
RIP André Castel
25/04 14:42
Le site des Canaris nous apprend que l'ancien gardien de but Stéphanois André Castel (1971- janvier 1973) est décédé le 4 avril dernier à l'âge de 75 ans. Retour sur son passage à l'ASSE grâce au site Sur la route des Verts :
Après son transfert à l'ASSE, André Castel ne revenait toujours pas de son arrivée dans le Forez : "Lorsqu’on est venu me dire à Nantes que M. Garonnaire souhaitait me voir pour me faire signer à Saint-Etienne, j’ai d’abord cru à une mauvaise plaisanterie. Pensez, il était plus de 23 heures ! J’avais joué un match l’après-midi avec Laval contre Le Mans et j’étais couché. Je ne pouvais croire qu’un club comme Saint-Etienne puisse s’intéresser à moi. Enfin, je me suis levé et j’ai rejoint M. Garonnaire à son hôtel. Là, il m’a effectivement confirmé la nouvelle. J’ai mis un certain temps, je l’avoue, à réaliser. Pour moi, c’était tellement inespéré, inattendu, un rêve."
Désireux de posséder deux bons gardiens de but, Roger Rocher demande à Pierre Garonnaire, le recruteur attitré des Verts, de prendre contact avec plusieurs gardiens. Sur les trois noms que lui présente ce dernier, Roger Rocher jette son dévolu sur André Castel. "Notre préférence va à Castel, actuellement à Laval qui est désireux de venir chez nous. Il nous reste à nous mettre d’accord avec lui." dit le président Stéphanois. Rachid Mekloufi, de passage à Saint-Etienne conforte le président stéphanois dans son choix : "Vous pouvez le prendre. D’abord parce que c’est un excellent gardien. Ensuite parce qu’il a la baraka." Il se souvient encore d’un Saint-Etienne-Nantes (3-3) au stade Geoffroy-Guichard le 9 octobre 1966. Ce jour-là, André Castel avait effectué un grand match malgré ses trois buts encaissés.
Alors qu’il a débuté la saison en National avec Laval, André Castel fait un voyage éclair à Saint-Etienne. L’entrevue avec les dirigeants stéphanois se passe bien et les deux parties se mettent d’accord sur les modalités du futur contrat. Pourtant, il repart à Laval sans donner son accord. Il ne souhaite pas quitter la Mayenne sans que son club lui ait trouvé un remplaçant. Ce qui sera fait avec la signature de Jacques Rose. Il part l’esprit libéré et paraphe, à 28 ans, un contrat de 2 ans avec l’AS Saint-Etienne. Remplaçant de Gérard Migeon, André Castel profite de la blessure du titulaire pour disputer 26 matchs sous le maillot vert. Lors de l’intersaison, Gérard Migeon demande à quitter le club. André Castel a enfin l’opportunité d’être le numéro 1 en Division 1. C’est sans compter sur l’arrivée d’un grand gardien en provenance de Yougoslavie : un certain Ivan Curkovic. Déçu, il accepte malgré tout de repartir pour une saison comme remplaçant. Mais las de cirer le banc de touche, il quitte définitivement le club en janvier 1973.
Saliba, le talent à l'état pur !
25/04 14:17
Deux jours après sa prolongation de contrat, 20 minutes consacre un article à William Saliba qui a préféré rejoindre l'ASSE au lieu de Troyes en 2016 ! Extraits :
"Rester à Saint-Etienne pour vivre une saison complète en Ligue 1 est un super choix, souligne Jean-Luc Vannuchi, le sélectionneur de l’équipe de France U18. Il n’a pas cédé aux sirènes de clubs étrangers comme ont pu le faire tant d’autres jeunes joueurs avant lui."
"William était le chouchou de tout le monde au club. Au collège, il était le premier à faire des bêtises car il aimait bien faire rigoler les autres. Dans notre équipe, c’était à la fois le plus grand et 'le plus bébé dans la tête'' se souvient Fabio Frasconi qui l'a entraîné deux saison à l'AS Bondy. Avant de continuer : "Il a toujours eu une telle envie de gagner que quand on était menés, j’avais l’impression qu’il se transformait en ''Super Saiyan'' comme dans Dragon Ball Z, se marre Fabio Frasconi. C’est simple, au futsal, il récupérait le ballon derrière puis il dribblait tout le monde avant d’aller marquer. Mais les clubs pros ne croyaient pas encore en lui." Et de continuer : "Une fois stabilisé en défense centrale, il est devenu monstrueux. Même quand il était pressé par trois joueurs, il n’avait jamais peur. Et puis si ça tournait mal pour son équipe, il passait en attaque où il mettait une pagaille énorme, en marquant ou en provoquant un penalty."
Jean-Luc Vannuchi qui n’a pu s’appuyer sur William Saliba que lors du tournoi de Limoges en septembre avec les U18 tricolores ne tarit pas d'éloges à son égard : "Il dégageait une telle force et un tel charisme que j’en avais tout de suite fait mon capitaine. Il avait été le seul à faire jeu égal avec les Anglais et dans les deux autres matchs, il donnait l’impression déjà d'être un senior au milieu des juniors. Dans l’impact et les accélérations avec ou sans ballon, c’est une machine de guerre, une force de la nature, un monstre. Quand il démarre une action, on sent qu’il va aller au bout. Il est capable de parcourir 40 mètres avec le ballon sans que personne n’ose se mettre sur son chemin. Son double surclassement en équipe de France ne m’étonne pas du tout. J’ai peur de ne jamais le revoir."
Bergessio voit double puis rouge
25/04 07:43

