On l'avait laissé en pleine réussite à Beira Mar (D2 portugaise), on le retrouvera en D1 lusitanienne l'an prochain : Billal Sebaihi vient en effet de s'engager avec Estoril, comme le montre cette photo dénichée par le potonaute Stéphanois :

Après avoir disputé la saison passée les poules de l'Europa League, les Canarinhos ont plafonné à la 12è place en championnat.

Mis à pied en septembre 2012 par l'ASSE, Albert Rust arrive au bout de presque trois ans de contentieux à une jolie somme à réclamer à l'ASSE : plus de 160 000€ (au titre de salaires non payés et de pertes de chance d'obtenir des primes de match, de dommages et intérêts pour préjudice moral, et de frais divers), sans compter les dépens.

Le jugement en appel rendu le 3 juillet dernier a aggravé la douloureuse initiale de 19 000€. Il s'agit d'un petit gain pour l'ancien entraîneur des gardiens verts (dorénavant dans le staff de l'équipe de France féminine), qui espérait bien décrocher la bagatelle de 300 000€ supplémentaires.

Si les détails précis de l'affaire vous intéressent, le site avosports.fr récapitule l'ensemble des faits grâce à la décision de la cour d'appel de Lyon, en date du 3 juillet dernier.

Auteur de 8 buts en 26 matches sous le maillot vert, Nestor Subiat est le nouvel entraîneur des attaquants de Lausanne-Sport, que l'ASSE affrontera ce mercredi à 19h30 à Aix-les-Bains (Savoie).

"Le président Alain Joseph m’a fait cette proposition et je l’ai acceptée avec grand plaisir. Pour moi, c’est normal de faire quelque chose pour le football à Lausanne" explique l'ancien attaquant stéphanois dans la dernière édition du quotidien hélvétique Le Matin. "Je vais essayer de mettre ces attaquants dans les meilleures conditions possibles, de leur apprendre à gérer les situations de but et de les aider dans les moments de doute en m’appuyant sur mon expérience."

Nanard déplore la manque de compétitivité du foot français dans une interview à paraître demain dans France Football. Extraits.

"Le combat entre Ligue 1 et Premier League est perdu d'avance car on a face à nous des monstres financiers. Hier, les meilleurs clubs anglais nous prenaient nos joueurs, aujourd'hui, ce sont aussi les clubs moyens, ceux qui se battent pour le maintien mais peuvent verser des slaires de 300 000 à 400 000 euros par mois. Qu'on ne nous parle pas de d'ambition sportive quand c'est une ambition financière. Le plus triste est que des joueurs ayant l'opportunité de jouer l'euro en France, ce qui arrive tous les quarante ans, prennent le risque de voir leur niveau baisser en rejoignant des clubs qui ne joueront aucun match européen. C'est inquiétant pour l'équipe de France. Au moment du débat sur la taxe à 75%, j'entendis que la sélection n'en pâtirait pas. Mais bien sûr qu'elle en subit les conséquences ! Tout comme le marché hexagonal, car les clubs de L1 et L2 rêvent de vendre à l'international. Les prix grimpent très vite dès qu'un club anglais s'intéresse à un joueur et le club français doit s'incliner.

Il n'y a pas d'autre option que la formation, mais la France devient le centre de formation de l'Europe, comme Taïwan est celui de la fabrication de vêtements à bas prix. Le foot français, sur 1,7 milliard de chiffre d'affaires, reverse plus de 600 M€ à l'Etat. Ce n'est pas une activité profitable. On redonne plus que les Anglais, qui ont trois fois notre chiffre d'affaires. Chaque saison, le Bayern Munich économise environ 100 M€ en charges sociales par rapport au PSG, soit l'équivalent du transfert de Neymar. Pareil pour le Real ou le Barça. Le football français n'est pas une activité à but lucratif. Vous voyez des Suisses placer leur argent en France ? L'investisseur va dans le pays où il aura un retour sur investissement. Ce n'est pas pour rien que Lille, Bordeaux ou Marseille n'en trouvent pas.

