euh même pas le joueur qui a pété un plomb, mais son bip d'agent.
après oui peut-être que ruffier, en n'aurait pas à notre BL adoré, mais même pas sur......
Modérateurs : Barre transversale, Poteau gauche, Poteau droit, Ligne de but
Je ne sous-entends rien, je dis dis juste qu'à un moment la sanction doit prendre fin. Si demain Puel dit à Ruffier, tu vas sur le banc parce que tu es numéro 2. Il est certain que Ruffier y va (il est employé du club, il n'a pas le choix. Tiens ce serait un bon motif de licenciement pour les 2 autres) Il est donc évident que Puel ne veut pas. Il veut quelqu'un de malléable.squaty a écrit : ↑13 déc. 2020, 18:56Il y a une contradiction dans ce que tu dis, la sanction ne doit pas changer que son remplaçant soit bon ou mauvais. Tu sous entend que si Moulin n'avait prit aucun but depuis le début de saison et bien la sanction de Ruffier serait légitime. Ca ne change rien. Si on estime que c'est le fait que son agent ai utilisé les médias pour dénigrer le manager du club et qu'il ne se soit pas désolidarisé de ce qu'il a dit qui fasse qu'il est exclu du groupe. Alors peu importe le niveau du remplaçant.Asse of Spades a écrit : ↑13 déc. 2020, 18:43Après un carton rouge, tu reviens toujours même si la grosse commission t'inflige 10 matches.___ a écrit : ↑13 déc. 2020, 18:38Nan mais on s'en fout de ça, même si je suis d'accord dans l'absolu. Le truc n'est pas de savoir qui a raison / qui a tort (si tant est qu'on puisse simplifier la situation à ce point, ce que je ne pense pas), mais de comprendre pourquoi aucun rabibochage n'est possible.Wert a écrit : ↑13 déc. 2020, 17:10 D'une manière générale, on estime que quand des relations conflictuelles sortent de l'espace professionnel (le vestiaire pour le foot), c'est qu'elles sont soit graves, soit qu'elles tendent à se multiplier. Il est rare qu'un travailleur rende public un conflit lors du premier incompréhension ou abus de pouvoir.
Comme le montre certaines réactions ici, généralement ce qui prévaut dans un milieu fermé, c'est la loi du silence (ici on appelle ça la loi du vestiaire. ce qui se passe dans le vestiaire reste dans le vestiaire. je crois même que je l'ai lu ici). Ces pratiques servent généralement à renforcer et à légitimer un management à l'ancienne (conservateur), protégeant l'autorité du chef soit disant pour préserver la structure .... Inutile de dire que ce type de règles morales servent à conforter les marques d'autoritarisme, et même parfois les abus de pouvoir de la part du "chef"
En général, on estime que quand dans un milieu professionnel ou s'applique la loi du silence des conflits finissent par sortir au grand jour, c'est qu'en général ce ne sont pas les premiers, que les tensions se sont multipliées au point d'être devenu difficilement supportable. Ce type de milieu correspond aux pratiques du foot.
Quand on gratte dans ces milieux, on trouve souvent dans les pratiques plus d'autoritarisme que d'autorité, plus de décisions fondées sur des jugements discrétionnaire que de véritable critères d'évaluation compris et acceptés par tout le monde ( en foot, ca donne, pourquoi lui quand il arrive en retard prend l'avion pour aller en Ukraine, et moi pourquoi on me met sur le banc si j'arrive deux minutes en retard à la causerie alors que j'ai 30 ans et qu'il en a 18 ) ...
Est ce que cette réalité s'applique au vestiaire stéphanois avant la sortie de Ruffier ? Je ne suis pas loin de le penser. Je ne pense pas que Ruffier aurait laissé sortir son manager dans la presse taper sur Puel si à ce moment les situations de conflits dans le vestiaire n'était pas élevées, et qu'il n'y avait pas une situation de ras le bol généralisé.
Est ce que ça l'excuse ? Je ne sais pas. Mais, avant de le condamner, on peut envisager l'hypothèse de l'absence de voie de communication ouvertes avec Puel et son équipe comme facteur déclencheur dans une situation de multiplication des conflits.
Est ce que le vestiaire stéphanois était un havre de pais quand Puel est arrivé ? Sans doute pas. Mais quand on arrive dans une structure en crise, on doit composer avec des travailleurs en crise, et on ne peut pas multiplier en même temps les lignes de front ou les confits.
C'est top facile de s'en prendre au seul Ruffier. Puel est à mon avis loin d'être un grand manager. Il peut être un visionnaire, mais avoir des difficultés à mettre ses visions en pratique.
Ce que t'appelle la loi du vestiaire, dans la fonction publique, on appelle ça le devoir de réserve. Kolo était limite, mais il n'a pas passé la ligne. Ruffier, lui, l'a allègrement passée.
Si demain, le directeur des espaces verts de ta commune (celui qu'est dans les bois, quoi) envoie son adjoint au journal local pour balancer "le directeur général des services est nuisible et mène la commune à sa perte par son management débile", indépendamment du fond, ben c'est procédure disciplinaire, et s'il s'amende pas bien vite (l'agent de Ruffier a même persisté), ca peut aller jusqu'à l'exclusion de la fonction publique. Et méritée : il a gravement failli à la déontologie, et tant pis si la ville a 8 fleurs au concours des villes fleuries grâce à son excellente gestion des espaces verts depuis 10 ans.
Eh les gars, Ruffier, c'est pas un lanceur d'alerte, hein. C'est un joueur vexé qui a pété un plomb. Et quand tu passes à l'acte, c'est carton rouge.
Là, c'est pas comme si Moulin était devenu indiscutable. On en est loin.
Hypothèse invérifiable mais à laquelle l'historique des 2 protagonistes donne du crédit.___ a écrit : ↑13 déc. 2020, 19:40 Ton raisonnement est basé sur une hypothèse invérifiable, et loin d'être évidente.
De la même façon, on pourrait très bien supposer que, comme aucun membre de l'effectif ne s'est déclaré solidaire de Ruffier, même ceux qui depuis sont partis, c'est bien que Ruffier a fait une connerie.