Grâce à un doublé de Gonzalo Bergessio, le Nacional a arraché à la 94e minute un spectaculaire match nul 4-4 le week-end dernier lors de la 10e journée de D1 urugayenne. Le potonaute osvaldopiazzolla nous explique pourquoi Lavandina a été expulsé dans la foulée. "L'entraineur adverse a dribblé un des joueurs avec la semelle pour gagner du temps, ce type de dribble se dit "pisar" en espagnol (ce qui veut dire marcher dessus). Bergessio le chambre juste après avoir égalisé, en lui disant "vas-y, refais ton dribble maintenant, bouffon".
Le Bouquet final
25/04 07:17

Actuel directeur sportif de Blois, qui lutte avec Le Puy et Andrézieux pour monter en National 1, l'ancien milieu de terrain stéphanois Maurice Bouquet revient aujourd'hui dans Le Progrès sur son fameux but victorieux contre Toulouse marqué deux minutes après son entrée en jeu le 22 août 1992.
"Je m’en souviens très bien, c’était une frappe sans calcul, sans contrôle avec un brin de chance aussi. J’avais la sensation d’avoir répondu au coach. Tiens, je t’amène la réponse. J’ai encore des frissons lorsque j’évoque cette action. Je ne m’entendais pas avec le coach [ndp2 : Jacques Santini], je sortais d’une saison compliquée. Alors ce but, ce but une bouffée d’oxygène. Maintenant, on marque de moins en moins sur des frappes de loin. Moi, c’était ma marque de fabrique."
Avec Martigues, Momo avait en effet marqué un but similaire à son ancien coéquipier brestois Bernard Lama au Parc des Princes.
Juju la juge meilleure
25/04 07:01
Dans la dernièrev édition du Progrès, Julien Sablé estime que la génération actuelle des U19 est meilleure que celle qui avait remporté avec lui la dernière Coupe Gambardella en 1998.
"Mentalement et athlétiquement, on était redoutable. On défendait tous comme des chiens. On avait une équipe de guerriers, avec aussi du talent, des principes de jeu qu’on répétait depuis trois ans avec notre entraîneur, Gérard Fernandez. On pratiquait un football pragmatique qui reposait sur des individualités très fortes et du jeu de transition avec deux flèches sur les côtés (Mendy et Lafleuriel) et un finisseur qui s’appelait Pape Thiaw. Au milieu, avec N’Dour, Tagherset et moi, on faisait partie des meilleurs de notre génération. Et derrière, on avait des battants : Pontal, Meslien, Mauro, Grondin qui est ensuite parti à Arsenal.
Je trouve que la génération actuelle est plus talentueuse que la nôtre dans la qualité et la variété de jeu. Là, on a une équipe capable d’avoir des temps de possession, avec de la technicité, de la maîtrise, des attaques placées. Dans ce groupe, il n’y a pas de faiblesse. Le moins bon des joueurs est un très bon joueur. L’équipe change sans s’affaiblir. C’est une génération homogène. Il n’y a pas de hasard, c’est un projet qui a été construit. La Gambardella met en lumière le travail de tout un club sur plusieurs années, avec un recrutement de qualité fait par Gérard Fernandez et ses équipes et un entraîneur, Razik Nedder qui a bâti cette génération depuis les U12."
Il faudra ouvrir le score
24/04 22:58
Le site de supporters toulousains, lesviolets.com, publie une statistique qui va inciter les Verts à ouvrir le score contre Toulouse, dimanche en championnat de L1.
Les Toulousains ont en effet, depuis le début de saison, ouvert la marque à l'extérieur à trois reprises et, à chaque fois, ils l'ont emporté.
Par contre, ils ont encaissé le premier but à l'extérieur, à 12 reprises, et, dans ce cas-là, ils ont perdu à 8 reprises, l'emporté une fois et fait trois nuls.
Plus globalement, les Violets ont ouvert le score à 8 reprises et n’ont jamais perdu (7 victoires et 1 nul). En revanche, les hommes d’Alain Casanova ont concédé le premier but 22 fois (pour une seule victoire)
Mayi derrière les Verts
24/04 22:41

