Il aime son RC Lens l'ami Jean-Guy ! L'entraîneur des Sang et Or a les mots justes pour parler de son club aujourd'hui dans Libération. Morceaux choisis.

"Les efforts, c'est la base. Après, si tu mets onze supporters sur le terrain, ils vont mouiller le maillot, mais l'équipe n'ira pas loin. Ici, c'est un peu l'Angleterre : le foot n'est pas appréhendé comme un spectacle mais comme un reflet de la vie des gens. Ceux qui viennent au stade veulent voir quelque chose d'eux-mêmes. Je ne doute pas qu'un joueur niçois ou toulousain fasse les mêmes efforts qu'un Lensois mais, ici, les gens veulent voir ces efforts, les ressentir. Sinon ils ne comprennent pas (...) Quand j'ai lâché en novembre que même mon père se demandait si les joueurs étaient concernés, j'ai essayé de les faire réagir par rapport à ça. Je pouvais me brûler. Mais c'était le moment de prendre un risque.

On joue à Monaco, nos supporters font quinze heures de route en camionnette, on perd, les fans grondent. Un joueur peut dire : "Mais merde, je m'en fous, je ne les ai pas forcés à venir." Dans ce cas je réponds : "Attends, t'as pas compris où t'as signé !" Tu sors du centre d'entraînement de La Gaillette et tu vois quoi ? Des gens qui galèrent. Le club est raccord. Ici, on a décidé de ne pas monter le prix des places. On peut venir au match pour dix euros. Du coup il y a un manque à gagner. Mais le club l'assume, ça, c'est du concret (...).

Je sais très bien que les joueurs passent vite et que l'identité locale est difficile à pérenniser. Mais on peut par exemple rappeler aux joueurs que, la saison passée, le RC Lens tournait à 30.000 spectateurs de moyenne à domicile en L2. Je rencontre aussi les associations de supporters pour expliquer nos contraintes, dire que le foot des années 2000 est comme ci plutôt que comme ça, et que le RC Lens ne gagnera pas tous ses matches.

Les joueurs sont centrés sur leur petite personne, et puis après ? Tout le monde a besoin de reconnaissance. Si on dit d'une fille "elle est belle, elle est bien sapée", la fille en question est flattée. Aujourd'hui, la reconnaissance est proportionnelle au salaire : si le gars le mérite, ça ne me choque pas.  Après, mon travail consiste à ramener tout le monde dans un projet collectif : je n'ai pas le droit de focaliser sur un mec en particulier. Quand tu fais ce boulot, impossible de te faire aimer des joueurs."

Christophe Galtier dans Le Dauphiné Libéré : "Moi, je veux des gens heureux ! S'il y a des joueurs qui viennent frapper à ma porte pour me dire "je ne suis pas heureux pour telle et telle raison", vu ce qui nous attend dans la seconde partie du championnat, où je demanderai un état d'esprit irréprochable, un état d'esprit commando, j'en ferai part à la direction et ce sera alors aux dirigeants de décider. Aujourd'hui, je n'ai pas le sentiment qu'il y ait ici des gens malheureux. Mais je le répète, je veux des gens heureux."

Dans La Provence, Jean Castaneda revient sur le match nul entre l'ASSE et l'OM, ses deux anciens clubs.

"Alors que Saint-Etienne se trouvait au fond du trou, qu'il était réduit à dix et que l'OM s'est procuré un grand nombre d'occasions, les Olympiens ne sont pas parvenus à l'emporter. Tous mes amis sont dégoûtés par ce résultat.

Sans Mamadou Niang, un joueur capable de faire la différence à tout moment, l'OM traverse des heures plus compliquées. Les Olympiens manquent cruellement de régularité car deux de leurs éléments majeurs, Lucho Gonzalez qui n'est pas à 100 %, et Mamadou Niang, sont absents. Et puis, l'OM ne possède pas le potentiel, ni la profondeur de banc nécessaire pour concurrencer les Bordelais.

Avec les départs à la Coupe d'Afrique des nations (notamment ceux de trois joueurs très importants), cela risque de devenir très compliqué. Sans compter que cette équipe ne dispose pas de solutions de rechange sur le banc. Je pense que l'OM doit recruter au mercato."

Entré en jeu contre l'OM, Sylvain Monsoreau se félicite du changement d'entraîneur dans Le Dauphiné Libéré :

"Je pense qu'il y avait un malaise entre le groupe et Alain Perrin, ce n'est pas un secret de le dire. C'était devenu assez compliqué. C'est bien aujourd'hui de redémarrer quelque chose avec "La Galette", dans un autre état d'esprit, dans un climat plus détendu, plus serein. Ce climat un peu apaisé, c'est ce qu'il fallait pour cette équipe avec beaucoup de jeunes joueurs qui ont besoin d'être en confiance".

