Caïazzo cause dans Les Echos

23/07 13:01
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Le quotidien Les Echos a publié aujourd'hui une interview de Nanard. Extraits.

"Nous subissons un préjudice lourd pour une décision d’arrêt du championnat qui nous a été imposée. Celle-ci aura de surcroît un effet sur le mercato. Je suis convaincu d’ailleurs que la hausse de droits TV, de l’ordre de 300 millions pour la L1, sera effacée par le manque à gagner avec le mercato. A Saint-Etienne, nous avons prévu un budget en baisse de 20 % pour la saison 2 020-2021.

Nous souhaitons un rétablissement du DIC, le droit à l’image, qui se traduisait par une réduction de charges sociales, ainsi que le dégrèvement -sur quatre ans - de la taxe Buffet, prélèvement sur les droits TV. Il faut absolument revenir sur la question de la lutte contre le piratage. Plus aucun diffuseur ne sera prêt, à l’avenir, de payer, si nous ne protégeons pas les droits TV. On ne peut plus accepter le vol !

Par ailleurs, il faut donner la possibilité de porter de trois à cinq ans la durée des contrats des jeunes joueurs. Nous sommes un pays formateur mais nous nous faisons piller aujourd’hui nos jeunes joueurs, notamment par les clubs allemands. Enfin, il faut que nous obtenions par la loi la possibilité de créer une société qui gère nos droits TV, ce qui donnerait la faculté aux clubs de lever des fonds collectivement.

Nous n’avons jamais vu autant d’investisseurs étrangers s’intéresser à nos clubs. A Saint-Etienne nous ne sommes pas dans l’urgence. Le capital est détenu à 10 % par une association et cela rebute peut-être des investisseurs. En outre, Roland Romeyer et moi-même voulons des fiançailles avant de nous marier. Saint-Etienne, ce n’est pas qu’une question d’argent. Il y a une dimension culturelle, cela relève du patrimoine."

La politique de la chaise (co)vide (2)

23/07 12:19
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Les groupes de supporters de l'ASSE ayant décider de boycotter la finale, Roro a décidé d'acheter les 900 places qui leur étaient octroyées pour les laisser vide demain soir. Cette décision fait grincer des dents du côté de la FFF comme le souligne Le Parisien.

"Le PSG a décidé de mettre en vente ses 900 billets ce mercredi pour ses abonnés. Ce qu'aurait pu faire également Saint-Etienne mais les responsables du club du Forez ont choisi de ne pas commercialiser ces places. Le club a acheté les tickets et ne les distribuera pas.

Une démarche que n'a pas vraiment goûtée Noël Le Graët. Ce dernier n'imagine pas que cette finale, déjà limitée à 5000 spectateurs, soit en plus amputée de 900 d'entre eux. Le patron du foot français a donc décroché son téléphone pour tenter de sensibiliser les dirigeants stéphanois, dans un contexte de tension entre le club du Forez et la FFF à cause notamment des féminines empêchées de monter en D1.

"Pourquoi ne pas distribuer ces billets à des invités ?", s'est ému Le Graët, qui ne semble pas accepter cet état de fait. "Je n'ai rien à accepter ou pas, mais je préférerais qu'il y ait du monde au Stade de France", nous a confié ce mercredi le patron de la FFF. Et pourquoi ne pas distribuer ces 900 tickets à des soignants, des enfants des quartiers défavorisés voire à des supporters non encartés de l'ASSE ? Sollicités par nos soins, Roland Romeyer et les représentants des supporters n'ont pas répondu à cette question."

Le Progrès du jour donne un autre exemple des relations tendues entre l'ASSE et la FFF.

"Vendredi, en milieu d’après-midi, les joueurs non retenus dans le groupe par Claude Puel ainsi que les salariés de l’ASSE décolleront d’Andrézieux-Bouthéon au sein d’un avion de 80 places affrété par le club. Michaël Galy, directeur du CHU de Saint-Étienne, fera partie des passagers. Avant la rencontre, les dirigeants stéphanois lui remettront sur le parvis du stade un chèque de 88 058 euros, récoltés lors du confinement à l’occasion de la vente de places virtuelles pour la finale de la Coupe de France. La FFF n’a pas donné son accord pour que cela se déroule sur la pelouse du Stade de France…"

Pierre Gagnaire toujours vert

23/07 11:25
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Dans la dernière édition du Parisien, le chef Pierre Gagnaire parle évidemment des Verts. Extraits.