L'attaquant brestois Kévin Mayi revient pour nous sur ses finales malheureuses en Gambardella (en 2011 et 2012) avant de réitérer son attachement au maillot vert.
"J'ai joué les deux finales de Gambardella mais je les ai vécues différemment. La première fois, c'était une découverte, j'étais très content d'être à Paris. J'avais mis un doublé en demi-finale. On a perdu cette finale aux tirs au but mais on n'avait pas grand chose à se reprocher. Bien sûr, on était très déçus d'échouer aux tirs au but mais j'étais quand même satisfait du parcours qu'on avait fait dans cette compétition. Il y avait des phénomènes côté monégasque comme Carrasco, Nampalys Mendy, Kurzawa... Le seconde finale m'a davantage déçu. Je voulais vraiment aller au bout, ça fait mal de perdre deux finales de suite. Mais ça reste les plus belles aventures de mon parcours chez les jeunes. La première finale contre Monaco, j'étais un peu insouciant. La seconde contre Nice me laisse le plus de regrets. On n'a pas réussi à évacuer vite la pression. Quand on a vu que les Niçois jouaient de façon libérée, on a été en réaction mais on était déjà mené 1-0. On a eu une espèce de peur de gagner, personne ne voulait trop prendre de risques. Franchement c'est dommage car dans cette compétition, il faut se dire qu'on n'a rien à perdre. Autant lâcher les chevaux, tenter des choses quitte à rater. Même si tu rates, au moins tu n'as rien à te reprocher. T'es quand même en finale de Gambardella, ce n'est pas un hasard, personne ne va dire que t'es pas bon si tu rates.
Si j'avais un conseil à donner aux Verts qui joueront samedi contre Toulouse, je leur dirais de jouer avec leur coeur, sans penser à ce qu'il y a derrière la Gambardella. C'est ce qui leur permettra de jouer libérés. Certes c'est un match à enjeu mais déjà il faut avoir en tête qu'ils jouent dans un grand club. Je ne suis pas bien rentré dans ma deuxième finale, j'ai eu du mal à gérer les attentes qu'il y avait sur moi. J'étais le leader, le capitaine, on avait perdu la finale précédente et on avait une nouvelle chance. Je me suis dit "il faut absolument que tu fasses quelques chose, il faut que je fasse gagner l'équipe." Du coup j'ai un peu déjoué. J'ai voulu trop en faire. Pour le reste, je n'ai pas été perturbé par le fait qu'on jouait au Stade de France, j'ai fait abstraction de ce contexte-là. Mais j'ai eu mal à gérer ce statut de leader. J'espère de tout coeur que les Verts vont soulever samedi la Coupe, je suis à fond derrière eux ! J'ai porté le maillot vert et j'en suis fier, ça ne s'oublie pas ! En tout cas le club est vraiment performant cette saison, que ce soit chez les jeunes comme chez les pros. En L1, je pense que les Verts seront en course pour le podium jusqu'à la fin, je pense qu'ils finiront troisièmes ou quatrièmes. Franchement, les Verts me surprennent, c'est solide ! On pouvait avoir des doutes après leur derby perdu et leur défaite logique au Vélodrome. Mais ils sont dans une super dynamique, on sent un esprit d'équipe. Sainté en Ligue des Champions, ce serait magnifique !
De mon côté je poursuis mon petit bonhomme de chemin avec le Stade Brestois. Nous aussi on est sur une bonne dynamique, on est bien parti pour monter en Ligue 1 mais rien n'est fait. J'étais titulaire lors du dernier match mais le plus souvent le coach Furlan me fait entrer en jeu. On a un bon groupe, avec sur le banc des joueurs qui seraient titulaires dans pas mal d'autres clubs, je pense que ça fait la différence par rapport à d'autres formations de L2. Ma saison a été un peu perturbée par une blessure mal soignée, une fibrose à la cuisse, qui m'a tenu éloigné des terrains pendant deux mois. Je suis parti me soigner à Clairefontaine et j'ai récupéré maintenant la plénitude des mes moyens physiques. Comme l'équipe tourne bien, c'est difficile de revenir dans le onze et de regagner une place de titulaire. Mais je n'ai pas à me plaindre, j'ai quand même du temps de jeu et on vit une belle aventure collective cette saison. On est dans le sprint final, on va tout faire pour que Stade Brestois retrouve l'élite."
Gambardella, la coupe bien nommée
24/04 22:27
Tout le monde du football connaît la coupe Gambardella. Les Verts vont participer samedi contre Toulouse à leur 10ème finale. Mais qui connaît Emmanuel Gambardella, celui qui a donné son nom à cette coupe ?
Le Midi Libre, dans son édition d'aujourd'hui, nous présente ce Sétois, né d'un père italien et d'une mère sétoise, qui a fait des études de droit avant ses premiers pas dans le football et le journalisme. Une ascension qui le poussera jusqu’à la présidence de la Fédération française de football. Pour un premier mandat en 1949 puis un deuxième, débuté le 29 juillet 1953 quelques jours seulement avant sa mort, à 65 ans, des suites d'une intervention chirurgicale. Il donnera, dès 1955, son nom à cette coupe si enviée des jeunes.
"Né à Sète, Emmanuel Gambardella est un touche-à-tout de génie. Journaliste, il fut l’un des fondateurs de Midi Libre, écrivain, notamment pour des opérettes, homme de radio, il est aussi très impliqué dans le milieu du football. En 1929, il est nommé au sein d’une commission pour étudier le statut du joueur rétribué par la fédération.
En d’autres mots, le passage au professionnalisme. "Il voyait des joueurs de foot de l’époque qui finissaient sans retraite comme tenanciers de bar, au mieux, mais souvent très mal. Mon oncle ne le supportait pas, dit sa nièce, Mireille Leroux-Dupeyron. Il a dit : Il faut qu’ils aient une retraite pour leurs vieux jours et finir leur vie de façon décente. Il pensait simplement à sauvegarder les joueurs, leurs familles. C’est ce qui le préoccupait.
Une contribution décisive puisqu’en 1932 le professionnalisme sera adopté en France. Pas sûr toutefois qu’Emmanuel Gambardella aurait vraiment apprécié la façon dont le professionnalisme a évolué depuis. "Je crois que ce trop d’argent ne l’aurait pas enchanté du tout. Mais il aurait fait comme tout le monde. C’est pour ça que la coupe Gambardella est vraiment bien nommée, ce sont des jeunes qui arrivent là plein d’espoirs et d’ambitions… Après c’est de la folie."
Emmanuel Gambardella est un un homme qui aura laissé une trace indélébile dans le football français. Encore honorée chaque année par tous ces gamins qui rêvent de la coupe… Gambardella.
Aimé Jacquet à guichets ouverts
24/04 22:07
Le site officiel nous apprend que l'entraînement de demain des finalistes de la Coupe Gambardella, le dernier à Saint-Etienne, sera ouvert au public à partir de 16 heures, sur le terrain Aimé Jacquet du centre de formation de l'Etrat. Les jeunes de Razik Nedder prendront ensuite la direction de la capitale. Ce sera donc l'occasion pour les supporters d'adresser leurs encouragements aux jeunes stéphanois avant ce moment exceptionnel qui s'offrira à eux samedi à 17h15.
La LFP a calé Montpellier
24/04 20:23
La Ligue qu'on adule a programmé la réception des poubelles boys au vendredi 10 mai à 20h45. Il s'agira de l'avant-dernier match de la saison à Geoffroy-Guichard avant la réception des Niçois le week-end suivant.
Un Chaudron bouillant contre les Aiglons
24/04 14:33