Moi qui ai connu quelques clubs, je peux vous dire que les jeunes d'ici, ce sont de bons mecs qui veulent travailler et qui sont encadrés par quelques anciens. Il y a quelque chose de bien à faire ici. Quand on a un tel groupe, un tel public, on s'en veut d'être à cette place, mais on a envie de s'investir pour faire en sorte que la roue tourne enfin dans le bon sens."

D'une magnifique tête plongeante, Nivaldo a marqué hier contre le Sporting Gijon son deuxième but de la saison sous les couleurs de Valladolid : https://www.youtube.com/watch?v=RqjUQ71t0vM. Il remonte à la 11ème place de la Liga après 15 journées.

Pascal Feindouno a inscrit ce dimanche le premier but de la victoire (3-0) d'Al Rayyan contre la lanterne rouge Al Shamal lors de la 11ème journée du championnat qatari. C'est le cinquième but de la saison de l'artiste guinéen.

Mais on s'en contentera vu les dernières prestations des Verts et la physionomie du match d'hier : https://www.youtube.com/watch?v=QQTPUdWw14E

Brossant le portrait du nouvel entraîneur des Verts, la Pravda rappelle aujourd'hui son passé de bad boy de Marseille.  Le 7 avril 2000, à la mi-temps d'un match contre Monaco, Galette avait mis des pains à Marcello Gallardo, blessé à l'oeil droit et à la lèvre. L'incident lui avait côuté six mois de suspension. "Ça marque un homme, ça marque une famille. A l'époque j'étais beaucoup plus fougueux. J'ai pris de l'expérience et beaucoup de recul" expliquait hier l'ancien adjoint d'Alain Perrin.

Ceux qui l'ont côtoyé depuis soulignent son côté jovial. Buisine : "Galette, c'était un phénomène. Quand il était arrivé à Lille, ce qui m'avait frappé, c'était son côté marseillais. Il racontait des anecdotes en permanence."  Casoni : "J'avais confiance en lui. Quand il avait quelque chose à dire, il le disait. Il maîtrisait très bien son rôle d'adjoint et avait un excellent relationnel avec les joueurs." Laslandes : "Galette mettait de la bonne humeur dans le vestiaire,   il avait toujours les bons mots pour ceux qui en avaient besoin."

Christophe Galtier compte sur le climat glacial pour battre son ancien club ce soir. "Je serais menteur de dire que ça va nous désavantager. Si le terrain se dégrade, qu'il gèle au fur et à mesure du match, les valeurs se nivelleront, l'aspect physique et le mental seront alors très importants."

D'un coup de tête rageur à la 92ème minute, Carl Medjani a marqué le but de la victoire (2-1) d'Ajaccio contre Nantes ce soir lors de 18ème journée de L2. C'est la première fois que l'ancien espoir stéphanois trouve le chemin des filets cette saison. Les Corses en profitent pour remonter à la 12ème place.

Habituellement ambitieux et sûr de lui en interview, Didier Zokora nous l'a joué (guy) modeste hier dans le quotidien ivoirien Le Temps.

"Nous ne sommes peut-être pas les meilleurs comme on tente de le faire croire. On est sûrement surestimé par les gens. Sur le papier, on a une très belle équipe. Toutefois, on n'a encore rien gagné. Pourtant dans le football, on ne retient que le nom des vainqueurs. C'est le palmarès qui est le plus important. C'est vrai que les gens pensent que nous sommes les meilleurs en Afrique, mais si on ne gagne rien, cela ne servira à rien.  Et si les gens nous surestimaient ? Est-ce que le fait que les observateurs croient énormément en nous ne nous rend pas aussi prétentieux et suffisants par moments ?  La Can, il faut qu'on la remporte. Elle sonne un peu, avec le Mondial 2010, comme la dernière chance de notre génération de remporter enfin un titre majeur. La Can et le Mondial 2010 seront peut-être les deux dernières compétitions majeures de certains parmi nous qui allons bientôt entrer dans la trentaine. Lors de notre première participation à la Coupe du monde en 2006, nous avons déjà affronté de grandes équipes comme l'Argentine et les Pays-Bas. On n'avait pas été du tout ridicule. Ces oppositions nous ont apporté beaucoup de maturité. On se servira de cette expérience pour aller cette fois plus loin au Mondial 2010. Avec notre potentiel, on reste capable de tout." 

Ce midi auront lieu les tirages au sort des 1/8èmes de finale de la C1 et des 1/16èmes de finale de la C3.

