Marseille enflamme !

23/03 11:17

La venue de Marseille dans 10 jours à Geoffroy va enflammer le Chaudron.

En effet seules quelques places dans la partie supérieure de la tribune Pierre Faurand sont encore disponibles à la vente. Les trois autres tribunes affichent déja complet.

Le récent record d'affluence de la saison établi contre Metz (35 607 spectateurs) sera donc battu et on peut espérer dépasser la barre des 40 000. De quoi faire tomber le record d'affluence du stade dans sa nouvelle configuration, établi lors du derby de janvier 2019 (41 594 spectateurs) ?

Réponse dans les jours à venir...

Un nouveau soutien pour les Socios Verts

23/03 08:55

Après Marc Zanotti, c'est au tour d'un autre ancien Vert en la personne d'Alain Merchadier de rejoindre le collectif des Socios Verts. 

"Je rejoins ce projet car il est novateur. Ce sont des vrais passionnés du maillot qui mettent cela en place. Je vais essayer d'apporter mon expérience dans le foot et ma passion de l'ASSE. Je vais tenter de pouvoir aider ce peuple vert par respect pour lui."

Oscar savoure

23/03 07:17

Entraîneur d'une équipe très jeune mais confortablement calée dans le ventre mou avec 9 points d'avance sur le barragiste stéphanois à 9 journées de la fin du championnat, Oscar Garcia s'est confié à L'Union de Reims. Extraits.

"J'aime l'état d'esprit des joueurs. Durant la saison, on a eu différents aléas, beaucoup de problèmes avec les blessures et on ne peut qu'être ravis de se retrouver dans cette position au classement. On travaille ensemble depuis huit mois et on voit que l'équipe est très solide. Les joueurs donnent tout pour l'équipe et ça me plaît ! On a concédé le nul à domicile lors du dernier match mais prendre quatre points contre une équipe comme Lyon, qui est en quart de finale de l'Europa League, c'est déjà pas mal !"

Force est de constater que l'entraîneur catalan a un meilleur bilan contre les vilains qu'à l'époque où il officiait sur le banc stéphanois !

 

Bernardoni adore Geoffroy

23/03 06:40

Paul Bernardoni encense une nouvelle fois le peuple vert dans Le Progrès du jour. Extraits.

"On sent que les supporters sont remotivés. On prend vite l’ampleur qu’a l’ASSE ici. C’est vraiment une ville de foot. C’est une force. Même contre Troyes, on n’est pas flamboyant mais on arrive à se procurer un péno. A tout moment, on se dit qu’on va avoir une occasion. De jouer dans un stade plein, ça influe aussi sur l’adversaire. J’espère que le stade va se remplir encore plus. Faire un guichet fermé, ce serait extraordinaire. Je suis collé aux supporters de par ma position. Des fois tu récupères un ballon derrière ton but et tu entends les mecs te motiver. J’adore !

J’adorais aussi venir à Geoffroy-Guichard comme adversaire. Il y a cette pression… Je me faisais insulter sans doute par les mêmes qui me disent aujourd’hui "allez Paulo !" Mon meilleur moment avec les Verts ? Le succès contre Metz. Cette victoire a changé quelque chose. En cas de maintien, est-ce que je me projette à l'ASSE ? On ne m’a pas fait de promesses. Honnêtement, je ne peux pas faire de plan sur la comète. Je sais pourquoi je suis là. Si on se maintient, c’est bon pour l’ASSE, tous les joueurs du groupe et bon pour moi. On a tous le même objectif du coup. On verra."

Sainté a été son salut

22/03 18:42

Dans son livre Pour le plaisir paru jeudi dernier aux éditions Amphora. Jérémy Clément explique que sa venue à Sainté lui a permis de reconquérir sa moitié. Extraits.

"Début 2009, Sylvia donne naissance à notre premier enfant, Roméo. Je suis envahi par la joie bouleversante et immense de devenir père. Mais l’année 2010 a été terrible pour moi. Est-ce la faute du succès ? La gloire, la notoriété, les paillettes de Paris et du PSG ? Je ne sais pas. À cette période, je me suis perdu. J’ai oublié qui j’étais et je suis devenu un con. Un con paumé. Un con nombriliste. Un con aveugle. A Paris, nous avions accès à toutes les merveilles de la capitale en un claquement de doigts. Partout où nous allions, on nous déroulait le tapis rouge (…). Pendant cette période, j’ai peu à peu perdu ma joie de vivre. Je devenais une ombre sur le terrain et à la maison.

