
Peak6 trompe le monde (4)
27/05 19:06
Dans sa dernière édition, le quotidien Les Echos revient sur l'échec des négociations entre l'ASSE et Peak6. Extraits.
"La colère de Bernard Caïazzo n'est pas retombée. "Peak6 a fait preuve de mauvaise foi. On va agir en justice car cela a un impact en termes d'image et crée un vrai préjudice. Avec Roland Romeyer, nous avions monté un programme d'obligations remboursables en actions, mis en sommeil à leur demande depuis quatre semaines. Il sera réactivé."
Si la valorisation du club autour de 50 millions ne semble pas en cause, le fondateur de Peak6, Matthew Hulsizer, aurait refusé de s'engager sur un montant d'investissement conséquent pour les années à venir, contrairement à son compatriote Frank McCourt qui a promis 200 millions à l'OM sur quatre ans. Un "revirement total incompréhensible", selon un proche du dossier, "un amateurisme étrange".
"La confiance a été entachée et on a repris notre liberté. S'il s'agit de faire des investissements à la hauteur de Nice, Bordeaux ou Rennes, avec Roland nous sommes capables de le faire. D'ailleurs nous sommes reconnus comme l'un des clubs les mieux gérés d'Europe, le seul français qui dégage un résultat d'exploitation positif depuis sept ans" affirme Bernard Caïazzo. "L'objectif pour nous est de franchir un cap. On veut un investisseur qui apporte à ce club, au potentiel considérable, les moyens de rentrer dans un Big five à la française et de participer à la Champions League."
Parallèlement à l'examen d'autres offres de reprise, à ce jour toutes d'origine étrangère, Bernard Caïazzo évoque "d'autres sources de financement" pour préparer la prochaine saison. Des Obligations Remboursables en Actions, de l'endettement bancaire ou le recours à un fonds de dette privée comme l'a fait l'été dernier l'ASSE auprès de la société londonienne 23 Capital pour un prêt de 10 millions garanti sur les droits audiovisuels"
IAS, y'a de l'abus !
27/05 17:28

