beauté et son nom".
Ca n'a pas plu aux sups parigots (ceux qui ne mettent plus les pieds au Parc ?) et Galette a dû rétro-pédaler hier : "je me suis mal exprimé. Il n'y a pas de grands clubs sans grands supporters. Il me tarde de voir l'ambiance du Parc lors des grandes soirées. Je sais que quand les supporters ont décidé de pousser, le Parc est une caisse de résonance où l'on ne peut plus s'entendre".
C'est dommage, c'était sympa quand t'étais franc et spontané Galette ! Mais dis-nous, c'est où l'endroit où il y a la plus grosse ambiance ?
Nordin touche le ballon
16/07 09:26
"Ce qui est bien ici, c'est qu'on touche le ballon" déclare le nouveau pailladin Arnaud Nordin dans la dernière édition du Midi Libre. "Nous les joueurs on aime bien toucher la balle quand on fait du physique" ajoute l'ancien attaquant stéphanois, apparemment plus en phase avec le côté joueur d'Olivier Dall'Oglio que sous les ordres de Claude Puel et Pascal Dupraz.
Jules et Jib
16/07 08:42
On aura noté que deux jeunes Verts ont joué hier (la dernière demi-heure contre Grenoble) leur premier match en équipe première :
- le milieu de terrain Jules Mouton (petit frère de Louis)
- l'attaquant Jibril Othman
Mots bleus
16/07 08:18
Trompé par Jean-Philippe Krasso hier au Chambon-sur-Lignon, le capitaine grenoblois Brice Maubleu commente dans Le Dauphiné Libéré le match nul des Bleus contre les Verts.
"Je suis plutôt content de ce match. C’est toujours un peu frustrant de se prendre un but, mais bon, ça fait partie du jeu. Derrière, on se connaît depuis plusieurs saisons avec les gars, il y a des automatismes et une confiance forte entre nous. Ce match nul, c’est encourageant."
Galette veut tout gagner à Paris
16/07 08:08
Nouvel entraîneur d'une équipe qui a battu hier 2-0 QRM (que l'ASSE affrontera dans un mois lors de la 3e journée de L2), Christophe Galtier s'est confié à la Pravda. Extraits.
"Ma plus grande découverte est le talent des joueurs. Incroyable. La qualité technique lors des premières séances, l'application des uns et des autres, l'enchaînement technique... Notre travail, avec mon staff, avec Luis Campos, c'est d'amener l'équipe sur ce qu'on veut voir d'elle. Je dois aussi m'appuyer sur leur vécu - que je n'ai pas -, pour les amener là où je veux. Et là où je veux, je suis sûr que c'est là qu'ils veulent aller aussi.
Je comprends qu'il y ait ce débat sur ma légitimité, d'autant plus qu'en Ligue des champions avec Lille, on a fait un mauvais parcours. Mais ces six matches me serviront. Après, je ne suis pas le porte-drapeau des entraîneurs français. À moi de montrer que je suis capable d'être à la tête d'une armée de très, très grands joueurs. Si je ne m'étais pas senti capable d'assumer cette pression, je serais ailleurs.
On ne m'a pas assigné un objectif en Ligue des champions. Tout le monde ne va pas être satisfait, mais c'est la vérité. Une fois que vous êtes au PSG, vous avez toujours l'obligation de résultats. Je suis très ambitieux. Avec beaucoup d'humilité. Je suis venu à Paris pour gagner. Il y a déjà trois titres nationaux : il faut les gagner. Il faut battre des records. Et en toute modestie, je vous le dis : je suis venu à Paris pour tout gagner.
Vous me demandez pourquoi le PSG gagnerait plus la Ligue des champions avec moi sur son banc qu'avec Laurent Blanc, Thomas Tuchel ou Mauricio Pochettino ? Et pourquoi pas ? Vous savez qui a gagné la première Ligue des champions avec Chelsea ? C'est Roberto Di Matteo. Qui aurait mis un centime sur lui ?"
Mots Tell
16/07 07:41
Le Dauphiné Libéré a recueilli la brève réaction de Jordan Tell, auteur du but égalisateur de Grenoble contre Sainté hier après que Pape Meïssa Ba a mis dans le vent un Anthony Briançon un peu lent sur cette action mais auteur par ailleurs d'une solide prestation.
