Grange s'est régalé avec Galette
07/05 17:00
Fabrice Grange parle de son amitié avec Christophe Galtier dans la dernière édition de Nice-Matin. Extraits.
"On a joué un an ensemble en Chine, ça crée des liens. A 8 000 kilomètres de la famille, on a appris à se connaître, à nous soutenir mutuellement. On a parfois dû se serrer les coudes. Quand il a fait appel à moi à Saint-Etienne, pour m'occuper de Stéphane Ruffier, je ne pouvais pas dire non. Mais j'avais la pression car je ne voulais pas le décevoir. J'ai passé cinq ans formidables dans son staff, avec une victoire en Coupe de la Ligue et quatre qualifications pour la Coupe d'Europe.
La finale au Stade de France, en 2013, il l'avait préparée tel un stratège. Le président Romeyer, qui était un supporter, avait rejoint le Stade de France à vélo. Malin, Christophe l'avait invité à le faire car il ne voulait pas trop l'avoir dans les pattes ! (rires). Il avait également tout géré afin que les joueurs aient le nombre de places souhaitées, qu'ils sachent où étaient positionnées leurs familles. C'est tout ça, un coach qui ne transige sur aucun détail.
Christophe ne laisse rien au hasard mais, attention, il n'est pas du tout parano. Il consulte toujours son staff, échange. Il a toujours la lucidité de se remettre en question, d'écouter la critique, de s'en nourrir même, même si ce n'est pas toujours facile à lire ou à entendre. Je me suis régalé à bosser avec lui, c'était chaud parfois car il ne ménage pas ses gars. Mais Christophe donne énormément.
C'est une personne qui m'est chère, tu as envie de te battre pour lui. Je sais que je peux compter sur lui et vice-versa. Le foot est notre passion, notre métier, mais rien n'est plus fort que notre amitié. On se dit tout, il n'y a pas de tabou entre nous. Sélectionneur un jour ? Bien sûr que je le pense capable. Il a la carrure et ne cessera jamais de s'entourer de compétences. Il veut des bons avec lui pour être encore plus fort."
Les Amazones reléguées
07/05 16:32
Battues 1-0 à la 92e cet après-midi à Reims lors de l'antépénultième journée, les Vertes sont officiellement reléguées en D2. Les protégées de Jérôme Bonnet ont concédé en Champagne leur 15e défaite en 20 matches. Pour rappel, elles n'ont gagné qu'une seule rencontre cette saison, au début de l'automne à Dijon...
Payet déjà en vacances
07/05 15:46
Blessé lors de la demi-finale retour de C4 entre Marseille et Feyenoord, Dimitri Payet voit sa saison écourtée. L'ancien vert souffre "d'une lésion musculaire du mollet bilantée par les examens habituels de référence. Les soins ont d'ores et déjà démarré mais la récupération totale n'arrivera qu'après la fin du championnat" selon l'OM.
Bodmer enterre Bordeaux
07/05 15:36
Si David Guion veut encore croire au maintien de Bordeaux dans l'élite, Mathieu Bodmer est convaincu que les très friables Girondins seront dans la charrette, comme il l'a expliqué sur RMC.
"Je n’y crois pas. Cela fait un petit moment que je n’y crois plus, malheureusement pour eux. C’est triste pour le club évidemment… Quand tu mènes deux fois, et notamment dans le match face à Saint-Etienne, un concurrent direct, et que tu te fais remonter… A un moment donné, c’est aussi de ta faute. A chaque fois que tu as l’opportunité… Après, tu vas à Nantes, qui n’avait pas trop envie de jouer ce match-là et, sur la seconde mi-temps, tu prends 5-1… C’est compliqué quand tu joues le maintien de prendre autant de buts !"
Tormin prêt à tromper Bajic ?
07/05 12:24
0 but et 0 passe décisive en 11 apparitions (2 en tant que titulaire) : Tyrone Tormin a été encore plus discret que Charles Abi cette saison en L2. S'apprêtant à défier à Pau un autre de ses anciens coéquipiers stéphanois sacrés en 2019 en Gambardella (Stefan Bajic), l'attaquant des Chamois Niortais s'est confié au Courrier de l'Ouest. Extraits.
"Je n'ai pas eu beaucoup de temps de jeu mais c'est une première saison dans un groupe pro. Après, quand on est compétiteur, on veut toujours plus. Mais je pense que le club et le coach ont fait du très bon boulot, ils ne m’ont pas grillé. Ils ont vu que je n’étais pas vraiment prêt. S’ils m’avaient aligné davantage, je ne serais pas au même niveau aujourd’hui.
J’étais en réserve à Saint-Etienne. Venir ici, c’est plus dur, l’intensité à l’entraînement est plus élevée, cela n’a rien à voir. Je m’y attendais, je n’ai pas été surpris, mais je n’étais pas conscient de la marche qu’il me fallait franchir. J'ai progressé dans tous les domaines. Dans mon jeu, je suis plus intelligent, je fais plus de courses, offensivement comme défensivement.
La L2, c’est plus compliqué qu’on peut le croire en regardant à la télé. Quand tu es en dehors ou sur le terrain, ce n’est pas du tout pareil. Cela va vraiment plus vite. Et une perte de balle peut aller au but. Je l'ai vécu à mes dépens pour mes débuts à Auxerre au mois de septembre. Il y a peu d’espaces, beaucoup de duels. Je pense que je peux malgré tout m’y épanouir.