Le week-end dernier, Mediapart a souligné que les IAS (interdictions administratives de stade) frappant les ultras (notamment stéphanois) sont souvent abusives. Extraits.
"Malheureusement, c'est plus facile d'aller en Syrie que de chanter pour vous à Monaco", clamait en 2015 une banderole des Green Angels, un des groupes de supporteurs de Saint-Étienne, après une interdiction de déplacement en Principauté. Instaurée par la loi LOPPSI 2 en 2011, cette mesure prise par arrêté préfectoral interdit l'accès au stade aux supporteurs d'une équipe définie. Depuis, les mesures se multiplient. Barbe fournie, casquette et bermuda, Tom est l’un des responsables des Green Angels. Il raconte : "Récemment, on a été interdits à Strasbourg, Nantes, Lyon, Nice et Marseille. C’est décourageant." À ses côtés, un ami poursuit : "On est des sous citoyens. Vendredi, on se déplace à Montpellier. On est limités à 350, obligés d’y aller en bus et on va attendre des heures sur une aire d’autoroute que les flics nous escortent jusqu’au stade."
Depuis quelques années, l’interdiction administrative de stade (IAS) est venue s’ajouter à la panoplie des contraintes pesant sur les amateurs de football, qui ambiancent les tribunes populaires, virages et kops, défendant une certaine ferveur face au foot-business et ses places à des prix inaccessibles dans des gradins parfois moroses. Introduite par la loi antiterroriste de 2006, cette IAS permet au préfet d’interdire de tribune un individu qui n’a pas nécessairement commis d’infraction, mais dont le comportement laisse penser qu’il représente un risque de trouble à l'ordre public. Cette mesure est venue compléter l’arsenal répressif anti-ultra qui était jusque-là structuré autour de l'interdiction judiciaire de stade, inscrite au Code pénal en 1993 comme une peine complémentaire à une condamnation après une infraction commise dans une enceinte sportive.
"En juillet 2017, j’ai reçu une IAS de 6 mois", témoigne Tom le Stéphanois. 3 mois plus tôt, il faisait partie des 250 supporteurs foréziens ayant violé un huis clos prononcé par la LFP, en occupant les gradins du stade Geoffroy-Guichard lors d’un match face à Rennes. D’habitude, les interdictions administratives de stade sont le plus souvent prononcées pour "usage ou détention d’engins pyrotechniques ou de violences", explique Antoine Mordacq, chef de la Division nationale de lutte contre le hooliganisme. À l’origine, l’IAS ne pouvait excéder 3 mois, mais avec la loi LOPPSI-2 puis la loi Larrivé de 2016, sa durée maximale est désormais de 24 mois, et 36 en cas de récidive. Début avril, 296 interdictions de stade étaient en vigueur en France, dont 166 administratives et 130 judiciaires. Antoine Mordacq tient à nuancer : "Ces chiffres évoluent. Tous les interdits de stade ne le sont pas 24 mois, mais généralement 3 ou 6."
Comme l’énonce le Code du sport, l’IAS sanctionne un comportement d’ensemble ou la commission d’un acte grave. Avant d’être actée, elle doit être soutenue par plusieurs éléments. "C’est souvent un rapport de police, le témoignage d’un stadier, une plainte du club ou la vidéosurveillance », explique l’avocat Pierre Barthélemy. Dans le dossier de Tom, la vidéosurveillance du musée de l’AS Saint-Étienne – par lequel les supporteurs ont pénétré dans l’enceinte pour rejoindre les tribunes et violer le huis clos – a été convoquée. Mais il assure : « Ce n’est pas moi sur la vidéo, mais un ancien président des Green Angels." Un autre avocat défenseur de plusieurs ultras, Thibault Pozzo di Borgo, affirme que les éléments soutenant l’IAS "sont très souvent inexploitables".
James, porte-parole de l’Association nationale des supporters (ANS), estime que les ultras sont des victimes collatérales d’un dispositif les englobant malgré eux. Il dénonce les dérives d’une mesure de prévention détournée en mesure de sanction, non pas fondée sur une infraction, mais sur l’identification d’un supporteur " potentiellement" dangereux. "C’est Minority Report : qu’est-ce qu’il a fait ? Rien, mais il pourrait faire quelque chose." L’interdiction de stade s’accompagne d’un pointage au commissariat. Pour Tom, c’était lors de chaque match de Saint-Étienne. "Cela peut aller jusqu’à 54 pointages en dix mois", compte-t-il.
Pour Me Pozzo di Borgo, l’IAS « est une atteinte à la liberté d’aller et venir. Mais elle n’est pas considérée comme telle par le Conseil d’État qui estime qu’elle n’est pas une atteinte excessive au regard de l'intérêt protégé ». Initialement, l’interdiction de stade était prononcée en attendant la tenue d’un procès judiciaire. Pour l’avocat Pierre Barthélemy, elle est de plus en plus "dévoyée de cet objet". "Dans certains cas, cette mesure administrative intervient après que le juge judiciaire a relaxé le supporteur ou que le Parquet a classé sans suite."
Avant d’être interdit de stade, un supporteur reçoit une note d’intention de la préfecture. Il a ensuite 6 à 10 jours pour présenter ses observations orales ou écrites à cette dernière. "C’est la procédure contradictoire. Elle permet à l'intéressé de se défendre lors d’une audition", expose le policier Antoine Mordacq. Maître Pozzo di Borgo ne partage pas cet avis : "Les personnes ne sont jamais réellement écoutées. Quand le préfet a décidé de prendre la mesure, il le fait." S’il juge son interdiction illégale, le supporteur peut ensuite saisir le juge administratif pour un recours, non suspensif, une procédure qui prend entre un et deux ans. Un rapport sénatorial de 2016 révélait que deux tiers des interdictions administratives de stade contestées étaient annulées, ce que confirment les avocats spécialistes interrogés. Avec un effet pervers contesté : ces annulations ont lieu alors que le supporteur a déjà effectué son IAS.
Pour suspendre immédiatement son interdiction, le supporteur a une autre option : le référé suspension. Pour qu’il soit accepté, il faut qu’il y ait urgence à statuer et des moyens sérieux de contestation. « Or, dans la majorité des cas, le juge estime qu’il n’y a pas d’urgence concernant une personne privée de stade et obligée de se rendre au commissariat à chaque rencontre », regrette Pierre Barthélemy. Récemment, des supporteurs de Saint-Étienne se sont plaints d’une autre restriction de leurs libertés. Après une demande de passeport, un membre des Green Angels s’est vu refuser sa délivrance en septembre 2015. Dans le cadre d’une IAS, rien n’autorise pourtant la préfecture à ne pas remettre son passeport à un individu. "C’est totalement illégal", commente Pierre Barthélemy.
Après la violation du huis clos stéphanois, Tom s’est senti victime d’une sanction injustifiée : "Nous n’avons violé aucune loi de la République, mais une décision de la commission de discipline de la Ligue de football professionnel. Elle s’est saisie de l’affaire et n’a poursuivi personne, son règlement ne prévoyant rien en cas de violation d’un huis clos." Trois mois plus tard, une vingtaine de responsables des groupes ultras Magic Fans et Green Angels sont frappés d’interdictions administratives de stade. Aujourd’hui, cet événement cristallise encore les tensions. "Pourquoi punir les leaders, qui dialoguent avec les différents services du club ?, s’interroge Tom. Même un ancien leader qui n’était pas au stade ce jour-là a été visé."
Mahamadou Diarra, qui occupait le poste de directeur de cabinet du préfet de la Loire au moment des faits, est de son côté formel : "Il n’y a pas eu de ciblage. Ils ont été identifiés par les policiers et les référents hooliganisme sur les lieux." Pourtant, dans le dossier d’un Green Angel, un des éléments produits par le préfet devant le tribunal administratif après la violation du huis clos est le procès-verbal d’une assemblée générale du groupe ultra, contenant le nom des membres du conseil d'administration – donc des leaders. Trois des cinq personnes inscrites sur ce document ont écopé d’une IAS. Interrogé, M. Diarra élude : "Je ne peux pas revenir sur les cas individuels."
Baptiste Lafleuriel prend du galon
27/05 10:30
Le site actufoot nous apprend que l'USJA Carquefou aura un nouvel entraîneur à la tête de son équipe fanion qui opère en R2, en la personne de l'ancien Vert (1995-2001), Baptiste Lafleuriel (36 ans). Il avait en charge jusqu'à maintenant l'équipe réserve. « On veut mettre de la stabilité mais ce n’est pas simple à Carquefou. Il y a deux ans, il était avec les U19. Il fait du bon travail et connaît bien les garçons. Il avait toute la légitimité pour ce poste », déclare le président Anthony Retière.
Breitner à vif
27/05 10:18