Je vais te la dire moi la réaction de Puel: il titulariserait Bajic. Et si Moulin était blessé de longue durée et que Bajic ne faisait vraiment pas l'affaire le club prendrait un joker médical. Puel est droit dans ses bottes.Asse of Spades a écrit : ↑13 déc. 2020, 19:52Je ne sous-entends rien, je dis dis juste qu'à un moment la sanction doit prendre fin. Si demain Puel dit à Ruffier, tu vas sur le banc parce que tu es numéro 2. Il est certain que Ruffier y va (il est employé du club, il n'a pas le choix. Tiens ce serait un bon motif de licenciement pour les 2 autres) Il est donc évident que Puel ne veut pas. Il veut quelqu'un de malléable.squaty a écrit : ↑13 déc. 2020, 18:56Il y a une contradiction dans ce que tu dis, la sanction ne doit pas changer que son remplaçant soit bon ou mauvais. Tu sous entend que si Moulin n'avait prit aucun but depuis le début de saison et bien la sanction de Ruffier serait légitime. Ca ne change rien. Si on estime que c'est le fait que son agent ai utilisé les médias pour dénigrer le manager du club et qu'il ne se soit pas désolidarisé de ce qu'il a dit qui fasse qu'il est exclu du groupe. Alors peu importe le niveau du remplaçant.Asse of Spades a écrit : ↑13 déc. 2020, 18:43Après un carton rouge, tu reviens toujours même si la grosse commission t'inflige 10 matches.___ a écrit : ↑13 déc. 2020, 18:38Nan mais on s'en fout de ça, même si je suis d'accord dans l'absolu. Le truc n'est pas de savoir qui a raison / qui a tort (si tant est qu'on puisse simplifier la situation à ce point, ce que je ne pense pas), mais de comprendre pourquoi aucun rabibochage n'est possible.Wert a écrit : ↑13 déc. 2020, 17:10 D'une manière générale, on estime que quand des relations conflictuelles sortent de l'espace professionnel (le vestiaire pour le foot), c'est qu'elles sont soit graves, soit qu'elles tendent à se multiplier. Il est rare qu'un travailleur rende public un conflit lors du premier incompréhension ou abus de pouvoir.
Comme le montre certaines réactions ici, généralement ce qui prévaut dans un milieu fermé, c'est la loi du silence (ici on appelle ça la loi du vestiaire. ce qui se passe dans le vestiaire reste dans le vestiaire. je crois même que je l'ai lu ici). Ces pratiques servent généralement à renforcer et à légitimer un management à l'ancienne (conservateur), protégeant l'autorité du chef soit disant pour préserver la structure .... Inutile de dire que ce type de règles morales servent à conforter les marques d'autoritarisme, et même parfois les abus de pouvoir de la part du "chef"
En général, on estime que quand dans un milieu professionnel ou s'applique la loi du silence des conflits finissent par sortir au grand jour, c'est qu'en général ce ne sont pas les premiers, que les tensions se sont multipliées au point d'être devenu difficilement supportable. Ce type de milieu correspond aux pratiques du foot.
Quand on gratte dans ces milieux, on trouve souvent dans les pratiques plus d'autoritarisme que d'autorité, plus de décisions fondées sur des jugements discrétionnaire que de véritable critères d'évaluation compris et acceptés par tout le monde ( en foot, ca donne, pourquoi lui quand il arrive en retard prend l'avion pour aller en Ukraine, et moi pourquoi on me met sur le banc si j'arrive deux minutes en retard à la causerie alors que j'ai 30 ans et qu'il en a 18 ) ...
Est ce que cette réalité s'applique au vestiaire stéphanois avant la sortie de Ruffier ? Je ne suis pas loin de le penser. Je ne pense pas que Ruffier aurait laissé sortir son manager dans la presse taper sur Puel si à ce moment les situations de conflits dans le vestiaire n'était pas élevées, et qu'il n'y avait pas une situation de ras le bol généralisé.
Est ce que ça l'excuse ? Je ne sais pas. Mais, avant de le condamner, on peut envisager l'hypothèse de l'absence de voie de communication ouvertes avec Puel et son équipe comme facteur déclencheur dans une situation de multiplication des conflits.
Est ce que le vestiaire stéphanois était un havre de pais quand Puel est arrivé ? Sans doute pas. Mais quand on arrive dans une structure en crise, on doit composer avec des travailleurs en crise, et on ne peut pas multiplier en même temps les lignes de front ou les confits.
C'est top facile de s'en prendre au seul Ruffier. Puel est à mon avis loin d'être un grand manager. Il peut être un visionnaire, mais avoir des difficultés à mettre ses visions en pratique.
Ce que t'appelle la loi du vestiaire, dans la fonction publique, on appelle ça le devoir de réserve. Kolo était limite, mais il n'a pas passé la ligne. Ruffier, lui, l'a allègrement passée.
Si demain, le directeur des espaces verts de ta commune (celui qu'est dans les bois, quoi) envoie son adjoint au journal local pour balancer "le directeur général des services est nuisible et mène la commune à sa perte par son management débile", indépendamment du fond, ben c'est procédure disciplinaire, et s'il s'amende pas bien vite (l'agent de Ruffier a même persisté), ca peut aller jusqu'à l'exclusion de la fonction publique. Et méritée : il a gravement failli à la déontologie, et tant pis si la ville a 8 fleurs au concours des villes fleuries grâce à son excellente gestion des espaces verts depuis 10 ans.
Eh les gars, Ruffier, c'est pas un lanceur d'alerte, hein. C'est un joueur vexé qui a pété un plomb. Et quand tu passes à l'acte, c'est carton rouge.
Là, c'est pas comme si Moulin était devenu indiscutable. On en est loin.
Ruffier sait très bien qu'en football tout peut aller très vite, blessure, suspension longue durée, covidJe serais curieux de voir l'attitude de Puel à ce moment là.