Comme l'a rapporté à la mi-journée Activ Radio, 20 000 billets ont déjà été vendus pour le dernier match de la saison à Geoffroy-Guichard qui opposera les Verts aux Aiglons lors de l'avant-dernière journée de L1, le 18 mai prochain. Nul doute que le Chaudron sera à guichets fermés pour cette rencontre probablement décisive pour l'Europe !
Aguilar de retour à Geoffroy-Guichard ?
24/04 14:14

Seule équipe caressant encore le mince espoir de déloger l'ASSE (4e, 56 points) du top 5, le MHSC (6e, 51 points) devra se passer de Ruben Aguilar pour la réception du QSG programmée mardi prochain. Sorti sur blessure (à la cuisse) lors de la victoire de son équipe samedi dernier à Strasbourg, celui qui avait neutralisé Kylian Mbappé la saison passée est également incertain le 5 mai prochain pour la réception d'Amiens. Mais "Michel Der Zakarian espère plus sûrement son retour pour le déplacement à Saint-Etienne du 11 mai" selon la dernière édition du Midi Libre.
Le bonheur est dans le prêt ? (6)
24/04 14:05
Que ce soit en Ligue 2, en National ou à l'étranger, ce week-end nos prêtés ont connu fortunes diverses !
La 34ème journée de Ligue 2 avait lieu hier soir. Remplacé à la 90ème minute, Vagner et Nancy se sont imposés contre Orléans (1-0). Ces trois points permettent aux hommes d'Alain Perrin de se classer à la 16ème place avec 2 points d'avance sur le barragiste.
Entré à la 66ème minute, Honorat a délivré une passe décisive à la 86ème minute ce qui a permis à Clermont de prendre un point à Béziers (1-1). Il s'agit de sa 8ème passe décisive en Ligue 2 cette saison. A noter que Sissoko est entré en jeu à la 79ème minute. Au classement Clermont est toujours 9ème.
Titularisé par Antonetti, Maïga et les Messins ont concédé le match nul à domicile contre Grenoble (1-1). S'ils gagnent le weekend prochain, Metz validera son billet direct pour le retour en Ligue 1.
Moukoudi n'était toujours pas sur la feuille de match lors de la victoire du Havre à Auxerre (1-0).
En National 1, Guendouz est allé cherché le ballon trois fois dans ses filets lors de la défaite à Lyon-Duchère (2-3). Pau est 9ème.
Victoire pour Camara, titulaire contre Villefranche. Laval conserve 2 points d'avance sur Le Mans et reste barragiste pour la montée en Ligue 2.
En Italie, Dioussé a enfin gagné avec le Chievo Verone. Après deux titularisation, Dioussé était remplaçant et le score de 2-1 n'a plus évolué après son entrée en jeu. Diousse a quand même pris un carton jaune dans un match marqué par l'indiscipline (4 cartons jaunes pour Chievo, 2 cartons rouges pour la Lazio).
En Allemagne, seconde titularisation consécutive pour Lacroix avec Hambourg qui a été tenu en échec à domicile par le FC Erzgebirge AUE (1-1). Hambourg reste deuxième et candidat à la montée en Bundesliga. Titulaire hier en demi-finale de Coupe d'Allemagne, le géant suisse a été battu à domicile par Leipzig, solide troisième de Bundesliga.
En Grèce, seconde titularisation aussi pour Katranis, positionné à droite de la défense lors de victoire de l'Atromios contre le Panathinaikos (2-0). Atromios, 4ème disputera la League Europa l'année prochaine.
En Bulgarie, Jorginho et le CSKA Sofia ont fait match nul contre le Levski Sofia lors de la phase de "playoffs" (0-0).
Aux Pays-Bas, Oussama Tannane n'était évidemment pas sur la feuille de match ce week-end lors de la défaite d'Utrecht contre Emmen (2-0). Pour rappel, notre Marocain a officiellement été écarté par Dick Advocaat. Utrecht est 6ème d'Eredivisie.
Merci au potonaute Lindeni pour son résumé sur le forum !
Dembélé, derby laid
24/04 11:05
Dans Le Quotidien du Foot, l'ancien joueur du Celtic Moussa Dembélé revient sur le vilain derby du 20 janvier dernier.
"Le but victorieux que j'ai marqué à Saint-Etienne a changé le regard qu'on a sur moi. Un derby, ça se gagne et un but dans les dernières secondes marque les esprits. C'est sûr, c'était un but important, mais je fais abstraction de ça car il faut toujours se remettre en question et et rester concentré. Il n'y a pas vraiment de différence entre un ASSE-OL et le derby de Glasgow. Ce sont deux villes ou deux quartiers qui ne s'aiment pas, c'est le même impact. Marquer dans un derby, c'est bien pour entrer dans l'histoire et dans le cœur des supporters."
Stinat arbitrera les Stéphanois
24/04 09:42