Spécialiste du foot allemand, le potonaute Polo Breitner parle de l'échec des négociations sur la vente de l'ASSE dans un entretien paru aujourd'hui sur le blog du Figaro L'Observatoire du Sport Business. Extraits.
"Je suis atterré par l’absence de connaissance et de compréhension des modèles économiques et des contraintes nouvelles liées à la globalisation du ballon rond. Et effrayé relativement par des commentaires populistes, une manière de s'adresser au fans et amateurs comme à des abonnés qui n'ont pas à réfléchir par eux-mêmes, auxquels on délivre des messages assez grotesques. Dans cette histoire comme toujours, il y a un acheteur et un vendeur. Médiatiquement, je n’ai entendu que le vendeur par l'intermédiaire des deux têtes dirigeantes de l’ASSE, chacun nous racontant le pourquoi du comment, nous délivrant ses émotions, nous faisant part de ses états d'âme. C'est un vrai cauchemar, là. Il ne manque plus qu’un rhéteur ou un crieur public de la Rome antique pour expliquer, au jour le jour, l'avancée des tractations ! Lorsqu’on négocie, que je sache, on communique peu, c’est ce que j’ai appris dans les grosses boites françaises pour lesquelles j’ai travaillé. De ce point de vue, les « pros » c’est Peak6, pas les joueurs de tam tam et speakers dans la presse. Cette façon de vouloir se justifier devant la Plèbe et de jouer les indignés permanents...
Quant à l'argumentaire déployé : « on veut sauver les valeurs » -lesquelles ?- « celle d’un club populaire et ouvrier » ? Quelle est la sociologie actuelle des habitants de Saint-Etienne ? Si je me réfère à l’Insee, la part des ouvriers est en nette diminution remplacée par les étudiants, employés, cadres et professions intellectuelles supérieures. Sinon, on peut ressortir le drapeau rouge et monter des barricades, si vous voulez. Autre valeur : « l’image d’un football vertueux qui n'est pas pourri par l’argent » ? On sort les dossiers à quel moment ? On parle des joueurs qui ont mis le bazar à l’ASSE et qu’on a laissé faire car ils avaient une valeur marchande en fin de saison ? Mais de qui se moque-t-on ? Pourquoi s'autoriser à de tels discours surannés et paternalistes ? Avec une part de populisme induit que je trouve assez pitoyable... Saint-Étienne n'est pas une image d'Epinal et le stade ne s'est pas arrêté en 76 ou en 82. C'est un organisme vivant en lien avec une population en mutation. Je veux bien que l'on fasse de la com. mais l'argumentaire a aussi sa place.
En second lieu, je constate l’invraisemblable : les diktats du vendeur. Garder Gasset, la surface financière pour rester dans le Top 5... C’est comme si vous vendiez votre maison puis vous annoncez que « finalement, je reste installé au premier et puis si vous pouviez aussi garder la broderie, ce serait sympa, c’est un souvenir de ma grand-mère ». En face, évidemment, les Américains ne connaissent pas le « business » et sont des peintres ; je rajoute que L’Equipe, sur son site a fait un sondage et qu’il est loin d’être favorable aux propriétaires actuels. Cette « vente manquée » va irrémédiablement laisser des traces car elle a des allures de petit boutiquier beurre œuf fromage. « Felix Potin, on y revient... ou pas ! » Elle n'a pas tenu son rang celui d'un grand club avec des ambitions, un passé, un présent et un avenir.
Enfin, je remarque que beaucoup d’élus se sont exprimés sur le sujet, dans les médias locaux. Idem, on « s’approprie » l’ASSE et on fixe déjà les limites à ne pas dépasser, le « naming », les « valeurs », le « projet Red Bull » ... Ce n’est pas le choc des civilisations mais le choc des cultures qu’on nous ressort. On n’y comprend rien mais ce n’est pas grave, tant qu’on peut flatter l’électorat. C’est de la posture. De mon point de vue, le seul habilité à parler de l’ASSE, c’est le Maire de cette ville, aussi Président de Saint-Etienne Métropole, puisque cette structure administrative est propriétaire de l’enceinte. Mais bon, les politiciens qui courent après le ballon rond pour être sur la photo... C’est monnaie courante : de l'argent des médias et allons-y pour s'exprimer sur un dossier peu ou pas renseigné. Et tant pis si cela crée des malentendus.
Les gens doivent comprendre que le transfert de Neymar, c’est trois ans de chiffre d’affaires réalisé par l’ASSE. Dans ce monde-là, Bordeaux, Lille, Saint-Etienne, Nice, Strasbourg, Rennes, Nantes ne comptent plus comme le football de l’Est où les petites nations n’existent plus. Le FC Cologne a déjà annoncé 80 millions d’euros de budget prévisionnel en 2Liga suite à sa relégation, autant que l’ASSE. Le plus petit chiffre d’affaires de « Büli » se classerait directement derrière le « gros 4 » français. Pire, à périmètre constant, dans deux-trois ans, la moyenne du CA généré par un club de 2Liga sera l’égal de celui d’un club de L1 si vous enlevez le PSG, l’ASM, l’OL et l’OM. Je me suis égosillé à l’expliquer à certaines personnes du football français, sur le moment, ils sont interloqués mais derrière il ne se passe jamais rien.
J’ai eu le privilège de rencontrer plusieurs fois le Président Bernard Caïazzo, ou d’échanger avec lui, et même si je suis toujours méfiant avec un homme d’affaires, je comprends ses doutes lorsqu’il ne sait pas comment passer de 70 à 100 millions d’euros de recettes. Le Président d’Hanovre 96, Martin Kind, a la même problématique. Donc si la surface financière des propriétaires ne permet pas un développement, il vaut mieux vendre, ou s’endetter ou alors renoncer à être compétitif."
Jean-Guy va bosser en Beauce
27/05 10:07
Jeudi dernier, Jean-Guy Wallemme était à Chartres pour prendre le pouls de son futur club le C'Chartres Football. En effet, l'ancien Vert (1999-2001) quitte Dieppe qu'il a maintenu en N3 pour rejoindre le club chartrain issu de la fusion entre le FC Chartres et Chartres Horizon. Il y retrouvera un autre ancien Stéphanois, Gérard Soler, nouveau président de ce club.
Jean-Guy Wallemme précise, dans L'Echo Républicain du 24 mai, que rien n'est encore officiel : "Jusqu'à récemment, rien n'était sûr, j'ai eu d'autres offres. Maintenant, c'est quand même bien engagé…"
Le quotidien ajoute qu'il n'oublie pas les Verts :".....En revanche, sans oublier de poser pour la photo avec deux supporters de Saint-Étienne, un de ses anciens clubs."
Compan fier à Hyères
27/05 09:42