Les droits télé ne sont qu'un aspect. Pourquoi le montant anglais est trois fois supérieur au nôtre ? Parce qu'ils ont trois fois plus d'abonnés que nous. Les droits français correspondent à peu près au marché français. Canal fait 2 milliards de chiffres d'affaires et met 550 M€ de droits télé. Sky fait 11 milliards de chiffre d'affaires et investit en proportion. On aurait peut-être pu espérer 100 M€ supplémentaires, mais pour cela, il ne fallait pas que le gouvernement français intervienne auprès du Qatar en expliquant que Canal risquait d'être étouffé par beIN et que le cinéma était en danger. Le football français a multiplié par trois ses revenus sur les droits à l'international. Plusieurs clubs font des tournées l'été. On progresse, mais pour être attractif, il faut des joueurs qui attirent, donc avoir un peu plus de moyens. La saison dernière a été magnifique au regard des moyens dont nous disposions. Mais on joue les braconniers, Saint-Etienne comme les autres.

Il existe deux championnats : la Ligue 1 qui est dans une compétition européenne, y compris pour les joueurs, et tous les autres. Il faut scinder, créer notre propre Premier League qui s'occuperait des intérêts de l'élite. Les clubs sont des associations, type loi de 1901, déguisées en sociétés. Mais aucun actionnaire ne s'enrichit dans le football français. Restent que des gens investissent et aliment le système. La moindre des choses est qu'on leur donne le pouvoir de décision. La Ligue 1 ne peut plus accepter d'être dirigée par la Ligue 2. En France, on ne réforme pas, on révolutionne. On ne parvient pas à faire bouger les choses progressivement, calmement, car personne ne veut abandonner ses avantages acquis. C'est historique, culturel, et ça concerne tous les domaines de la société, pas seulement le football.

Le principal handicap du football français est d'avoir une lecture trop politique des dossiers, quand les Anglais ont une approche plus business, plus pragmatique. Le principe des élus entraîne inévitablement une dimension politique au sens large. Il faut un directoire de salariés et un patron opérationnel salarié à la tête de la Ligue. Il ne s'agit pas de remettre en cause le principe de solidarité, mais qu'on ne nous fasse pas la leçon. Quand le politique a-t-il aidé le football ? Avec la construction des nouveaux stades ? Ils étranglent les clubs avec des loyers exorbitants. En supprimant le droit à l'image ? En instaurant la taxe à 75% ? Quand ? Soit les pouvoirs publics ne s'en occupent pas, et on laisse le football se développer comme les autres secteurs. Soit ils s'en occupent, mais pas en lui ajoutant des handicaps. Aujourd'hui, nous sommes les idiots de l'Europe. On a les charges sociales les plus lourdes du continent, on n'a pas les droits télé des Anglais, on n'a pas les sociétés d'investissement étrangères qui financent les transferts, comme celui d'Imbula à porto ou de Kondogbia à l'Inter, puisque la tierce propriété est interdite, même si certains pays ne se gênent pas pour contourner la loi."

Dans France Football à paraître demain, Galette donne son avis sur Benoît Assou-Ekotto.

"S'il n'a pas disputé le moindre match officiel depuis la Coupe du monde, ce n'est pas à cause d'une blessure. Benoît n'a pas de problème articulaire, musculaire ou post-opératoire. Ce n'est pas du tout la même chose que s'il avait été blessé. Je l'ai vu aux entraînements, je trouve qu'il a déjà ses repères et qu'il est affûté. Il est taillé, hein ! Il a son pied gauche, il est ce que j'ai vu de lui. Il doit retrouver les automatismes, le contact avec le ballon, ses repères au poste, au jeu et avec ses coéquipiers, encaisser aussi les efforts d'un match qui ne sont pas ceux, plus rectilignes, de l'entraînement. On lui demande d'être très à l'écoute de son corps. Travailler avec le ballon est plus fatigant et sollicite davantage tout le corps que travailler sans. Nous avons quatre semaines devant nous. C'est peu. On sera donc très vigilant et lui devra nous remonter toute info le concernant."

L'ancien milieu offensif stéphanois Ignacio Piatti (30 ans) a marqué samedi dernier sur penalty son cinquième but de la saison en Major Soccer League pour l'Impact de Montreal. Mais New York City s'est imposé 2-1 au Québec grâce à un doublé de David Villa, l'ancien attaquant du Barça.