Je dois encore plus provoquer, jouer vers l’avant. Je ne sais pas si j’avais peur de perdre le ballon, mais j’ai parfois hésité. À l’image de cette action à Amiens; Quand le ballon revient, je contrôle au lieu de la mettre en une touche et le ballon me fuit. J’aurais dû ne pas me poser de questions, j’ai voulu assurer. Quand tu es attaquant, tu veux toujours marquer, avoir des stats. Mais c’est ma première saison, ça va venir, je ne m’en fais pas. Pourquoi pas à Pau ?"
Tous les joueurs font leur maximum
07/05 11:21
Dans son bouquin La Vie en vert, paru le mois dernier aux éditions du Joyeux Pendu, Pascal Pacaly a recueilli les propos de Romain Hamouma. Extraits.
"L'OM et l'OL étaient chauds pour me recruter mais ça s'est éternisé. Mon arrivée était conditionnée à des départs donc j'étais mis un peu en salle d'attente. Or mon fils venait de naître et je recherchais rapidement de savoir où j'irais. Quand l'ASSE s'est manifestée, je n'ai pas hésité longtemps. Le poids de l'histoire, mais aussi le stade... Pour avoir joué à Geoffroy avec Caen, je savais déjà que c'était un public exceptionnel. Enfin, le discours du coach Christophe Galtier a fait définitivement penché la balance. Il me désirait et pour un joueur c'est plus qu'agréable de se sentir désiré.
Quand on est allé au musée de la mine, j'ai adoré. C'est vraiment important pour moi. Là tu ressens l'identité de la ville, le poids des valeurs comme celles du travail et de la solidarité. Après, au niveau sportif, le match contre Lyon, tu en entends aussitôt parler ! Au début, quand tu n'es pas encore totalement stéphanois, tu sens que c'est un match important pour les gens, puis, au fur et à mesure que tu deviens stéphanois, il est tout autant important pour toi.
Ce public, c'est une véritable ferveur. Je m'y attendais, mais pas autant ! Quand on voit leur présence aux matches bien sûr mais aussi aux entraînements, aux stages, de toutes générations, ça ne peut que te donner une rage, une force supplémentaire. Parce que c'est top de donner de la joie aux gens. On le voit, on le ressent que quand l'ASSE gagne, les gens sont heureux, plus que d'habitude.
La finale de la Coupe de la Ligue ? Que ce soit dans le trajet en bus ou dans les vestiaires, nous étions extrêmement détendus, sereins, comme si rien ne pouvait nous arriver. On avait mis la musique à fond et ça n'arrêtait pas de chanter et de chahuter. Et puis au retour, à Sainté, voir cette marée humaine... On ne peut pas s'imaginer comme c'est impresssionnant ! J'étais un peu frustré car je voulais tout enregistrer sur mon téléphone et je n'avais plus de batterie ! Voir tout ce bonheur qu'on done aux gens, ça n'a pas de prix !
Le maintien, à Saint-Etienne, c'est dix fois plus de pression qu'à Caen par exemple. C'est épuisant, usant. On en entend parler tout le temps ! Mais c'est normal. Parfois j'entends dire que certains joueurs ne sont pas à fond, ça m'irrite. Il ne faut pas croire, TOUS les joueurs font leur maximum, mais parfois ce maximum est trop bas pour la situation. De toute ma carrière, je n'ai jamais vu un joueur mal jouer exprès.
Quant aux supporters, il faut trouver le bon équilibre. Bien sûr c'est important de les rencontrer, discuter avec les groupes mais il ne faut pas que ce soit trop souvent non plus. Un groupe de joueurs, ce n'est pas le même âge ni le même vécu. Et qui sait si parfois se confronter à des discussions qui pourraient être trop franches peut au final inhiber ? Mais il en faut, je ne dis pas le contraire. Il faut juste bien doser."
Pouliquen n'oublie pas le public
07/05 10:18
"Le public strasbourgeois est comme celui de Saint-Etienne : quand un joueur donne tout, il apprécie. J'avais des relations privilégiées avec lui" déclare aujourd'hui l'ancien milieu de terrain de l'ASSE et du RCS Yvon Pouliquen dans Les Dernières Nouvelles d'Alsace.
Pour Galette, c'est le jour Gym !
07/05 09:47
On a bon espoir de le voir défait dans quatre jours mais on lui souhaite de l'emporter ce soir : Christophe Galtier s'est confié à Nice-Matin avant de défier les Canaris en finale de Coupe de France. Extraits.
"J'ai connu ça il y a neuf ans avec Saint-Etienne, c'est toujours un plaisir d'emmener une équipe, un club, toute une ville au Stade de France. C'est un moment toujours particulier dans une carrière. Et la juste récompense d'un très beau parcours. J'ose espérer qu'on aura le bonheur de ramener ce magnifique trophée à tous nos supporters qui ne seront pas présents au stade. Mais ils le seront dimanche pour la présentation du trophée. Cette finale, ça ne doit être que du plaisir, avec un investissement total pour rendre fiers et heureux les salariés du club et nos supporters.
J'aime mes joueurs, mon métier, ça demande de l'énergie, de l'investissement personnel. Quelles que soient les couleurs que je représente, je m'engage à fond sur les résultats ou le parcours dans une compétition. Un entraîneur n'existe pas sans ses joueurs. Quand les performances sont là, elles appartiennent aux joueurs avant tout. Depuis qu'on s'est qualifié, il n'y a pas un jour où je n'ai pas pensé à cette finale. Le suivi a été très important de la part de mon encadrement pour savoir quels systèmes et animations Antpine Kombouaré pouvait proposer."