"Mon père avait un restaurant qui accueillait pendant des années les joueurs avant les matchs. Grâce à ça, j'ai connu Jean Snella, Albert Batteux et bien sûr Robert Herbin. J'ai baigné dedans tout de suite. Et j'ai joué à l'ASSE gamin. J'avais 11 ans, j'ai eu la fierté de porter le maillot vert. J'ai disputé une mi-temps en lever de rideau de Saint-Etienne - Cannes. Geoffroy-Guichard, c'était un football à la papa, avec cette ambiance extraordinaire. Les ouvriers qui montaient sur le toit des aciéries. On est dans une autre ère aujourd'hui. J'ai l'amour du maillot, de l'institution, de la ville, mais maintenant malheureusement, on n'a plus une réelle équipe type avec des joueurs emblématiques."

Ramener le titre à Saint-Etienne

23/07 09:12
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Dans le magazine officiel de la 103e édition de la Coupe de France, Claude Puel évoque la finale de demain soir.

"Partout où je suis passé, j’ai constaté le même engouement autour de cette grande compétition. Forcément, cette année est particulière puisque le club est en finale de la Coupe de France pour la première fois depuis trente-huit ans. Donc, on ressent encore plus la ferveur et l’excitation de nos supporters.

La demi-finale contre Rennes, c’est le moment fort de notre parcours. Déjà parce qu’il s’agissait du premier match devant notre public cette saison dans cette compétition, ce qui n’est pas négligeable, loin de là. Ensuite en raison de l’identité de l’adversaire, tenant du titre. Et puis bien évidemment le scénario : on concède l’ouverture du score, on égalise peu avant la pause et Ryad nous offre la victoire à la dernière minute. S’en est suivie une communion extraordinaire avec nos supporters ... Les images restent encore bien présentes dans nos têtes.

L’essentiel reste de ramener le titre à Saint-Étienne. Ce ne sera pas tâche aisée, car c’est le Paris Saint-Germain en face de nous. Mais sur un match, tout est possible, il faudra mettre toutes les chances de notre côté pour s’imposer. Je souhaite ardemment, en particulier, que l’on finisse la rencontre à onze, car nous avons eu un expulsé lors de chacune de nos confrontations contre le PSG cette année, ce qui complique encore plus la tâche !"

Trauco trop gros ?

23/07 07:37
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La Pravda évoque "l'équipe probable" de l'ASSE pour la finale de Coupe de France :

Moulin - Debuchy, Fofana, Moukoudi, Kolodziejczak - Camara, M'Vila - Hamouma, Boudebouz, Bouanga - Krasso (ou Abi).

"La blessure de Gabriel Silva va obliger l'entraîneur stéphanois à revoir sa ligne défensive. Alors que son duo dans l'axe avec Wesley Fofana avait convaincu, Timothée Kolodziejczak pourrait se décaler au poste de latéral gauche, de préférence à Trauco, pas à son poids de forme. Puel s'accorderait encore l'entraînement de cet après-midi (16h30) au Stade de France, pour trancher" indique le quotidien sportif.

Josuha y croit

23/07 07:16
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Capitaine de Loups ayant fini septièmes de Bundesliga donc qualifiés pour les tours préliminaires de l'Europa League, Josuha Guilavogui évoque la finale de Coupe de France dans la dernière édition du Progrès

"Je vais regarder cela avec intérêt. Cependant, sans le public stéphanois, ça va être David contre Goliath. Mais le PSG a bien perdu l’an passé face à Rennes. Il faut y croire. Il y a un nouveau cycle, une nouvelle fraîcheur. Sur un match couperet tout est possible. J’aurais voulu faire le déplacement mais je ne peux pas. Je serai derrière les joueurs. L'ASSE, c'est mon club formateur et cele restera mon club de coeur. Je vais croiser les doigts et vibrer pour eux."

Ruffier bientôt fixé

23/07 07:02
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La Pravda du jour évoque le cas de Stéphane Ruffier. Extraits.

"Mis à pied à titre conservatoire jusqu'à la notification par écrit de la décision du club à son encontre, il s'est rendu mercredi après-midi à un entretien préalable. Il a été reçu à 14h30 par Xavier Thuilot, directeur général des services de l'ASSE, et François-Xavier Luce, directeur administratif et financier. Stéphane Ruffier se trouvait accompagné de Loïc Perrin, son capitaine et délégué du personnel pour le groupe professionnel.

Ruffier s'est vu notifier les deux principaux griefs formulés par l'ASSE : un retard à l'entraînement et un refus de participer à une opposition à 7 contre 7. Réputé pour arriver dans les premiers avec Mathieu Debuchy au centre sportif Robert-Herbin, il se serait défendu en demandant le visionnage des caméras de surveillance de l'Étrat. Selon lui, les images prouveraient que, comme à son habitude, il s'est présenté au centre d'entraînement une heure avant la séance et que son léger retard sur le terrain serait la conséquence d'un malentendu avec un kiné. Enfin, une douleur au dos l'aurait empêché de participer avec les jeunes à un 7 contre 7.