"C’est important de se mettre en confiance. On préfère quand ces buts-là marquent des points. Je me suis senti de mieux en mieux. Les automatismes sont là. En première, on devait rectifier car Saint-Étienne jouait très bien au ballon. Il y aura de belles rencontres à jouer contre eux en Ligue 2."
Jurdie fier d'être supporter des Verts
16/07 07:10
Huit ans après l'entretien qu'il nous avait accordé, le directeur sportif d'AG2R Julien Jurdie a de nouveau parlé de sa passion pour les Verts hier dans le quotidien belge La Dernière Heure - Les Sports, le Tour de France faisant actuellement étape à Sainté. Extraits.
"Mon amour pour ma ville et mon club est si fort que je me suis fait tatouer le blason de Saint-Étienne sur le ventre ! Ce tatouage synthétise en effet ces deux choses, il a un double sens. Je suis fier de l’endroit où je suis né et des valeurs que porte cette ville mais aussi amoureux de l’ASSE dont le maillot est orné de cet emblème.
Comment est née ma passion dévorante pour l’AS Saint-Étienne ? L’histoire est assez simple. Je suis né dans cette ville il y a maintenant 49 ans de cela. Quand on voit le jour à Saint-Étienne, l’ASSE est quelque chose qui vous prend aux tripes de manière très naturelle, cela relève de la culture même de la ville. J’habite toujours à quelques kilomètres du stade et je considère que cela fait partie de mon identité à part entière.
Assez rapidement, quand on est gamin, on prend forcément le chemin de Geoffroy Guichard dans le sillage d’un papa ou d’un grand frère. Et une fois que vous avez mis un pied dans le chaudron, le virus est alors inoculé de manière immédiate. Même si je suis trop jeune pour avoir vécu de près l’épopée verte des années 1970 et 1980, elle a construit la légende du club et a installé celui-ci comme l’un des clubs les plus historiques de France. Il y a donc une forme de fierté de supporter l’ASSE.
Le club est très autant ancré dans la ville, ce n’est pas le cas de toutes les équipes de foot...Cela tient sans doute dans le profil social de Saint-Étienne. La ville est essentiellement habitée par une population ouvrière qui, le dimanche, n’a pas pléthore de potentiels loisirs accessibles. Cela constitue, sans vouloir basculer dans le cliché, le délassement de la classe populaire. Comme on allait à la messe autrefois le dimanche matin, on va au stade l’après-midi. C’est un petit peu comparable à la ferveur qui peut régner à Lens que vous connaissez peut-être mieux en Belgique puisque posé juste de l’autre côté de la frontière.
Je ne me souviens pas précisément de mon premier match à Geoffroy-Guichard. Je devais avoir entre 8 et 10 ans. C’était une forme d’aboutissement tant j’avais entendu parler de l’ambiance du stade lors des repas familiaux... (rires). À l’heure du dessert, l’épopée européenne des Verts revenait immanquablement sur le tapis. Quand on y repense, c’est assez fou de se dire qu’une équipe issue de la Loire puisse défiler sur les Champs-Élysées après avoir perdu la finale de la Ligue des champions. C’est clairement quelque chose qui n’existera probablement plus jamais. Toute la France supportait Saint-Étienne à cette époque.
Le stade Geoffroy-Guichard est un lieu marquant de ma vie, totalement. Même s’il est compliqué, avec l’agenda qui est le mien aujourd’hui, d’assister à beaucoup de matchs lors d’une saison, je tente toujours de saisir les opportunités d’aller encourager mon équipe. C’est un plaisir tellement intense. Je ne suis assurément pas objectif, mais l’ambiance y est assez unique. Autrefois je prenais souvent place dans les blocs qui jouxtent le kop, où cela bouge et bouscule vraiment beaucoup (rires). Mais j’ai la chance de désormais être régulièrement invité en loges d’où je prends toujours beaucoup de plaisir à profiter du spectacle qu’offrent les supporters les plus chauds.
Combien de matchs je parviens encore à voir dans le Chaudron chaque saison ? En fonction de mon agenda, cela oscille entre cinq et sept en moyenne chaque année. C’est, à peu de chose près, dès que je peux. Je combine parfois des déplacements liés aux courses avec un match à l’extérieur. Je suis allé à Lens et Nice dernièrement par exemple. J’ai absolument tous les abonnements télés qui existent et les accès internet qui existent désormais me permettent donc de suivre mon équipe favorite.