Devenu cette saison le premier ancien joueur professionnel à arbitrer en L1, Jérémy Stinat dirigera pour la première fois un match des Stéphanois ce dimanche après-midi lors du match qui opposera les Verts aux Violets.
Agé de 40 ans, l'ancien latéral de Valence, Grenoble, Sedan ou Laval connaît déjà le Chaudron pour y avoir été quatrième arbitre à plusieurs reprises, la dernière fois le 5 août 2017 (victoire 1-0 contre Nice).
Né à Chartes, cet ancien pensionnaire du centre de formation des Girondins sera assisté de Philippe Jeanne et Gilles Lang sur la touche tandis que Mikaël Lesage et Bruno Coué seront dans le putain de camion.
Il faut saluer Willy
24/04 08:59

Dans la dernière édition du magazine GQ, Willy Sagnol rappelle qu'il a décliné une proposition du président des vilains.
"Est-ce que j'aurais aimé avoir un président comme Jean-Michel Aulas ? En tant que joueur, oui. En tant qu’entraîneur… Avant d’aller entraîner Bordeaux, la première offre que j’ai reçue venait de Lyon. C’était une offre qui ne se refusait peut-être pas pour un jeune entraîneur, je l’ai pourtant fait. Car je trouvais à Bordeaux le climat familial que je recherchais. Le fait d’être Stéphanois n'a pas joué dans ma décision. Je suis un professionnel. Mon club de cœur et de naissance, c’est Saint-Étienne, personne ne me l’enlèvera jamais. Mais j’ai refusé parce que j’ai évolué une grande partie de ma carrière au Bayern Munich où il y avait une grande culture familiale. Et je retrouvais ça à Bordeaux. Je ne regrette pas du tout mon choix parce que j’ai beaucoup appris. J’ai fait presque deux ans. La première saison a été pour moi, et pour beaucoup d’observateurs, très bonne. Nous avons "surperformé" par rapport à l’effectif. Nous avons été européens avec des jeunes joueurs, les investissements étaient assez faibles. Je crois que le plus gros transfert était de l’ordre de quatre millions d’euros… C’est presque ridicule. La deuxième année, en revanche... Avec la Coupe d’Europe, l’effectif était trop juste, l’expérience des joueurs aussi.
Est-ce que ça me manque d'entraîner aujourd'hui ? Oui et non. J’ai été entraîneur adjoint au Bayern après Bordeaux. La raison pour laquelle je ne suis pas encore revenu sur un terrain est que je suis encore sous contrat avec le Bayern.En Allemagne, il n’y a pas de rupture conventionnelle. On vous paye tous les mois jusqu’à la fin de votre contrat. Il me reste encore quelques mois. Je peux travailler ailleurs si j’envoie une lettre pour mettre fin au contrat. À Bordeaux, nous avions fait une rupture conventionnelle pour mon départ. J'ai reçu quatre propositions pour revenir sur un banc de touche depuis juillet 2018. Mais pas une ne m’a fait réfléchir plus que cela. Je ne me focalise pas sur un niveau de club ou un pays en particulier. Si je dois y retourner, ce sera pour un projet que j’appelle "réaliste". Où les ambitions du club colleront avec les joueurs mis à disposition et les moyens financiers du club. J’apprécie peu certains discours de responsables de club qui disent vouloir finir européen mais avec un effectif avec lequel il serait miraculeux de l’être. Nous, entraîneurs, voulons bien être responsables quand ça va mal, mais je ne veux pas être associé à un mensonge fait aux supporters."
Lemoult faisait la moue
24/04 08:42

Dans sa dernière édition, France Football revient sur la finale de Coupe de France 1982 remportée aux tirs au but par le PSG contre Sainté.
Luis Fernandez était sur le terrain et n’a rien oublié. Les Verts. La der de Michel Platini avant son départ pour la Juve. Le débordement de Surjak, un ultime centre "où j’ai failli mettre la main par réflexe", et Dominique Rocheteau, l’ancien Stéphanois, égalise à quelques secondes de la ï¬n du temps réglementaire (2-2). Puis le terrain est envahi plus d’une demi-heure, Francis Borelli embrasse la pelouse. Lors de la séance de tirs au but–une première en ï¬nale–, Christian Lopez échoue, pas Jean-Marc Pilorget...
"Toutes ces images sont entrées dans l’histoire de la Coupe et surtout dans celle du club, se souvient Fernandez. Ce premier titre a lancé l’histoire du PSG, il est symbolique, et c’est sans doute pourquoi la Coupe de France occupe depuis toujours une place à part dans ce club. C’est ce premier titre, et le deuxième la saison suivante face à Nantes, qui ont permis au PSG de se construire, de grandir, de se faire une place aux côtés des Nantes, Bordeaux, Saint-Étienne, les cadors de l’époque."
Ce soir-là, un seul Parisien tire la tronche: Jean-Claude Lemoult, préposé au marquage de Platini, auteur du doublé stéphanois. "On avait beau lui répéter qu’on s’en ï¬chait, il était déçu." Il l’est de nouveau un an plus tard. "C’est la deuxième ï¬nale où ça se passe mal pour moi. C’est la dernière fois que je joue arrière latéral !" Mais l’essentiel est qu’en cette année 1983, Paris conserve son trésor en battant 3-2 le Nantes de Suaudeau et du"Brésilien" José Touré, auteur d’un but resté dans les mémoires. "C’était le Paris de Peyroche pour qui la meilleure défense, c’était l’attaque, Fernandez. Il y avait du panache. Ces deux coupes nous ont fait changer de dimension."
Bouhazama, Gambardella
24/04 08:15