Alors que l'ASSE n'a toujours pas officialisé son départ, le nouveau entraîneur du Hyères FC Lilian Compan s'est confié sur le site officiel de son "nouveau" club. Extraits.
"C'est une grande fierté de revenir dans ma ville natale et dans ce club qui m'est cher. Je sais que cela va être un challenge compliqué et que je serai attendu. Je suis parti assez jeune mais j'ai toute ma famille ainsi que tous mes amis à Hyères. Lorsque les dirigeants m'ont contacté j'avais le sourire, la banane. C'est donc tous ces éléments qui m'ont incité à revenir au Hyères FC dans l'idée de faire progresser ce club. Il faudra que je sois très clair dans mes idées et mes objectifs.
A court terme, l'objectif c'est le maintien en National 2. Maintenant, c'est un championnat qui est difficile. Si nous arrivons à être dans la première partie de tableau et à pouvoir jouer les trouble-fêtes, nous les jouerons. Chaque année dans ce championnat une équipe ne joue pas forcément la montée alors pourquoi pas nous ? Je suis un coach plus basé sur l'aspect offensif, tout en étant concentré sur l'aspect défensif. Dans mon style de jeu, l'objectif est de marquer un but de plus que l'adversaire quitte à en prendre."
Le Dieu des duels
27/05 08:52

Loïc Perrin, qui aura l'âge du Christ le 7 août prochain, est déjà le dieu du duel. Si son apport offensif a été quasi nul cette saison (0 but, une passe décisive), le capitaine stéphanois est le meilleur joueur de l'élite en un contre un selon Opta. Avec 69,5% de duels remportés, il devance Marquinhos (67,5%), Yuri Berchiche (67,2%) complétant le podium. Deuxième joueur stéphanois, Neven Subotic est 27e à ce classement (61,8 %). Kevin Monnet-Paquet (32,4%) fait quant à lui partie des joueurs ayant remporté le moins de duels cette saison de L1...
Mettre le Paquet pour garder Gasset
27/05 08:25
"La volonté des dirigeants actuels est de conserver leur coach miracle. À cet effet une rencontre entre Jean-Louis Gasset et Frédéric Paquet est programmée lundi" nous rappelle la dernière édition du Progrès. "Reste à convaincre l’ancien adjoint de Laurent Blanc qu’il aura des moyens à sa disposition. En clair un effectif semblable à celui qu’il a dirigé pendant cinq mois, plus de vrais renforts dont au moins un grand attaquant."
Romeyer revigoré
27/05 08:04

"Jusqu’à ces derniers jours, Roland Romeyer semblait plus décidé que Bernard Caïazzo à tourner la page. Mais les marques de sympathie qui lui ont été témoignées après l’annonce de la vente l’ont fait chavirer. Et depuis vendredi et la fin des négociations, il paraît revigoré aux yeux de ses proches" souligne aujourd'hui Le Progrès. "En restant aux affaires, le président du directoire, même s’il a nommé un directeur général, Frédéric Paquet, protège aussi des hommes dont il est proche au club, Dominique Rocheteau, Thierry Cotte, Gérard Fernandez entre autres. Leur avenir en vert était menacé par la réorganisation promise par les Américains."
Lazard fait bien les choses ? (11)
27/05 07:55

Selon la dernière édition du Progrès, "deux nouveaux dossiers ont été déposés auprès de la banque Lazard qui analyse les propositions des repreneurs. Ceux qui avaient été écartés par le choix de Peak6 ne se sont pas remanifestés après cet échec et il faudra bien au moins un mois pour que les choses avancent à nouveau. Donc pas de vente avant la fin de l’été… Ou de la saison."
Peak6 trompe le monde (3)
27/05 07:49
Le Progrès du jour revient sur l'affaire Peak6. Extraits.
"Si la société n’est pas à proprement parler un fonds d’investissement, elle fonctionne comme telle et à ce titre regroupe des capitaux de gens n’ayant souvent aucun rapport entre eux, mais décidés à partager les coûts et bénéficier des avantages de placements. Peak6 est ainsi centré sur les services financiers, la gestion des risques et d’actifs sur les marchés boursiers. Ce sont les actionnaires qui auraient bloqué le processus du rachat du club.
C’est le raisonnement tenu par Stéphane Tessier, ancien directeur du club stéphanois. "Dans le monde des fonds d’investissement, il y a des intermédiaires qui vont trouver un deal avec un vendeur. C’est ce qu’a fait Jérôme de Bontin. L’affaire est ensuite présentée aux actionnaires". Ce serait donc ces derniers qui devant l’incertitude du placement auraient revu leur investissement à la baisse.
Une autre source, du côté de Monaco, rapporte que les avocats du fonds ont, dès le début de la semaine conseillé de ne pas acheter. Des partenaires du groupe auraient reculé après avoir compris que l’ASSE ne terminerait pas 5e ce qui lui aurait ouvert les portes de la Ligue Europa avec une vingtaine de millions à la clé. On évoque cette position pour un groupe russe, déjà présent à Bournemouth avec Matt Hulsizer, mais Bernard Caïazzo affirme n’en avoir jamais entendu parler.
Bernard Caïazzo prônait une autre solution qu’une reprise du club, l’emprunt comme nombre d’entreprises pour s’agrandir ou investir. Les actionnaires s’étaient rapprochés de Sports Value, la société dirigée par Nicolas Blanc. Dans le cas de l’ASSE, on s’orienterait vers un recours à des obligations. Cette option avait été mise de côté, selon l’exigence de Peak6 et cette condition du deal est jugée aujourd’hui pénalisante, d’où un recours en justice annoncé."
Petkovic fait une croix sur Lacroix
26/05 21:33