Lorsque je suis en course, je suis discrètement cela sur mon téléphone. Si je sais que Saint-Étienne joue, il m’est tout simplement impossible de ne pas jeter un œil sur l’évolution du résultat toutes les dix à quinze minutes. Je discute parfois football avec certains de mes coureurs, essentiellement avec Greg Van Avermaet. C’est un vrai connaisseur, on voit qu’il a évolué à un bon niveau dans la manière dont il parle et analyse les rencontres. Il aime plutôt bien me chambrer au lendemain d’une défaite et il ne m’a pas raté sur le Dauphiné juste après notre relégation en Ligue 2...
J’ai construit une relation privilégiée avec deux anciens entraîneurs des Verts, Elie Baup et Christophe Galtier. Ce qui est beau dans cette histoire, c’est que ça perdure puisque j’ai passé un week-end avec Élie dans les Pyrénées il n’y a pas très longtemps. À la base de notre amitié, il y a une passion réciproque pour nos sports respectifs puisque tous deux sont de véritables amoureux du cyclisme. Élie faisait même du vélo autrefois lui-même alors que j’ai pu emmener Christophe dans ma voiture sur une étape du Tour, l’année où Romain Bardet a terminé sur le podium final à Paris.
On se nourrit réciproquement de nos approches respectives du management. Christophe Galtier m’a appris beaucoup de choses en matière d’analyse vidéo, un outil que j’utilise de plus en plus dans l’approche et le débriefing des courses. On discute également beaucoup de la gestion humaine d’un groupe. Nice, que Christophe entraînait jusqu’en fin de saison dernière, était par ailleurs parrainé par Ineos, le sponsor titre de l’équipe cycliste du même nom. Il échangeait donc beaucoup avec Dave Brailsford, le manager de l’armada britannique, et il était très intéressant d’observer les ponts qu’ils pouvaient créer entre les deux disciplines.”
Une belle opposition pour Hognon
15/07 23:06
Content de ce que sa rugueuse équipe a montré contre son ancien club, Vincent Hognon a livré sa réaction au Progrès suite au match nul entre l'ASSE et le GF38.
"Je suis très satisfait du niveau de ce match et de l’engagement mis par les joueurs, même si c’était parfois un peu trop. Saint-Étienne nous a posé des problèmes en début de match, mais on a aussi eu de bonnes périodes. Il y a eu du bon et du moins bon mais on jouait un adversaire de grande qualité. On a parfois fait preuve de trop de naïveté sur des coups de pied arrêtés joués rapidement. On a encore du travail mais c’était une belle opposition. Je pense que la vidéo va nous donner un bon axe de travail pour remédier à ça."
Dekoké ne retrouvera pas les Verts
15/07 22:57
Ayant joué 27 matches de L2 la saison dernière avec QRM, Nathan Dekoké ne jouera pas contre son club formateur le match de clôture de la 3e journée programmé le jour de l'Assomption au stade Robert Diochon. L'ancien champion de France U17 de l'ASSE s'est en effet engagé ce vendredi avec Bourg-Péronnas. Présidé par David Venditelli, (ex-agent de Loïc Perrin), ce club de National 1 a longtemps joué la montée avec Anthony Maisonnial (parti à Andrézieux) et Benjamin Corgnet (libre) avant de flancher.
Batlles en a gros sur la patate
15/07 22:49
Laurent Batlles a livré sa réaction au Dauphiné Libéré suite au match nul concédé par son équipe face à Grenoble ce soir au Chambon-sur-Lignon. Extraits.
"C’est difficile d’analyser un match, j’en ai gros sur la patate car on perd un joueur sur blessure [Dylan Chambost s'est fracturé le radius, ndp2]. Il y a eu des choses intéressantes, en étant plus méchants, on aurait pu gagner ce match. Il y a eu beaucoup de changements. Nous avons une équipe ambitieuse et concernée. Je suis satisfait par l’investissement, le jeu qu’on a produit. On prend un but sur un coup du sort [en fait sur un contre rondement mené sur l'aile gauche où Pape Meissa Ba a mis dans le vent Anthony Briançon, ndp2]. Mais j’ai vu des joueurs qui étaient concernés.
