Je suis d'accord avec NomDeStade sur la première partie de son analyse : les dirigeants ont pensé que la vente était faite. Un préaccord complet avait été cautionné par les deux parties, avec une valeur d'achat, et tenant compte des deux scénarios, L1 ou L2.NomDeStade a écrit : ↑13 août 2022, 10:02Inconnuvert tu te fais du mal pour rien. Nos dirigeants étaient persuadés de vendre, ils ne s'attendaient pas à ce que Blitzer soit lucide et décide de ne pas faire d'offre au final (vu l'ensemble des circonstances)Pierre-Alex a écrit : ↑13 août 2022, 09:45Il a donné un itw au progrès il y a quelques semaines. Questions bien choisies par le clan Romeyer, de toute façon ça devait être le deal pour faire l'Itw...clements a écrit : ↑13 août 2022, 09:34Je pense que les journalistes ils existeraient (et encore, pas ceux qui sont à sa solde), le problème c'est surtout qu'officiellement il ne s'exprime plus depuis bien longtemps.inconnuvert a écrit : ↑13 août 2022, 08:47 Putin mais il n'y a pas un journaliste pour lui demander : c'est quoi la nouvelle importante que vous aviez promis après Auxerre.
La dernière conférence de presse c'est quand il débarque Printant non ?
Suite à son passage au club et dans la data room, Blitzer a revu drastiquement son offre à la baisse.
Pourquoi ? L'article du Monde sur Markarian nous montre qu'il n'y a pas de cadavres dans le placard. A mon avis, Blitzer n'a pas découvert d'éléments l'ayant amené à revoir son offre, mais ce sont plutôt les circonstances qui l'y ont poussé. En particulier le chaos lors de la dernière journée et ses suites : des éléments d'incertitudes pour un acheteur, et par ailleurs, Blitzer a du penser que les dirigeants étaient aux abois, soumis à une pression telle qu'elle les obligeait à vendre, surtout qu'ils ont commis l'erreur de déclarer publiquement par leur communiqué que la vente était faite.
Dans ces conditions Blitzer, qui lui n'a pas la pression pour acheter, a tenté le coup de poker de proposer un prix très bas. L'exemple d'Angers que je met en dessous (article du Monde du 6 aout) montre qu'actuellement il y a divers fonds US qui tentent des coups dans le foot, comme ils l'ont faillent auparavant dans d'autres secteurs de l'économie, avec pour unique objectif de faire du fric sans que l'avenir du club ne les soucie le moins du monde.


