baggio42 a écrit : ↑15 août 2024, 17:11
Robert-Denis Rault a écrit : ↑15 août 2024, 14:33
baggio42 a écrit : ↑15 août 2024, 11:50
forezien73 a écrit : ↑15 août 2024, 11:46
baggio42 a écrit : ↑15 août 2024, 11:40
forezien73 a écrit : ↑15 août 2024, 11:11
greenw42 a écrit : ↑15 août 2024, 11:06
Si on recherche réellement 2 nouveaux attaquants :
-Un jeune (Barry ?)
-Un vieux sans doute libre
comme ce que dit FootMercato (qui est bien fiable depuis 2 ans) ça voudrait dire que Sissoko ou Wadji pourrait partir mais y a 0 rumeur sur ça.
Je vois mal le club garder 4 buteurs dans le groupe cette saison + Othman mais il peut partir lui aussi en prêt
Othman en prêt c'est probable et souhaitable même.
Wadji, c'est compliqué.... personne ne prendra un risque avec lui... il est au club et le seul objectif c'est qu'il puisse rejouer sans se blesser
Donc on tomberait à 3. Sissoko va, je pense et j'espère, rester.
Pourquoi Othman ne rentrerait pas dans la rotation ?
Pour moi, un prêt permet de relancer un joueur en difficulté ou bien barré par la concurrence.
Othman fait une très belle préparation avec des buts.
Donnons lui sa chance !
Parce ce que l'on s'orienterait vers 2 recrutements. Compliqué dans ce cas.
Il est très jeune et doit jouer. Donc si la rotation se résume à peau de chagrin sur 2024-2025, vaut mieux un prêt.
Mais je suis d'accord que si on fait un seul attaquant, il doit rester.
Il fait en effet une très bonne prepa et j'aime bcp. Il est adroit.
Mon approche est la suivante.
On forme des joueurs pour les faire jouer, non ?
Et éventuellement les revendre derrière.
Bien sûr, il faut qu'ils aient des qualités.
Othman rentre dans cette stratégie.
Plutôt que d'aller chercher, par data
, un illustre inconnu...
Je trouve ce propos contradictoire, Baggio. Si tu prends la data comme base de travail, le joueur recruté sera tout sauf un inconnu. Pour le supporter peut-être, mais pas pour le recruteur. Utilisée sérieusement, la data s'accompagne de toute une phase de supervision et l'évaluation humaine reste primordiale.
Il est sûr que si cela ne consiste qu'à piocher dans une liste, l'efficacité de la data sera restreinte et superficielle. Mais là, je crois qu'on a quand même en Jaeson Rosenfeld un spécialiste expérimenté qui a dû tirer toutes les leçons de ces années à travailler dans le domaine. De toutes les façons, la data ne sera que peu utile par définition pour dénicher un illustre "connu" sur qui tout le monde se positionne.
Rien ne vaut le contact humain.
Cerner le caractère du joueur.
Sa vie. Sa famille.
Ses points faibles et forts psychologiquement.
Est-ce que la Data prend en compte ces données.
C'était le sens de mon intervention.
Sinon, bien sûr, en phase avec tes propos.
Tout d'abord, je pense que la data d'une manière où d'une autre doit sûrement inclure des informations qui doivent permettre d'évaluer le profil humain du joueur (situation civile, enfants, langues parlées, nb de cartons pour contestation, expérience dans le championnat, expérience de transferts, % de titularisations, capitanat, ..), à mon avis il y a plein de facteurs que l'on peut faire parler sur le plan de la mentalité et de l'adaptabilité. De même sur l'hygiène de vie, la rémunération etc. Je pense que c'est très très loin de se limiter aux stats de matchs.
Ensuite, je ne crois pas une seconde que tout se base sur la data uniquement. La data a deux grands rôles à mon sens. Le premier c'est d'objectiver l'analyse d'un profil qui a pu être détecté ou proposé par d'autres voies que l'outil, plus traditionnelles, afin de rationaliser un investissement. Dans la même idée, faire une veille sur l'évolution de joueurs ciblés, de joueurs du centres ou de joueurs de l'effectif, objectiver les axes de progression, donner des clés supplémentaires au staff.
Et le deuxième rôle qui est le plus puissant je pense, est de faire ressortir des profils du monde entier par la donnée et d'investir le temps des scouts et des négociateurs sur une base deja filtrée qui doit maximiser l'efficacité du processus de détection. Et c'est à ce moment que l'aspect humain va être creusé par l'approche des entourages car je pense que les deux vont de pair et ne se substituent pas.
Le seul reproche que l'on pourrait faire, ce serait que la data ne permettrai pas de détecter certains potentiels atypiques. Mais je ne suis pas sûr de cela, car si le joueur est performant cela ressortira dans les chiffres. Je pense même au contraire que des cas emblématiques comme celui de Griezmann seraient plus servis par la data qui valoriserait en chiffres ses actions clés, plutôt que l'observateur humain qui a pu s'arrêter sur sa puissance physique.