Après s'être longuement confié pour nous hier sur notre site, Abdel Bouhazama revient plus brièvement sur son aventure en Gambardella dans la dernière édition du Progrès. Extraits.
"Souvent, les joueurs pros retiennent leur parcours en Gambardella. On a toujours une sorte de totem. Dans la cohésion de groupe, c’est quelque chose de très fort. On a vécu une vraie aventure humaine. Je suis encore en contact avec quasiment tous les joueurs. Aujourd’hui, ils m’envoient des maillots et sont pour certains des pères de famille. J’ai trois enfants mais, eux aussi, ce sont mes petits. Les défaites au stade de France ont fait qu’on est resté unis pour mettre des pansements sur les plaies.
J’ai juste eu la chance d’avoir été l’entraîneur de cette génération-là. C’est le travail de tout un club : des recruteurs, du centre de formation, des cuisiniers. Moi, j’ai juste été là au bon endroit, au bon moment. J’étais le porte-drapeau du club. Avoir vécu ça avec les jeunes, c’est un sentiment de fierté. Mais la réussite quand vous êtes formateur, c’est de former des joueurs de très haut niveau : Zouma, Polomat, Diomandé, Saadi et d’autres qui jouent en National par exemple. Cela montre toujours la bonne santé d’un centre de formation.
Lors de la première finale en 2011, j’avais dit à mes garçons : " On ne va pas à Walt Disney ". Quand on est rentré dans le vestiaire, puis qu’on a pénétré sur la pelouse avant le match, tout le monde a sorti son appareil photo. On a fait une photo de famille. Par moments, on peut oublier qu’on y va aussi pour jouer un match de football. Ces instants sont tellement rares et privilégiés. Il faut apprécier chaque moment. Mais quand le match commence, il faut faire abstraction de tout le reste, oublier la famille dans les tribunes, même si cela est difficile. On joue pour le club et gagner le match. "
Un nouveau Burkinabé à Sainté ?
24/04 07:51

Après avoir compté dans ses rangs Germain Sanou (aujourd'hui à Beauvais en N3) puis Hassim Traoré (désormais à Saint-Priest en N2), l'ASSE s'intéresse à un troisième Burkinabé selon la dernière édition de la Pravda.
"L'attaquant de l'ASEC Mimosas Abdoul Faissal Tapsoba pourrait arriver en France cet été. Auteur de six buts en Côte d'Ivoire, deux en Coupe Nationale et un en Ligue des Champions africaine, le Burkinabé (18 ans au mois d'août et sous contrat jusqu'en 2021) est suivi par de nombreux clubs français dont Toulouse, Strasbourg, Lille et Saint-Etienne, qui l'ont observé à plusieurs reprises, ainsi que par Salzbourg (Autriche)."
Saliba joue la prolongation
23/04 18:40
Alors qu'il était lié à l'ASSE jusqu'en 2021, le contrat de William Saliba a été prolongé de 2 ans pour désormais se terminer en 2023. C'est ce qu'a annoncé le site officiel cet après-midi : "Je suis très heureux de prolonger mon aventure avec l'ASSE, mon club formateur. Je remercie tous mes formateurs et toutes les personnes qui ont contribué à mon évolution au sein du club. Depuis le début de la saison, j'ai la chance de m'entraîner tous les jours avec un groupe et un staff de qualité, ce qui me permet de progresser rapidement. Je veux rester concentré, la tête sur les épaules, et continuer de travailler. Je n'ai encore rien fait et j'ai tout à prouver. La fin de saison sera excitante à vivre et j'ai hâte d'y participer."
Mounier, le baiseur baisé (7)
23/04 16:31