L'hypothèse de Wert, c'est : "Ruffier, via son agent, ne s'épanche dans la presse que parce qu'il n'a plus que ce moyen-là". D'une c'est discutable, deux il y aurait d'autres façons de le faire moins rédhibitoires - cf Kolo.Mic-Mic a écrit : ↑13 déc. 2020, 23:39Hypothèse invérifiable mais à laquelle l'historique des 2 protagonistes donne du crédit.___ a écrit : ↑13 déc. 2020, 19:40 Ton raisonnement est basé sur une hypothèse invérifiable, et loin d'être évidente.
De la même façon, on pourrait très bien supposer que, comme aucun membre de l'effectif ne s'est déclaré solidaire de Ruffier, même ceux qui depuis sont partis, c'est bien que Ruffier a fait une connerie.
Quant au deuxième paragraphe, tu as raison. Mais je ne crois pas non plus avoir entendu un de ces partants se déclarer solidaire de Puel.
Asse of Spades a écrit : ↑13 déc. 2020, 19:52Je ne sous-entends rien, je dis dis juste qu'à un moment la sanction doit prendre fin. Si demain Puel dit à Ruffier, tu vas sur le banc parce que tu es numéro 2. Il est certain que Ruffier y va (il est employé du club, il n'a pas le choix. Tiens ce serait un bon motif de licenciement pour les 2 autres) Il est donc évident que Puel ne veut pas. Il veut quelqu'un de malléable.squaty a écrit : ↑13 déc. 2020, 18:56Il y a une contradiction dans ce que tu dis, la sanction ne doit pas changer que son remplaçant soit bon ou mauvais. Tu sous entend que si Moulin n'avait prit aucun but depuis le début de saison et bien la sanction de Ruffier serait légitime. Ca ne change rien. Si on estime que c'est le fait que son agent ai utilisé les médias pour dénigrer le manager du club et qu'il ne se soit pas désolidarisé de ce qu'il a dit qui fasse qu'il est exclu du groupe. Alors peu importe le niveau du remplaçant.Asse of Spades a écrit : ↑13 déc. 2020, 18:43Après un carton rouge, tu reviens toujours même si la grosse commission t'inflige 10 matches.___ a écrit : ↑13 déc. 2020, 18:38Nan mais on s'en fout de ça, même si je suis d'accord dans l'absolu. Le truc n'est pas de savoir qui a raison / qui a tort (si tant est qu'on puisse simplifier la situation à ce point, ce que je ne pense pas), mais de comprendre pourquoi aucun rabibochage n'est possible.Wert a écrit : ↑13 déc. 2020, 17:10 D'une manière générale, on estime que quand des relations conflictuelles sortent de l'espace professionnel (le vestiaire pour le foot), c'est qu'elles sont soit graves, soit qu'elles tendent à se multiplier. Il est rare qu'un travailleur rende public un conflit lors du premier incompréhension ou abus de pouvoir.
Comme le montre certaines réactions ici, généralement ce qui prévaut dans un milieu fermé, c'est la loi du silence (ici on appelle ça la loi du vestiaire. ce qui se passe dans le vestiaire reste dans le vestiaire. je crois même que je l'ai lu ici). Ces pratiques servent généralement à renforcer et à légitimer un management à l'ancienne (conservateur), protégeant l'autorité du chef soit disant pour préserver la structure .... Inutile de dire que ce type de règles morales servent à conforter les marques d'autoritarisme, et même parfois les abus de pouvoir de la part du "chef"
En général, on estime que quand dans un milieu professionnel ou s'applique la loi du silence des conflits finissent par sortir au grand jour, c'est qu'en général ce ne sont pas les premiers, que les tensions se sont multipliées au point d'être devenu difficilement supportable. Ce type de milieu correspond aux pratiques du foot.
Quand on gratte dans ces milieux, on trouve souvent dans les pratiques plus d'autoritarisme que d'autorité, plus de décisions fondées sur des jugements discrétionnaire que de véritable critères d'évaluation compris et acceptés par tout le monde ( en foot, ca donne, pourquoi lui quand il arrive en retard prend l'avion pour aller en Ukraine, et moi pourquoi on me met sur le banc si j'arrive deux minutes en retard à la causerie alors que j'ai 30 ans et qu'il en a 18 ) ...
Est ce que cette réalité s'applique au vestiaire stéphanois avant la sortie de Ruffier ? Je ne suis pas loin de le penser. Je ne pense pas que Ruffier aurait laissé sortir son manager dans la presse taper sur Puel si à ce moment les situations de conflits dans le vestiaire n'était pas élevées, et qu'il n'y avait pas une situation de ras le bol généralisé.
Est ce que ça l'excuse ? Je ne sais pas. Mais, avant de le condamner, on peut envisager l'hypothèse de l'absence de voie de communication ouvertes avec Puel et son équipe comme facteur déclencheur dans une situation de multiplication des conflits.
Est ce que le vestiaire stéphanois était un havre de pais quand Puel est arrivé ? Sans doute pas. Mais quand on arrive dans une structure en crise, on doit composer avec des travailleurs en crise, et on ne peut pas multiplier en même temps les lignes de front ou les confits.
C'est top facile de s'en prendre au seul Ruffier. Puel est à mon avis loin d'être un grand manager. Il peut être un visionnaire, mais avoir des difficultés à mettre ses visions en pratique.
Ce que t'appelle la loi du vestiaire, dans la fonction publique, on appelle ça le devoir de réserve. Kolo était limite, mais il n'a pas passé la ligne. Ruffier, lui, l'a allègrement passée.
Si demain, le directeur des espaces verts de ta commune (celui qu'est dans les bois, quoi) envoie son adjoint au journal local pour balancer "le directeur général des services est nuisible et mène la commune à sa perte par son management débile", indépendamment du fond, ben c'est procédure disciplinaire, et s'il s'amende pas bien vite (l'agent de Ruffier a même persisté), ca peut aller jusqu'à l'exclusion de la fonction publique. Et méritée : il a gravement failli à la déontologie, et tant pis si la ville a 8 fleurs au concours des villes fleuries grâce à son excellente gestion des espaces verts depuis 10 ans.
Eh les gars, Ruffier, c'est pas un lanceur d'alerte, hein. C'est un joueur vexé qui a pété un plomb. Et quand tu passes à l'acte, c'est carton rouge.
Là, c'est pas comme si Moulin était devenu indiscutable. On en est loin.