Thuilot a clos cet entretien d'une quinzaine de minutes en annonçant à Ruffier qu'il recevrait la notification de la décision du club sous 48 heures. Un licenciement doit être en effet notifié au salarié par lettre recommandée avec accusé de réception au moins deux jours ouvrables après la date de l'entretien préalable. L'ASSE ira-t-elle jusque-là ? Au regard des faits reprochés à Ruffier, le club semble avoir peu de chance de l'emporter lors d'un inévitable procès aux prud'hommes. Tribunal devant lequel le traînent déjà les entraîneurs Alain Ravera et Ghislain Printant, ainsi que le recruteur David Friio. Y conduire à son tour Ruffier commencerait à faire beaucoup pour un seul club."

Dieu futur DS ? (5)

23/07 06:43
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Sur le point de raccrocher les crampons, Loïc Perrin évoque sa reconversion dans la dernière édition de la Pravda.

"J'envisage ma seconde carrière au club. On commençait à en parler avant le confinement. Après, les choses ont changé. Aujourd'hui, il n'y a rien de concret, au-delà de ma clause de reconversion. Elle faisait partie des négociations, quand j'ai prolongé, il y a six ans. Je n'avais pas envie d'arrêter sans savoir quoi faire. Et je n'ai toujours pas cette envie. Là, ça se rapproche. Donc, ça se précise. Le terrain, c'est ce que je connais le mieux. Mais je ne resterai pas dessus. Devenir entraîneur ? Pas tout de suite en tout cas.

Devenir le nouveau Dominique Rocheteau ? Certains diront qu'il était discret comme directeur sportif. Mais je constate que son passage coïncide avec les belles années du club. Une coïncidence ? Il y a toujours des gens pour critiquer. Mon métier, c'est de jouer au football. Et un métier, ça ne s'invente pas. Cela s'apprend. La semaine dernière, j'ai obtenu le Dugos (Diplôme universitaire gestionnaires des organisations sportives). Le passer m'a permis de découvrir tous les services du club. J'ai envie de continuer à apprendre avec les gens en place, pour évoluer dans quelques années."

Dieu devra faire le deuil

23/07 00:24
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Avant de défier le QSG pour ce qui sera le dernier match de sa carrière selon la Pravda, Loïc Perrin se confie dans la Pravda de ce jeudi. Extraits.

"Ce n'est pas dit que je joue la finale, déjà. Ensuite, on verra comment elle se terminera. Il y a un titre magnifique au bout, qui représente beaucoup pour Saint-Étienne. C'est dommage de jouer dans un Stade de France qui va sonner creux. Mais ça reste une finale de Coupe de France. C'est sûr qu'on est loin d'être favoris. On a souvent échoué contre le Paris-SG. S'il est à son niveau, ce sera compliqué. Mais ce n'est jamais mission impossible. D'autres, comme Rennes l'an passé l'ont fait. Il y a donc toujours un petit espoir. Si on est dans un bon soir et eux pas, tout peut arriver.

La finale de Coupe de la Ligue constitue le meilleur souvenir de ma carrière. Le moment le plus fort, ce n'est pas quand j'ai soulevé la la coupe, c'est le défilé dans les rues de Saint-Étienne. Parce que là, tu as le temps d'en profiter avec les supporters. Ce qui est intéressant, quand tu gagnes un trophée, c'est le partage. C'est de ça, dont tu te souviens. Gagner ensemble te lie à vie. On en reparle encore avec François Clerc, Jérémy Clément, Jonathan Brison, "JP"  Mignot... Cette victoire nous a tous marqués car elle nous a permis d'écrire une petite ligne dans la grande histoire des Verts.

Ce qui me manquera le plus, c'est le vestiaire et sa vie. Cela fait près de trente ans que je vis dedans. La gagne, aussi. J'ai ça dans le sang. Ce sera spécial de voir un match en tribunes, dans une ambiance de folie à Geoffroy-Guichard, en me disant que je ne pourrai plus être sur le terrain. Il me faudra faire le deuil et donc, m'occuper autrement, pour passer à autre chose. Parce que l'adrénaline du match et de la compétition, je ne la retrouverai pas. J'aimerais faire plein plein d'autres sports. Mais mon genou ne va pas aimer le tennis et le badminton. Le vélo, oui."

Il faut se donner, soldat Ryad !

22/07 23:45
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Auteur d'une but victorieux en demi-finale contre Rennes, Ryad Boudebouz s'est brièvement confié à la FFF avant de défier le QSG après-demain au Stade de France.

Lamine est banlieusard

22/07 23:16

Annoncé hier par Macky Diong, le Sporting Club Lyon a confirmé l'arrivée en prêt de Lamine Ghezali  (21 ans, sous contrat jusqu'en 2022) dans la banlieue de la banlieue.