Sylvia en a beaucoup souffert. Je suis devenu taciturne, je n’avais envie de rien. Lorsque les bons amis essayaient de me parler, je niais tout en bloc. Je ne voulais pas me remettre en question. Jusqu’au jour où j’ai demandé à Sylvia de partir. Son effondrement et ses pleurs n’y ont rien fait : je l’ai mise à la porte. Elle a pris notre fils et est retournée s’installer près de sa famille, à 600 km de chez moi. J’ai décidé de rendre la maison qu’on louait à Saint-Nom-la-Bretèche et j’en ai loué une plus petite à Saint-Germain-en-Laye. La première nuit là-bas, l’électrochoc s’est produit : « Qu’est-ce que je fais là ? Où est mon fils ? Où est ma femme ? » Finalement, je voulais qu’ils reviennent.

J’avais été aveugle à la souffrance de Sylvia. Je ne me pardonnerai jamais les souffrances que je lui ai infligées. Plus tard, après de nombreuses séances avec un psychologue, j’ai découvert que j’avais fait une dépression post-partum du père. Cette dépression vicieuse s’insinue dès les derniers mois de grossesse et au cours des premiers mois de vie d’un enfant. Elle touche aujourd’hui 20% des pères à des degrés différents. Ce chiffre impressionnant pourrait expliquer, à lui seul, le nombre important de ruptures qui surviennent après l’arrivée d’un enfant. Je trouve indispensable de nommer et considérer ce mal, trop souvent écarté.

Saint-Etienne a été mon salut. L’ASSE m’a offert l’opportunité de revenir près des miens. Être tout proche de Sylvia m’aiderait peut-être à la reconquérir. Par chance elle n’avait jamais cessé de m’aimer. Elle avait compris que je devais revenir près de mes racines pour me retrouver. Notre couple est finalement ressorti plus fort que jamais de cette épreuve. Je me suis reconnu dans le projet professionnel que m’offrait Saint-Etienne. C’était une sorte de métaphore de ma vie : rejoindre un club prestigieux et participer à son redressement, l’aider à sortir de sa convalescence, chapeauté par un coach en début de carrière, un homme qui allait montrer tout son potentiel technique, tactique et humain."

Falaye, aïe, aïe !

22/03 16:49

Comme le redoutait Pascal Dupraz, Falaye Sacko aura disputé contre Troyes ses dernières minutes de la saison selon RMC. De loin le meilleur joueur ayant rejoint le Forez cet hiver, le défenseur malien s'est sérieusement blessé au genou droit.

Les Amazones amassent peu !

22/03 10:12

Remontées en D1 l'été dernier, nos Amazones sont plus que jamais menacées de retourner en D2.

Dernières à 5 journées de la fin, avec une seule victoire en 17 matchs, les Vertes n'ont amassé que 6pts depuis le début de saison. A en croire la Pravda du jour, financièrement, elles amassent très peu aussi. Ainsi, elles gagneraient en moyenne 1 700€ par mois. Seules les Guingampaises et les Sojaldiciennes gagnent moins avec 1 600€ par mois. Sans surprise, on retrouve les Vilaines (12 000€) et les Parisiennes (9 000€) tout en haut de ce classement.

Hervé Didier y croit encore

22/03 06:47

Ancien entraîneur des Amazones (de 2008 à 2017), Hervé Didier croit encore dans Le Progrès au maintien dans l'élite des protégées de son ancien adjoint Jérôme Bonnet. Extraits.

"Je pense qu’elles sont capables de se sauver. Elles vont affronter des équipes à leur portée, c’est encore jouable. Ce serait un exploit de rattraper cinq points en cinq matches. Cela fait beaucoup mais mathématiquement, c’est possible. Le match nul contre l'OL prouve que l’équipe a du potentiel. J’imagine que Jérôme tente beaucoup de choses. Cela passera par le jeu, l’envie d’être performant, la dépense athlétique… Chez les filles, on est aussi sur les émotions. Cela peut être bien mais quand on est trop dedans, elles peuvent perdre un peu leurs moyens. Il faut trouver le bon équilibre pour qu’elles ne soient pas inhibées."