Dans un entretien publié aujourd'hui par Foot Mercato, le vilain attaquant du Panathinaïkos Anthony Mounier reveint sur son passage éclair à l'ASSE.
"Cette situation m’a fait mal, les premiers jours. Elle a fait beaucoup de mal à mes proches, car ils avaient peur pour moi. Il faut savoir que tout était clair avec Saint-Étienne, j’ai eu tout le monde au téléphone (coach, directeur général et sportif). Tout est OK, on trouve un deal et en arrivant là-bas, je suis prévenu qu’il y a des banderoles hostiles contre moi. Mon agent s’assure qu’il n’y a pas de problème... Tout le monde me rassure au club, en me disant de ne pas m’inquiéter, que tout rentrera dans l’ordre. Quand je signe mon contrat, je rejoins l’équipe en stage. Et c’est Dominique Rocheteau qui vient me voir pour me dire que ça ne pourra pas rentrer dans l’ordre, que les supporters sont déterminés. Ils ne veulent pas de moi, par rapport à cette phrase que j’ai dit sept ans en arrière, où j’avais insulté le club...
Je ne me souvenais pas du tout de cette phrase au moment de signer. Je m’en souviens parce que je vois les articles qui sortent. J’avais dit ça à chaud, pendant le match, on jouait le maintien, on avait besoin de points avec Nice. On va gagner là-bas, ce jour-là je mets un doublé. J’étais prêt à rencontrer les supporters pour m’expliquer. Ils ne voulaient pas. La seule chose qu’ils voulaient, c’était me frapper. Il faut savoir que je suis un ancien Lyonnais donc à chaque fois que j’allais à Geoffroy-Guichard, je me faisais insulter. Ce qui est paradoxal, c’est que dans ma famille ils sont tous supporters de Saint-Étienne.
Je pense que ça a été un frein à, ma carrière. C’est dommage, car ça aurait été une bonne opportunité pour moi. Pour l’ASSE aussi. Il y avait une clause dans mon contrat qui disait qu’en cas de qualification pour une Coupe d’Europe, l’option d’achat était levée et je signais trois ans derrière. Il y avait la carotte, c’était donnant-donnant. Je me serais arraché pour accrocher l’Europe. C’est un épisode délicat de ma carrière mais j’ai eu la chance de rebondir à l’Atalanta. Même si je n’ai pas énormément joué là-bas, il y avait un coach et un groupe exceptionnels, on a fini 4e de Serie A. J’ai eu de la chance de trouver cette équipe-là dans les dernières heures du mercato.
Cela ne me posait pas de souci de signer à l’ASSE en étant formé à l’OL. C’est la carrière en premier. J’avais voyagé depuis, Nice, Montpellier, Bologne... Je n’étais pas le premier, ni le dernier à avoir fait les deux clubs. Avec le recul, je ne considère pas que cette signature à Saint-Etienne soitune erreur. J’étais en difficulté à Bologne, donc c’était clair que je devais partir. Quand l’occasion se présente, tous les feux sont au vert. C’était une très bonne signature pour ma carrière. Je considère Saint-Étienne comme un très grand club français. Avec un public très présent. Tellement présent qu’ils ont fait "capoter" l’affaire. On m’a expliqué ça comme ça, en tout cas... Après, est-ce que, en interne, tout le monde me voulait à Saint-Étienne ? Aujourd’hui, je me pose la question. Est-ce qu’il n’y avait pas une guerre d’ego ? Est-ce qu’ils se sont servis des supporters pour faire monter le truc ? On ne sait pas. On peut tout imaginer."
Ah Saliba, Saliba, Saliba !
23/04 09:47

Comme le souligne le site Du Stade aux Stats, les trois dernières titularisations de William Saliba se sont soldées par trois victoires et trois clean sheets. Les stats d'Opta nous montrent que le numéro 4 de l'ASSE s'est surpassé à Delaune contre un Stade de Reims à l'allant terne.

Honorat nous regarde
23/04 09:22

Dans la dernière édition de La Montagne, Franck Honorat commente sa saison clermontoise avant d'évoquer son avenir stéphanois. Extraits.
"La saison dernière, j’avais fait six gros mois non stop. J’étais un peu fatigué lors des derniers matchs. Là, j’aurais fait une saison complète si je joue les derniers matchs. Je commence à être un peu fatigué. Après, on va dire que ma saison est correcte. J’ai réalisé sept passes décisives et j'ai inscrit quatre buts en championnat et trois en coupe. Je peux encore mieux faire. Il me reste quelques défauts à gommer. Mon but, c'est de faire le plus de passes décisives pour finir dans l’équipe type de Ligue 2.
Pascal Gatien m'a permis de travailler mon placement et mes appels de balle. J’ai réussi à varier mon jeu, à rentrer dans l’axe pour garder la balle, pour proposer des "une-deux". Je trouve que ça déstabilise pas mal les défenseurs. Pascal Gastien m’a beaucoup apporté là-dessus et il m'a aussi appris à avoir confiance en moi. Je voulais que mon passage à Clermont soit un tremplin. J'arrivais de Nice en Ligue 1, j’étais jeune, je n’avais pas d’expérience. Je suis venu ici pour avoir du temps de jeu.
Dès que je peux, je regarde les matchs des Verts. On m’a dit que le Chaudron, c'est magnifique. Je vais essayer d’y aller le week-end prochain. L'ASSE peut encore viser la troisième place. La Ligue des champions, ce serait magnifique. Après, l’Europe, ce serait déjà incroyable. Je n'ai pas pu encore discuter de la saison prochaine avec les dirigeants stéphanois. Il faudra voir ce qu’ils veulent faire de moi. S’ils veulent me prêter ou s’ils comptent sur moi. Ce qui est certain, c’est que je vais tout faire pour faire une bonne préparation avec eux."
Lucide, Abdelhamid !
23/04 09:08

Le défenseur champenois Yunis Abdelhamid reconnaît la supériorité stéphanoise dans la dernière édition de L'Union de Reims.
"Ça a été dur contre Saint-Etienne. On a essayé de mettre les Verts en difficulté, mais on est tombés sur une équipe très forte et bien en place, qui nous a fait mal. On a été punis. C’est ça le haut niveau. Tout le monde nous disait qu’on allait jouer l’Europe, mais on est tombés sur une vraie équipe européenne, et on voit la différence."
Un Caillot sans gain
23/04 08:50