Guendouz bientôt Usmiste ? (2)

22/07 23:11

Déjà évoqué il y a une semaine, la Pravda confirme le probable départ d'Alexis Guendouz à l'Union Sportive de la Medina d'Alger et précise que "l'ASSE devrait le libérer de sa dernière année de contrat afin de le laisser partir libre" avant de rajouter "en contrepartie, le club stéphanois conservera un droit de suite sur un éventuel futur transfert."

Si par bonheur on gagne...

22/07 12:18
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Dans sa dernière édition, Le Monde publie les propos de Corentin, sympathisant des Green Angels.

"Sur le but de Boudebouz contre Rennes en demi-finale, j’ai serré contre moi plein de types que je ne connaissais pas. On a envahi la pelouse comme des fous. Quand je revois les images, je me dis qu’un cluster aurait pu naître à Geoffroy-Guichard. C’était le dernier moment de notre vie d’avant. On en revivra quand, des moments comme celui-là ? Pour moi c’est une jauge de 100 % ou rien du tout. On craint de s’en prendre une bonne contre Paris, cette finale est un prétexte pour l’apéro et une soirée avec des amis à la maison. Mais si par bonheur on gagne, ce sera ambiance Coupe du monde dans les rues de Saint-Etienne. Et le Covid sera vite oublié."

Lamine futur banlieusard ?

22/07 09:01

Selon Macky Diong, Lamine Ghezali (21 ans, sous contrat jusqu'en 2022) va être prêté au Sporting Club Lyon, anciennement Lyon Duchère où évolue Axel Kacou et Nathan Dekoke : "Direction le SC_Lyon pour Lamine Ghezali. Le jeune milieu droit de l'AS Saint-Étienne (21 ans), qui n'entre pas dans les plans de Claude Puel, va être prêté dans le club de National.

Tuchel concentré sur Saint-Etienne (4)

22/07 07:29
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A l'issue de l'écrasante victoire (4-0) de son équipe contre le Celtic Glasgow, Thomas Tuchel a évidemment évoqué hier soir la finale de Coupe de France lors d'une conférence de presse relayée par le site Culture PSG.

"Peut-être que des joueurs ont un peu levé le pied en vue de la finale… C'est toujours dans la tête. On est mardi soir, on joue vendredi, on n’a que deux jours de repos avant de rejouer. Je ne m’attendais pas à ce qu’on joue à 100% comme en finale. C'est la dernière phase de la préparation de cette finale. On jouait face à une équipe très forte, le Celtic, et ce n'est pas facile de jouer face à cette formation. Je suis content.

On a pris des décisions à l’entraînement pour donner du volume et en jouant 45 minutes par groupe encore aujourd'hui. On a préparé les choses de la meilleure façon et on est juste prêt pour le moment présent, pour vendredi. On a très bien fait depuis quatre semaines et demi Il ne nous manque qu'Abdou Diallo et Juan Bernat. C’est très dommage mais l’objectif est d’arriver avec la tête et les jambes fraîches vendredi. On est prêt pour jouer ce match-là.

Juan Bernat n'a pas joué aujourd'hui, cela veut dire que ce n'est pas possible qu'il joue une finale de Coupe malheureusement. On doit continuer la phase de préparation avec lui, de façon contrôlée notamment au niveau du volume afin de ne pas prendre trop de risques. J'espère qu'il pourra faire l'entraînement avec nous demain ou après-demain, au plus tard après la finale afin d'arriver peut-être pour la seconde finale contre Lyon. Mais ce vendredi, c'est trop tôt pour nous.

On a donné beaucoup de travail physique dans les deux premières semaines de la préparation. Après, c'était complètement sur le terrain avec toute l'équipe et des matches amicaux. Nous sommes contents parce que je peux sentir que les joueurs ont eu une bonne attitude, une bonne mentalité. Le groupe profite de travailler ensemble, c'est vraiment bien. Vendredi, c’est le moment pour montrer qu’on est capables de gagner le premier titre à cet instant, le troisième cette saison."

On a eu Chicharo, on a Aouchiche (7)

22/07 07:00
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Thiago Motta, qui a entraîné Adil Aouchiche dans l'équipe U19 du QSG, souligne les qualités du nouveau numéro 17 des Verts dans la dernière édition de la Pravda.

"J'aurais aimé que Tanguy Kouassi et Adil Aouchiche signent leur premier contrat pro à Paris car le PSG c'est vraiment leur club. Ils ont les qualités pour jouer en pro à Paris. Aouchiche j'aime beaucoup son jeu, il a quelque chose. Au milieu, il peut jouer devant la défense, sur un côté, il a quelque chose de différent des autres, il marque beaucoup. Il a ça en lui, une bonne qualité de frappe, il sait être au bon moment dans la surface et il récupère beaucoup de ballons. J'aurais aimé les voir en équipe première et s'y imposer, comme Kimpembe."