Douzièmes donc dernières avec 6 points en 17 matches, les Vertes recevront la prochaine journée la seule équipe qu'elles ont battue cette saison (Dijon, 9e avec 13 points) avant d'accueillir Guingamp (10e, 11 points). Ensuite elles iront à Reims (7e, 20 points) puis à Fleury (4e, 31 points) avant d'achever leur saison par la réception de l'autre relégable Soyaux (11e, 10 points).

 

 

Saliba juste derrière Payet

22/03 06:28

Selon la dernière édition de la Pravda, deux anciens Verts figurent dans le big four des plus gros salaires de l'OM, prochain adversaire de l'ASSE. Seuls Cédric Bakambu et Arkadiusz Milik (400 000 euros brut mensuels chacun) touchent plus que Dimitri Payet (350 000) et William Saliba (310 000).

Que les gros salaires lèvent le doigt !

22/03 00:06

La Pravda a divulgué le top 10 des plus gros salaires stéphanois :

1. Wahbi Kazri 290 000 euros brut
2. Ryad Boudebouz 200 000 euros
3. Adil Aouchiche 180 000 euros
4. Timothée Kolodziejczak 110 000 euros
5. Denis Bouanga 90 000 euros
- Gabriel Silva 90 000 euros
7. Miguel Trauco 85 000 euros
8. Harold Moukoudi 80 000 euros
9. Paul Bernardoni 75 000 euros
10. Zaydou Youssouf 75 000 euros


Le quotidien sportif, qui nous apprend que Mickaël Nadé touche 9 fois moins qu'Adil Aouchiche, dévoile par ailleurs quelques infos salariales sur les recrues du mercato hivernal. Extraits.

"Eliaquim Mangala a touché une prime à la signature de 120 000 euros. Étant acquise, elle est intégrée et ventilée dans son salaire (50 000 € + 20 000 € de prime = 70 000€ mensuels). Ce n'est pas le cas pour Enzo Crivelli. Lui aussi touchera un bonus de 120 000 €. Mais seulement en cas de maintien. Idem pour Bakary Sako. Il peut voir son salaire grimper de 15 000 € à 25 000 € en fonction du nombre de titularisations et de maintien, en fin de saison.

Ce ne sera pas le cas de Paul Bernardoni et de Sada Thioub, prêtés par Angers, auxquels ils appartiennent toujours. L'ASSE se contente de prendre en charge la moitié du salaire du premier (75 000€ sur 150 000€) et 65 % de celui du second (25 000€ sur 40 000 €). Pareil pour Falaye Sacko qui émarge à 50 000 €.

Alors qu'il touchait près de 300 000 euros par mois au Séville FC, Joris Gnagnon a signé pour 10 fois moins chez les Verts et, à sa demande, pour seulement six mois alors que le club lui proposait un an et demi de contrat. Face à sa méforme persistante, son salaire brut mensuel a été rabaissé, avec son accord, à 5 000 euros, en janvier. L'annonce de sa signature a alors pu être officialisée."

Dupraz gagne 11 fois moins que Galette ?

21/03 23:02

La Pravda a publié ce soir le classement salarial des entraîneurs de l'élite. On aura noté que l'actuel entraîneur des Verts toucherait 11 fois moins que Galette... Mais s'il réussit sa mission maintien, le Haut-Savoyard verra son salaire passer rétroactivement de 30 000 € à 75 000 €.

1. Mauricio Pochettino (QSG) 1 100 000 €
2. Jorge Sampaoli (Marseille) 330 000 €
- Christophe Galtier (Nice) 330 000 €
4. Peter Bosz (Vilains) 250 000 €
5. Philippe Clement (Monaco) 150 000 €
- Bruno Genesio (Rennes) 150 000 €
7. Jocelyn Gourvennec (Lille) 130 000 €
8. Antoine Kombouaré (Nantes) 100 000 €
9. Olivier Dall'Oglio (Montpellier) 95 000 €
10. David Guion (Bordeaux) 90 000 €
- Julien Stéphan (Strasbourg) 90 000 €
12. Frédéric Antonetti (Metz) 80 000 €
- Oscar Garcia (Reims) 80 000 €
14. Gérard Baticle (Angers) 70 000 €
- Christophe Pelissier (Lorient) 70 000 €
16. Franck Haise (Lens) 65 000 €
- Michel Der Zakarian (Brest) 65 000 €
18. Bruno Irles (Troyes) 40 000 €
19. Pascal Dupraz (Saint-Étienne) 30 000 €
20. Pascal Gastien (Clermont) 25 000 €

Galette se livre à Clément

21/03 22:36

Christophe Galtier se livre à Jérémy Clément dans l'intéressant bouquin Pour le plaisir paru jeudi dernier aux éditions Amphora. Extraits.