Il y a un bon état d’esprit. On construit quelque chose qui va être long, on va être attendu partout. Ça ne va pas être facile. Il faut nous laisser le temps de construire. J’ai été content de revoir certains dirigeants, Brice Maubleu ou Loris Néry. C’est toujours plaisant de les revoir. C’est important de jouer contre ce genre d’équipe de bon niveau, et on peut être sûr que rien ne sera facile dans le championnat cette année."
Fracture du radius pour Chambost
15/07 22:36
D'après nos informations, Dylan Chambost va se faire opérer ce soir après s'être fracturé le radius contre Grenoble. Nous lui souhaitons un prompt rétablissement !
Honorat a performé tout en étant diminué
15/07 21:35
Franck Honorat, qui a marqué tout en étant diminué il y a trois mois à Geoffroy le dernier de ses 11 buts de la saison, s'est confié aujourd'hui à Ouest-France. Extraits.
"Dès le stage de préparation de la saison dernière, j’ai ressenti des douleurs au tendon d’Achille, ce n’était qu’une inflammation au début. Ça partait, ça revenait, et ça toute l’année. Jusqu’au match à Saint-Etienne où je n’arrivais plus. Contre Lyon, je n’ai pas réussi à continuer ma course. Je ne pouvais plus accélérer. C’était une longue saison, avec une blessure que j’ai traînée depuis juillet. Avec les soins, on a réussi à faire en sorte que ça ne s’aggrave pas et que je puisse enchaîner les matches.
À la fin de saison dernière, j’ai essayé de forcer sur les derniers matches pour continuer à aider l’équipe. J’avais aussi envie d’augmenter mes statistiques. Mais mon corps n’arrivait plus à suivre. Je ne pouvais plus accélérer alors que c’est l’une de mes premières qualités. J’ai dû dire stop, prendre un peu de repos. On m’a pris du sang, mis dans une centrifugeuse, séparé les globules rouges du plasma, et on a pris celui-ci pour l’envoyer dans le tendon. On a aussi gratté à la fin pour créer une douleur afin que ça cicatrise mieux.
Cette dernière saison est conforme à ce que j’attendais : confirmer. Je voulais continuer à faire des statistiques et maintenir le club en Ligue 1. Le plus dur, comme je le répète, c’est d’être régulier. Il ne s’agit pas d’être bon, de faire un match exceptionnel, deux autres mauvais, etc... Pour moi, le but est d’être constant, de marquer des buts, de faire des passes décisives tout au long de l’année. Je pense qu’il y a toujours des choses à améliorer mais c’était une bonne saison.
Avec la saison que j’ai faite, heureusement que des clubs se sont renseignés sur moi. Sinon, je me serais posé des questions. Mais la priorité, c’est de bien revenir, de bien me sentir physiquement et mentalement. Car ça faisait longtemps que je n’avais pas touché un ballon. Comme je l’ai déjà dit, s’il y a un beau projet qui m’intéresse sur le plan footballistique, on en discutera avec mes agents et Grégory Lorenzi. Qu’est-ce qu’un bon projet ? La Ligue Europa, pourquoi pas ?
Ça peut aussi être la continuité au Stade Brestois… Je suis bien ici. Ma femme aussi. Même au club, je m’entends bien avec tout le monde. Je pense que ça se ressent sur le terrain. C’est l’une des premières fois où je me sens libéré, à 100 % moi-même. La dernière fois, c’était à Clermont, en Ligue 2. Là, c’est le cas en Ligue 1. J’ai retrouvé mon football dans un club chaleureux, familial, accueillant, avec des supporters qui nous poussent à chaque fois, qu’on soit bon ou mauvais. C’est un club qui nous pousse vers le haut. Si je n’étais pas passé par là, je n’aurais peut-être jamais su que je pouvais marquer un but en L1 et faire des grosses saisons comme ça."
Pour rappel, Franck Honorat a claqué 19 pions lors de ses deux dernières saisons de L1 au Stade Brestois. Il n'avait pas trouvé le chemin sous le maillot vert en 16 matches officiels (dont 12 dans l'élite) joués de novembre 2019 à mars 2020 sous les ordres de Claude Puel, qui l'avait lancé en Ligue 1 dès le 3 novembre 2013 à l'Allianz Riviera.