La politique de la chaise (co)vide

22/07 06:51
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Comme le rapporte aujourd'hui la Pravda, l'ASSE a décidé de neutraliser les 900 places qui lui avaient été seulement octroyées pour la finale de Coupe de France.

"Roland Romeyer a téléphoné hier à Noël Le Graët pour lui demander que ces places ne soient pas recommercialisées. En vain. L'ASSE a donc confirmé son bon de commande de 13 500 € à la FFF pour toutes les acheter afin de les neutraliser. Par ailleurs, le club attend l'autorisation de la FFF pour remettre avant la finale un chèque de 88 058 € récoltés lors de la vente virtuelle de places pour cette finale lors du confinement. Cette somme ira au CHU de Saint-Etienne dans le cadre de son programme de recherche européen Discovery dédié à la lutte contre le Covid-19."

Une petite chambrée pour recommencer (27)

22/07 06:40
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Comme il l'explique dans la Pravda du jour, Roro fera partie de la petite chambrée qui assistera à la finale de Coupe de France ce vendredi au Stade de France.

"J'avais dit que si la finale de la Coupe de France se disputait à huis clos, je serais solidaire de nos supporters en n'y allant pas. Mais là, ce ne sera pas un vrai huis clos mais un tout petit. Donc, j'irai, avec un coeur triste. Ce ne sera pas une finale comme les autres. Le Stade de France sonnera creux. Mais je respecte la décision de nos groupes de supporters de boycotter cette rencontre car je comprends qu'il est impossible de choisir 900 d'entre eux parmi des milliers pour occuper le secteur qui nous est réservé. Quand on connaît le poids de notre public, la situation nous handicape plus que Paris. En tout cas, une finale reste une finale. L'an passé, j'avais assisté à celle entre Rennes et le PSG. Les Parisiens menaient 2-0 au bout de 22 minutes et qui l'a finalement gagnée ? Rennes. Donc, on y croit."

On a eu Chicharo, on a Aouchiche (6)

22/07 00:42
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La Pravda de ce mardi revient sur la signature d'Adil Aouchiche à l'ASSE. Extraits.

"L'opération séduction a débuté il y a 18 mois quand David Wantier a été alerté par ses réseaux du potentiel de la pépite du PSG. Les Verts l'ont aussitôt supervisé en Youth League et en équipes de France de jeunes. Le premier contact direct n'aurait toutefois eu lieu que le 29 novembre, à son retour de la Coupe du Monde au Brésil. L'argumentaire pointu de Wantier aurait convaincu ses parents et ses agents de poursuivre les négociations.

Elles ont pris un tour décisif le 25 décembre, quand Wantier a revu l'un de ses trois représentants, dans la capitale. Ce dernier aurait alors donné son accord verbal. Les événements se sont ensuite accélérés. Claude Puel, nouveau manager général des Verts, a profité du quart de finale de la Coupe de la Ligue au Parc pour rencontrer Aouchiche l'après-midi de ce match, dans un hôtel situé à proximité de celui des Stéphanois.

S'il a signé libre, l'ASSE lui a versé une grosse prime à la signature, plus un salaire estimé à 100 000 euros brut mensuels. Au regard de l'article 261 de la charte du football, le club devra également payer une indemnité de formation au Paris-SG. S'il prolonge - ce qui devrait être le cas après six mois - elle pourrait dépasser les 3 M€. Plus 20 % de sa future indemnité de transfert prévus par la Charte."

Une petite chambrée pour recommencer (26)

22/07 00:23
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Dans la dernière édition du Parisien, Noël Le Graët évoque la petite chambrée qui assistera à la finale de Coupe de France ce vendredi soir.

"C'est important que le premier match officiel dans l'Hexagone, depuis mars, soit la finale de la Coupe de France. Cette rencontre a aussi, je l'avoue, un côté un peu paradoxal. Nos championnats ont été arrêtés définitivement depuis le 30 avril, mais on est pourtant le seul pays d'Europe de l'Ouest à accueillir, à nouveau, du public à l'occasion des finales des deux coupes nationales. On va jouer seulement devant 5000 personnes. Je le regrette un peu, mais c'est déjà un début.

Les supporters de Saint-Etienne ont décidé de boycotter la finale et les ultras du PSG n'iront pas, non plus, à Saint-Denis afin de ne pas avoir à choisir entre leurs adhérents. L'équation est complexe. On essaie de faire au mieux en respectant la jauge des 5000. On n'ira jamais à l'encontre des décisions du gouvernement. Je le répète, on aurait aimé avoir plus de monde. On donne un quota de billets aux clubs. A eux, ensuite, de s'organiser.