"Jérémy arrivait le premier et repartait le dernier, prenait le temps de saluer tout le staff technique et médical, mais aussi administratif et logistique. Il a instauré le rituel des parties de tarot qui ont eu parfois le don de m’agacer tant elles étaient devenues envahissantes. Tout le monde voulait en être : Il y avait ceux qui jouaient, ceux qui regardaient et ceux qui apprenaient. Un joyeux mélange de générations, de cultures et de nationalités réunies autour d’une table. Le groupe que je menais à Saint-Étienne est devenu ni plus ni moins qu’une grande bande de potes, dont ressortait dans le vestiaire une union sacrée, solidaire dans les bons et les mauvais moments.

Au-delà de la recherche de la performance, c’est la relation humaine qui me motive dans mon travail : l’envie et le besoin de faire grandir mes joueurs m’animent au quotidien. Pour moi, c’est l’essence-même du métier. Voir l’évolution du joueur, sa progression, son parcours, l’aider à grandir et parvenir à associer son identité à un groupe. Démarrer un projet avec une équipe, bien identifiée et identifiable pour arriver à créer, non pas une marque, mais un style.

Pour cela, il faut amener les gens – les joueurs, amis également tous les membres qui composent cet environnement professionnel – à adhérer au projet. Il faut expliquer où l’on veut aller, quel chemin on veut prendre et comment le prendre. Pour moi, c’est indispensable que le club dans son ensemble soit aligné sur les mêmes objectifs. Et sans tenir compte de l’humain dans sa forme individuelle, rien n’est possible.

Pour comprendre l’humain, l’homme, le joueur, il ne faut pas se cantonner à son propre vécu et à son expérience personnelle, mais il faut vivre avec son temps, avec son époque. Les mœurs, les envies ont changé. Très bien. C’est à moi de me mettre à jour, en adéquation avec la génération que je coache. La grande évolution indéniable et malheureuse dans le monde du foot aujourd’hui est que si un club n’a pas les moyens financiers de se développer, cela devient très difficile, voire impossible pour lui d’être performant.

Et pour accroître leurs finances, les clubs passent invariablement par le développement et la vente des joueurs. Repérer et révéler des talents, puis les revendre en réalisant une plus-value. Des joueurs comme Loïc Perrin, qui font toute leur carrière dans un club, cela n’existe plus. Les joueurs multiplient les clubs tout au long de leur parcours. Cela rend plus difficile la mise en place de relations de confiance, mais il faut l’accepter et apprendre à travailler différemment.

Cette nouvelle tendance a aussi des avantages. Aujourd’hui, on est dans un football international, ce que je trouve très enrichissant en tant qu’entraîneur, mais aussi en tant qu’homme et que père. Je travaille avec des garçons, des gamins qui viennent de différents horizons sur les plans culturel et familial, et les échanges qui en découlent sont très riches.

Comme tout le monde, j’avance dans l’âge, mais sur le terrain, j’ai toujours à faire à la même tranche d’âge. Des hommes de 17 à 35 ans. Je dois donc rester ouvert, et surtout éviter de penser « à mon époque ceci », « à mon époque cela »… Au contraire, je dois rester à la page, car il peut y avoir une ou deux générations d’écart entre eux et moi.

Notre société évolue à vitesse grand V et nous sommes tous impactés. Je me dois d’être conscient des modes de vie, de pensée et de consommation de mes joueurs. Lorsque je parle avec l’un d’eux, j’essaie toujours de penser à une personne de mon entourage du même âge, afin de plus facilement le parallèle entre ce que cette personne est, vit, connaît et ce que moi, je peux connaître de ses attentes et de son comportement. Le football est un sport populaire, où il n’y a pas ou peu d’instruction supérieure, mais où il y a beaucoup plus d’intelligence que l’on ne pense.

Quand j’ai commencé le métier d’entraîneur, j’étais papa et j’avais en face de moi des joueurs de l’âge de mes enfants, des célibataires ou de jeunes papas. Aujourd’hui je suis grand-père, mes enfants sont devenus eux-mêmes parents. Cette évolution est une chance si je garde l’esprit ouvert. Bien sûr, dans certains secteurs, je reste intransigeant, mais pour le reste, je ne suis pas contre le changement. Moi, je suis là pour leur apprendre un métier, leur enseigner comment le faire et ce qu’il va leur apporter. Mes joueurs, je dois leur transmettre ce que je sais, mais pas les amener vers ce que je suis. C’est à moi de rester connecté à ce qu’ils sont."

