Wert a écrit : ↑23 mai 2024, 16:25
VERT17 a écrit : ↑23 mai 2024, 15:58
Wert a écrit : ↑23 mai 2024, 12:07
speedpop a écrit : ↑23 mai 2024, 11:47
Entre les lignes on comprend surtout que c'est un tremplin de Gazidis pour se faire du fric et rebondir dans 3 ans ailleurs
Alors, nous qui sortons de 20 ans d'incompétence notoires, profitons de ces années, qui espérons le remettront le club sur l'échiquier du foot national et européen.
PS A mon avis ce sera plus que 3 ans. On part sur un cycle de minimum 5 ans tant on part de loin.
Si , il y avait eu 20 ans d'incompétence, Tu peux être sur que Kilmer ne se serait même pas penché sur le dossier du club...
On t a déja expliqué, plusieurs fois, avec tous les mots et les formes, possibles que si Kilmer achète ce club c'est parce que Romeyer a transformé un potentiel sportif et économique de Champions League (nous) en un club de National (prix auquel à été acheté le Red Star) ....
Je sais que c'est dur pour vous de le comprendre, mais ça a été argumenté ici même de manière irréfutable.
VERT17 fait typiquement ce que fait RR en détournant les faits pour s’approprier tout le crédit.
Je copie un potin du 4 Mai qui est très parlant car on y voit tout « l’art » de RR :
"Comment l’ASSE a-t-elle opéré ce redressement ? Tout s’est joué avant même la fin du match contre Guingamp. Roland
Romeyer décide de se séparer de l’entraîneur Laurent Battles. Au-delà des défaites, il ne le supporte tout simplement plus. Lui reprochant notamment une attitude trop terne sur le banc de touche. Ou d’inhiber un de ses chouchous, le défenseur Michael Nadé, en levant les bras au ciel dès qu’il effectue une passe.
Tant pis pour les finances en souffrance du club, Battles est débarqué. Reste à lui trouver un successeur. Romeyer pense l’avoir trouvé avec Frédéric Antonetti qui avait fait remonter l’ASSE en 2004. Mais le Corse, d’accord sur le principe, refuse pour une seule raison : la présence au club du coactionnaire Bernard Caïazzo, à qui il reproche de l’avoir fait éjecter du club il y a vingt ans et à qui il voue une inimitié féroce.
Romeyer, qui a reçu une vingtaine de candidatures, contacte alors trois hommes : deux libres, Olivier Dall’Oglio et Sabri Lamouchi et un en poste au PSG, Zoumana Camara, qui s’occupe des U 19. Camara, formé à Saint-Étienne, souhaite venir car il ambitionne de prendre rapidement les rênes d’une équipe professionnelle.
Mais en un seul rendez-vous, Dall’Oglio rafle la mise auprès de Romeyer. D’autant plus qu’il accepte de ne s’engager que pour six mois, avec seulement une année supplémentaire automatique en cas de montée.
"C’est simple, on est passés d’un directeur de pompes funèbres à un type souriant et positif", s’amuse un proche du vestiaire. "Et cela a suffi." Olivier Dall'Oglio, qui a convaincu son ancien joeuur brestois irvin Cardona devenir en renfort. Il sait que techniquement, il ne dirige pas des cadors et que dans son effectif, excepté Gautier Larsonneur, ses hommes n’ont pas tous le niveau pour évoluer en Ligue 1. Néanmoins, le nouveau coach stéphanois va mettre près de six semaines à combler les failles mentales de son groupe."
Comme on le voit, il a fait du RR. Tu prends des faits positifs, et tu dis à qui veux l’entendre que tout vient de toi.