Ruffier sait très bien qu'en football tout peut aller très vite, blessure, suspension longue durée, covidJe serais curieux de voir l'attitude de Puel à ce moment là.
Sauf que selon l'avocate de Ruffier, celui-ci n'a jamais refusé d'être numéro 2! ce qui prouve bien que ça lui a été proposé. Donc au final pourquoi il n'est pas sur le banc comme numéro 2? Mystère. Qui ment, qui dit vrai ? Va savoir ...berpong a écrit : ↑14 déc. 2020, 08:14Asse of Spades a écrit : ↑13 déc. 2020, 19:52Je ne sous-entends rien, je dis dis juste qu'à un moment la sanction doit prendre fin. Si demain Puel dit à Ruffier, tu vas sur le banc parce que tu es numéro 2. Il est certain que Ruffier y va (il est employé du club, il n'a pas le choix. Tiens ce serait un bon motif de licenciement pour les 2 autres) Il est donc évident que Puel ne veut pas. Il veut quelqu'un de malléable.squaty a écrit : ↑13 déc. 2020, 18:56Il y a une contradiction dans ce que tu dis, la sanction ne doit pas changer que son remplaçant soit bon ou mauvais. Tu sous entend que si Moulin n'avait prit aucun but depuis le début de saison et bien la sanction de Ruffier serait légitime. Ca ne change rien. Si on estime que c'est le fait que son agent ai utilisé les médias pour dénigrer le manager du club et qu'il ne se soit pas désolidarisé de ce qu'il a dit qui fasse qu'il est exclu du groupe. Alors peu importe le niveau du remplaçant.Asse of Spades a écrit : ↑13 déc. 2020, 18:43Après un carton rouge, tu reviens toujours même si la grosse commission t'inflige 10 matches.___ a écrit : ↑13 déc. 2020, 18:38Nan mais on s'en fout de ça, même si je suis d'accord dans l'absolu. Le truc n'est pas de savoir qui a raison / qui a tort (si tant est qu'on puisse simplifier la situation à ce point, ce que je ne pense pas), mais de comprendre pourquoi aucun rabibochage n'est possible.Wert a écrit : ↑13 déc. 2020, 17:10 D'une manière générale, on estime que quand des relations conflictuelles sortent de l'espace professionnel (le vestiaire pour le foot), c'est qu'elles sont soit graves, soit qu'elles tendent à se multiplier. Il est rare qu'un travailleur rende public un conflit lors du premier incompréhension ou abus de pouvoir.
Comme le montre certaines réactions ici, généralement ce qui prévaut dans un milieu fermé, c'est la loi du silence (ici on appelle ça la loi du vestiaire. ce qui se passe dans le vestiaire reste dans le vestiaire. je crois même que je l'ai lu ici). Ces pratiques servent généralement à renforcer et à légitimer un management à l'ancienne (conservateur), protégeant l'autorité du chef soit disant pour préserver la structure .... Inutile de dire que ce type de règles morales servent à conforter les marques d'autoritarisme, et même parfois les abus de pouvoir de la part du "chef"
En général, on estime que quand dans un milieu professionnel ou s'applique la loi du silence des conflits finissent par sortir au grand jour, c'est qu'en général ce ne sont pas les premiers, que les tensions se sont multipliées au point d'être devenu difficilement supportable. Ce type de milieu correspond aux pratiques du foot.
Quand on gratte dans ces milieux, on trouve souvent dans les pratiques plus d'autoritarisme que d'autorité, plus de décisions fondées sur des jugements discrétionnaire que de véritable critères d'évaluation compris et acceptés par tout le monde ( en foot, ca donne, pourquoi lui quand il arrive en retard prend l'avion pour aller en Ukraine, et moi pourquoi on me met sur le banc si j'arrive deux minutes en retard à la causerie alors que j'ai 30 ans et qu'il en a 18 ) ...
Est ce que cette réalité s'applique au vestiaire stéphanois avant la sortie de Ruffier ? Je ne suis pas loin de le penser. Je ne pense pas que Ruffier aurait laissé sortir son manager dans la presse taper sur Puel si à ce moment les situations de conflits dans le vestiaire n'était pas élevées, et qu'il n'y avait pas une situation de ras le bol généralisé.
Est ce que ça l'excuse ? Je ne sais pas. Mais, avant de le condamner, on peut envisager l'hypothèse de l'absence de voie de communication ouvertes avec Puel et son équipe comme facteur déclencheur dans une situation de multiplication des conflits.
Est ce que le vestiaire stéphanois était un havre de pais quand Puel est arrivé ? Sans doute pas. Mais quand on arrive dans une structure en crise, on doit composer avec des travailleurs en crise, et on ne peut pas multiplier en même temps les lignes de front ou les confits.
C'est top facile de s'en prendre au seul Ruffier. Puel est à mon avis loin d'être un grand manager. Il peut être un visionnaire, mais avoir des difficultés à mettre ses visions en pratique.
Ce que t'appelle la loi du vestiaire, dans la fonction publique, on appelle ça le devoir de réserve. Kolo était limite, mais il n'a pas passé la ligne. Ruffier, lui, l'a allègrement passée.
Si demain, le directeur des espaces verts de ta commune (celui qu'est dans les bois, quoi) envoie son adjoint au journal local pour balancer "le directeur général des services est nuisible et mène la commune à sa perte par son management débile", indépendamment du fond, ben c'est procédure disciplinaire, et s'il s'amende pas bien vite (l'agent de Ruffier a même persisté), ca peut aller jusqu'à l'exclusion de la fonction publique. Et méritée : il a gravement failli à la déontologie, et tant pis si la ville a 8 fleurs au concours des villes fleuries grâce à son excellente gestion des espaces verts depuis 10 ans.
Eh les gars, Ruffier, c'est pas un lanceur d'alerte, hein. C'est un joueur vexé qui a pété un plomb. Et quand tu passes à l'acte, c'est carton rouge.
Là, c'est pas comme si Moulin était devenu indiscutable. On en est loin.
Ruffier sait très bien qu'en football tout peut aller très vite, blessure, suspension longue durée, covidJe serais curieux de voir l'attitude de Puel à ce moment là.