Pas d'Aiglico pour Khazri

21/03 19:44

La Fédération tunisienne de football a annoncé ce lundi le forfait de Wahbi Khazri (blessé) pour la double confrontation qui opposera les 25 et 29 mars les Aigles de Carthage aux Aigles du Mali. Pour rappel, Falaye Sacko a également dû déclarer pour ces matches de barrage de la Coupe du Monde.

Ce Bordeaux s'est sabordé

21/03 19:17

Mais que diable est-il venu faire dans cette galère ? Dans un papier intitulé "Les Girondins ont déjà un pied dans la tombe", Sud-Ouest décrit un Josuha Guilavogui désemparé, capitaine de la première équipe de l'histoire du championnat de France à ne marquer aucun but à une équipe réduite à neuf (Montpellier) pendant toute une mi-temps.

Dans le même quotidien, David Guion revient sur cette piteuse défaite de la lanterne rouge, qui compte désormais 5 points de retard sur le barragiste stéphanois, attendu au Matmut Atlantique le mercredi 20 avril lors de la 33e journée.

"Je ressens une grosse colère, contenue, froide. Je suis en colère après mes joueurs. On ne peut pas faire un match comme ça quand on connaît les enjeux, alors que tout était réuni pour l’emporter. Le groupe s’est sabordé. En tant qu’entraîneur, on actionne pas mal de leviers. Avec une défense à 5 on ne marque pas de buts, on passe à quatre. On fait marcher la concurrence. On cherche, on actionne d’autres leviers, d’autres systèmes, on met plus d’attaquants, plus de technique. Il n’y a rien qui marche. En 2e mi-temps, on a mis toutes nos forces offensives et on n’est pas capable de marquer un but. L’environnement, c’est à nous d’aller le chercher, le convaincre par nos attitudes, nos résultats.

On mérite des sifflets, la colère des supporters. En aucun cas, on peut accepter ces 20 premières minutes avec si peu d’agressivité, si peu d’engagement, défendre en reculant. À la pause, j’ai essayé de me projeter sur cette mi-temps à 11 contre 9, renforcer la présence devant le but, mettre des joueurs de couloir en ne restant qu’à deux derrière et Josuha en couverture. Mais on a manqué de justesse technique sur les dernières passes, on a manqué cruellement de qualité. On a deux semaines pour parler, travailler, chercher encore d’autres leviers. Il reste 9 matchs, 27 points, c’est un petit motif espoir. Il est temps de gagner des matchs."

Stéphane Diarra forfait contre les Stéphanois (2)

21/03 18:23

Comme au match aller, Stéphane Diarra sera forfait contre Sainté le vendredi 8 avril à Lorient en match d'ouverture de la 31e journée de L1. Comme le rapporte Ouest-France, le milieu de terrain lorientais sera absent quatre à cinq semaines après s'être blessé mercredi dernier au quadriceps.

Pour rappel, les Merlus ne comptent qu'un point d'avance sur le barragiste stéphanois et pourraient se retrouver derrière Sainté au moment de se pointer au Moustoir. Entretemps, Léo Pétrot et ses coéquipiers seront allés au Parc tandis que l'ASSE aura reçu l'OM de William Saliba.

Saliba, c'était écrit

21/03 13:50

Aucun de ceux qui l'ont vu sous le maillot vert mener ses troupes jusqu'au SDF en 2019 pour la finale de Gambardella et en parallèle contribuer à la belle 4è place des hommes de JL Gasset n'en doutait : William Saliba était destiné un jour à porter le maillot de l'équipe de France.

Ca ne devrait plus tarder car il a été appelé ce matin par Didier Deschamps, pour remplacer Pavard covidé, dans le groupe qui affrontera la Côte d'Ivoire (25 mars) et l'Afrique du Sud (29 mars).

La seule question désormais est de savoir quand Fofana le rejoindra.