Ayant quitté l'ASSE en mai dernier sans avoir joué le moindre match officiel avec les pros, Maxence Chapuis est cette semaine à l'essai au VAFC, où il a retrouvé Loris Néry.

On savait que Quentin Vieira, défenseur des U17, ne serait plus Vert en 2015-2016. Arrivé de Domtac FC en 2013, il n'a joué que 40 min cette année. On sait désormais sa destination : un tweet nous apprend que c'est chez notre vilain voisin que Quentin essaiera de gagner du temps de jeu. 

L'information avait de quoi faire sourire, et notre cher Roro n'a pas manqué de le souligner.

Alors que le journal suisse Le Matin annoncait une offre de 7 millions d'euros des Verts pour l'attaquant du FC Sion Moussa Konaté, ce qui en aurait fait la recrue la plus chère de l'histoire du club, le (très) dispendieux Roland Romeyer a clarifié cette information dans Le Progrès :

"Il ont oublié un zéro, ce n’est pas 7 millions d’euros que l’on a proposés, mais 70 millions d’euros…c’est n’importe quoi"

N'allez pas chercher ailleurs l'information fiable sur votre club de coeur. Pour les infos mercato, pensez aux mortels transferts Poteaux Carrés. Très certainement la page mercatique stéphanoise la plus fiable du web...

Comme l'attestent les photos de l'entraînement de ce matin sur le site officiel du club, Bayal Sall a effectuée sa rentrée des classes ce matin.

Selon La Provence, le FC Martigues (CFA) de l'ancien attaquant des Verts Franck Priou a repris aujourd'hui l'entraînement avec Serge Didi (25 ans), l'ex-réserviste stéphanois qui évoluait l'an dernier chez les Keriolets de Pluvigner.

Le Buteur publie aujourd'hui un entretien de Faouzi Ghoulam, qui passe actuellement le Ramadan en famille à Montreynaud. Extraits.

"En signant à Naples j’ai passé un cap. Physiquement, mentalement et techniquement, je ne suis plus le même joueur, j’ai appris la culture de la gagne. J'ai donc vécu cette dernière saison comme un échec. En effet, j'aspire à gagner des titres. C’est dommagé d'avoir raté d’un cheveu deux finales comme la Coupe d’Italie et l’Europa League. La saison passée, j’ai fait 47 matchs et cette année j’en ai fait 50. Ce sontt des saisons qui sont longues et chargées surtout que j’étais appelé à faire beaucoup de rencontres internationale en sélection.

Je n’ai pas connu d'autre grand entraîneur que Benitez, donc franchement je ne peux me permettre de juger les autres. Mais Benitez m’a impressionné, sa force est son turn-over. Il arrive à laisser tout le monde mobilisé. C’est un entraîneur qui fait progresser son joueur. Il travaille ligne par ligne, joueur par joueur et, franchement, on se perfectionne tout le temps avec lui. C’est la différence lorsqu’on évolue dans de très grands clubs. 

On annonce mon nom un peu partout (Arsenal, Real Madrid et Chelsea, etc.) Cela fait plaisir d’être annoncé dans des clubs aussi prestigieux, mais franchement je ne fais pas trop attention. Je suis en vacances, je me consacre à ma vie de famille ici à Saint-Etienne en ce mois sacré. Moi, je donne le maximum et si je dois atterrir dans un autre grand club, je serai heureux. Sinon je suis à Naples, c’est un très grand club aussi. Aujourd’hui, je ne me prends pas la tête, le football est une question d’opportunité, et de Mektoub.

J'ai une grande confiance en mes frères. Ma carrière est aussi la leur. Je travaille beaucoup avec mon frère Nabil qui est mon préparateur physique. Mon frère Samir qui est mon agent, Mohamed est chargé de tout ce qui est social, et Sabir s’occupe du volet marketing. Je suis bien entouré. On a trop critiqué mes frères, mais en un mot, si je suis arrivé là, c’est nettement grâce à eux. Là, si mon frère Nabil me demande d’aller courir, je vais avec lui parce que je sais qu’il veut mon bien. J’ai confiance en lui à 1000 %."