Beaucoup de pays aimeraient rouvrir les stades, mais se disent pourtant prêts à prolonger le huis clos jusqu'à la fin de l'année. Nous, on est toujours en discussions pour qu'il y ait du monde pour la reprise de la Ligue 1. Combien de personnes ? Je ne sais pas. Nul ne peut vraiment prévoir. Il y a un mois, j'aurais tenu un discours un peu plus optimiste. Mais aujourd'hui, avec le léger rebond de l'épidémie constaté, on se pose davantage de questions."

On a eu Chicharo, on a Aouchiche (5)

21/07 23:26
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Dans Libération à paraître demain, le président du Stade de Reims Jean-Pierre Caillot commente la signature d'Adil Aouchiche à l'ASSE. Extraits. 

"Parmi la génération qui est allée chercher la médaille de bronze au Mondial des moins de 17 ans au Brésil, en 2019, Nathanaël Mbuku, qui est chez nous, est le seul de sa génération à avoir signé dans son club formateur à ce stade. Cet été, Isaac Lihadji a quitté l’OM pour Lille et Adil Aouchiche a préféré signer à Saint-Etienne plutôt qu’au Paris-SG. Mbuku était soulier d’argent du Mondial. Ça a été un sacré boulot : des mois et des mois de négociations.

En France, on m’explique souvent que le club a la main, à charge pour lui de construire un lien de confiance avec la famille d’un jeune joueur par exemple. Moi, je vous dis que les temps changent. Un agent mandaté  par  un  club  déboule  et  tout  est ­à refaire. Vous vous retrouvez parfois devant six, sept représentants pour un même joueur, la famille peut devenir folle parce que le gosse a trois sélections chez les Bleus en moins de 17...

Le foot a le beau rôle : celui de l’ascenseur social. Le gosse peut être un ange ; son père, lui, voit arriver une prime à la signature de 500 000 euros alors qu’au cours de sa vie, c’est tout le bout s’il a eu 500 euros sur son compte – et  il fera le  forcing  pour avoir 600 000. Aouchiche a signé à Saint-Etienne pour un salaire à six chiffres mensuels, avec une prime à la signature en millions d’euros, et on parle d’un gamin de 17 ans. Vous imaginez le poids qu’il supporte ?"

Les Vertes privées de montée ? (22)

21/07 23:07
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Roro évoque les Amazones dans la Pravda à paraître demain. Extraits.

"Les féminines ont terminé leur Championnat invaincues et elles sont interdites de monter en D1 à cause d'un match reporté qu'elles n'ont pas pu jouer à cause du confinement. Je ne conteste pas la clé du calcul qui a permis au Havre de monter à notre place mais les conditions du report de ce match caché derrière un arrêté municipal. La FFF n'a pas envoyé un délégué pour vérifier que le terrain était bien impraticable. Et comme Yzeure était un club partenaire, l'ASSE n'a pas porté réclamation. Je ne comprends pas pourquoi la FFF n'a pas respecté les règlements et je l'ai dit à Monsieur Le Graët. C'est honteux. L'ASSE, quatrième club le plus suivi en France chez les filles, subit une énorme injustice. On ne peut pas me parler de promotion du football féminin en agissant de la sorte. J'espère que le tribunal administratif nous donnera raison."

Fofana et Bouanga ne sont pas à vendre

21/07 22:58
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Roro le dit avec plus de fermeté dans la Pravda que dans Le Progrès.

"Le regret que nous avons, particulièrement avec Claude, c'est d'avoir vendu un jeune à fort potentiel, l'été dernier : Saliba. Donc, plus question de vendre nos meilleurs jeunes. Comme avant le 30 juin, avec tout ce que nous avons mis en place au niveau de la trésorerie, on n'y est pas obligés. Je n'ai reçu aucune offre officielle pour Wesley Fofana. Pareil pour Bouanga. Leur vente n'est pas du tout envisageable.

Notre objectif est de sortir des jeunes, de les faire jouer trois ou quatre ans et de former leurs remplaçants avant de les faire partir. Claude a toute notre confiance pour mener à bien la première phase de ce projet sur deux saisons, temps nécessaire pour reconstruire. Il n'est pas en partance. Il est bien, à Saint-Étienne, où on parle beaucoup du futur ensemble et dans une très bonne ambiance"

La DNCG donne son feu vert (2)

21/07 22:48
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Dans la dernière édition de la Pravda, Roro évoque le récent feu vert donné par la DNCG.

"On laissait entendre que le club était financièrement à l'agonie. C'est faux. On a même passé les ventes de Honorat et de Vagner sur le prochain exercice. Quand on a présenté les comptes à la DNCG, je n'ai pas intégré le plan de relance du secteur du tourisme permettant une exonération totale des charges patronales de février à mai. C'est pour cela qu'on n'a pas présenté des comptes à l'équilibre, comme depuis neuf ans, mais déficitaires de 2 M€. Et si la DNCG a mis sa décision en délibéré, c'était dans l'attente de documents du pool bancaire qui nous suit depuis 2010 et d'un autre organisme de prêt. Ce ne sont d'ailleurs pas Bernard et moi qui sommes repassés devant elle mais notre directeur administratif et financier."