 

Bocchi ne connaît qu'un derby

21/03 11:21

Interviewé hier dans la Pravda, l'ex-Niçois (et vilain) René Bocchi a évoqué la nouvelle rivalité entre Nice et Marseille ... et remis les choses à leur vraie place : "Moi qui ai joué à Nice, Lille et Lyon, je peux dire que le seul vrai derby que je disputais, c'était Lyon - Saint-Etienne. A Lyon des kinés avaient pleuré dans le vestiaire après une victoire contre Saint-Etienne. Je ne l'ai pas revu ailleurs."

Batlles s'y attendait

21/03 07:13

Dans L'Est-Eclair, Laurent Batlles revient aujourd'hui sur le match nul entre ses deux anciens clubs il y a trois jours à Geoffroy-Guichard.

"Troyes a fait une bonne première mi-temps car ils ont bien défendu, ont ressorti des ballons et se sont projetés vers l'avant. Sainté n'a pas joué au niveau qui devait être pour mettre en difficulté l'Estac. La seconde période a été à sens unique, il n'y a pas d'occasion à part la belle frappe de Yo Touzghar. L'équipe troyenne est plus solide. Ils avaient pris pas mal de buts, là ils en prennent moins. Entre une équipe de Saint-Etienne qui a parfois du mal à faire du jeu et une équipe de Troyes bien en place, je m'attendais à un match comme ça (...) J'espère retrouver un projet intéressant la saison prochaine (...) Vous me dites que mon nom va être associé à Saint-Etienne ? Il faut laisser les gens travailler. Je n'ai pas envie d'être associé à quoi que ce soit. Je ne vais pas commenter à nouveau ce que j'ai déjà dû commenter en juin, quand à chaque fois qu'un club sortait dans les médias, je devais me justifier."

Puel et Rocheteau chez les Chamois

21/03 06:54

Dominique Rocheteau, Claude Puel et Florent Sinama Pongolle joueront le mercredi 30 mars à Niort avec le Variétés Club de France contre une sélection d'anciens Chamois comme le rapporte Le Courrier de l'Ouest.

3 chances sur 4 de ne pas finir directement relégable !

21/03 06:26

A 9 journées du terme du championnat, l'ASSE a toujours 51% de chance de ne pas finir dans les trois derniers selon Fabien Torre. D'après les savants calculs de ce maître de conférences en informatique à l'Université Lille 3, Sainté n'a plus que 25% de "chance" d'être directement relégué suite aux défaites des Messins et des Girondins. On aura noté que l'ASSE a désormais 24% de "chance" d'être barragiste.

Aubame écrase le Real

20/03 23:33

Auteur d'un doublé et d'une passe décisive, Pierre-Emerick Aubameyang a été ce soir le grand artisan de l'écrasant succès (4-0) du FC Barcelone contre le Real Madrid à Santiago Bernabeu en match de clôture de la 29e journée de Liga. L'ancien attaquant stéphanois a déjà claqué 9 pions cette année en 11 matches disputés avec le Barça.

Zouma n'a pas eu de chatte

20/03 23:08

Tottenham a remporté 3-1 son derby contre West Ham ce dimanche lors de la 30e journée de Premier League. On aura noté que Kurt Zouma a ouvert le score contre son camp.

Hommage à Jean-Luc Ribar

20/03 21:05

La chaîne YouTube ASSE Memories, spécialisée dans les vidéos relatives au glorieux passé de l'ASSE, a réagi à la disparition de Jean-Luc Ribar en lui rendant hommage via un montage retraçant ses principaux faits d'armes sous le maillot vert.

De ses débuts lors de la saison 1983-84 à son ultime saison stéphanoise en 1987-88, revivez ou découvrez ce qui fit de ce talentueux milieu offensif un chouchou de Geoffroy-Guichard...

Les U18 calent contre St Genis Laval

20/03 19:31


Karim Cissé a fait son retour après sa blessure du mois d'août dernier.

Les U18 de Kevin De Jesus sont dans le dur. Longtemps invaincus, et dominant largement cette poule de U18 régionaux, ils ont subi aujourd'hui leur deuxième défaite, (0-1) sur le terrain Aimé Jacquet de l'Etrat, contre l'Olympique de St Genis Laval, après celle concédée la semaine dernière contre l'ES Veauche. 

Ce fut un match assez équilibré qui se décanta dans le dernier quart d'heure : profitant d'un ballon perdu à 35 m des buts par les Verts, les Saint-Genois se projetaient rapidement vers l'avant et un attaquant concluait d'une belle frappe. 
A noter, le retour, après une très longue blessure de Karim Cissé, arrivé à l'ASSE, il y a deux ans en provenance de La Duchère. Il s'était gravement blessé au genou au mois d'août dernier.  