Si Noah a eu l'honneur de découvrir le centre d'entraînement de l'ASSE jeudi dernier, Sagbo n'ira pas à l'Etrat. En fin de contrat à Hull City, l'ancien attaquant de Monaco et Evian s'est engagé avec Umm Salal (Qatar).

"J'avais des pistes en France. Lille avait quand même de l’avance sur le dossier. On attendait des réponses de Saint-Etienne"  explique l'Ivoirien dans un entretien paru hier sur Foot Mercato. "Mais je n’étais pas le premier choix des clubs avec lesquels j’étais en contact en France. Ça s’est senti. Je suis un joueur libre, il n’y a pas de transfert. Il fallait être sérieux à un moment. Je ne pouvais pas attendre éperdument. Il fallait que je trouve un club. Umm Salal s’est présenté en disant :"On te veut". Ils l’ont montré en faisant une offre directement." 

Ravi d'être remonté sur scène jeudi soir au centre d'entraînement de l'ASSE, Mickaël Furnon (Mickey 3D) parle de son club de coeur dans la dernière édition du Progrès. Extraits.

"Les Verts sortent d'une belle saison. Arriver à finir dans les cinq premiers, avec en plus tous les matchs de Coupe d’Europe qu’ils ont eu à disputer, je trouve qu’ils se sont bien débrouillés avec l’effectif qu’ils avaient. Ce n’est pas une saison parfaite car ils ont perdu un ou deux matchs qu’ils auraient pu gagner facilement. Ils auraient pu ainsi finir un cran au-dessus mais cela arrive toujours dans un championnat. La victoire dans le derby fut un grand moment. Je l’ai suivie avec des copains. Au match retour, aussi, les Verts ont fait un bon match.

Loïc Perrin est une valeur sûre. Mais il y en a un autre dont on parle moins, c’est Fabien Lemoine. Je l’aime beaucoup. Il est increvable et très précieux. Quand ces deux joueurs ne sont pas là, ils nous manquent beaucoup. Pour moi, ce sont les poumons de l’équipe. La blessure de Renaud Cohade nous a aussi fait du mal. C’est un mec qui sait temporiser, voir le jeu. Max Gradel, je le trouve assez irrégulier. Il est capable de faire des supers trucs et ensuite, on ne le voit plus pendant deux ou trois mois. Après, c’est sûr qu’il nous a fait du bien en fin de championnat.

Cette intersaison, j’espère surtout qu’on va trouver un ou deux attaquants. C’est ce que tout le monde attend. Ricky, on n’a pas vu grand-chose. Erding, c’est très irrégulier aussi. On a vraiment envie d’avoir un gars qui plante un peu plus de buts. Au stade, tout le monde disait du mal de Brandao mais n’empêche qu’il bousculait les défenses, se battait sur tous les ballons. Dans ce registre, Erding et Ricky c’était un peu léger. Une saison réussie, pour moi, ce serait que les Verts finissent encore dans le top 5 et  aillent au moins jusqu’en quart de finale en Coupe d’Europe."

Après des intermèdes au Club Africain et à Amiens, Matt Moussilou va retrouver la Suisse et le canton de Vaud, mais pas au Lausanne Sport où il a joué de 2010 à 2014. Il va en effet s'engager avec le FC Le Mont LS qui opére en Challenge League, soit en 2ème division. Ce club est parrainé par le chanteur Jean-Luc Lahaye.

L'attaquant stéphanois Augustin Bangoura, qui a fêté ses 17 ans il y a trois semaines, retrace son parcours et dévoile ses ambitions dans un entretien paru aujourd'hui sur le site Foot Mercato. 

"J’ai commencé le foot dans un club amateur, avant de rejoindre Le Mans. J’ai été repéré par l’AS Saint-Etienne, au cours d’un match contre les Verts en finale en U13, à la coupe nationale à Capbreton. Je suis un joueur technique, bon dans la vitesse, les enchaînements. J’ai deux joueurs qui m’inspirent, Robinho et Ronaldinho, qui est mon modèle.