Jessy remonte à Paris
07/05 09:12
Comptant actuellement 5 points d'avance sur le barragiste stéphanois, Jessy Moulin va enchaîner un 6e match dans les cages troyennes demain soir à Paris. L'Est-Eclair rapporte les propos tenus hier par l'ancien gardien des Verts en conférence de presse. Extraits.
"Je me sens bien, je suis jeune et j’ai envie de continuer à aider l’équipe. Je me sens super bien en faisant les matches que j’espérais. On est tous solidaires, concernés par l'objectif maintien. Par exemple, il n'y a rien de meilleur, contre Strasbourg, que de faire un arrêt et voir Erik Palmer-Brown sortir le ballon derrière. J'aime me sentir dans un collectif, voir tout tout le monde défendre.
On connaît Paris : même décontractée, c'est la meilleure équipe du championnat. J'ai déjà affronté le PSG avec Sainté. Ce sont à la fois des mauvais et des bons souvenirs. Je n'ai jamais gagné contre eux mais on les a déjà accrochés à Geoffroy-Guichard. J'ai vécu des soirées terribles au Parc mais je ne pense pas être le seul. On sait qu'ils sont capables, sur une passe, une action, un éclair de génie, de faire la différence."
Pour rappel, Jessy Moulin avait brillé lors de son premier match contre le QSG il y a 11 ans à GG. Josuha Guilavogui avait ouvert le score à la 70e minute mais Mathieu Bodmer avait égalisé sur penalty à la 91e. Quatre ans et demi plus tard, le natif de Montélimar avait été titularisé au Parc lors d'un 8e de finale de Coupe de la Ligue auquel avaient pris part de nombreux jeunes (Nathan Dekoké, Ronaël Pierre-Gabriel, Erin Pinheiro, Cazim Suljic, Neal Maupay, Jonathan Bamba, Dylan Saint-Louis, Hugo Roussey). Après avoir retardé l'échéance, il avait fini par prendre un pion de Cavani à la 86e)
Dans le même stade, il en a pris six en quart de finale de Coupe de la Ligue il y a deux ans (les Verts avaient joué une heure en infériorité numérique suite à l'expulsion de Wesley Fofana). Personne n'a oublié son quatrième match contre Paris car c'était en finale de Coupe de France. Auteur d'une très bonne prestation, il avait concédé le seul but de la rencontre dès la 14e minute. Cette fois-ci c'est son ami Loïc Perrin qui s'était fait expulser à la demi-heure de jeu... On rappellera que le 5e et dernier match disputé par Jessy Moulin avec les Verts contre Paris s'était soldé sur un méritoire 1-1 à GG (Romain Hamouma avait ouvert le score, Moïse Kean avait égalisé).
Galtier a cette volonté farouche de gagner
07/05 07:55
Avant de retrouver les Verts mercredi à l'Allianz Riviera lors de l'antépénultième journée du championnat, Christophe Galtier va tenter de compléter son palmarès ce soir en finale de Coupe de France contre Nantes. Son adjoint et un de ses anciens défenseurs stéphanois soulignent ses qualités de gagneur dans la Pravda du jour. Extraits.
Thierry Oleksiak : "Il a un leadership incroyable, il incarne et fédère. Avoir déjà vécu ça, évidemment que c'est utile. On a des repères dans le comportement face à ces échéances. Chaque détail est important, tout devient une priorité et on sent sa grande détermination. Au LOSC, on a gagné les matches qu'il fallait gagner. C'est le même principe, même s'il ne faut pas assimiler une journée déterminante de Championnat à une finale, décisive. J'adore les matches décisifs et Christophe aussi car il a cette volonté farouche de gagner, qu'il sait transmettre. Avant le match du titre contre Angers, Christophe avait lancé aux joueurs : "Quand une telle occasion passe, il faut la prendre. Car dans le foot, parfois, ça ne repasse plus jamais."
Jonathan Brison : "Pour préparer la finale de la Coupe de la Ligue, il n'avait pas changé grand-chose, on restait sur les bonnes habitudes. On était juste partis au vert pour être au calme, vu l'engouement en ville. Il nous a exposé les faits sans en faire des tonnes. Ça rassure le groupe. On n'en a pas fait une montagne et on a trouvé une forme de sérénité. Sa capacité à s'adapter à tous les caractères lui permet de gérer la concurrence de main de maître. Il avait dû faire un choix très fort entre Bayal Sall et Kurt Zouma, et ça avait été compliqué de l'expliquer à Bayal. Il sait dire ces choses-là car il y a eu des déçus, mais tout le monde est resté focus. Il vient pour faire des résultats, peu importe parfois la manière. On était catalogués comme équipe défensive mais la réalité, c'est la place au classement. "
Luigi a joui à GG !
06/05 17:32
Dans un entretien paru aujourd'hui sur le site Le 11 Amiénois, le président délégué de l'Amiens SC Luigi Mulazzi se réjouit d'avoir foulé la pelouse du Chaudron et rend hommage à l'actuel entraîneur des Merlus, lui aussi ex-fan des Verts. Extraits.
"Quand je me suis retrouvé au milieu du terrain à Saint-Etienne, alors que j’étais fan des Verts à 18 ans, c’était un truc incroyable. J’avais des palpitations tellement j’étais heureux d’être là, heureux d’avoir aidé Amiens à atteindre ce monde-là. J’ai découvert des lieux mythiques. C’était incroyable d’être là, j’ai rêvé debout pendant trois ans ! Il n’y a rien de plus agréable que de bosser avec des gens que vous appréciez. Ce qu’on a vécu ensemble était dingue, même si je n’ai pas forcément mesuré sur le coup le côté incroyable de ce qu’on vivait. C’est après coup que j’ai pris conscience du côté extraordinaire de ce qu’on a réalisé tous ensemble. On est monté et on s’est maintenu en Ligue 1 avec des joueurs qui venaient du National !