Sans surprise vu sa médiocre saison à l'ASSE puis au FC Bâle, Léo Lacroix ne fait pas partie des 26 joueurs suisses présélectionnés hier par Vladimir Petkovic pour la Coupe du Monde alors que l'expérimenté Gelson Fernandes (31 ans) est sur la liste. Convoité par le Stade de Reims de David Guion selon la Pravda, le milieu de terrain de l'Eintracht Francfort espère faire partie des 23 qui s'envoleront pour la Russie.
Adrian Adam redevient occitan
26/05 18:52
Adrian Adam, qui avait quitté Montauban malgré le conseil de Lino Ventura, vient de revenir dans sa région natale. Celui qui avait un bref passage à l'ASSE durant la saison 2016-2017 (11 matchs en CFA2, 1 but) quitte Bergerac pour rejoindre Balma (N3). Un club de plus pour ce jeune joueur né en 1995, qui a déjà porté les couleurs de Toulouse, Valenciennes, Nice, et des clubs belges de Charleroi, Patro Eisden et Seraing.
Avant les planches, Neven s'épanche
26/05 18:42

Neven Subotic a joué hier au théâtre Mond Palast de Herne (entre Gelsenkirchen et Dortmund) dans la pièce "Des zerdepperte Pott" et présenté dans la foulée les futures actions de sa fondation. Juste avant de monter sur les planches, le défenseur central stéphanois s'est confié au magazine allemand Revier Sport. Extraits.
"Je prépare mon entrée en scène comme je le fais toujours avant les grands matches. Une nervosité saine en fait partie intégrante, peut-être qu'elle est encore plus forte maintenant. C'est une nervosité différente de celle d'avant la finale de la Ligue des Champions. Je n'ai jamais fait ça à l'école par exemple. Lorsque la demande est arrivée, j'étais sceptique au début. Mais c'est une bonne cause, alors je suis toujours prêt pour cela. Je suis impatient d'y être. C'est une opportunité que tout le monde n'a pas dans sa vie.
C'est l'occasion ensuite de parler de ma fondation. Nous donnons aux enfants d'Ethiopie un accès à l'eau potable pour éviter qu'ils prennent beaucoup de temps et d'énergie pour aller la chercher. Comme ça ils pourront se consacrer à l'école et à leur avenir.Nous avons prévu de construire 58 puits pour cette année. Cependant, nous dépendons des dons pour financer nos actions. Mais maintenant que la saison est terminée en France, j'ai plus de temps à consacrer à ce projet.
Est-ce que je suis satisfait de ma première saison en France ? Pour nous ça reste une bonne saison vu la situation dans laquelle était le club à la trêve hivernale. Saint-Etienne occupait la 16ème place mais on est bien remonté. C'est difficile car le championnat de France est très équilibré sauf pour la première place. Nous étions encore en course pour la sixième place en fin de saison. C'est agaçant que notre mauvaise différence de buts héritée de la phase aller nous ait coûté une qualification européenne. J'aurais aimé jouer la Coupe d'Europe.
Je suis toujours aussi proche qu'avant de Dortmund, sauf que je ne suis plus dans les vestiaires.Le Borussia est toujours mon club et cela ne changera pas. En tant que fan, c'était une saison éprouvante. C'était difficile à regarder, surtout parce que Schalke est devant nous. Je ne sais pas quand ce fut le cas la dernière fois, mais en tant que supporter de Dortmund ça m'a fait beaucoup de mal. Cela ne devrait tout simplement pas arriver !Nous avons maintenant un quatrième entraîneur en 13 mois. Quand la stabilité fait défaut, c'est difficile de former une équipe.
À l'époque, Jürgen Klopp s'est très bien débrouillé. Il a eu le temps, la confiance et a pu mener à bien son projet. Cela n'était pas le cas ces derniers mais heureusement la venue de Lucien Favre va être bénéfique, le club souhaite se réinscrire dans la durée. J'espère que Lucien Favre pourra refaire du Borussia le chasseur du Bayern. Je l'apprécie en tant qu'entraîneur. Il ne vient pas seulement à Dortmund, il vient pour s'investir dans le club."
Revelli et Blachon montent en National 1 (2)
26/05 15:37

