Blaise balaye Brest
20/05 09:01
Postigoooooooal !
20/05 08:40
Gonza & Bouba, deux flops au top
19/05 23:14
Herbin alors ?
19/05 22:14
U19: des Verts baths lattent Lattes.
19/05 20:48
Un nouveau trophée pour Galette !
19/05 20:45
Guillou ! Guillou ! Guillou !
19/05 19:43
Jouer à l'ASSE, c’était l’accomplissement d’un rêve. Connaître de l’intérieur cette ambiance, cette ferveur, ce poids de l’Histoire. Je mentirais si j’affirmais que je suivais tous ces exploits à la télévision, en 1976 j’avais 6 ans. Des amis français de Roanne vivant à Fribourg m’ont fait découvrir l’A.S.S.E. Nous allions voir les matchs à Sochaux, Metz, Strasbourg, Mulhouse. Quelques fois, nous allions à Geoffroy-Guichard. Un rêve de gamin adolescent se réalise.
Lors de la saison 97/98, l'ASSE lutte pour ne pas descendre. Je vis très mal la situation. D’autant plus qu’après des débuts intéressants, j’ai dû m’occuper de ma fille. Je suis allé voir le club en lui expliquant que ma priorité n’était plus le foot. J’ai disparu des écrans radars. Ma fille, ma femme avaient besoin de moi. J’ai demandé au club de me libérer de mes obligations professionnelles. Je pouvais venir aux entraînements quand je le souhaitais. Je ne jouais qu’uniquement en réserve. Les dirigeants et le coach ont été formidables. Je suis revenu vers la fin du championnat. Nous nous sommes sauvés en perdant à Lille mais Réginald Ray du Mans avait fait l’essentiel.
La saison suivante s'est achevée par la remontée en D1. Comme souvent, je n’étais pas un titulaire indiscutable au départ. Mais, je me sentais redevable. Je voulais faire partie de l’aventure, apporter ma modeste contribution au nouveau départ des Verts. Alain Bompard a compris mon mode de fonctionnement. Gérard Soler a été formidable avec moi. Le coach Nouzaret a relancé la machine. Un brin de nostalgie quand on évoque ce triumvirat à l’origine de la renaissance du Peuple vert.
Je garde de formidables souvenirs de cette période. Une belle histoire de potes, de briscards et d’autogestion encadrée. Nous n’étions pas forcément les meilleurs amis du monde mais nous avions un objectif commun : redonner à Saint-Etienne ses lettres de noblesse. Une superbe saison ponctuée par le titre honorifique de champion de Deuxième division… Nous sommes presque tous restés en contact.
Après être parti à Sochaux, je suis retourné à Saint-Etienne. J’ai eu l’opportunité de signer à Nancy. Lorsque j’en ai parlé à Monsieur Jean-Louis Desjoyaux, il m’a dit « donne moi la journée, j’appelle le Président Bompard ». Le lendemain, le 15 août 2001, je signais à Saint-Etienne. Encore un clin d’œil ! Le jour d’anniversaire de ma fille née à Saint-Etienne trois ans auparavant. Mes motivations ? A trente-et-un ans, je souhaitais jouer, reconnaître une montée et prendre du plaisir sur un terrain."
Europe, the final countdown (1)
19/05 18:02
On se lève tous pour nos U12 ! (3)
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La réserve n'a pas molli chez Mollo
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Une Rose cueille des Violettes (3)
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Fouss de joie
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Brandao forte tête
19/05 09:03
Brandao enflamme Marseille
18/05 23:12
Brandao pourrait dire ciao
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JPP veut claquer contre l'OM !
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Notre 24 veut se mettre en 4
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Pogba toujours plus bas !
17/05 22:00
Ech Chergui claque, Cros et Santini craquent
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JJ adorait le Ray
17/05 20:32
Mes coéquipiers me disaient "Jé t'es un fou !" Les nouveaux ne connaissaient pas forcément... Mais j'étais assez proche du staff médical et ils filmaient pour moi. D'ailleurs j'ai encore les vidéos. Le foot c'est un plaisir, un spectacle. Rien de tout ça ne m'a empêché de faire des prestations très correctes. Surtout que c'était spontané. Je n'ai que des bons souvenirs. Les derniers matches contre Saint-Etienne j'entendais "on veut Janot !"... C'est génial. Ma femme est à côté de moi, elle pourrait vous le confirmer, une fois nous étions à Disneyland, tranquille, en famille. On rentre dans un restaurant et là j'entends quelques gars qui entonnent "la mama di Janot..." ! Je me suis dis "Non ! Pas ici quand même !". C'était des Niçois et j'ai bu un petit verre avec eux.