Le départ de Christophe Pelissier est une responsabilité que je ne peux pas assumer, je n’étais pas d’accord avec ce choix. Je n’en dirai pas plus car les décisions sont collectives à la fin. J’aurais pu partir après le départ de Christophe, ça aurait été un moyen d’afficher ma solidarité, mais j’ai préféré penser au bien du club. En tout cas, son départ m’a beaucoup marqué, j’étais très proche de lui. On se voyait tous les jours, on débriefait ensemble la journée pendant plus d’une demi-heure. On a travaillé main dans la main pendant quatre ans. On a fait grandir le club ensemble. Christophe a beaucoup fait grandir le club de par son organisation, sa mentalité et son management.
Encore plus que le coach, c’est l’homme qui m’a marqué. L’entraîneur, je lui ai dit déjà dit qu’il transportait la chance avec lui, c’est assez incroyable. Il arrive toujours à attirer le positif, la chance lui colle vraiment à la peau. J’espère pour lui qu’il va se sauver avec Lorient, je n’aimerais pas lui porter malheur. J’ai vraiment apprécié de travailler avec l’homme, je continue à l’apprécier, à l’aimer et à être en contact avec lui. Son départ a été un tremblement de terre au sein du club. Je ne voulais pas rajouter au négatif en partant à mon tour. Je ne peux pas en dire plus, si ce n’est que Christophe est un ami et qu’il restera un ami."
Papy titulaire pour le poiscaillico ?
06/05 14:40
"En difficulté sur le plan défensif lors des deux derniers matches, à Rennes (0-5) et contre Reims (1-2), Christophe Pelissier pourrait être tenté de repasser à une défense à trois centraux, dimanche à 17h00, afin de densifier ce secteur face à Marseille" selon Ouest-France. "Des cadres comme Jérémy Morel et Fabien Lemoine pourraient également réintégrer le onze de départ."
Il n'est pas impossible en effet que Papy retrouve une place de titulaire pour ce poiscaillico qui opposera les Merlus aux sardines après-demain. "Je pense que cette fin de saison est importante sur la fraîcheur physique et mentale. Il y a des joueurs comme Fabien et Jérémy qui ont très peu joué malheureusement à cause de leurs blessures qui peuvent amener leur fraîcheur physique et mentale. C'est une réflexion qu'on a avec le staff" a déclaré tout à l'heure l'entraîneur d'un club qui ne compte que 3 petits points d'avance sur le barragiste stéphanois.
Pas de week end pour les Pros
06/05 14:19
Alors que leur match contre Nice est décalé à mercredi (19h), le week end des Verts ne sera clairement pas de tout repos.
D'abord, parce qu'une partie de leur destin se jouera à Angers et Clermont (dimanche à 15h) où se joueront des importantissimes Angers-Bordeaux et Clermont-Montpellier.
Ensuite parce qu'un entraînement est prévu samedi matin et dimanche matin. Entraînement où on espère continuer à voir Hamouma, Crivelli, Sacko et Moueffek qui ont participé ce matin "avec précaution à la séance collective", précise le site officiel. En revanche, pas d'info sur Khazri et Boudebouz deux des joueurs absents pour blessure lors du déplacement à Rennes (0-2).
Un maintien à peu de points
06/05 13:56
Le quotidien auvergnat La Montagne a publié aujourd'hui un papier sur la lutte pour le maintien. Extraits.
"Guy Roux faisait des 42 points la limite à atteindre pour se maintenir. Comme en 2018-2019, saison où 36 petits points avaient suffi à sauver Monaco, le maintien se jouera certainement très en dessous de la fameuse barre des 42 points.
Depuis que la L1 est repassée à 20 clubs en 2002-2003 - et si l’on excepte l’exercice interrompu par le Covid en 2020 - seules 6 saisons ont obligé le 17e à atteindre ou dépasser les 42 unités pour se maintenir. Ça ne fait pas tant que ça au regard des 18 années prises en compte, et pour lesquelles la moyenne du maintien se situe juste au-dessus de 40 points (40,33).
Le Clermont Foot n’aura sûrement pas besoin d’autant d’unités pour disputer une deuxième saison de rang en L1 ! La chance du promu tient en effet dans la concentration de mauvais élèves. Si bien que les hommes de Pascal Gastien pourraient n’avoir besoin que d’un succès, et donc de 36 points, pour conserver leur place. Et même encore moins si Saint-Étienne, Bordeaux et Metz restent sur le même rythme…"
Guion encore battu mais pas abattu (2)
06/05 11:04
Entraîneur d'une équipe encore battue le week-end dernier et qui compte toujours 4 points de retard sur le barragiste stéphanois à 3 journées de la fin du championnat, David Guion s'est exprimé ce matin sur France Bleu Gironde. Extraits.
"Je suis dans un état d'esprit conquérant, combattant. Je suis aussi conscient de l'importance de ce match à Angers. On va aller là-bas pour gagner. Il n'y a pas d'autre alternative. Je sais la responsabilité que j'ai par rapport à ce match là et je me dois de la transmettre aux joueurs. Tout autre résultat qu'une victoire n'est pas à envisager. Je veux qu'on soit acteur de notre match, je veux qu'on agisse. On va aller gagner à Angers.
