La priorité c'est travailler le bloc équipe qui doit reculer un peu et se resserrer. Plus que de changement de joueurs, c'est un changement de positionnement et de discipline tactique que j'attend.Toubibarnotoubib a écrit : ↑27 sept. 2024, 08:42Merci de ton retour détaillé confrère.Dr.Makaveli a écrit : ↑27 sept. 2024, 06:05 En phase avec toi confrère dans l'ensemble avec quelques nuances.
- Abdelhamid, la logique aurait voulu qu'il transmette et performe de suite pour amener un gage de légitimité déjà par la performance puis de passer le flambeau ensuite, une fois stabilisé. Là ça pourrait être dès Dimanche, sans pour autant le condamner car il aura certainement ses chances d'ici la mi-saison. Il a des responsabilités sur divers buts, c'est pas le seul mais si la concurrence est saine alors elle doit jouer. (Partout)
- Pour Pétrot, logique également, c'est le seul latéral potentiel restant avec Appiah. N'zuzi devrait donc être du voyage pour doubler les deux.
(Et bravo Léo au passage, très pro, lui qui était revenu pour jouer dans l'axe à la base)
- Ekwah et Moueffek doivent être associés, c'est par eux que ça passera notamment pour la réaction attendue et si on veut ramener un résultat de la Beaujoire. (L'intensité, la densité, le liant, les duels, les 2nds ballons, la projection etc) Quid du 3ème ? Avantage Mouton perso sur ce match.
- Old sur l'aile gauche oui pourquoi pas mais j'aimerais bien le voir sur l'aile droite aussi, pour pouvoir amener la solution du faux pied.
(En 8, il peut mais semble perdu tactiquement, les repères de la zone qui change. Idem pour Davitashvili par la même occasion pour les 2 cas)
- Pour le coach, ce n'est peut-être pas se désavouer mais sans l'effectif complet c'est - déjà - l'heure des choix. Il pourrait très bien aligner la même équipe que ça s'expliquerait aussi - aspect mental, les égos - mais on aura un changement minimum je pense, en plus de Cornud donc.
- Pour conclure par la Capitanat, si Yunis joue, il gardera sûrement le brassard sinon ça serait un choix fort. (S'il ne joue pas Moueffek ou Pétrot)
Je suis d'accord aussi sur le fait que l'une des clefs qui permettra à l'équipe de s'en sortir sera l'application d'une concurrence saine dans tous les secteurs. Que ce soit dans le cas de Yunis Abdelhamid, de Cafaro, de Davitashvili, et d'autres, il me semble que ce n'est pour l'instant pas le cas.
A mon sens, Nadé doit avoir sa chance à la place de Yunis et Old à la place de Cafaro par exemple.
Tout comme Mouton, Tardieu ou Bouchouari pourraient prétendre à jouer un peu plus alors qu'Amougou a fait tous les matchs en tant que titulaire.
Le problème d'un coach, à mon sens, est aussi de savoir mettre les joueurs face à leurs responsabilités et de leur montrer que leur place se mérite, de justement jouer sur les égos pour faire jouer la concurrence. Tant mieux s'il heurte quelques sensibilités, de toute façon les heures d'ODO sont comptées donc autant jouer cartes sur table.
Que tu mettes Pétrot ou Cornud, s'il se trouve seul devant deux ou trois joueurs adversaires lancé à pleine vitesse, il prendront des courants d'air.
Pétrot justement, je ne le vois pas capitaine. Il n'est pas titulaire indiscutable pour moi et le capitanat ne peut se balader de match en match. Moueffek, je pense qu'il est un peu trop jeune pour cela. On laisse beaucoup d'énergie quand on est capitaine et je ne pense pas que ce soit un service à lui rendre. Je préfère qu'il se concentre sur son jeu qui est déja assez énergivore.
Pour moi, si Yunis devait sortir (je ne le souhaite pas car je pense que le mal était collectif et que la réponse doit être collective justement), je pense que le capitaine devrait être Larso.
SI changement, il devrait y avoir, j'aimerais voir Boakye (si possible à un poste où il soit à l'aise). J'aimerais aussi que Mouton trouve du temps de jeu pour la continuité de ses bonnes performances en préparation.
Et vous êtes déjà là à dire "je ne regarderai pas le match", "début de saison catastrophique" (on a 3 points là où c'était dur d'en attendre raisonnablement plus de 4 ou 5 vu les adversaires affrontés), "le mal est déjà fait" 