Le Ray c'est un vrai stade de football. Le public est proche des joueurs c'est formidable. La rivalité avec les Stéphanois est forte et je n'ai pas la prétention de dire que j'ai conquis les Niçois mais il y a une certaine reconnaissance. C'est d'autant plus appréciable que les gardiens vous en avez toujours eu des très bons. Même si j'ai pu faire quelques boulettes j'ai toujours fait mes matches. Quand je venais ici c'était la soirée parfaite ! C'est vrai que ça fait un peu mal au coeur de ne plus voir l'OGC Nice au Stade du Ray. Mais même dans le grand stade la BSN sera toujours présente et l'esprit des supporters toujours là. De ne plus jouer au Ray c'est une petite frustration on va dire, rien que d'en parler et de me souvenir de tout ça je suis heureux.
C'est une chance d'avoir joué dans des équipes avec des supporters possédant une vraie culture ultra. On parle de violence mais comme dans tous les groupes il y a quelques brebis galeuses et tu ne peux rien y faire. En France on aime bien cataloguer. Ultra n'est pas forcément synonyme de violence. Il y en a, faut pas le nier mais d'un épi-phénomène on en fait des caisses. Nous sommes dans une société d'image et c'est malheureux. Il ne faut pas faire de généralités avec certains cons. Les Ultras font parfois 1000 km pour nous voir, dépensent des budgets importants, quand j'en vois pleurer à la fin d'un match... J'éprouve un profond respect pour eux."
Momo prépare l'Euro
17/05 19:22
Bodmer contre la Bonne Mère
17/05 18:15
Nanard a parié sur l'OM
17/05 12:27
"Avec le 8ème budget de Ligue 1, on réalise la meilleure saison du club depuis 32 ans. On voulait faire mieux que l'an dernier, donc mieux que 7ème et remporter une coupe. C'est fait. On ne demande pas à son fils en début d'année d'avoir le bac puis à deux jours de l'examen de décrocher une mention très bien. Nous sommes très satisfaits de notre saison car nous avons gagné la bataille de l'image grâce à la qualité de notre jeu. Notre club est à l'opposé des valeurs matérielles. Il est à dimension humaine. Après la victoire en coupe de la Ligue, nous avons réuni 50.000 personnes sans un incident. Les joueurs sont très motivés. Néanmoins, nous sommes la seule équipe qui joue chaque milieu de semaine depuis trois mois. Si nous n'avions pas disputé neuf matchs de coupe, nous ne serions pas loin de la deuxième place. D'ailleurs, l'OM a fait l'impasse sur l'Europa League pour ça.
(...)
L'OM est un club ami. Notre rivalité est plus avec Lyon. D'ailleurs, j'ai gagné de nombreux paris. L'été dernier, j'avais annoncé que l'OM finirait devant Lyon. Ma société était la régie pub de l'OM. C'était un client. J'ai vécu des grands moments de foot. Le 26 mai 1993, j'ai amené un millier de VIP à Munich. On avait réservé une grande auberge. La fête a été extraordinaire ! C'était rare et magnifique. C'est à cette époque que j'ai fréquenté Didier Deschamps et Jean-Pierre Bernès. On était tous au Paradis. On ne se doutait pas qu'on descendrait en enfer peu de temps après...J'ai été patron de l'OM médiatiquement mais pas juridiquement. L'OM me devait beaucoup d'argent et on m'a proposé de reprendre le club. Mais après un audit, ce n'était pas réalisable."
Ettori fan de Ruffier
17/05 12:04
Des news d'Epinouze
17/05 10:59
Galette mise encore sur son PEA
17/05 10:35
Il peut aussi être dérangé par les sollicitations qu’il doit avoir. Qu’il a ! Il
Elie, on t'a reconnu !
17/05 09:56
Elie Baup est agacé par les critiques répétées sur le manque de panache de son équipe. A défaut de briller, Marseille a cette année été d'une efficacité redoutable. Pour Lolo Batlles, interviewé par la Pravda, il ne fait aucun doute que le style de jeu de l'OM porte la signature de l'ex-coach des Verts et de Toulouse : "Elle me rappelle le Toulouse de 2006-2007. Avec Élie on avait réussi à finir 3e du championnat sans produire beaucoup de jeu. Il a dû certainement s'appuyer sur cette expérience pour construire sa saison". A Sainté, en 76 matchs de championnat l'équipe de Baup n'avait marqué que 76 buts et n'en avait encaissé que 73. Moralité, c'est Johnny qui a raison, ça ne change pas, un homme !