Je joue avec les U19, j’ai même fait des matches en CFA. Je pense que le bilan de la saison est positif. La saison prochaine, l’ambition sera de faire toute la saison avec la réserve, d’être pourquoi pas titulaire, et d’avoir qui sait quelques entraînements avec l’équipe première. On verra comment ça va se passer.

Je suis sur ma dernière année de contrat aspirant, à terme le contrat pro me fait envie. Surtout avec mon club formateur, signer un contrat professionnel à Saint-Etienne serait un rêve. Ça va faire six ans que je suis à l’ASSE, le but est de signer pro ici."

Fort de ses 25 buts et de ses 10 passes décisives toutes compétitions confondues avec Dortmund lors du dernier exercice, Pierre-Emerick Aubameyang a été sacré meilleur joueur de la saison par les supporters du Borussia.

Pour son premier match sous la direction de Thomas Tuchel, Aubame a réalisé hier un triplé contre la Team Gold, sélection de sportifs olympiques allemands écrasés 17-0 devant 41 200 spectateurs !

A l'issue de son concert de jeudi soir à l'Etrat, Yannick Noah s'est confié au Progrès. Extraits.

"En 1976, j'avais 16 ans et j'étais en internat à Nice. J’ai 55 balais aujourd’hui, les Verts ça a compté. Cela me rappelle quand on gagnait. Il y avait un vent d’espoir. Ce maillot vert a compté pour moi. Comme pour beaucoup, comme pour une majorité de gens. Et pour de vrai. Plein de matchs nous ont marqués. Ce maillot, c’est ma jeunesse, mon enfance. Avec ces mecs-là, on espérait. Ils nous donnaient envie. Je les aimais. Tous. Curkovic, Bathenay, Janvion, Farizon, Revelli, Lopez, Piazza, Synaeghel... Je peux aussi parler de Keita, Mekhloufi. Des trucs de vieux. Platoche...

On ne va pas faire les anciens combattants mais ce sont des moments forts. J’ai bu un coup avec Johnny Rep. J’ai fait un peu de parlotte avec Georges Bereta et j’ai kiffé. Forcément, tout change mais l’énergie, elle tient. Elle est toujours là, l’énergie du peuple. Ça, c’est fort dans un monde où tu achètes tout… Cela fait partie du truc, on le sait. J’habite Paris, je suis content d’aller voir le PSG et ses superstars. Mais j’aime le sport, les trucs vrais. Ça me passionne. Ici, il y a un vrai public. Saint-Etienne, c’est la ville de foot. Allez les Verts !"

"Beaucoup de joueurs quittent des bons clubs français pour aller dans des clubs qui jouent le maintien ou le milieu de tableau en Angleterre" peste Nanard dans la Pravda du jour. "Soyons clair, c'est le choix de l'argent. C'est dommage pour le football français mais aussi pour la sélection."

Auteur de 11 matches avec les pros (de 1999 à 2003) après avoir remporté le championnat de France U17 (en 1997) et la Coupe Gambardella (en 1998), Mickaël Pontal (35 ans) va faire son retour à l'ASSE comme entraîneur des U17 régionaux. Le natif de Grange-les-Valence (Ardèche) nous a confirmé cette information parue aujourd'hui sur le site du Journal de Saône-et-Loire avant de nous confier sa première réaction.

"J'ai rencontré hier les responsables de l'ASSE, je devrais logiquement prendre la deuxième équipe U17 du club, en Ligue Honneur. La reprise de l'entraînement est fixée au 27 juillet. Je suis content de revenir à Sainté où j'ai passé dix ans de ma vie. J'y ai rencontré pas mal d'amis et aussi mon épouse. J'ai terminé ma carrière de joueur à Andrézieux, où j'ai entamé ma reconversion en tant qu'entraîneur. J'ai ensuite coaché Savigneux-Montbrison et cette dernière saison j'entraînais Louhans-Cuiseaux en CFA2. Je suis très heureux d'avoir cette opportunité de rejoindre le centre de forrmation de l'ASSE. C'est un honneur pour moi de pouvoir retourner au club en tant qu'éducateur. Je suis enthousiaste à l'idée de pouvoir rendre au club ce qu'il m'a apporté quand j'étais joueur. J'ai toujours eu des contacts amicaux avec les dirigeants et certains entraîneurs de l'ASSE. Je mesure la chance de pouvoir retouver la maison verte et j'espère pouvoir être à la hauteur du club."