En conférence de presse, les deux anciens adjoints de Galette ont commenté leur arrivée à Cholet (National 1).
Romain Revelli :
"Au départ je suis un formateur, un adjoint. Mais avec ma personnalité, mon envie, j’ai décidé d’être entraîneur numéro un. Je l’ai été à Evian puis à Andrézieux. J’avais énormément de sollicitations pour retourner dans des centres de formation mais je garde mon cap. J’aime diriger, j’aime avoir mes joueurs, j’aime m’entraîner. C’est mon métier, c’est ma vie, c’est ma passion. Je veux entraîner une équipe une. Cholet, c’est une bonne étape. Le National 1 est un championnat vraiment intéressant pour moi. C’est bien mon niveau, j’ai envie de diriger à ce niveau-là. Je me suis bougé pour passer tous mes diplômes dont le plus important permettant de diriger des professionnels.
J’ai forcément beaucoup appris à Saint-Etienne sur le terrain. Mais en étant formateur, c’est presque nous au départ qui avons la meilleure connaissance des méthodes d’entraînement. J’ai franchi encore un pallier. Ça n’a pas trop mal marché car je suis resté quatre ans entraîneur adjoint de l’équipe une. J’ai appris des détails sur le terrain, tous les codes du football professionnel. J’ai côtoyé des joueurs de haut niveau et j’ai appris à les manager. Tout va plus vite. Il y a plein de détails dans la préparation tactique et mentale des matches. Je me suis senti bien là-dedans. Ça m’a beaucoup apporté, j’ai gravi des échelons.
Ma collaboration avec Alain Blachon remonte à loin. J’ai été joueur aspirant et stagiaire au centre de formation de l’ASSE de 1992 à 1998. Alain m’avait recruté alors que je jouais pour les Arméniens de Valence. Il a été mon formateur. On s’est retrouvé dans un club amateur, au Puy, où il m’a une nouvelle fois tendu la main. En 2007, il a réintégré l’ASSE à la direction du centre de formation et il m’a retendu la main, j’ai pris les U17 nationaux. En 2011, il était adjoint et il y avait besoin d’un autre adjoint, je l’ai rejoint dans le staff des pros. Aujourd’hui, la moindre des choses, c’était de tendre la main à ma petite étoile et de ramener Alain dans le football de haut niveau."
Alain Blachon :
"Romain Revelli prolonge ma première vie. Quand on est entraîneur, c’est une vie de passion, de joie, plein de bonheur. C’est une vie vraiment particulière. Et quand ça s’arrête, c’est une petite mort comme disent les joueurs. Romain prolonge ce petit bonheur donc j’en profite au maximum. Il y a eu des choses qui ont fait basculer le choix de Romain sur ce club. Il y a deux personnes que j’ai eues comme joueurs qui appartiennent à ce club [ndp2 : le directeur administratif Christophe Fayard et le responsable du recrutement Yassine Kernou]. Ils sont Stéphanois donc, on les connaît bien, on a travaillé avec eux.
Il faut savoir que Romain est parti à la dernière journée de championnat avec Andrézieux. Il avait pour intention de rester mais pour diverses raisons, respectables et respectées par tout le monde, Romain a décidé de demander sa liberté, de partir. A partir du moment où il a été libéré, plusieurs clubs se sont présentés à lui, d’autres clubs de National et de L2. Christophe et Yass’, qui nous connaissent depuis l’âge de 15 ans, ont des rapports privilégiés avec Romain et avec moi, ils nous ont donné envie de venir. On n’a jamais cessé d’être en contact. Il ne faut pas penser que Romain depuis quelques temps avait la tête ailleurs comme ça s’est dit."
Oussama au sommet
26/05 09:44

Oussama Tannane est selon Opta le joueur de l'élite qui a le meilleur ratio de tirs cadrés cette saison (85,7%). L'international marocain devance Christopher Nkunku (65%), Robert Beric (60%) étant sur la troisième marche du podium. En bas de tableau, Loïc Perrin affiche un piètre 15,4% mais c'est toujours mieux que Léo Lacroix, qui n'a pas attrapé le cadre une seule fois en huit tentatives...
Gasset a les boules
26/05 09:12
Photo à l'appui, Le Midi Libre nous apprend que Jean-Louis Gasset était ce mercredi à Palavas-les-Flots en tant que parrain du championnat de France de pétanque des journalistes sportifs. Reste à savoir si l'entraîneur stéphanois, qui rencontre après-demain ses dirigeants, se tire ou se pointe la saison prochaine...
Le Chambon à l'horizon !
26/05 08:37

Comme il l'avait évoqué le 30 avril, Le Progrès confirme aujoud'hui que les Verts seront en stage de reprise au Chambon-sur-Lignon du 30 juin au 5 juillet. Ils séjourneront comme d'habitude à l'Hôtel Bel Horizon de l'ancien joueur stéphanois Guillaume Chazot et s'entraîneront sur le terrain de la commune altiligérienne, qui a été réhabilité et préservé à la demande de Roro.
Tessier est scié
26/05 08:23

Stupéfait par les rumeurs lancées par But ! et Evect, Stéphane Tessier nie être impliqué avec l'ex-président stéphanois Thomas Schmider dans un projet de rachat de l'ASSE.
"Nous n’avons fait aucune démarche dans ce sens.Si cela avait notre intention, nous aurions prévenu Roland Romeyer et Bernard Caïazzo. Cela dit, si des investisseurs locaux se montraient intéressés, nous ne fermerions pas la porte" déclare l'ancien DG de l'ASSE dans Le Progrès du jour.
Roro a repris la main
26/05 08:09