Roro évoque Ruffier

21/07 22:42
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Dans la Pravda à paraître demain, Roland Romeyer évoque le cas de Stéphane Ruffier.

"Le directeur général du club le recevra ce mercredi après-midi. Il ne faut pas oublier qu'à l'origine du problème, c'est un simple choix sportif. Personne n'est au-dessus du club et personne ne peut se prévaloir d'un statut de titulaire. Claude décide et manage son équipe comme il le souhaite. Pas un entraîneur ne peut dire que je suis intervenu dans le domaine sportif. Jamais, jamais. Bon, une fois, pour imposer un joueur (Aubameyang) car on s'était mis d'accord avant.

La procédure engagée la semaine dernière est appropriée au regard du comportement de Stéphane Ruffier. Il ne faut pas que le football devienne le plus individualiste des sports collectifs. Je suis peut-être un vieux con, dépassé par le monde d'aujourd'hui dans lequel je ne me retrouve plus, mais il faut de la discipline et du respect. C'est comme dans une armée : on suit la décision du général. C'est une question d'intelligence et de bon sens."

Casa espère un match ouvert

21/07 22:33
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Ancien gardien du PSG et de l'ASSE, Dominique Casagrande s'est confié à nous avant la finale de Coupe de France.

"Franchement, je n’ai pas de préférence entre Paris et Sainté pour la finale de vendredi. J’aime bien les deux clubs, j’y ai passé des bons et des moins bons moments. En fait mon cœur bat peut-être plus pour Nantes parce que j’ai fait des débuts de rêve là-bas mais je me suis régalé partout.

Quand j’étais à Paris, ce n’était pas encore le club que c’est devenu aujourd’hui, mais c’était déjà un gros club, qui faisait partie des clubs qui ont une importance en France. Pas par son histoire car celle des Verts et des Canaris est plus longue et plus importante mais parce que ça reste le club de la capitale.

Saint-Etienne, ça représentait beaucoup pour moi et c’est toujours fort. La première fois où la chanson des Verts résonne dans le Chaudron... C'est resté en moi ! T’as des émotions et des moments qui restent gravés, celui-là en fait partie. Sainté, ça te marque.

L'ASSE a vécu une saison compliquée, avec des gros changements. Leur saison n'a pas été un long fleuve tranquille. C’est certainement une étape forte pour le club. Je pense qu’il y a une fin de cycle de joueurs, du renouveau avec l’arrivée d’un coach qui construit sur le long terme.

Je connais bien Claude, c’est quelqu’un d’exigeant avec lui-même, avec les autres. C’est un bâtisseur qui travaille minutieusement et ne laisse rien au hasard. Il fait des choix et les assume, il avance. Il demande beaucoup mais donne aussi beaucoup pour le club.

Christophe Galtier a marqué le club, je pense que Claude peut le marquer aussi, pas de la même manière mais sur la mise en route de tous ces jeunes prometteurs, dont plusieurs ont remporté la Coupe Gambardella la saison dernière. Il n'hésite pas à faire confiance aux jeunes.

Paris a repris très fort, a enchaîné de larges succès lors de sa préparation. Sur certaines séquences ils ont été impressionnants mais je ne sais pas si on peut en tirer beaucoup d'enseignements. La Coupe, c'est à part et sur un match les Stéphanois ont un coup à jouer. Ils vont tout donner sur 90 minutes voire 120.

Toutes les cartes vont être rebattues. Le contexte très particulier de cette année avec cet arrêt de plusieurs mois dû à la crise sanitaire, ça peut je pense un peu niveler les valeurs sur un match comme ça. Ce sera le premier match officiel en France depuis plus de quatre mois, ce n’est pas rien !

Et puis ça reste la Coupe, et la Coupe, c’est génial ! Ce sont des moments supers à vivre. Le point noir, c’est l’absence des supporters. C’est dur pour le peuple vert qui attendait une finale de Coupe de France depuis très longtemps. Ce sera difficile pour les joueurs stéphanois de jouer sans leur fans réputés pour mettre une grosse ambiance dans tous les stades. 

La finale de Coupe de France est une fête qu’on aime vivre avec ses supporters, mais bon, c’est comme ça, il faudra faire avec. Enfin, non, il faudra faire sans justement ! Les Parisiens sont les grandissimes favoris, 95% des gens les voient gagner. Je pense aussi que Paris va s’imposer mais j’espère que ce sera un match ouvert."

Pas de finale pour Gaby !

21/07 21:16
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Sorti sur blessure samedi dernier contre Anderlecht, Gabriel Silva ratera la finale de la Coupe de France selon la Pravda.