On n'a pas été bon contre Nice mais il y a penalty à dix minutes de la fin. Et le résultat dans notre situation est important. La manière ne me convenait pas du tout mais on a eu des vents contraires ces derniers temps. On aurait pu avoir ce petit coup de pouce. Dans notre situation, rien ne nous réussit et dans notre situation, on doit attirer cette réussite.
Quand je vois tout le tapage médiatique autour du penalty non sifflé de Dembelé. Nous, on n'a pas le même écho. Et puis mes joueurs sont gentils aussi. Il y a un penalty flagrant, personne ne va râler, l'arbitre est tranquille. Je suis convaincu qu'on peut se sauver. J'ai des garçons qui sont capables de renverser cette dynamique."
Après ce match en Anjou programmé ce dimanche à 15h00, les Girondins recevront Lorient et termineront par un déplacement à Brest.
La fierté de Romeyer
06/05 09:41
Dans son bouquin La Vie en vert, paru le mois dernier aux éditions du Joyeux Pendu, Pascal Pacaly a recueilli les propos de Roland Romeyer. Extraits.
"Ancien joueur du club et ami de Jean-Michel Larqué qui vient d'être rappelé au club en tant que directeur sportif par le nouveau président Yves Guichard, Bernard Champion me demande si je veux bien être dirigeant bénévole de la CFA aux côtés de son entraîneur François Blaquart. J'accepte et j'y resterai jusqu'en 2003 auprès d'entraîneurs successifs, Christian Larièpe, Michel Audrain et Gérard Fernandez. Avec la Municipalité, le Département et moi-même, avec d'autres partenaires privés, on injecte de l'argent en 1996 pour combler le déficit et sauver le club. Dans la foulée, je deviens membre du Directoire aux côtés de Philippe Koehl et Patrick David.
En juin 2003, Henri Grange présente le budget prévisionnel à la DNCG qui le refuse car Alliance Intérim, le principal sponsor maillot, n'avait pas honoré son échéance de la saison et était de surcroît placé en redressement judiciaire. Il fallait donc trouver en urgence un nouveau sponsor maillot pour éviter la rétrogradation en National ! Henri Grange me demande alors de m'investir. Après avoir fait le tour des industriels stéphanois, essuyant à chaque fois un refus, j'accepte à travers ma société Sacma Agencements en prenant le sponsor maillot sur deux saisons.
Mon plus beau souvenir en tant que président est bien sûr la Coupe de la Ligue remportée en 2013. Les nombreuses campagnes de Coupe d'Europe ont été également de grands et beaux moments de partage avec les supporters. Je pense notamment à Manchester United. Je suis vraiment fier d'avoir procuré aux supporters de telles émotions qui restent pour toujours, gravées dans nos mémoires.
Depuis 2010, nous avons présenté un budget bénéficiaire devant la DNCG, seul club de L1 à l'avoir fait de manière continue et ce malgré les deux dernières saisons avec tout d'abord la crise sanitaire et le fiasco de Mediapro. Depuis le 1er juillet 2021, une page s'est tournée puisque j'ai confié la direction du club à Jean-François Soucasse, président exécutif.
Je m'investis désormais au sein d'ASSE Coeur Vert et du Musée des Verts en tant que Président-Fondateur. J'espère l'arrivée d'un successeur qui s'appuiera sur nos valeurs et pérennisera l'ASSE. La transmission est en effet pour moi une valeur fondamentale : il s'agit avant tout de ne pas oublier qui on est et d'où l'on vient..."
Un déclic pour Krasso
06/05 07:43
Auteur de 4 buts et 2 passes décisives en 13 matches avec l'ACA (2e de L2 à 2 journées de la fin avec 3 points d'avance sur le 3e auxerrois), Jean-Philippe Krasso s'est confié hier sur le site de la Ligue 2. Extraits.
"Sur le terrain, le coach Olivier Pantaloni me laisse un peu libre. Comme on joue à deux devant, il faut créer des espaces, donc j’ai la liberté de pouvoir décrocher ou de partir en profondeur. Cela conduit à ce que je me sente libre dans ma tête, et ça se ressent sur le terrain. Le fait que l’équipe soit solide derrière me permet aussi de pouvoir plus m’exprimer. Quand tu sais que tu ne vas certainement pas prendre de but, tu peux te permettre de tenter plus de choses.
J’aime bien tourner autour d’un deuxième attaquant. J’ai été formé dans un système à deux devant à Lorient. Avec Gaëtan Courtet, on a un peu un profil similaire, on préfère recevoir les ballons dans les pieds, mais on essaie de s’adapter l’un à l’autre et de varier pour que nos mouvements ne soient pas lisibles pour les adversaires. Quand il reçoit le ballon dans les pieds, je vais tenter de créer de la profondeur. Il est aussi très bon en déviation. Quand il va au duel dans les airs, je sais à coup sûr qu’il va toucher le ballon, donc j’anticipe directement. Ça m’a permis d’obtenir plusieurs situations en face-à-face.
A chaque séance, le coach me donne des conseils par-ci, par-là, aussi bien offensivement que défensivement. J’essaie de tout faire pour les appliquer. Récemment, il a appuyé sur mes changements de rythme. Quand je parviens à me retourner après une prise de balle, il faut que j’arrive à réaccélérer pour pouvoir me donner plus de temps pour exécuter une meilleure passe ou une meilleure frappe.
