Bah déjà, sur la région parisienne, c'est absolument impossible de trouver un kebab qui utilise des vrais pains à kebab au lieu de l'espèce de baguette courte molle et dégueulasse qu'on trouve partout. Si t'as de la chance, tu pourras tomber sur un qui utilise des pita (Copain dans le 5ème fait ça, l'un des rares à tenir la route) mais c'est déjà pas très courant. Et la viande bordel, personne sait épicer la viande à Paris, c'est une honte. Dans ma banlieue j'avais des kebabs dans à peu près toutes les directions dans un rayon de 10 minutes autour de chez moi, pas un seul était correct. Quand t'es habitué aux kebabs de Sainté (ou de Lyon, ou de Strasbourg, ou de Bruxelles, ou de n'importe quelle ville où t'as une communauté turque bien implantée qui a forcé le marché local à proposer de la qualité), ça donne envie de se pendre.___ a écrit : ↑30 nov. 2022, 07:21Y en a un pile à côté de chez moi. Après, je ne suis pas un puriste, et je me contente peut-être de peuFriteuse a écrit : ↑30 nov. 2022, 00:38Spot à kebab favori ? Sur Paname ? En trois ans là-bas j'ai dû en trouver un ou deux corrects, t'as du courage.___ a écrit : ↑29 nov. 2022, 20:16Bouh le faibleTryphôn a écrit : ↑29 nov. 2022, 20:07 Revenons au sujet...
Bon les boycotteurs, parlons de l'intensité et de l'inconditionnalité de votre boycott. Sans jugement, hein, on est entre nous, on ne se comporte pas comme de vulgaires suiveurs...Bref, juste pour partager et se comprendre.
Dans mon cas, ma ligne directrice était boycott intégral et exception pour la finale. Je crois que je vais être un peu emmerdé en cas d'affiches sexy pour la France dans les matchs à élimination directe![]()
J'envisage un assouplissement pour me permettre demi de la France (le cas échéant) et finale quelque soit l'affiche. Après, il ne faudrait pas avoir un France-Brésil en quarts !
Sinon, j'en reste à 0 minutes de Mondial à ce jour.![]()
Bon, moi, je dois à être environ à 15' en cumulé. Mon spot à Euromillions et mon kebab favoris passent tous les matches. Ça occupe pendant l'attente![]()
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Pour l'anecdote, mes six derniers mois en région parisienne, j'ai juré de ne plus en manger un seul tellement je les trouvais immondes. J'ai craqué deux fois : le lendemain d'une soirée très tardive et... le soir de la relégation, parce que ça reste mieux que des lentilles comme bouffe de réconfort.