Pas de 3e victoire consécutive
15/07 20:26
Après deux succès contre Evian (3-0) et Le Puy (1-0), les Verts ont concédé le match nul contre Grenoble, pensionnaire de L2, ce soir (1-1).
Les stéphanois ont entamé le match en 3-4-3 avec Green dans les buts, une défense composée de Briançon, Giraudon et Silva. Au milieu, Neyou, Camara, Youssouf et Chambost. Maçon et Abi ont occupé les côtés et Krasso a pris les rênes de l'attaque. A peine de retour dans son club formateur, Dylan Chambost s'est blessé au bras en début de match. Emmené par les pompiers, il se pourrait qu'il rate la fin de la préparation. C'est en toute fin de premier acte que les Verts ont ouvert le score par Jean-Philippe Krasso, après une ouverture d'Antoine Gauthier qui avait remplacé Chambost.
En deuxième période, les stéphanois ont concédé un but d'entrée par Jordan Tell sur contre-attaque. Peu après, Laurent Batlles a opéré une large revue d'effectif avec les entrées de Bakayoko, Moukoudi, Nadé, Mouton, Palencia, Gabard, Aiki, Rivera et Othman.
Prochaine rencontre pour les Verts, face à Bordeaux dans cinq jours, mercredi 20 à 18h à Vichy.
Benalouane retourne en Italie
15/07 16:15
N'ayant joué que 9 matches toutes compétitions confondues dont 5 en tant que titulaire lors de sa seconde saison à l'Aris Salonique (nouveau club de Bryan Dabo), Yohan Benalouane (35 ans) s'est engagé hier pour un (plus une année en option) avec le Novara FC, club de Série C (3e division) basé dans le Piémont. Pour rappel, l'ancien défenseur central stéphanois connaît bien l'Italie pour avoir joué en Série A à Cesena, Parme et Bergame.
Pajot chez Spano (3)
15/07 14:16
Dans la dernière édition du Républicain Lorrain, Vincent Pajot explique pourquoi il a quitté le relégué messin pour le promu annécien. Extraits.
"En mai dernier, j'avais indiqué que je n'étais pas opposé à l'idée de poursuivre au FC Metz. Il y avait beaucoup de rancoeur par rapport à l'issue de la saison et la relégation, je ne voulais pas passer pour un fuyard. Je n'étais pas opposé à lidée de rester, même en L2. C'était un challange à relever, le FC Metz a fait en sorte que je prolonge. Mais ça ne s'est finalement pas goupillé comme je pouvais l'espérer.
Un paramètre a pesé dans la balance : le départ du coach. J'étais très proche de Fédéric Antonetti, il m'a beaucoup apporté durant ma carrière. Relever le défi de la L2 avec lui aurait pu faire pencher la décision. Mais au final il n'est plus là et je crois que j'avais quand même envie d'un nouveau challenge, de quelque chose de différent.
Le FC Annecy est un club en plein développement, qui a de l'ambition tout en restant modéré. J'ai forcément fait des choix, notamment financiers, mais j'ai très vite été séduit par les personnes que j'ai rencontrées et par le projet. Même si je vais bientôt avoir 32 ans, je ne veux pas que les gens pensent que je viens à Annecy en pré-retraite. Je vais m'investir à 100%."
L'ancien milieu de terrain stéphanois évolue donc désormais aux côtés de l'ancien réserviste stéphanois Romain Spano, qui a marqué jeudi dernier le premier but de la victoire (2-0) des Hauts-Savoyards contre les Nîmois. Défaits auparavant sur le même score par le TFC, les Crocodiles ont affiché des lacunes qui ne demandent qu'à être exploitées par les Verts dans trois semaines dans le Chaudron lors de la 2e journée de L2...
Gourna, un départ qui fout les (Red) boules (3)
15/07 12:52
L'ancien milieu de terrain stéphanois Lucas Gourna-Douath, qui fêtera le 5 août ses 19 ans, s'est confié sur la chaîne youtube de son nouveau club. Extraits.