Quand on est en confiance, on tente logiquement plus de choses. Je ne réussis pas tout mais je sens que mes partenaires me font aussi confiance. C’est-à-dire que si je rate quelque chose, évidemment ils sont exigeants et ils ne vont pas laisser couler, mais ils ne vont pas non plus m’en vouloir. Je sais que le ballon suivant, ils ne vont pas hésiter à me le donner pour que je retente quelque chose. Le fait d’avoir été rapidement décisif a certainement joué dans ce crédit que m’accordent mes coéquipiers.
Lorsque je suis arrivé à Saint-Etiennen, le niveau était élevé quand même. J’ai mis un peu de temps à m’adapter. Après, en match, comme c’était compliqué pour l’équipe en général, ce n’était pas le meilleur moment pour que je m’adapte à la Ligue 1. Je pense que j’ai fait des bonnes choses et des moins bonnes. C'est difficile à expliquer. Est-ce qu’en étant dans un club de Ligue 1 qui enchaîne les bons résultats j’aurais été bon ? Je n’en sais rien. Là, c’était un peu compliqué pour tout le monde, moi également. Mais je ne pense pas que la marche était trop haute. A l’entraînement, je me sentais bien, j’arrivais à faire des différences.
Le coach Claude Puel voulait me faire jouer. Mais c’est vrai que pour obtenir plus de temps de jeu et poursuivre ma progression étape par étape, ça aurait été bien de passer en L2 avant, sachant que c’est simplement un niveau en-dessous de la L1. Après, le coach comptait sur moi tout de suite. Mais je pense vraiment que ce prêt à l’ACA peut être un déclic. Tout se passe bien, ça va forcément me servir. Je me sens prêt à jouer en Ligue 1 la saison prochaine. On verra ce qui se passera cet été, il me reste un an de contrat avec l’ASSE. Aujourd’hui, j’ai 24 ans et je veux jouer, car c’est quand je joue que je suis heureux et que je suis épanoui."
La vie en vert de Loïc Perrin
05/05 22:25
Dans son bouquin La Vie en vert, paru le mois dernier aux éditions du Joyeux Pendu, Pascal Pacaly a recueilli les propos de Loïc Perrin. Extraits.
"Au centre de formation, j'ai rencontré des coéquipiers supers mais tout autant des éducateurs et entraîneurs. Je pense à Joël Guitay - et sa petite moustache ! - qui m'a apporté une exigence de tous les jours. Je n'ai jamais été le plus doué de ma génération, mais chaque année j'avançais, je progressais. Je pourrais aussi citer Sébastien Degrange, Gilles Rodriguez ou Jean-Philippe Primard.
Au bout d'une dizaine de jours dans le groupe pro, j'ai eu la chance de faire le déplacement à Nancy, même si je reste sur le banc. Déjà je suis très respectueux envers les anciens, mais même si je suis une personne réservée, je n'ai aucune appréhension. Je suis là pour montrer mes qualités avant tout, ce que je fais. Je suis rentré en jeu le match suivant contre Lorient à Geoffroy-Guichard. Ça a duré environ deux ans avant que je gagne définitivement ma place de titulaire.
Le plus dur, au final, c'est de jongler entre l'équipe première et la réserve. On n'est pas du tout dans les mêmes conditions psychologiques et c'est loin d'être évident à gérer ; par exemple tu passes de matches à 20 000 à 50 spectateurs. Et puis il ne fauit pas oublier que même remplaçant tu as besoin de jouer. Quand tu ne rentres que pour vingt minutes, difficile de progresser. Par contre j'ai eu la chance de jouer à quasiment tous les tous les postes en formation. J'avais fait de l'athlétisme plus jeune, je pense que ça m'a aidé pour ce qui est de répéter les efforts.
En 2009 puis en 2010, on a terminé à la 17e place. C'est la première des deux fois où j'ai failli partir de Sainté. Jouer le maintien ces deux saisons, à force... bof. J'avais de sérieuses touches à Monaco et j'étais même OK avec eux. Mais Christophe Galtier m'a retenu. Il m'a beaucoup, beaucoup parlé. Et m'a finalement convaincu de rester. C'est également Christophe qui m'a repositionné en défense centrale. Au fond de moi, je savais qu'n jour ou l'autre je finirais à ce poste-là. J'avais les qualités et le profil pour donc je n'ai pas été surpris ni déstabilisé.
La finale de la Coupe de la Ligue ? Je me souviens de la préparation la veille au Stade de France, puis le reste du temps dans un ancien château, puis le lendemain le trajet dans le bus jusqu'au stade de France où Aubameyang avait mis l'ambiance en musique. Après, le stade plein, le public stéphanois... Une fois sur le terrain, je me suis vraiment focalisé sur le match. Je pense qu'on a vraiment bien été préparé psychologiquement, et il fallait l'être, vu l'attente et le poids de l'histoire.
Après avoir fait partie des réservistes sur la liste de Didier Deschamps pour la Coupe du monde 2014 au Brésil, j'ai été à nouveau convoqué en novembre 2014 pour affronter l'Albanie et la Suède. Concernant l'Albanie, je n'avais pas pu m'entraîner comme je le voulais avec le groupe des Bleus suite à un petit pépin physique. Contre la Suède, à Marseille, je suis resté sur le banc. Didier Deschamps m'a dit de m'échauffer. On mène 1-0, Karim Benzema tire un penalty... qu'il rate. Je me suis toujours dit que s'il l'avait mis je serais peut-être rentré en jeu. Ça se joue à rien. Si j'ai bien un petit regret dans ma carrière, c'est celui-ci : n'avair jamais eu au moins une cape en bleu.