Julien Sablé, promu co-entraîneur de l'équipe réserve, et Razik Nedder, coach des U13 et adjoint de Jean-Philippe Primard en U19 prendont la saison prochaine, durant 7 ou 8 semaines, la direction de Clairefontaine pour préparer le DES JEPS spécialité performance sportive, mention "Football". Ils ont franchi avec succès les tests et entretiens donnant le précieux sésame pour suivre cette formation. 

Ayant reçu hier à Abidjan le prix Sport Ivoire qui récompense le meilleur footballeur ivoirien de la saison, Max Gradel a fait le point sur sa situation pour France Football.

"Il y a des discussions, mais pour l’instant, je patiente. J’appartiens toujours à Saint-Étienne. Il me reste deux ans de contrat. Je n’irai pas au clash. Ça reste mon club ! Les supporters sont fantastiques, il y a une belle ambiance dans le Chaudron. Mais c’est vrai que j’ai aussi envie d’aller voir ailleurs. J’ai besoin de quelque chose de nouveau. Mais s’ils n’acceptent pas de me vendre, je ne pourrais rien contre et je rentrerais au club."

Selon la dernière édition du Progrès, le probable départ de Romain Revelli entraîne un jeu de chaises musicales à l'ASSE. Laurent Batlles, entraîneur adjoint de l'équipe réserve la saison dernière, rejoint le staff de Galette. Thierry Oleksiak en fera toujours partie mais à temps plein. Il laisse sa place d'entraîneur de la réserve au tandem Bernard David - Julien Sablé. Co-entraîneur des U15 la saison dernière, ce dernier était initialement positionné pour entraîner les U17 régionaux la saison prochaine.

Sacré il y a deux mois champion du Maroc, le le WAC (Wydad Athletic Club de Casablanca) a annoncé ce mercredi la prolongation du contrat de son entraîneur John Toshack (66 ans). Pour rappel, l'ancien coach des Verts avait rejoint le Maroc l'été dernier.

Directeur de la communication et du marketing du Coq Sportif, Patrick Ouyi explique sur le site de Onze Mondial les tenants et les aboutissants du partenariat qui lie désormais la marque et l’ASSE pour 5 ans. Extraits.

"Depuis une petite dizaine d’années, on n’avait plus d’asset dans le foot même si ce sont plus les circonstances qu’une réelle volonté qui avaient dicté ce retrait. Mais l’ADN est tellement fort que la seule vraie question de notre retour dans le foot, c’était : quand et qui ? C’est donc pour cette saison et avec Saint-Etienne… On le savait depuis le début finalement. On aurait attendu encore s’il avait fallu car c’était vraiment l’ASSE qu’on voulait. L’opportunité s’est présentée et on s’est juste dit que c’était le bon moment.

On a renoué ce lien historique avec le club de façon un peu détournée. En 2011, on est entré en contact avec Rocheteau et on a lancé avec lui une petite collection qui s’appelle "L’Ange Vert". Pour voir. Il y a eu un bel engouement autour du projet et c’est comme ça qu’on a rencontré les deux présidents, qui n’étaient évidemment pas très contents de cette initiative au départ. Mais finalement c’est grâce à ça qu’on est là aujourd’hui, car ça leur a fait comprendre à quel point le Coq aime Sainté. On a attendu la fin du contrat avec l’équipementier précédent et voilà !

Saint-Etienne sera le seul club français équipé par le Coq. Notre but n’est pas signer des clubs à tout-va, c’est clair. Notre axe de développement, c’est de construire une histoire avec le club. On n’a pas l’obligation d’avoir dix équipes sous contrat dans 5 ans et c’est ça qui nous permet de creuser la relation avec le club. Le coq sportif est une marque humaine. Face à ces machines de guerre que sont Nike et Adidas, on est un petit village français. Et il faut qu’on le reste, c’est ce que les gens attendent de nous. Mettre un ou plusieurs joueurs en avant pour en faire l’étendard de la marque, ce n’est pas notre truc. Pour nous l’emblème, c’est le maillot. Et ceux qui font vivre un maillot et qui le célèbrent chaque week-end, ce sont les fans. C’est donc pour eux qu’on a fait ce nouveau maillot.