La composition : Sabathié - Achour, Fernandes (Gaudry, 58ème), Gonnet, Makengo - Sissoko (Bouderbane, 25ème), Ramirez, K.Cissé - Venière-Jusseron, Mimoun, Germany.

La réaction de Kevin De Jesus"On n'a pas fait ce qu'il fallait pour emporter ce match. Certes, nous nous créons des occasions mais il manque la concrétisation. Nous sommes dans une période un peu délicate, mais cela n'enlève rien à ce que nous avons fait jusqu'à présent. Il nous reste à nous remettre d'aplomb, et à retrouver notre efficacité offensive, dès la semaine prochaine, contre un adversaire également bien placé au classement. "  

Un but, une biscotte et une défaite pour Bafé

20/03 18:28

En renard des surfaces, Bafé Gomis a ouvert le score ce dimanche pour Galatasaray sur le terrain de Gaziantep. Mais l'ancien attaquant stéphanois a mangé une biscotte juste avant le but égalisateur des locaux, qui se sont finalement imposés 3-1.

 

Les U17 déchantent à Didier-Deschamps

20/03 18:10

Vous avez pu suivre la rencontre en direct (et vous pouvez encore la visionner) sur la chaine twitch de l'AS Monaco : les leaders stéphanois ont été écrasés 4-0 à la mi-journée au stade Didier-Deschamps au Cap d'Ail (juste en face du stade Louis-II).

Dominateurs la première demi-heure, les Verts ont concédé l'ouverture du score à la 38e suite à une perte de balle d'Abderraouf Guechi. Ce dernier, servi par son capitaine Simon Cateland deux minutes plus tard, a fait trembler les filets mais le but a été logiquement refusé pour hors jeu. Sur un centre d'Enzo Mayilla, il a eu une nouvelle occasion d'égaliser en début de seconde période mais a perdu son duel avec le portier. Sur le contre, les locaux ont inscrit le but du break à la 48e.

Incapables de réagir, les protégés de Patrick Moreau ont subi les assauts des poulains (pas Fabrice) de Manuel Dos Santos. Les Monégasques ont tué le match sur un penalty concédé par Noam Gallo et transformé par Sandro Bertolucci à la 74e. Ce dernier, que l'ASSE avait tenté en vain de recruter, a corsé l'addition sur un lob à la 80e. Toujours en tête, Sainté n'a plus que 4 points d'avance sur son dauphin ajaccien. Mené 2-0 par l'OM, l'ACA a réussi a arracher le nul à Marseille. Pour rappel, les Corses comptent deux matches de retard.

La compo : Houngbo Civier – Lunetta, Pedro, Lemb, Gallo – Sahraoui (Solvery, 72'), Amougou, Cateland (Agesilas, 56') – Guechi, Pama Djobo, Mayilla (Zemangui, 67)

U19 : la situation se corse

20/03 16:24

Les U19 se sont inclinés 2-1 en fin de matinée à Ajaccio face à l'ACA. La course aux phases finales se complique.

Tout avait pourtant bien commencé dans cette rencontre puisque que c'est Antoine Gauthier (photo) qui a ouvert la marque (0-1, 19e) mais les Corses sont revenus dans la rencontre juste avant la pause (1-1, Touré, 45e).

Réduits à 10 à l'heure de jeu (Kinunga, 61e), les Stéphanois ont cédé dans le dernier quart d'heure (2-1, Pineiro, 77).

Les Verts (38 points) sont désormais quatrièmes du Groupe D à 8 points du leader monégasque. Ils recevront l'OGC Nice (5e, 36p) samedi 26/03 à 11h00.

La composition : Raveyre - Haon, Owusu, Kinunga, Bladi - Gauthier, Ngongolo, Njoya (Mfukumoko,72e) - Bile, Othman (Watel, 81e), Mukanya (Ngongar, 64e).

La réaction de Jean-Luc Dogon : "On a fait une bonne première mi-temps, on a dominé, on avait le ballon et on s'est créés de belles situations. On aurait pu rejoindre les vestiaires avec deux voire trois buts d'avance mais on prend une égalisation sur un corner qu'on a bêtement concédé. On était un peu moins bien en début de deuxième période et le carton rouge pour une faute en position de dernier défenseur a ensuite tout changé. Les Ajacciens nous ont pris de vitesse et contrairement à la première période, on a manqué de couverture."