C l argument que l on connait vraiment ( verifier) qui prouve vraiment que ca vient bcp de Puel qd meme.
Euh non ...Grizzli a écrit : ↑14 déc. 2020, 08:24Sauf que selon l'avocate de Ruffier, celui-ci n'a jamais refusé d'être numéro 2! ce qui prouve bien que ça lui a été proposé. Donc au final pourquoi il n'est pas sur le banc comme numéro 2? Mystère. Qui ment, qui dit vrai ? Va savoir ...berpong a écrit : ↑14 déc. 2020, 08:14Asse of Spades a écrit : ↑13 déc. 2020, 19:52 Je ne sous-entends rien, je dis dis juste qu'à un moment la sanction doit prendre fin. Si demain Puel dit à Ruffier, tu vas sur le banc parce que tu es numéro 2. Il est certain que Ruffier y va (il est employé du club, il n'a pas le choix. Tiens ce serait un bon motif de licenciement pour les 2 autres) Il est donc évident que Puel ne veut pas. Il veut quelqu'un de malléable.
Ruffier sait très bien qu'en football tout peut aller très vite, blessure, suspension longue durée, covidJe serais curieux de voir l'attitude de Puel à ce moment là.
C l argument que l on connait vraiment ( verifier) qui prouve vraiment que ca vient bcp de Puel qd meme.
On est d'accord. Sauf que si on en est arrivé là, la "réponse" de Ruffier est bien une conséquence de ce qu'il s'est passé et non la cause.___ a écrit : ↑14 déc. 2020, 03:54L'hypothèse de Wert, c'est : "Ruffier, via son agent, ne s'épanche dans la presse que parce qu'il n'a plus que ce moyen-là". D'une c'est discutable, deux il y aurait d'autres façons de le faire moins rédhibitoires - cf Kolo.Mic-Mic a écrit : ↑13 déc. 2020, 23:39Hypothèse invérifiable mais à laquelle l'historique des 2 protagonistes donne du crédit.___ a écrit : ↑13 déc. 2020, 19:40 Ton raisonnement est basé sur une hypothèse invérifiable, et loin d'être évidente.
De la même façon, on pourrait très bien supposer que, comme aucun membre de l'effectif ne s'est déclaré solidaire de Ruffier, même ceux qui depuis sont partis, c'est bien que Ruffier a fait une connerie.
Quant au deuxième paragraphe, tu as raison. Mais je ne crois pas non plus avoir entendu un de ces partants se déclarer solidaire de Puel.
CompletementMic-Mic a écrit : ↑14 déc. 2020, 09:05Euh non ...Grizzli a écrit : ↑14 déc. 2020, 08:24Sauf que selon l'avocate de Ruffier, celui-ci n'a jamais refusé d'être numéro 2! ce qui prouve bien que ça lui a été proposé. Donc au final pourquoi il n'est pas sur le banc comme numéro 2? Mystère. Qui ment, qui dit vrai ? Va savoir ...berpong a écrit : ↑14 déc. 2020, 08:14Asse of Spades a écrit : ↑13 déc. 2020, 19:52 Je ne sous-entends rien, je dis dis juste qu'à un moment la sanction doit prendre fin. Si demain Puel dit à Ruffier, tu vas sur le banc parce que tu es numéro 2. Il est certain que Ruffier y va (il est employé du club, il n'a pas le choix. Tiens ce serait un bon motif de licenciement pour les 2 autres) Il est donc évident que Puel ne veut pas. Il veut quelqu'un de malléable.
Ruffier sait très bien qu'en football tout peut aller très vite, blessure, suspension longue durée, covidJe serais curieux de voir l'attitude de Puel à ce moment là.
C l argument que l on connait vraiment ( verifier) qui prouve vraiment que ca vient bcp de Puel qd meme.
Tu ne peux pas refuser un truc qui ne t'a pas été proposé.
Puel dit que Ruffier a refusé d'être numéro 2. Ruffier dit qu'il n'a jamais refusé. On n'y était pas, on ne peut pas savoir.
Sauf qu'on sait que le club aimerait licencier Ruffier et que refuser de se rendre à une convocation est un motif légitime de licenciement. Alors pourquoi le club n'a t'il pas convoqué Ruffier sur le banc pour pouvoir le licencier si celui-ci refusait ?
Donc on a quand même bien une indication de "qui ment" et "qui dit vrai"
Pardon mais si Ruffier dit qu'il n'a jamais refusé qqch c'est qu'on le lui a bien proposé non ? Pour ne pas refuser un truc il faut qu'on te l'aie proposer. Ruffier ne dit pas qu'on ne lui a pas proposé mais bien qu'il n'a pas refusé non ?berpong a écrit : ↑14 déc. 2020, 10:44CompletementMic-Mic a écrit : ↑14 déc. 2020, 09:05Euh non ...Grizzli a écrit : ↑14 déc. 2020, 08:24Sauf que selon l'avocate de Ruffier, celui-ci n'a jamais refusé d'être numéro 2! ce qui prouve bien que ça lui a été proposé. Donc au final pourquoi il n'est pas sur le banc comme numéro 2? Mystère. Qui ment, qui dit vrai ? Va savoir ...berpong a écrit : ↑14 déc. 2020, 08:14Asse of Spades a écrit : ↑13 déc. 2020, 19:52 Je ne sous-entends rien, je dis dis juste qu'à un moment la sanction doit prendre fin. Si demain Puel dit à Ruffier, tu vas sur le banc parce que tu es numéro 2. Il est certain que Ruffier y va (il est employé du club, il n'a pas le choix. Tiens ce serait un bon motif de licenciement pour les 2 autres) Il est donc évident que Puel ne veut pas. Il veut quelqu'un de malléable.
Ruffier sait très bien qu'en football tout peut aller très vite, blessure, suspension longue durée, covidJe serais curieux de voir l'attitude de Puel à ce moment là.
C l argument que l on connait vraiment ( verifier) qui prouve vraiment que ca vient bcp de Puel qd meme.
Tu ne peux pas refuser un truc qui ne t'a pas été proposé.