Après que le rachat de l'ASSE par Peak6 a capoté, Roland Romeyer se veut rassurant et offensif dans la dernière édition du Progrès.
"On est toujours en contrat avec la banque Lazard en charge de nous trouver un investisseur. On cherche toujours des actionnaires, afin d’avoir une surface financière plus importante. On est toujours sur la même longueur d’ondes. C’est la banque Lazard qui gère le dossier. Nous sommes fin mai, le championnat reprend mi-août. La vente de Marseille a été concrétisée fin août la saison dernière, ce qui n’a pas empêché l’OM de réaliser une très belle saison. L'ASSE continue de fonctionner comme nous le faisons depuis la fin de l’année 2017 avec un directeur généra en charge du quotidien, Frédéric Paquet, et deux actionnaires majoritaires. Les responsables de PEAK6 nous avaient demandé l’exclusivité dans les négociations afin de pouvoir constituer un dossier. On avait tout gelé, c’est pour cela que l’on était un peu remonté car on a subi un préjudice. Cela nous fait prendre du retard mais on a continué à travailler en parallèle sur les dossiers concernant le staff, les joueurs, sans prendre de décisions. On a repris la main, on va pouvoir finaliser. On va s’arranger pour trouver des moyens fijnanciers. Il y a deux possibilités : soit on vend, soit on part sur un endettement en contractant un emprunt."
Gastón, y'a le téléphone qui sonne ?
25/05 22:50

Selon la radio italienne Rete8, le milieu de terrain urugayen Gastón Brugman (25 ans) intéresse l'ASSE mais aussi Nice, SPAL et l'Eintracht Francfort. Capitaine de Pescara, cet ex-coéquipier de Jean-Christophe Bahebeck a claqué 7 pions en 41 matches de Série B cette saison.
Bamba plante bien à Bienne
25/05 22:19

Huit minutes après son entrée en jeu, Jonathan Bamba a marqué le but égalisateur de l'équipe de France Espoirs contre la Suisse ce soir en amical à Bienne. Malgré son 4e pion claqué en 11 matches disputés avec les Bleuets, le numéro 14 de l'ASSE s'est incliné à cause d'une boulette du vilain récidiviste Mouctar Diakhaby...
Peak6 trompe le monde (2)
25/05 20:09
Sur France Bleu, Nanard a expliqué ce soir que Peak6 a trompé son monde.
"Peak6, c'est l'histoire de gens qui ne tiennent pas leurs engagements, de gens qui sont sans foi ni loi, malheureusement. Roland et moi, ce n'est pas notre façon de faire. Tant mieux que ça se soit arrêté. Ces valeurs-là, c'est pas les nôtres ! Quand on rentre en négociations exclusives, ça veut dire que les autres prétendants, on ne discute plus avec eux. Mais ça veut dire aussi qu'on connaît toutes les bases. Les bases financières sont définies à l'avance, écrites. Les négociations exclusives servent simplement à préparer les contrats, à vérifier des éléments simples à vérifier. On avait deux gros cabinets d'avocats. D'un côté le cabinet qui a traité la vente aux Qataris qui nous représentaient nous, eux avaient aussi un cabinet d'avocats de très bon niveau. Mais la condition, c'est de respecter les principes, les engagements définis à l'avance !
Quand on s'est rendu compte Roland et moi que ce n'était pas le cas au niveau de Peak6... L'investissement à mettre effectivement dans le club était bien inférieur à ce qui avait été promis. On nous parlait de concurrencer l'OL, Monaco, l'OM avec des investissements très importants. Et là, quand on a vu les investissements qu'ils étaient réellement prêts à mettre, on a été extrêmement choqués par cette façon de faire les choses. C'est un manque d'ambitions. Si c'est pour laisser l'ASSE à des gens ambitieux qui mettent des gros moyens, d'accord. Mais si c'est pour laisser l'ASSE à des gens qui vont mettre les mêmes moyens qu'à Nice, Rennes ou Bordeaux, des moyens que nous aussi on peut arriver à mettre, ce n'est pas du tout le projet ambitieux sur lequel on s'était mis d'accord.
Le deuxième point, la goutte d'eau qui a fait déborder le vase, c'est quand ils nous ont dit : "il va falloir prévoir des indemnités pour le licenciement de Jean-Louis Gasset", qui a encore un an de contrat. Et ça pour nous, c'est les valeurs historiques de l'ASSE, il est hors de question de les bafouer. Pour nous, ça a été une fin de non recevoir totale. Même s'ils avaient mis 300 M€ d'euros sur la table, ça aurait été une fin de non recevoir parce que nous ne lâcherons pas Jean-Louis Gasset. Jamais nous ne lâcherons un coach qui nous a permis de faire des résultats ayant permis de sauver le club. Nous ne faisons pas passer l'argent avant des valeurs humianes. Cela n'existe pas dans la région dans laquelle nous sommes.
A partir de là, Roland et moi, nous avons décidé d'arrêter toute négociation, toute discussion, dans le sentiment d'une sorte d'abus de confiance. J'ai l'impression qu'on a été bernés. Nos avocats estiment qu'on peut agir en justice pour des raisons de mauvaise foi. On va étudier ça. Les Kuperfils, nos avocats qui s'étaient occupés de la vente du PSG aux Qataris, nous ont dit qu'on a tous les éléments pour faire un recours en justice, qui sera un recours de préjudice et d'indemnités.
On va relancer toutes les recherches de financement qu'on avait été obligé d'arrêter il y a trois semaines, à la demande de Peak6. A la demande de Peak6 ! Cela aussi est un préjudice, et là on a les documents écrits où ils nous avaient demandé d'arrêter toute autre approche financière. Aujourd'hui, il y a deux autres investisseurs étrangers qui sont entrés en contact avec la banque Lazard. On va voir ce qui va se passer à ce niveau-là. Au niveau du club, le coach sera rencontré lundi et à partir de là on va construire notre projet.
Roland et moi, on est toujours sur la même longueur d'onde. Encore plus aujourd'hui ! Ce qui s'est passé là renforce encore plus nos liens. Tous les deux on se dit, c'est nous qui avons la responsabilité du club. C'est un peu comme le père et la mère par rapport aux enfants. Quand on prend Roland et moi ce genre de situation qui fait mal, ça nous renforce, car on a encore plus conscience que c'est notre attachement au club qui nous unit. On a comme un enfant en commun. C'est notre repsonsabilité de le protéger et de le faire grandir, de l'aimer. Aujourd'hui Roland et moi on se sent bien."
Neven s'invite à Witten
25/05 07:31

