Quel club performant en L1 a un directeur général loin du quotidien du club ?Wert a écrit : ↑11 févr. 2025, 11:07
Il n'y a pas de recettes miracles pour un organigramme. Et l'incarnation, ce n'est pas seulement au quotidien. Beaucoup d'entreprises maintenant fonctionnent en réalité sans, ont des organigrammes plus horizontaux et les font vivre avec des la distance.
Je pense que le pouvoir est justement incarné par Gazidis qui vient régulièrement mais se protège aussi en étant justement loin du quotidien (d'ailleurs, aucune critique ne va sur Larry, ni sur Fahmy, mais toutes sur Gazidis ce qui est la meilleur preuve qu'il incarne dans vos esprits critiques).
Dans des processus complexes les phases d'immersion et de distance sont me semblent plutôt une bonne chose, notamment quand pour diagnostiquer une organisation pour la restructurer. Couraniaud a je crois parfaitement raison sur ça. La présence et les dossiers c'est Fahmy. Il relaie à Gaizidis qui tranchera. Fahmy est l'oeil de Gazidis. Ils se protègent mutuellement. Fahmy préserve la distance de Gazidis et Gazidis protège Fahny du poids et d l'incarnation des décisions.
Quand il a fallut descendre sur le terrain pour virer ODO et introniser Horneland c'est Gazidis qui l'a fait. Il a assumé et personne ne va culpabiliser Fahmy du poids de la décision. C'est un travail d'équipe.
Pour l'instant la parole c'est Gazidis (malgré la distance), et je suis d'accord par contre qu'il devrait la reprendre pour expliquer le mercato et donner un peu de perspectives. (même si soyons clairs, ça n'éviterait pas les interprétations négatives)¡
Le pouvoir est incarné par Gazidis car c'est lui qui est présenté comme celui le détenant. Si c'était Fahmy, les questions et les regards iraient vers Fahmy (et les critiques avec, donc). On savait que Tannenbaum n'en était que le portefeuille, et qu'il ne prendrait pas part à la vie du club.