Puel dit que Ruffier a refusé d'être numéro 2. Ruffier dit qu'il n'a jamais refusé. On n'y était pas, on ne peut pas savoir.
Sauf qu'on sait que le club aimerait licencier Ruffier et que refuser de se rendre à une convocation est un motif légitime de licenciement. Alors pourquoi le club n'a t'il pas convoqué Ruffier sur le banc pour pouvoir le licencier si celui-ci refusait ?
Donc on a quand même bien une indication de "qui ment" et "qui dit vrai"
L'hypothèse serait, et je l'ai peut être mal formulée, s'épanche dans la presse parce qu'il ne voit plus que ce moyen là. Dès fois, il y a une différence entre notre perception de la réalité et la réalité. Et c'est là à mon avis ou si Ruffier n'est certainement pas le personnage le plus facile, on sait aussi que Puel n'est `pas le coach le plus ouvert au dialogue (En plus de Kolo, il ya eu aussi une déclaration de M'Villa je crois à l'époque et même des tensions avec Debuchy).Mic-Mic a écrit : ↑14 déc. 2020, 09:08On est d'accord. Sauf que si on en est arrivé là, la "réponse" de Ruffier est bien une conséquence de ce qu'il s'est passé et non la cause.___ a écrit : ↑14 déc. 2020, 03:54L'hypothèse de Wert, c'est : "Ruffier, via son agent, ne s'épanche dans la presse que parce qu'il n'a plus que ce moyen-là". D'une c'est discutable, deux il y aurait d'autres façons de le faire moins rédhibitoires - cf Kolo.Mic-Mic a écrit : ↑13 déc. 2020, 23:39Hypothèse invérifiable mais à laquelle l'historique des 2 protagonistes donne du crédit.___ a écrit : ↑13 déc. 2020, 19:40 Ton raisonnement est basé sur une hypothèse invérifiable, et loin d'être évidente.
De la même façon, on pourrait très bien supposer que, comme aucun membre de l'effectif ne s'est déclaré solidaire de Ruffier, même ceux qui depuis sont partis, c'est bien que Ruffier a fait une connerie.
Quant au deuxième paragraphe, tu as raison. Mais je ne crois pas non plus avoir entendu un de ces partants se déclarer solidaire de Puel.
On ne saura sûrement jamais, mais c'est une hypothèse qu'il me semble dommage d'écarter d'un revers de la main (je ne parle pas de toi). C'est pour cela que je trouve regrettable la manière dont Ruffier est traité.
Tu n'a pas refusé de m'épouser. Et pourtant je ne te l'ai pas proposéGrizzli a écrit : ↑14 déc. 2020, 12:57Pardon mais si Ruffier dit qu'il n'a jamais refusé qqch c'est qu'on le lui a bien proposé non ? Pour ne pas refuser un truc il faut qu'on te l'aie proposer. Ruffier ne dit pas qu'on ne lui a pas proposé mais bien qu'il n'a pas refusé non ?berpong a écrit : ↑14 déc. 2020, 10:44CompletementMic-Mic a écrit : ↑14 déc. 2020, 09:05Euh non ...Grizzli a écrit : ↑14 déc. 2020, 08:24Sauf que selon l'avocate de Ruffier, celui-ci n'a jamais refusé d'être numéro 2! ce qui prouve bien que ça lui a été proposé. Donc au final pourquoi il n'est pas sur le banc comme numéro 2? Mystère. Qui ment, qui dit vrai ? Va savoir ...berpong a écrit : ↑14 déc. 2020, 08:14Asse of Spades a écrit : ↑13 déc. 2020, 19:52 Je ne sous-entends rien, je dis dis juste qu'à un moment la sanction doit prendre fin. Si demain Puel dit à Ruffier, tu vas sur le banc parce que tu es numéro 2. Il est certain que Ruffier y va (il est employé du club, il n'a pas le choix. Tiens ce serait un bon motif de licenciement pour les 2 autres) Il est donc évident que Puel ne veut pas. Il veut quelqu'un de malléable.
Ruffier sait très bien qu'en football tout peut aller très vite, blessure, suspension longue durée, covidJe serais curieux de voir l'attitude de Puel à ce moment là.
C l argument que l on connait vraiment ( verifier) qui prouve vraiment que ca vient bcp de Puel qd meme.
Tu ne peux pas refuser un truc qui ne t'a pas été proposé.
Puel dit que Ruffier a refusé d'être numéro 2. Ruffier dit qu'il n'a jamais refusé. On n'y était pas, on ne peut pas savoir.
Sauf qu'on sait que le club aimerait licencier Ruffier et que refuser de se rendre à une convocation est un motif légitime de licenciement. Alors pourquoi le club n'a t'il pas convoqué Ruffier sur le banc pour pouvoir le licencier si celui-ci refusait ?
Donc on a quand même bien une indication de "qui ment" et "qui dit vrai"
Oui j'attends que Ruffier parle et après on pourra juger...mais quel sombre histoire
Ok. C'est là dessus que je finissais pas avoir un doute : est-ce qu'à un moment donné, la place de numéro 2 lui a été VRAIMENT proposée ? Ou est-ce que dans la mesure où CP met Moulin n°1, la place de n°2 pour Ruffier est tacitement automatique et n'a pas besoin d'être précisée ?Mic-Mic a écrit : ↑14 déc. 2020, 14:52Tu n'a pas refusé de m'épouser. Et pourtant je ne te l'ai pas proposéGrizzli a écrit : ↑14 déc. 2020, 12:57Pardon mais si Ruffier dit qu'il n'a jamais refusé qqch c'est qu'on le lui a bien proposé non ? Pour ne pas refuser un truc il faut qu'on te l'aie proposer. Ruffier ne dit pas qu'on ne lui a pas proposé mais bien qu'il n'a pas refusé non ?berpong a écrit : ↑14 déc. 2020, 10:44CompletementMic-Mic a écrit : ↑14 déc. 2020, 09:05Euh non ...Grizzli a écrit : ↑14 déc. 2020, 08:24Sauf que selon l'avocate de Ruffier, celui-ci n'a jamais refusé d'être numéro 2! ce qui prouve bien que ça lui a été proposé. Donc au final pourquoi il n'est pas sur le banc comme numéro 2? Mystère. Qui ment, qui dit vrai ? Va savoir ...berpong a écrit : ↑14 déc. 2020, 08:14Asse of Spades a écrit : ↑13 déc. 2020, 19:52 Je ne sous-entends rien, je dis dis juste qu'à un moment la sanction doit prendre fin. Si demain Puel dit à Ruffier, tu vas sur le banc parce que tu es numéro 2. Il est certain que Ruffier y va (il est employé du club, il n'a pas le choix. Tiens ce serait un bon motif de licenciement pour les 2 autres) Il est donc évident que Puel ne veut pas. Il veut quelqu'un de malléable.