Au regard des clubs encore en lice, nous avons de quoi rétrospectivement bomber le torse en repensant à notre parcours de l'an dernier.

En effet des 7 adversaires rencontrés, 6 sont encore en lice (seul Rosenborg n'est plus en course en Coupe d'Europe cette saison).

L'Hapoel Tel Aviv (premier de sa poule devant Hambourg), Valence (premier de sa poule devant Lille), Brême (premier de sa poule), Bruges (deuxième de sa poule devant Toulouse), Copenhague (deuxième de sa poule derrière le PSV) sont présents en C3.

L'Olympiakos est lui présent en C1.

Rappelons qu'en 12 matchs contre toutes ces équipes l'an dernier, l'ASSE ne s'était inclinée qu'une fois.

Un peu de baume au coeur par les temps qui courent, on prend non ?

Capitaine de l'OGC Nice, Julien Sablé en appelle à la révolte aujourd'hui dans Nice-Matin. Un discours destiné aux seuls Aiglons ?

"Il faut revoir les bases, c'est-à-dire l'état d'esprit. Nous étions parvenus à corriger cela, mais nous avons rechuté. Nous devons jouer davantage en bloc (...) Nous n'avons pas un jeu assez léché pour construire des occasions. Ni même se les procurer ! Les absents ont toujours raison ! (sic) Sur ce coup-là, elles sont préjudiciables, mais nous possédons un groupe de joueurs qui ont envie de se montrer (...) Mais avec moins d'absences, je pense que ça aurait été pareil.

Nous avons fourni des bonnes prestations (...) et nous n'avons pas été récompensés. Cela a cassé notre bonne dynamique. La réussite nous fuit également, alors on gamberge. Mentalement, tout cela fait mal. Le mental et la confiance sont si importants ! Nous devons retrouver de la simplicité. Collectivement. Car, individuellement, on ne pourra pas s'en sortir ! Il faut qu'on arrive à donner un coup de collier. Il est impératif de stopper cette spirale de défaites. Nous devons faire le dos rond jusqu'à la trêve en fournissant les efforts collectifs nécessaires. Nous avons la tête dans le guidon désormais. Il faut retrouver des valeurs morales."

Fabien Debec (33 ans) s'est engagé le 8 décembre avec l'US Langueux, club costarmoricain évoluant en DH. "J'ai signé là-bas pour garder une certaine forme physique. Ensuite, à la fin de saison, je serai à l'écoute d'un éventuel poste d'entraîneur libre, peut-être tout d'abord en tant que spécifique gardien puis ensuite m'occuper d'une formation de jeunes avant de voir dans un avenir plus lointain ce qui est possible de faire avec les seniors." (site de la FFF)

Doublure de Jérémie Janot lors de la saison 2003-2004,  Fabien Debec était cette semaine à Clairefontaine pour participer à la première séance de formation pour les candidats au Certificat d'Entraîneur de gardiens de but.

Le tirage au sort des 64èmes de finale de la Coupe Gambardella eu lieu aujourd'hui au siège de la FFF : les U19 de l'ASSE se déplaceront à Clermont-Ferrand le 10 janvier prochain.

La réaction d'Abdel Bouhazama : "C'est un tirage difficile mais ça aurait pu être pire, on était dans le même chapeau que Lyon et Montpellier. On a gagné à Clermont 4-1 lors de la deuxième journée du championnat (doublé de Chaouki, buts de Mahaya et Mayi). Mais je me souviens que cette équipe nous avait posé des problèmes quand elle est revenue à 2-1. On s'est mis à l'abri seulement en fin de match. Clermont est mal classé en championnat [ndlr : le club auvergnat est avant-dernier alors que l'ASSE est 3ème] mais il faut se méfier de cette équipe. Elle n'a jamis pris de râclée, elle s'incline souvent par un voire deux buts d'écart. Clermont a une formation athlétique et combative, avec un esprit rugby.

La coupe Gambardella ne nous a pas réussi ces dernières années. L'an dernier, on a fait partie des mauvaises surprises en s'inclinant à Moulins. L'attitude de certains garçons m'avaient irrité. Il ne faut pas être suffisant ou trop facile quand on affronte une équipe évoluant à l'échelon inférieur. J'espère qu'on va réussir un beau parcours cette saison. Les dirigeants n'ont pas fixé d'objectif précis mais cette compétition nous tient à coeur. La coupe Gambardella est réputée, elle fait parler des jeunes et de la formation."