"C’est une grande fierté de signer dans l’un des plus grands clubs d’Autriche. On connaît l’histoire du RB Salzbourg, j’avais à cœur de rejoindre ce club. Je suis très heureux d’avoir signé ici. J’apprécie le côté familial de ce club, ils aiment bien faire jouer les jeunes. C’est un bon club tremplin. On sait aussi qu’ils sont très exigeants, sur la Ligue des Champions notamment. Je suis un joueur très attachant, très respectueux de l’institution et du maillot que je porte. J’aime gagner, je ne lâche jamais rien, je suis un joueur qui mouillera le maillot jusqu’à la fin. J’espère amener tout mon talent possible pour aider l’équipe.
J’ai été formé dans un club qui s’appelle l’AS Saint-Etienne, un grand club français ou il y avait de très, très grands joueurs à mes côtés. J’ai été très fier de faire autant de matches pour mon âge mais comme on dit chez nous c’est le fruit du travail. On a travaillé, le club a tout fait pour moi, pour me mettre dans les meilleures conditions. J’ai fait 61 matches, c’est un travail au quotidien avec mon ancien staff, mon ancienne équipe. Je suis très fier d’avoir fait tous ces matches à mon jeune âge dans un très grand championnat où il y a les plus grands joueurs du monde comme Kylian Mbappé et Lionel Messi.
Depuis que je suis petit, depuis l’école, j’aime jouer au foot et prendre les commandes. J’aime commander mes camarades, mon leadership vient de là. J’ai toujours été avec les plus grands, avec mes grands frères. Leur maturité m’a beaucoup servi. C’est pour ça que j’essaye de transmettre ce côté mature et ce leadership sur le terrain. C’est pour ça qu’on me décrit comme un joueur ayant une aura assez positive avec un grand leadership. Oui, ça fait partie de mes qualités premières. Mais je n’ai que 18 ans, je n’ai rien fait dans le foot. Même si j’ai fait une soixantaine de matches en L1, je dois travailler un peu sur tout.
J’arrive dans un club plus huppé que mon club formateur même si Saint-Etienne est un très, très grand club français. Je dois travailler sur tout, tout revoir. J’espère que le coach m’apprendra de jour en jour. Tout le monde le sait, j’ai des idoles. J’aime bien Paul Pogba, Patrick Vieira, Yaya Touré, Claude Makélélé. Ce sont de très grands joueurs français qui évoluent à mon poste [Yaya Touré est Ivoirien, ndp2]. Ils ont ce leadership et cette rage de vaincre donc ça fait partie de mes exemples. Moi on me surnomme « la jeune pioche » ou « l’ingé ». J’aime bien gérer, commander. Je suis dans le leadership, dans la gestion."
En L2, les Verts sont des bleus
15/07 11:38
Si l'ASSE reste le 3ème club de l'histoire de Ligue 1 derrière Marseille et Bordeaux en nombre de matchs joués (2532) et gagnés (1062), son bilan en Ligue 2 est forcément plus modeste.
Selon la Ligue (qu'on adule toujours), les Verts parmi les 19 engagés du prochain championnat (Bordeaux n'apparaît pas dans le classement) ne présentent que le 14ème bilan avec 236 matchs joués et 87 victoires. C'est Niort (922 matchs) qui domine ce classement devant Laval (818) et Le Havre (750).
Un Tour de Magic
15/07 07:59
Les cyclistes du Tour de France arrivant aujourd'hui à Saint-Etienne, les Magic Fans invitent sur leur compte twitter les supporters à manifester leur opposition aux dirigeants de l'ASSE en arborant des masques de clown à l'effigie de Roro, Nanard et Jef.
Toi aussi tu en as marre d'être gouverné par des clowns? À l'occasion du passage du Tour de France, choisis ton masque favori et affiche ta détermination à faire faire demi-tour à la direction! pic.twitter.com/lpgMtfORUy
— Magic Fans 1991 (@MF91Officiel) July 15, 2022
Tardieu, ça ne saurait tarder ? (2)
15/07 07:26
Après avoir récupéré Dylan Chambost et Jimmy Giraudon, Laurent Batlles espère toujours récupérer d'autres joueurs qu'il a entraînés à Troyes comme le milieu de terrain Florian Tardieu. Dans sa dernière édition, L'Est-Eclair évoque les tensions qui règnent actuellement à l'Estac. Extraits.