Ruffier sait très bien qu'en football tout peut aller très vite, blessure, suspension longue durée, covidJe serais curieux de voir l'attitude de Puel à ce moment là.
C l argument que l on connait vraiment ( verifier) qui prouve vraiment que ca vient bcp de Puel qd meme.
Tu ne peux pas refuser un truc qui ne t'a pas été proposé.
Puel dit que Ruffier a refusé d'être numéro 2. Ruffier dit qu'il n'a jamais refusé. On n'y était pas, on ne peut pas savoir.
Sauf qu'on sait que le club aimerait licencier Ruffier et que refuser de se rendre à une convocation est un motif légitime de licenciement. Alors pourquoi le club n'a t'il pas convoqué Ruffier sur le banc pour pouvoir le licencier si celui-ci refusait ?
Donc on a quand même bien une indication de "qui ment" et "qui dit vrai"![]()
Mais plutôt que de partir sur ce débat sémantique, je remets les propos de l'avocate de Ruffier :
" La femme de droit précise, à propos de celui qui a rejoint l’ASSE en 2011 et non retenu pour le stage de Dinard, « qu’il ne lui a jamais été proposé d’être le gardien numéro 2 cette saison » et « qu’il n’a donc jamais pu refuser d’être la doublure de Jessy Moulin ».
https://www.leprogres.fr/sport/2020/08/ ... ssy-moulin
Donc elle est d'accord avec toi : on ne peut pas refuser un truc qu'on ne t'a pas proposé, mais aussi avec nous : il n'a jamais été proposé à Ruffier d'être numéro 2
6 mois qu'on le dit. Si Ruffier avait été appelé dans la liste des 19 même pour être sur le banc, il aurait été obligé d'accepter en tant qu'employé du club. Un refus aurait été une faute grave. Donc, c'est Clerc, il a été mis au placard par Puel dès le début du championnat.Grizzli a écrit : ↑14 déc. 2020, 16:35Ok. C'est là dessus que je finissais pas avoir un doute : est-ce qu'à un moment donné, la place de numéro 2 lui a été VRAIMENT proposée ? Ou est-ce que dans la mesure où CP met Moulin n°1, la place de n°2 pour Ruffier est tacitement automatique et n'a pas besoin d'être précisée ?Mic-Mic a écrit : ↑14 déc. 2020, 14:52Tu n'a pas refusé de m'épouser. Et pourtant je ne te l'ai pas proposéGrizzli a écrit : ↑14 déc. 2020, 12:57Pardon mais si Ruffier dit qu'il n'a jamais refusé qqch c'est qu'on le lui a bien proposé non ? Pour ne pas refuser un truc il faut qu'on te l'aie proposer. Ruffier ne dit pas qu'on ne lui a pas proposé mais bien qu'il n'a pas refusé non ?berpong a écrit : ↑14 déc. 2020, 10:44CompletementMic-Mic a écrit : ↑14 déc. 2020, 09:05Euh non ...Grizzli a écrit : ↑14 déc. 2020, 08:24Sauf que selon l'avocate de Ruffier, celui-ci n'a jamais refusé d'être numéro 2! ce qui prouve bien que ça lui a été proposé. Donc au final pourquoi il n'est pas sur le banc comme numéro 2? Mystère. Qui ment, qui dit vrai ? Va savoir ...berpong a écrit : ↑14 déc. 2020, 08:14Asse of Spades a écrit : ↑13 déc. 2020, 19:52 Je ne sous-entends rien, je dis dis juste qu'à un moment la sanction doit prendre fin. Si demain Puel dit à Ruffier, tu vas sur le banc parce que tu es numéro 2. Il est certain que Ruffier y va (il est employé du club, il n'a pas le choix. Tiens ce serait un bon motif de licenciement pour les 2 autres) Il est donc évident que Puel ne veut pas. Il veut quelqu'un de malléable.
Ruffier sait très bien qu'en football tout peut aller très vite, blessure, suspension longue durée, covidJe serais curieux de voir l'attitude de Puel à ce moment là.
C l argument que l on connait vraiment ( verifier) qui prouve vraiment que ca vient bcp de Puel qd meme.
Tu ne peux pas refuser un truc qui ne t'a pas été proposé.
Puel dit que Ruffier a refusé d'être numéro 2. Ruffier dit qu'il n'a jamais refusé. On n'y était pas, on ne peut pas savoir.
Sauf qu'on sait que le club aimerait licencier Ruffier et que refuser de se rendre à une convocation est un motif légitime de licenciement. Alors pourquoi le club n'a t'il pas convoqué Ruffier sur le banc pour pouvoir le licencier si celui-ci refusait ?
Donc on a quand même bien une indication de "qui ment" et "qui dit vrai"![]()
Mais plutôt que de partir sur ce débat sémantique, je remets les propos de l'avocate de Ruffier :
" La femme de droit précise, à propos de celui qui a rejoint l’ASSE en 2011 et non retenu pour le stage de Dinard, « qu’il ne lui a jamais été proposé d’être le gardien numéro 2 cette saison » et « qu’il n’a donc jamais pu refuser d’être la doublure de Jessy Moulin ».
https://www.leprogres.fr/sport/2020/08/ ... ssy-moulin
Donc elle est d'accord avec toi : on ne peut pas refuser un truc qu'on ne t'a pas proposé, mais aussi avec nous : il n'a jamais été proposé à Ruffier d'être numéro 2
Sinon ça voudrait dire que Ruffier a conclu que de ne plus être numéro 1 l'éjectait du même coup directement du banc ???