Trauco, plus blanc et rouge que vert !

20/03 10:35

Le quotidien péruvien El Comercio nous apprend que Miguel Trauco est arrivé dès hier à Lima pour préparer aux mieux les matches que la Blanquirroja jouera lors des éliminatoires sudaméricains de la Coupe du monde contre l'Uruguay (à Montevideo la nuit du jeudi 24 au vendredi 25 mars) et le Paraguay (à Lima la nuit du mardi 29 au 30 mars). Actuellement 5e et barragiste à un point de l'Albiceleste, le Pérou a encore de bonnes chances d'aller au Qatar. S'il s'impose dans le pays natal d'Ignacio Ramirez, il sera en ballotage très favorable car la sélection dont Carlos Diarte a porté le maillot est déjà hors course.

En fin de contrat avec l'ASSE dans trois mois, le latéral gauche de 29 ans a davantage joué en sélection (841 minutes) qu'en club (802 minutes toutes compétitions confondues) cette saison. Force est de constater que le natif de Tarapoto n'entre pas dans les plans de Pascal Dupraz. Le Haut-Savoyard ne l'a fait jouer que 98 minutes : 45 contre Nantes, 46 contre Lyon-Duchère et 7 contre Jura Sud. Depuis, le numéro 13 Verts n'a été convoqué qu'une fois dans le groupe, contre Lille il y a 9 jours (il est resté sur la banc).

La faute de Troyes, la faute de trop !

20/03 08:39

En conférence de presse, l'entraîneur de l'Estac Bruno Irles a vivement contesté le péno égalisateur obtenu par Mahdi Camara et transformé par Ryad Boudebouz.

"On est d'accord pour dire que Khazri, sur ce match, est vraiment allé chercher la faute à chaque fois ? Il est allé voir mon gardien et lui a dit "je vais aller l'obtenir ce penalty !"C'est bien joué, c'est l'expérience : il avait cette intention, on le voyait dans de nombreuses situations. Il peut marquer sans ça, c'est un super joueur qui peut marquer à n'importe quel moment. Saint-Etienne a beaucoup de chance de l'avoir dans son effectif mais il n'est pas obligé d'aller chercher le penalty comme ça car l'arbitre le voit aussi...

Le tacle de Palmer-Brown sur Camara ? On va va faire un vote dans la salle. Qui vote pour penalty ? Certains votent pour ? Ah d'accord, vous étiez peut-être copains avec ceux de la VAR ! Vous me dites que c'est l'accumulation des duels litigieux qui a conduit l'arbitre à siffler ? Regardez le match à nouveau ! Moi je les ai revues les trois situations. Je respecte votre point de vue mais je ne le partage pas. J'ai parlé avec mon joueur, il m'a demandé s'il y avait un "American problem" en France. Cela me fait râler car si on regarde l'ensemble du match, les situations franches de Saint-Etienne ne sont pas nombreuses."

Dans L'Est-Eclair, l'ancien attaquant et actuel consultant de RMC Kevin Diaz donne raison au technicien troyen. "C'est là que l'arbitre doit avoir de la personnalité. Ou alors celui qui est dans le camion du VAR doit lui dire d'aller revoir l'action car pour moi, il n'y a absolument rien ! C'est de la compensation parce qu'il y a la pression du Chaudron. On voit sur son visage que l'arbitre n'est pas sûr de lui !"

Dans le même quotidien aubois, l'ex-arbitre de L2 Sébastien Paris donne son avis. "J'étais au stade et en direct, j'ai dit "il y a penalty". Sur les images, on voit que Palmer-Brown touche le ballon mais en premie il touche le pied donc techniquement, si on prend les règles du jeu, il n'y a rien à dire. L'arbitre a-t-il compensé ? Je ne dirais pas ça mais avec les actions litgieuses au préalable, Palmer-Brown a attisé l'oeil de l'arbitre. En fait, c'était la faute de trop."

Aleksic tête de turc

20/03 07:50

Danijel Aleksic, qui fêtera dans un mois ses 31 ans, a marqué hier de la tête son 5e but de la saison de L1 turque. Malgré ce pion égalisateur de l'ancien attaquant serbe de l'ASSE, Basaksehir s'est finalement incliné 2-1 sur le terrain d'Adana Demirspor.

 

Partager