Les supporters se plaignent souvent du prix jugé excessif des maillots de foot ? Contrairement aux autres, nous fabriquons nos maillots en France, à Romilly-sur-Seine. La différence dans les coûts de production est monumentale. Mais c’est une volonté chez nous. La plupart des équipementiers se gavent avec les maillots de foot. Mais le club nous a sensibilisé sur la problématique du prix et, par exemple, le réplica est 5 euros moins cher que celui de l’an dernier. Avec une qualité et une esthétique qui, de mon point de vue, sont bien supérieures."

Dans un entretien paru cette semaine sur le site Parlons Sports, le journaliste sportif, Florian Genton (Bein Sports), revient sur l'engouement qu'il peut y avoir à Geoffroy Guichard, et bien plus....

"Je suis né à Paris mais pourtant c’est bien à Marseille clairement. Marseille c’est incroyable avec le nouveau Vélodrome. Mais pour le coup je vais vous dire j’ai fais des OM-PSG et des PSG-OM où effectivement c’est chaud il y a de la tension, mais là où j’ai senti le plus de tension et limite de la peur c’est des ASSE-OL. Saint-Etienne-Lyon. Pas des Lyon-Saint-Etienne, des Saint-Etienne-Lyon. Vous êtes au bord de la pelouse, vous tremblez. Vous avez la chair de poule et vous vous dites attention parce qu’à tout moment là, le stade peut s’écrouler."

C'était aujourd'hui la première conférence de presse sous le maillot vert de notre nouveau latéral gauche Benoît Assou-Ekoto, il en a profité pour revenir sur son choix de privilégier l'ASSE :

"J’avais des offres dans des pays plus exotiques mais moins intéressantes sur le plan sportif. Saint-Etienne a pris le dessus car la Ligue 1 est un championnat majeur et c’est positif pour moi de revenir en France. Ici, j’ai la possibilité de reprendre du plaisir en jouant au football. Lors de mes discussions avec le coach et les dirigeants, j’ai senti que tout était sain dans ce club. C’est quelque chose qui a fait pencher la balance.

"J’ai poursuivi l’entraînement de mon côté pour éviter que la reprise avec un club ne soit dure à digérer. Il était important que je me maintienne en forme. J’ai toujours eu de la « niaque », j’en avais à vingt ans, j’en ai à trente-et-un. Cette coupure n’a pas modifié mon état d’esprit. Rien ne remplace la compétition mais je suis toujours resté en activité. Je viens pour réaliser une très bonne saison, personnellement et collectivement. Mon objectif est d’être bon avec l’ASSE, et c’est le seul que je me fixe."

Dans la Pravda du jour, Loïc Perrin donne son avis sur le maillot des Verts. "C'est un beau clin d'oeil à toutes ces belles années. On va être beaux." Dieu n'oublie pas l'essentiel : "J'espère qu'on sera bons sur le terrain, c'est le principal".

Si Galette a affirmé qu'il ne se servira pas de "la symbolique du maillot", Roro ne s'en privera pas. "Dans mes entretiens avec les joueurs, je leur rappellerai qu'ils jouent désormais avec le Coq Sportif, avec qui on a écrit 90% de l'histoire du club. Les années précédentes, on vendait entre 40 000 et 50 000 mailots. Cette saison, on fera beaucoup mieux, ne serait-ce que parce que tous les anciens maillots verts Adidas vont paraître obsolètes."

Selon La Dépêche de Tahiti, le partenariat entre l'ASSE et l'AS Tefana a été reconduit pour deux années supplémentaires. Comme le gardien U15 Moana Pito en novembre dernier, les U13 du club tahitien ont séjourné au centre de formation de l'Etrat il y a trois semaines. Ils ont terminé à une très honorable 8e place (sur 24 équipes) au tournoi des clubs partenaires remporté par Le Puy.