Sur la vente, heureusement que Caiazzo avait des réseaux.
Parce que inviter ou répondre à une invitation, il faut connaître ou bien se faire connaître....
Roro n'a aucun réseau sorti des frontières du 42/43.
DNCG
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Re: DNCG
Pour moi tout le mérite en revient à Gazidis.Punky a écrit : ↑Aujourd’hui, 18:04Pourquoi parles-tu de mauvaises foi ? C'est pourtant factuel : Caiazzo s'est déplacé une fois au Canada et une fois aux Etats-Unis, afin de rencontrer et échanger avec Tanenbaum. Il a créé un lien de confiance avec lui et malgré tous les reproches (et il y en a !) que nous pouvons lui faire, il a œuvré et a participé activement à la vente du club. Que je sache, Romeyer n'a jamais rencontré physiquement Tanenbaum (et heureusement d'ailleursFaiseur de Tresses a écrit : ↑Aujourd’hui, 15:43Enfin, maintenant il vient nous emmerder ici.vertluisant74 a écrit : ↑Aujourd’hui, 14:43Ca on ne peut pas le nier. Avec Romeyer, on aurait eu le boucher associé au fleuriste de Pont Salomon.Jean Sans Terre a écrit : ↑Aujourd’hui, 14:22Caïazzo a quand même forcé la main de Romeyer pour qu'il vende et a fait à peu près tout le boulot.Punky a écrit : ↑Aujourd’hui, 14:20Nanard a effectivement été invité deux fois par Larry (à Toronto, où ils ont assisté à un match de basket ensemble puis à Miami) et a donc participé de manière active aux négociations. Pourquoi nier ce point ? Après, c'est Wenger qui a conseillé au départ à notre actuel boss de s'intéresser aux verts.Faiseur de Tresses a écrit : ↑Aujourd’hui, 13:23Absolument pas, il ne nos a rendu aucun service et ne vaut pas mieux que Romeyer. C'est Tannenbaum qui l'a invité, pas l'inverse.supportasse a écrit : ↑Aujourd’hui, 10:00 Il est sûr que nous avons été vendus et rachetés, au moment où il le fallait. Et ça Zozo, nous a rendu un fier service
Mais quel soulagement de ne plus l’avoir dans les pattes celui là
Pour Caïazzo faut pas se leurrer, ça l'arrangeait que le club soit en vente pour justifier ses petits fours avec des riches et "puissants" à droite et à gauche, mais pas que le club soit effectivement vendu. S'il a fini lui aussi par céder, c'est soit que l'offre était trop belle pour être refusée, soit que sa situation personnelle avait changé (il ne vivait plus à Dubaï mais au Brésil, par exemple) et que les dernières résistances dans son entourage n'étaient plus là, soit les deux. Et c'est pareil pour Romeyer, Caïazzo n'aurait jamais pu lui "forcer la main", c'est l'offre elle-même qui l'aura fait céder (rappelons qu'il a fait la fête à la Rolanderie quand le deal a été signé).
Dire que c'est l'un plutôt que l'autre, c'est au mieux du mauvais story-telling, au pire de la mauvaise foi. D'autant que c'est pas eux qui ont directement œuvré à la rédaction des documents, eux auront surtout eu à signer, ce sont des "petites mains" qui se seront chargé de la majeure partie du boulot.).
Après et là je te rejoins là-dessus, il est évident que le duo avait des intérêts communs et l'obligation de céder le club. Ils ne pouvaient semble-t-il plus se voir en peinture, mais ils ont réussi à s'entendre pour vendre le club à un repreneur de qualité. Nous pouvons quand même leur reconnaître ce mérite.![]()

"C’est la même logique qui pousse à l’exploitation sexuelle des enfants (...), de celui qui dit : ‛Laissons les forces invisibles du marché réguler l’économie' (...), du 'utilise et jette', qui engendre tant de résidus (...)."
François
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