Ma retraite, je l'avais programmé pour la fin de la saison 20119-2020. Entre mon genou sur lequel je forçais trop et une certaine usure mentale, j'étais arrivé à la fin de l'histoire de ma période de joueur. Le truc, c'est que cette retraite, il ne fallait pas l'annoncer trop tôt. Mais la pandémie a tout chamboulé. J'avais chopé uen pubalgie pendant le confinement. Et je ne m'étais pas soigné idéalement car je ne savais même pas si j'allais reprendre l'entraînement avec le groupe.
Quant à la finale de Coupe de France, ce n'était pas moi qui était prévu en tant que titulaire. Lors des matches amicaux précédant la rencontre, je n'étais pas mis en situation afin d'être dans l'équipe titulaire. Sauf que Gabriel Silva se blesse et je comprends qu'on compte sur moi. Mais j'ai dû me faire infiltrer lors de la reprise de l'entraînement mi-juin. Mon expuslion lors de la finale, c'est juste un fait de jeu. Je loupe mon geste et voilà tout.
Difficile de ressortir un ou deux matches sur les 471 que j'ai joués, mais je me remémore un match contre Metz à Geoffroy-Guichard avec un ballon que je sauve sur la ligne à la toute dernière seconde et deux minutes après, dans le temps additionnel donc, j'égalise de la tête pour un match nul 2-2. Là on mesure l'impact direct, l'influence qu'on a sur le match. Je pourrais également citer les matches contre Manchester United en Europa League. D'ailleurs lors de chaque match européen, il y avait une affluence importante pour un jeudi soir, surtout à comparer avec d'autres stades européens : on voyait bien le lien fort avec le public."
Jean-Mimi n'oublie pas Furiani
05/05 20:07
Au micro de TF1 il y a 30 ans lors de la catastrophe de Furiani, Jean-Michel Larqué s'est confié à Corse-Matin. Extraits.
"Je suis encore marqué par ce qu'il s'est passé. C'est un très triste souvenir. .Je ne sais pas si c'est lié au drame, mais j'ai beaucoup d'attaches avec la Corse et le Sporting. Je viens régulièrement sur l'île. Je suis également socio depuis 2017. J'entretiens de très bons rapports avec le club et son président Claude Ferrandi. Ma position a toujours été très claire au sujet du 5 mai. Je me réjouis que cette date soit enfin sacralisée. Ce que je regrette, c'est le temps qu'il a fallu pour y arriver, c'est vous dire la compétence de nos dirigeants ! Ils ont été incapables de prendre une décision qui s'imposait d'elle-même, il n'y avait même pas matière à débat.
J'ai de sacrés souvenirs à Furiani ! Notamment en tant que joueur. Je me souviens très bien d'un match épique, c'était lors de la saison 1968-1969. Rachid Mekhloufi, mon mentor à Saint-Etienne, venait de s'engager à Bastia. On fait 1-1, mais on avait marqué trois buts dans le match À Bastia, il y avait un latéral droit qui était adorable, sauf lorsqu'il était sur les terrains : Paolo Farina. J'ai fait connaissance avec ses crampons... Autre anecdote, cette fois à Geoffroy-Guichard et nous perdions 1-2. Il y a eu une panne de courant et à la reprise du match, nous nous sommes imposés 3-2 ! C'était du temps de la grande époque de Claude Papi."
Amougou et Agesilas gagnent contre l'Allemagne
05/05 19:02
Malgré les entrées en jeu du milieu Mathis Amougou (photo) à la 63e et de l'attaquant Meyvin Agesilas à la 50e, l'équipe de France U16 avait perdu (0-1) sa première manche contre l'Allemagne avant-hier à Clairefontaine. Titulaires aujourd'hui, les deux protégés de Patrick Moreau ont pris leur revanche ce jeudi. Le premier n'a été remplacé que dans le temps additionnel, le second a cédé sa place dès la 41e à Eli Junior Kroupi, auteur du but victorieux.
Les Verts dans le vert
05/05 15:17
La DNCG a publié les comptes des clubs de L1 pour la saison 2020-2021. Avec Reims et Dijon, l'ASSE est le seul club qui termine l'exercice dans le vert avec un résultat net de + 62 000€.
Les Nantais caillassés à GG sans stresser
05/05 13:12
"Je me souviens de notre demi-finale de Coupe de France en 1993, on avait gagné 1-0 à Sainté. Quand on est reparti en car, on s’est fait caillasser les vitres avec des projectiles en tous genres" se remémore Stéphane Ziani dans la dernière édition du quotidien Ouest-France. "Mais on était complètement insouciants, allongés par terre, on se marrait. On a quitté Geoffroy-Guichard comme ça, mais sans stress."
Les MF maintiennent la pression
05/05 11:01
Alors que le coach et les joueurs étaient hier présents à l'hôtel de ville pour une séance de dédicaces largement partagée par le site officiel (https://www.asse.fr/fr/actualites/les-verts-a-l-hotel-de-ville--ac32371), les Magic Fans, à défaut de se faire signer des posters, se sont postés en haut des marches avec deux banderoles visant à rappeler les priorités du mois de mai ...
Les vilains encore plus verts que les Verts !
05/05 08:11
Selon un classement établi par l'ONG anglaise Sport Positive et dévoilé hier par La Pravda et la BBC, les vilains sont le club le plus écolo de la L1. L'ASSE est 3e, juste derrière le Clermont Foot. Le détail de ce classement est à lire ici.
Ils s'y entraînent mais n'y vivent pas ?
05/05 07:36
Maire de l'Etrat, Yves Morand se confie aujourd'hui dans Le Progrès. Extraits.