Aux p'tits Verts de ne pas rater leur entrée en lice, sinon... https://www.youtube.com/watch?v=Yd1zQldizuo

Comme chaque club pro, l'ASSE a transmis à la DNCG des informations sur sa situation financière. Il appert que le club a budgétisé 67 M€ pour la saison 2009/2010 en se fondant sur une dixième place en championnat. Quand on connaît l'importance du classement sur les droits TV, Galtier a du pain sur la planche...

Sur les 21 M€ que l'ASSE comptait percevoir au titre des transferts (merci Bafé !), seuls 16 M€ ont été réalisés. Le reliquat devra l'être fin juin pour atteindre l'équilibre. VTC priera pour que les vilains soient champions (+1 M€) et atteignent les quarts de finale de la ligue des chamions (+1 M€). Il sera content si les gros salaires en fin de contrat (Ilan, Tavlaridis, Dabo) lèvent le doigt pour partir. En effet, l'ASSE compte une masse salariale de 29 M€ alors qu'elle en budgétisé 21 !

Le site officiel du  Dynamo de Kiev a aujourd'hui confirmé le départ de défenseur sénégalais Pape Diakhaté. Le joueur, âgé de 25 ans et qui a rejoint le club urkrainien en juillet 2007, passera le reste de la saison 2009/2010 à Saint-Etienne. Le prêt est assorti d'une option d'achat (dont le montant exact n'a pas encore filtré). 

Après Bayal et N'Daw, Pape Diakhaté (25 ans), qui aurait donné son accord pour rejoindre l'ASSE serait le 3ème défenseur central sénégalais de notre effectif.

Blessé gravement au genou en février 2009, il est rétabli mais a perdu sa place au Dynamo Kiev après deux saisons pleines.

Celui qui fut le pilier de la défense centrale nancéenne avec l'ex-futur vert Puygrenier anime depuis 6 mois la rubrique transferts. Après avoir fait en vain des appels du pied à Bordeaux en juillet ("ce ne serait que du bonheur de jouer aux Girondins") puis failli signer à Marseille ("j'avais trouvé un accord avec Marseille") avant que l'OM renonce face aux 9M€ demandés, il avait été évoqué du côté de Nice dernièrement.

Son tour de France virtuel pourrait donc se terminer à Sainté, club désormais réputé pour remettre en état les mous du genou...

Le titre Les Verts Brisés barre la une du France Foot à paraître demain.

Si la Pravda et son très lyonnais Duluc fait tout pour ne pas évoquer Sainté, comme souvent quand la crise est là, France Foot braque ses projos sur le Chaudron.

Frédéric Piquionne a marqué ce soir le but égalisateur de Portsmouth à Stamford Bridge contre les Blues de Chelsea : https://www.youtube.com/watch?v=j7myW6FsI5Y.

Mais l'ancien esclave stéphanois n'a pas pu empêcher la lanterne rouge Portsmouth de concéder sa 12ème défaite en 17 matches de championnat !

Séquence émotion aujourd'hui lors de la conférence de presse intronisant Christophe Galtier : http://video.lequipe.fr/video/iLyROoafIhrK.html

Le qualifiant d'"incompétent notoire", l'ancien sélectionneur de l'équipe de Guinée Robert Nouzaret tacle sévèrement son éphémère successeur Titi Camara dans le supplément Afrique du dernier numéro de So Foot.

"Depuis 2006, il est dans les pattes de tout le monde, et surtout dans les miennes. Un jour, je me rends dans le bureau d'un ministre des sports. Je me retourne et je vois Titi Camara. Je lui-dis : mais qu'est-ce que tu fous là, toi ! T'as rien à foutre ici. Tu sors d'une pochette surprise et tu te crois en place ?"

Le quotidien sportif argentin Olé a annoncé hier que Daniel Bilos a mis un terme à sa carrière. Si son club Banfield vient de remporter le championnat d'ouverture argentin, l'ancien attaquant stéphanois n'a pas disputé le moindre match car il a le genou en capilotade.

Adios Bilos, que ton esprit plane samedi à GG ! https://www.youtube.com/watch?v=TWmDWQ0dx28

Communiqué officiel de l'ASSE publié aujourd'hui à 13h00 sur le site officiel du club :

"L’entraîneur de l’AS Saint-Etienne Alain PERRIN et le préparateur physique Christian JAHAN ont été déchargés de leurs fonctions à compter d’aujourd’hui mardi 15 décembre 2009.


Christophe GALTIER a accepté de prendre en charge l’équipe professionnelle.

Thierry COTTE sera lui en charge de la préparation physique.


Une conférence de presse se tiendra demain mercredi 16 décembre à 12h00 au Centre d’Entraînement de L’Etrat en présence des dirigeants stéphanois et de Christophe GALTIER.