De retour dans la Ruhr, Neven Subotic sera ce dimanche à Witten au Rally du Rotary au milieu de 80 voitures anciennes afin de récolter des fonds pour sa fondation, comme le rapporte la dernière édition du quotidien régional allemand Westdeutsche Allgemeine Zeitung.
Geiger au service du Servette
25/05 07:01

Le Servette de Genève (D2 suisse) a officialisé hier la nomination d'Alain Geiger (57 ans) au poste d'entraîneur. L'ancien défenseur central des Verts a signé un contrat portant sur deux années avec une année supplémentaire en option en cas de promotion en Super League.
"C'est le club où j'ai le plus joué. Je sais ce que je dois au Servette et je suis là pour rendre à ce club tout ce qu'il m'a apporté. Le Servette est une institution du foot suisse, c'est certain. Mais aujourd'hui, il n'est que troisième de Challenge League, à 23 points du promu, Xamax. Cela signifie qu'il y a un réel chantier, notamment sur le plan sportif" déclare dans La Tribune de Genève l'ancien joueur de la Nati (112 sélections).
Valette joue la prolongation
25/05 00:50

En fin de contrat le 30 juin prochain et courtisé par plusieurs clubs de L1 et L2, Baptiste Valette devrait finalement prolonger comme il l'espérait son contrat au Nîmes Olympique. Selon la dernière édition de la Pravda, le promu gardois devrait proposer dans les prochains jours un contrat de deux ans (plus une année en option) à l'ancien gardien numéro 3 des Verts.
Peak6 ? Dead !
25/05 00:31
C'est mort, le groupe américain Peak6 ne rachètera pas l'ASSE comme l'a confié jeudi soir Nanard puis le club. La Pravda de ce vendredi donne quelques précisions. Extraits.
"L'investisseur américain aurait signé une lettre d'accord pour un prix d'achat légèrement supérieur à 30 M€, loin des 80 M€ espérés à l'origine par les propriétaires actuels. Les résultats de l'audit interne et la faiblesse de l'actif joueurs auraient-ils convaincu Peak6 de renégocier encore le prix à la baisse. C'est envisageable. Jean-Louis Gasset a les faveurs de Romeyer et Caïazzo pour poursuivre la saison prochaine alors que Jérôme de Bontin avait d'autres idées. Il comptait confier les rênes de l'équipe au Brésilien Ricardo, ancien entraîneur du PSG, de Bordeaux et de Monaco. Un rendez-vous a même eu lieu la semaine passée sur la Côte d'Azur avec Ricardo."
Peak6 trompe le monde
24/05 23:40
Nanard, qui n'avait pas tari d'éloges sur Peak6, certifiait en début de soirée que les négos n'étaient pas interrompues. Il déclare désormais qu'elles le sont car le groupe américain trompe le monde !
"Nous avons le sentiment avec Roland Romeyer que les investissements de Peak6 ne sont pas conformes à ce qui était prévu et, surtout, qu'ils ne correspondent pas à l'ambition que nous avons pour l'AS Saint-Étienne. C'est pour cela qu'il n'y a pas d'issue positive aux négociations exclusives avec Peak6 et que nous avons décidé, avec Roland Romeyer de reprendre notre liberté. Pour nous, il y a un vrai problème de bonne foi" a confié ce soir le président du conseil de surveillance à la Pravda.
Dans la foulée, le club a publié un bref communiqué sur son site officiel.
"L'AS Saint-Etienne a décidé de cesser toute discussion et négociation avec le groupe américain Peak6. Les investissements prévus par Peak6 dans le club ne correspondent pas aux engagements pris de faire de l'ASSE un club pérenne et ambitieux. Les actionnaires actuels comme le club subissent un préjudice important liée à des engagements non tenus. Leur sentiment est que les valeurs historiques de l'ASSE n'ont pas été respectées."
Roro contre Ricardo ?
24/05 23:04

Sur le plateau de L'Equipe TV, le journaliste Bilel Ghazi a expliqué ce soir pourquoi la vente de l'ASSE à Peak6 risquait fort de capoter.
"Cet après-midi, certains salariés de l'ASSE ont reçu un courrier pour leur signifier que le processus de vente était en phase d'arrêt. Aujourd'hui, tous les signaux sont négatifs même si certains acteurs de la négociation espèrent encore lever les problématiques. Plusieurs points entraînent des divergences. L'un d'entre eux concernent la valorisation du club, qui était initialement de 40 M€. Un autre point d'achoppement concerne le projet sportif. Le groupe américain avait pour projet de ne pas reconduire Jean-Louis Gasset mais de nommer Ricardo, l'ancien entraîneur de Monaco que Jérôme de Bontin avait connu dans la Principauté. Mais les présidents stéphanois, notamment Roland Romeyer, souhaitent garder leur mot à dire sur les orientations sportives et garder une sorte d'ADN. C'est une chose qui ne leur a pas du tout plu. C'est très mal parti pour que cette vente se conclue."
Anto chez Coco !
24/05 22:38

Le FC Metz a officialisé en cette fin de soirée l'info donnée dans la journée par la radio lorraine Direct FM : Frédéric Antonetti s'est engagé pour trois ans avec les Grenats, relégués en Ligue 2 en dépit de saison pleine de leur capitaine Renaud Cohade.