"Parmi les communes de le Loire de plus de 2 000 habitants, L’Étrat est celle où la proportion de foyers déclarant plus de 100 000 euros annuels est la plus importante. Il est connu que nous avons quelques foyers à hauts revenus. Il est vrai que la proximité de l’hôpital Nord attire des ménages à haut potentiel, notamment des médecins et chirurgiens… Quant au centre d’entraînement de l’ASSE, il est vrai qu’à la grande époque des Verts, certains joueurs vivaient sur la commune. Mais c’est fini, le temps où Platini scolarisait ses enfants à l’école privée de L’Étrat ! Aujourd’hui, non loin de mon cabinet médical, je vois une Lamborghini garée devant une maison. Et on a peut-être un ou deux joueurs qui louent un logement ici mais je ne les connais pas."
Cissé et M'Vila champions de Grèce
05/05 07:17
A quatre journées de la fin, l'Olympiakos a été sacré champion de Grèce pour la 47e fois de son histoire grâce à sa victoire acquise hier soir (2-1) sur le terrain de son dauphin (le PAOK Salonique). Si son coéquipier Pape Abou Cissé n'a pas pris part à cette rencontre, Yann M'Vila l'a disputée dans son intégralité.
L'heure du panic buy a changé !
04/05 16:27
Très coûtumiers du panic buy de 23h59 le dernier jour du mercato, les recruteurs stéphanois devront noter cette information en gros dans leur agenda ! L'heure de fin du mercato d'été est désormais placée à 23h et non minuit comme de coûtume.
La fenêtre estivale des transferts débutera le vendredi 10 juin à minuit et se clôturera le jeudi 1er septembre à 23 heures. Il en sera de même à l'hiver où la période ira du 1er janvier minuit au 31 à 23 heures.
Isma il rêve
04/05 13:10
Alors qu'il n'a joué que 6 matches cette saison avec Samsunspor en L2 turque, Ismaël Diomandé (29 ans) rêve dans le magazine Life de retrouver les Eléphants, plus de trois ans après sa dernière apparition en sélection. L'ancien milieu de terrain profite aussi de cette interview pour évoquer ses vertes années. Extraits.
"Après mon expérience au Paris FC, je devais faire le choix entre les clubs de Lille, Saint Etienne et Rennes. J’ai donc opté pour Saint-Etienne. Avec les jeunes de Saint-Etienne, il y a une compétition qu’on appelle la Gambardella qui est la Coupe de France des jeunes. Nous faisons un très bon parcours avec une très bonne équipe. Nous arrivons en finale au Stade de France. Là, nous jouons contre Monaco et nous perdons aux tirs au but. Juste après cette aventure, je signe mon premier contrat professionnel. Ma plus belle expérience chez les Verts ? Déjà, on va dire la Gambardella parce que ça a été une belle expérience pour le jeune de 16 ans que j’étais. Ensuite, il y a eu la victoire en Coupe de la Ligue au Stade de France, les matches Europa League, etc.
Je totalise 19 sélections en équipe nationale. La première sélection pour tout jeune footballeur était comme un rêve. J’ai joué avec des tauliers que je voyais à la télé. Me retrouver avec eux sur le terrain était quelque chose d’énorme. Il y avait Didier Drogba, Yaya, Zokora etc. Nous sommes tous des Ivoiriens et en même temps tous des compétiteurs. Je pense que ce sera une bonne concurrence et cela donne la force à tous le monde de véritablement travailler dans son club pour que le coach décide d’aller avec tel ou tel athlète. Cette questionne trottine quelque part dans un petit coin de la tête, et j’y travaille pour. Je suis donc disponible à 200% pour la CAN 2023 et pour mon pays. J’ai débuté une très belle saison, mais pour cause de blessure j’ai dû stopper. Grâce à Dieu tout va mieux aujourd’hui. Je suis actuellement à Abidjan et je profite de mon passage ici pour gérer quelques affaires."
Fabio Santos tacle Puel
04/05 12:49
Sur le site 100% OL,, l'ancien milieu défensif des vilains Fabio Santos revient sur ses relations houleuses avec Claude Puel. Extraits.
"Notre groupe était déjà très fatigué et stressé avec certaines attitudes du coach de l'époque. Il changeait constamment les choses à l'OL, transformant un grand club en un petit club, nous n'étions pas satisfaits. Et surtout, il a insisté auprès du conseil pour mon retour, il m'a utilisé quand il en avait besoin et quand j'ai pensé qu'il allait y avoir une suite, il a arrêté de me mettre en scène. Le jour du match de Valenciennes, je n'étais pas d'accord avec le remplacement en première mi-temps. Suite à notre altercation, le club a engagé une procédure qui a conduit à la résiliation de ton contrat. Je n'aurais pas dû me disputer et lui n'aurait pas dû m'utiliser dans le besoin et ensuite me jeter comme ça."
Mathoux évoque ses vertes années
04/05 07:33
Dans la dernière édition de la Pravda, le journaliste de Canal Plus Hervé Mathoux (55 ans) évoque ses vertes années
"Il n'y avait pas beaucoup de football à la télé à l'époque. Entre la demi-finale contre le PSV Eindhoven et la finale contre le Bayern Munich, il y avait presque eu un mois d'attente. Ça faisait long. J'avais les posters dans ma chambre, dont celui de Curkovic, forcément, parce que je jouais gardien, le Pif Gadget spécial Verts...C'est là aussi que j'ai acheté mon premier Onze. C'était le numéro 2. Les Onze, à l'époque, je pouvais les réciter par coeur."