Je pense que c'est l'avocate qui joue sur la sémantique.
Je sais qu'en droit tout ce qui n'est pas clairement explicité, mentionné, dit, affirmé peut-être attaqué comme soupçonné de n'avoir jamais existé ou été pensé, ou voulu. Si tu ne dis pas clairement tes intentions on peut te "suspecter" d'avoir toutes les intentions possibles, même les pires.
C'est quand même un truc dans lequel l'ASSE est dégueulasse. Pour un club historique, on ne marque aucune déférence aux grands anciens et on est incapables de les utiliser comme il faut. Quand tu penses que les seuls anciens un peu en vue sont Sablé et Rocheteau, des personnalités inoffensives dans des rôles secondaires. C'est quand même dommage. On aime ou pas le personnage, mais un Sagnol aurait fait du bien. C'est le joueur de l'ASSE qui a fait la plus grosse carrière depuis des temps immémoriaux, et les années au Bayern, ça doit permettre d'apprendre des trucs intéressants sur le respect de l'institution et des anciens. Quand on pense à ce que ça veut dire un Herbin interdit de séjour. C'est quand même dingue.rouge a écrit : ↑14 déc. 2020, 18:01 L’attitude de la direction envers Ruffier me débecte mais ne m’étonne guère et les mêmes vont nous saouler avec les valeurs vertes
Plus triste certainssupporters ont oublié ce qu’a apporté La Ruff au club malgré son caractère de cochon
Pour les plus jeunes Maître Herbin a subi les ires de la direction et même de supporters![]()
Crois tu que l'intervention médiatique de Debuchy déclenche cette fameuse réunion ?Tryphôn a écrit : ↑14 déc. 2020, 10:31 Un élément qui va tout de même dans le sens d'une vraie tension en interne, c'est la sortie de Debuchy il y a quelques semaines sur le niveau de certains de ses partenaires. C'est quand même quelque chose de particulièrement rare. Si Debuchy l'a fait, c'est clairement qu'il a éprouvé le besoin de l'exprimer publiquement pour être entendu. C'est pas un pétage de plomb mais quelque chose de très calibré. C'est tout de même révélateur d'un certaine ambiance qu'un capitaine et homme de confiance du coach se soit senti obligé d'en arriver là pour être entendu. Il a fallu arriver à ce niveau de tension pour provoquer la réunion qui a permis de changer la trajectoire définie par le coach.
Tryphôn a écrit : ↑14 déc. 2020, 18:11C'est quand même un truc dans lequel l'ASSE est dégueulasse. Pour un club historique, on ne marque aucune déférence aux grands anciens et on est incapables de les utiliser comme il faut. Quand tu penses que les seuls anciens un peu en vue sont Sablé et Rocheteau, des personnalités inoffensives dans des rôles secondaires. C'est quand même dommage. On aime ou pas le personnage, mais un Sagnol aurait fait du bien. C'est le joueur de l'ASSE qui a fait la plus grosse carrière depuis des temps immémoriaux, et les années au Bayern, ça doit permettre d'apprendre des trucs intéressants sur le respect de l'institution et des anciens. Quand on pense à ce que ça veut dire un Herbin interdit de séjour. C'est quand même dingue.rouge a écrit : ↑14 déc. 2020, 18:01 L’attitude de la direction envers Ruffier me débecte mais ne m’étonne guère et les mêmes vont nous saouler avec les valeurs vertes
Plus triste certainssupporters ont oublié ce qu’a apporté La Ruff au club malgré son caractère de cochon
Pour les plus jeunes Maître Herbin a subi les ires de la direction et même de supporters![]()
Et puis Ruffier, il faut aussi comprendre que c'est justement son caractère un peu renfermé et son manque d'ambition qui ont fait qu'il est resté durablement à l'ASSE. C'était une anomalie de garder chez nous aussi longtemps un joueur de ce niveau. Un peu la même chose que Feindouno, avec une personnalité totalement différente. S'il avait eu plus d'ambition, on n'en aurait jamais profité.
Bref, quelques soient les raisons, l'ASSE n'aurait jamais dû en arriver là avec Ruffier.
Le problème c'est que les anciens verts ils sont nombreux et on chacun des visions bien à eux. Et n'oublions pas que le retour d'Herbin ou de Larqué n'ont pas été couronnés de succès, loin de là. Je parle même pas de Sablé hein.Tryphôn a écrit : ↑14 déc. 2020, 18:11C'est quand même un truc dans lequel l'ASSE est dégueulasse. Pour un club historique, on ne marque aucune déférence aux grands anciens et on est incapables de les utiliser comme il faut. Quand tu penses que les seuls anciens un peu en vue sont Sablé et Rocheteau, des personnalités inoffensives dans des rôles secondaires. C'est quand même dommage. On aime ou pas le personnage, mais un Sagnol aurait fait du bien. C'est le joueur de l'ASSE qui a fait la plus grosse carrière depuis des temps immémoriaux, et les années au Bayern, ça doit permettre d'apprendre des trucs intéressants sur le respect de l'institution et des anciens. Quand on pense à ce que ça veut dire un Herbin interdit de séjour. C'est quand même dingue.rouge a écrit : ↑14 déc. 2020, 18:01 L’attitude de la direction envers Ruffier me débecte mais ne m’étonne guère et les mêmes vont nous saouler avec les valeurs vertes
Plus triste certainssupporters ont oublié ce qu’a apporté La Ruff au club malgré son caractère de cochon
Pour les plus jeunes Maître Herbin a subi les ires de la direction et même de supporters![]()
Et puis Ruffier, il faut aussi comprendre que c'est justement son caractère un peu renfermé et son manque d'ambition qui ont fait qu'il est resté durablement à l'ASSE. C'était une anomalie de garder chez nous aussi longtemps un joueur de ce niveau. Un peu la même chose que Feindouno, avec une personnalité totalement différente. S'il avait eu plus d'ambition, on n'en aurait jamais profité.
Bref, quelques soient les raisons, l'ASSE n'aurait jamais dû en arriver là avec Ruffier.