"Les relations entre l’entraîneur de l’Estac et des joueurs sont très tendues, avec pour conséquence des velléités de départ de joueurs troyens, dont des cadres. On pensait que les vacances avaient calmé les esprits, que le maintien avait fait oublier les points de tension entre joueurs et entraîneur qui avaient jalonné les six premiers mois de Bruno Irles à l’Estac. Mais que lui est-il reproché au juste ? En premier lieu, son management au quotidien, jugé froid et autoritaire par une partie de l’effectif (ce n’est pas non plus l’intégralité du vestiaire). Un sentiment qui s’est confirmé durant le stage d’une semaine à Vichy, que certains ont trouvé « militaire ». Autre reproche, déjà formulé en début de son mandat, le contenu des séances d’entraînement, dans lesquelles une partie des joueurs dit ne pas prendre de plaisir.
L’heure est encore aux discussions, aux débats afin de trouver un terrain d’entente, mais pas à se séparer de Bruno Irles, contrairement à la tendance annoncée par Foot Mercato. "Il n’y a aucun doute sur le fait qu’on ait envie de travailler avec Bruno, assène le directeur sportif François Vitali. On va créer les conditions pour que l’Estac réussisse avec Bruno, en lui donnant les moyens de travailler avec un effectif cohérent. C’est ce à quoi travaille le club. Son effectif actuel n’est pas celui qui va faire la compétition, veut rassurer le directeur sportif. Il patiente actuellement, comme les joueurs patientent avant que l’effectif soit beaucoup plus complet pour aborder le championnat. On fera tout pour aborder de manière cohérente la compétition. Et cette compétition se fera avec Bruno."
Un derby pour Manu Perez
15/07 07:00
Le milieu défensif grenoblois Manu Perez s'est confié au Dauphiné Libéré avant de défier les Verts au Chambon-sur-Lignon ce vendredi dès 18h00.
"On a beaucoup de jeunes joueurs et on est là pour les aider et les accompagner. Ces matchs de préparation, ça sert aussi à ça. À intégrer les nouveaux, à travailler nos automatismes. Je suis confiant. Après avoir gagné contre Auxerre et Clermont, on va cette fois affronter une équipe qu'on va retrouver en Ligue 2.
On n’est pas encore dans la compétition, il n’y aura pas d’animosité pendant le match au Chambon-sur-Lignon. Saint-Etienne, c’est un club historique. Au cours de la saison, ce sera deux très belles confrontations. C’est aussi un derby, on sait que c’est important pour les supporters mais aussi pour nous, les joueurs."
Pas de rang d'oignon avec Hognon
15/07 06:47
L'entraîneur grenoblois Vincent Hognon compte faire des expérimentations tactiques aujourd'hui au Chambon-sur-Lignon contre son ancien club, comme il l'explique dans la dernière édition du Dauphiné Libéré.
"Saint-Etienne fait partie des gros clubs pour la saison qui arrive. Pour le moment, on verra comment on jouera contre eux vendredi. J’ai envie de tester plusieurs choses. Ce n’est pas dit que je vais rester en 4–3–3, je veux voir des choses différentes. C’est important pour le groupe qu’on sache s’adapter, changer de tactiques. On profite de ce genre de rencontres pour tester des nouvelles choses."
On a le babaud, on aura Cafaro ?
14/07 21:52
Si le départ de Lucas Gourna nous a donné le babaud, le mercato est loin d'être clos. D'après Le Progrès, "le board stéphanois discute avec Mathieu Cafaro (Standard de Liège). L’ancien milieu offensif rémois de 25 ans, transféré en Belgique l’hiver dernier et sous contrat jusqu’en 2025, pourrait donc revenir en France cet été."
Passé par le TFC où il aura évolué sous les ordres de Pascal Dupraz, c'est surtout sous la houlette de David Guion que le natif de Saint-Doulchard (Cher) s'est affirmé au Stade de Reims. Parti dans le Plat Pays car il n'entrait pas dans les plans d'Oscar Garcia, il a marqué cette année 2 buts en 12 matches avec les Rouches, qui ont fini à une piètre 14e place en L1 belge.
Tardieu, ça ne saurait tarder ?
14/07 21:13
Il y a 5 semaines, la Pravda avait indiqué que Laurent Batlles avait fait de Florian Tardieu sa priorité. Le Progrès a indiqué ce soir que l'ASSE est en discussion avec ce milieu défensif de 30 ans, actuellement sous contrat avec l'ESTAC jusqu'en 2024.