L’entraînement d’aujourd’hui mardi 15 décembre se déroulera à huis-clos."

Dans Le Parisien du jour, on apprend pourquoi l'ASSE a posé une réserve avant le match contre Paris au sujet de l'âge et de l'identité d'Apoula Edel.

"Si les responsables stéphanois ont agi ainsi, c’est qu’ils ont reçu de la part d’un certain Nicolas Philibert un Français ayant entraîné en Afrique des informations selon lesquelles l’âge et l’identité du Parisien ne seraient pas exacts. Philibert connaît Edel qu’il aurait placé en Arménie en 2002. Là-bas, le portier aurait été contraint de jouer pour la sélection nationale. En 2004, Philibert, qui n’a aucune licence d’agent, aurait aussi permis au joueur de faire des essais en France (PSG, Bordeaux et l’OM), avant que leurs relations de travail ne se terminent mal. Aujourd’hui, Nicolas Philibert tenterait donc de se venger en faisant chanter son ancien protégé.

La semaine dernière, Michel Hidalgo, intime de Nicolas Philibert, appelle ainsi Alain Roche pour le prévenir que son ami fera des révélations sur Edel si ce dernier ne lui verse pas les 30 000 € qu’il lui doit au titre de leur collaboration passée. « C’est du chantage, rétorque alors Roche à Hidalgo. Ne te mêle pas de ça ! Tu ne peux pas cautionner ce genre de choses. » Devant le refus du joueur et du club de céder, Philibert passe à l’acte et « balance » ses « informations » aux dirigeants stéphanois."

Selon la Pravda du jour, la tendance serait au licenciement de Perrin dès cette semaine. Comme le veut désormais la coutume, le nom de Luis Fernandez, éternel favori de Caïazzo, est évoqué pour le remplacer.

Rappelons que Romeyer et Tong Cuong ont toujours été opposés à la venue du plus grand "malmeneur" de langue française des ondes.

Ancien milieu de terrain de l'ASSE (1985-1986) et de l'OM (1990-1991), le grand Bernard Pardo a parlé à La Provence des problèmes offensifs phocéens.

"Niang, c'est l'élément incontournable de l'OM. Il a beaucoup d'influence, il respire la joie de vivre, il marque beaucoup de buts. Et techniquement, il est très bon. C'est vraiment le symbole de cette équipe. C'est un garçon hyper-généreux. C'est difficile de se passer de lui.

Brandao est un gros travailleur, mais il faudrait que quelqu'un lui tourne autour. Lorsqu'il est arrivé, on avait dressé un portrait de Brandao qui, peut-être, était faussé parce qu'il évoluait dans le meilleur club d'Ukraine, dans un championnat qui est faible, et où on peut marquer beaucoup de buts. Et maintenant, on s'aperçoit qu'il n'a pas le profil d'un véritable buteur.

Morientes, je pense que c'est fini. Dans sa tête, il ne doit plus trop y être, et physiquement, je ne crois pas qu'il ait 90 minutes dans les jambes. Il a essayé de se relancer, mais c'est sans doute trop tard.

Ben Harfa reste une énigme... C'est vraiment un éternel espoir, et vous savez, dans ce cas-là ce qu'on dit des "éternels espoirs"! Je ne le sens pas concerné. A notre époque, on lui aurait fait du bien dans la mesure où on aurait été beaucoup moins cléments avec lui. On l'aurait remué pour son bien. Aujourd'hui, les joueurs sont vachement livrés à eux-mêmes. Il n'y a plus de "grand frère" comme on en connaissait à l'époque. On était plus intransigeants, on se tirait tous vers le haut et si on ne le faisait pas, on prenait vite un coup de pied !"

Sylvain Meslien s'est rappelé à notre bon souvenir dimanche. Désormais à Colmar (CFA) après des passages à Troyes, Swansea et Pau, il vit une saison pleine.

Leader de son groupe et donc idéalement placé pour monter en National, Colmar s'est en effet qualifié pour les 1/32èmes de finale de la Coupe en sortant Metz (2-2, 4 pénals à 2).

A 28 ans, Meslien regoûtera au moins provisoirement à la L1, Colmar affrontant Lille au prochain tour.

Averti à Lille, N'Daw a gagné le droit de partir en vacances avant tout le monde. Il sera en effet suspendu pour le déplacement à Lens. L'occasion pour notre Géo Trouve(pas)tout du banc de tenter une nouvelle expérience en défense... Peut-être verra-t-on Monsoreau à Bollaert ?

Les prochains suspendus potentiels sont Varrault, Landrin et Gelson, tous les trois à un jaune de la sanction fatidique.