"Touché au niveau de la cuisse gauche, le latéral gauche passera une IRM ce mercredi. Au regard de sa lésion musculaire, l'indisponibilité du latéral gauche brésilien est d'ores et déjà estimée à un mois."

Opération dégraissage (3)

21/07 20:55
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Sur le site du Progrès, Roro explique que l'opération dégraissage lancée par les départs de Franck Honorat (Brest) et Vagner Dias (Metz) est loin d'être terminée.

"Notre premier objectif est d’avoir moins de joueurs sous contrat. Il est difficile de gérer un groupe surdimensionné et financièrement, ça coûte cher. Nous sommes en train de changer de modèle sportif car nous n’avons pas les moyens de payer au prix fort des joueurs de premier plan. Nous voulons davantage nous appuyer sur notre centre de formation mais aussi détecter des jeunes à fort potentiel.

Nous nous sommes engagés à baisser notre masse salariale pour réduire notre budget d’une dizaine de millions. Cette année, notre budget sera entre 90 et 95 millions d’euros. Nous avons le potentiel financier pour garder Wesley Fofana et Denis Bouanga. À l’heure actuelle, il n’est pas prévu qu’ils s’en aillent. Ce sont des joueurs qui font partie de notre projet sportif."

On a eu Chicharo, on a Aouchiche ! (4)

21/07 20:24
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Ancien formateur d'Adil Aaouchiche au FC Tremblay, Salim Bouadla parle du nouveau numéro 17 des Verts dans 20 Minutes.

"Il a toujours été beau à voir jouer. On avait une superbe génération 2002 à Tremblay mais il est celui qui a avancé le plus vite. Je ne suis pas surpris par son parcours car il avait déjà la technique, la vision du jeu et les prises de balle. Il a toujours su quand donner sa balle, et ne pas se mettre à dribbler trois joueurs quand le jeu ne réclamait pas ça. Avant de rejoindre le PSG, il a vait passé des tests à Bordeaux et surtout à l’OL. Adil est très bien entouré, c’est un bon petit qui sait ce qu’il veut, qui ne court pas après l’argent au moment de faire un choix. Là, il cherchait des garanties de temps jeu supérieures à ce qu’il pouvait avoir à Paris."

Sandjak a dit

21/07 19:17
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Ancien attaquant du PSG et de l'ASSE, Liazid Sandjak nous a livré ses impressions à trois jours de la finale de Coupe de France qui opposera ses deux anciens clubs.

"J’ai passé plus de temps au PSG qu’à l’ASSE, à la base je suis neutre mais j’aurai tendance à être avec les plus petits pour ce match de vendredi. Ce serait super pour les Verts d’arriver à maîtriser l’armada du PSG. C’est pas gagné car on sent que Paris a faim. C’est bon dans toutes les lignes, ça attaque et ça défend ensemble.

Puel est capable de mettre en place un gros bloc défensif, très dur. On ne sait pas vraiment où en sont les équipes physiquement. Paris a impressionné lors de ses deux premiers matches de préparation mais c’était contre des petites équipes qui n’ont pas mis énormément d’impact dans les duels.

Produire du jeu contre Paris, c’est compliqué, surtout sur la durée d’un match. Maintenant, Sainté à des joueurs offensifs intéressants capable de mettre en danger Paris comme Ryad Boudebouz et surtout Denis Bouanga, qui m’a fait une belle impression cette saison. Il est performant, il sent bien les coups, il a le sens du but.

L’ASSE sort d’une saison très compliquée en championnat mais il y a quand même de la qualité dans cette équipe. Je crois les Verts capables de sortir un gros match. L’an dernier Rennes a battu Paris en finale mais Rennes était vraiment costaud. J’étais au match, je me souviens que Hatem Ben Arfa avait été précieux car il avait réussi à faire souffler son équipe, à garder des ballons.

Face à une équipe de très haut niveau qui joue à 2000 à l’heure comme Paris, quand t’as un mec qui arrive à garder les ballons, à obtenir des coups francs, à remonter les mecs, ça change la donne. Je ne sais pas si l’ASSE dispose d’un tel joueur dans son effectif. Les Verts vont devoir défendre à onze, intelligemment, se défoncer les uns pour les autres et jouer à fond les coups offensifs.

Je ne vois pas le PSG se faire remonter deux buts d’écart comme l’an dernier. Si Paris prend rapidement deux buts d’avance, je pense que c’est mort pour Sainté. Mais je pense que cette équipe stéphanoise est toute neuve dans sa tête, sera bien préparée par Claude Puel avec un vrai bloc. Je sens que les Verts ont envie de faire un coup. C’est pour ça que je pronostique un 1-1, j’espère pour les Verts que la séance de tirs au but finira mieux qu’en 1982 !"

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