Le président rémois Jean-Pierre Caillot, qui rêvait de gagner contre Sainté pour continuer de rêver à l'Europe, revient sur la victoire des Verts à Delaune dans la dernière édition de L'Union de Reims.
"C'est un match où il y a beaucoup de frustration, parce qu'en réalité, les deux buts nous les prenons sur des erreurs de notre part. C'est assez incroyable parce que tu perds sans qu'ils n'aient eu d'occasion, mais ils ont mis deux buts. Toi tu as eu les occasions sans les mettre. Le résumé c'est ça, c'est que c'est une grande équipe. J'ai trouvé qu'il y avait beaucoup de maturité qui se dégageait, ils jouaient beaucoup. Les Verts fatiguent l'adversaire. Je pense que c'est l'adversaire qui a su le mieux nous manoeuvrer."
Youssef ? Youpi !
23/04 08:27
Wahbi Khazri se réjouit de l'apport de Youssef Aït Bennasser dans la dernière édition du Progrès.
"Au milieu, Yann et Youss ont fait un super match techniquement. Ça facilite les choses ! Je suis très satisfait de la construction du jeu. Avec Youss on se comprend de mieux en mieux. Ça s’est bien passé parce qu’on avait le ballon et surtout on a réussi à contourner leur bloc."
Rémy Cabella emballant chez les Rémois
23/04 08:12

S'il a parfois déçu cette saison, Rémy Cabella a retrouvé de la justesse et de l'efficacité depuis que le sprint final est lancé. Emballant et actif chez les Rémois (101 ballons touchés), le numéro 7 des Verts a ouvert le score et a été au départ de l'action qui a débouché sur le break. L'ancien Marseillais commente sobrement sa performance dans Le Progrès du jour. "J’ai envie de donner beaucoup plus à l’équipe". Dans le même quotidien, Loïc Perrin s'en réjouit sans s'en étonner. "Rémy est venu à Sainté pour marquer des buts et franchir un palier. On a des joueurs de talent qui savent être décisifs mais qui sont aussi là pour ça."
Pour le plaisir
23/04 07:41

C'est un Herbin Léonard qui revient sur la victoire des Verts à Reims dans la dernière édition du Progrès. Extraits.
"Les Verts ont réussi un bon match, ils montré beaucoup de sérieux et d’application face à un adversaire qui pouvait être difficile à jouer.. J’ai été agréablement surpris par le comportement de certains joueurs dont je ne peux pas dire que je ne les apprécie pas mais qui parfois me contrarient dans leur manière de jouer. Cabella et Khazri se sont mis en joie et ils ont montré leur talent dans un esprit collectif. Les dribbleurs m’ont fait plaisir !
On a su la provoquer la réussite et s’en servir. J’ai trouvé beaucoup de cohérence et de solidarité dans leur jeu. Les Verts ont fait preuve d’une certaine assurance, ont eu peu de déchet technique. J’ai senti chez eux un réel plaisir de jouer ensemble. Il ne faut prendre personne à la légère, Toulouse est une équipe athlétique. Mais, désormais, il y a un bon final à jouer car les Lyonnais ne m’ont pas montré beaucoup de conviction lors de leur dernier match."
Saliba va jouer la prolongation (3)
23/04 00:28
Comme l'avait annoncé Roro le 5 avril dernier, William Saliba devrait prolonger ce mardi son contrat jusqu'en 2023 selon la dernière édition de la Pravda. Extraits.
"Après avoir signé un premier contrat professionnel de trois ans le 30 mai 2018, Saliba devrait prolonger de deux ans, avec une revalorisation conséquente de son salaire. De 10 000 € brut mensuels actuellement, il devrait progresser par paliers et en fonction du nombre de matches disputés. Car cette prolongation s'accompagnera d'une seconde bonne nouvelle pour le club stéphanois : auteur d'une première saison très convaincante en pro (15 matches, dont 12 en Ligue 1), Saliba aurait décidé de rester chez les Verts au moins un an de plus.
Voir Saliba lié pour quatre ans avec les Verts ne signifie pas pour autant qu'il ne sera pas vendu cet été. Sa valeur marchande s'échelonnerait désormais entre 20 et 30 millions d'euros. Un véritable jackpot que les Verts ne pourraient pas refuser de toucher dès cet été, en cas d'offre de ce niveau. Selon les voeux du joueur, et en cas d'accord entre les deux clubs, la jurisprudence Kurt Zouma pourrait alors lui être appliquée. Le 15 janvier 2014, Zouma avait été vendu 15 millions à Chelsea, qui l'avait aussitôt laissé en prêt à Saint-Étienne jusqu'à la fin de la saison.
Saliba devrait faire l'impasse sur la finale de la Gambardella face à Toulouse, ce samedi, au Stade de France. Car les Verts recevront le TFC le lendemain, pour le compte de la 34e journée de Ligue 1. Match pour lequel Timothée Kolodziejczak se trouvera suspendu, tandis que Neven Subotic ne se sent pas encore tout à fait remis de sa contusion au genou gauche. Rater cette finale avec ses copains du centre de formation ne le dérangerait pas. "Mon souhait, c'est de jouer avec les pros. Ils sont prioritaires", avait confié Saliba après la venue de Bordeaux."
Un cadeau du Real, un but contre Villarreal
22/04 23:55

Voilà comment se résume le dernière semaine de Nabil El Zhar (32 ans). Après s'être vu offrir une paire de chaussures par Zizou lors du match nul de Leganés contre le Real Madrid, l'ancien réserviste de l'ASSE a réduit le score sur peno hier à Villarreal. C'est le quatrième pion claqué cette saison par le numéro 10 marocain.