Dans son excellent Dictionnaire égoïste du panache français paru il y a trois semaines aux éditions Le Cherche Midi, François Cérésa a consacré tout un chapitre aux Verts. Nous vous le proposons dans son intégralité avec l'aimable autorisation de l'auteur.
Merci P² pour cette retranscription et merci à l'auteur de nous livrer ce chapitre gratuitement !
Bon, comme d'habitude, même si les anecdotes sont sympa, y'a quand même énormément à redire sur la mythification générale autour de Sainté, qu'on parle de la ville ou du club. Les Verts des années 70 étaient à la pointe de la modernité dans le foot, que ce soit dans les bons ou les moins bons aspects, le poncif passéiste dans lequel verse l'auteur (comme beaucoup d'autres) me paraît donc complètement anachronique.
KırmızıMavi a écrit :Nous devrions et ne devrions pas manger cheval. Ceci est très important.
merci
étant un enfant du 9.3 j'ai aussi découvert , enfant avec mon père comme lui , l'ASSE au stade Bauer du Red star, mais dans les petits kops populaires en terre pour payer le moins possible ( j'ai vu Keita et toute la clique de près lol ) . Même après 12 ans, mon père me faisait passer pour un moins de 12 ans pour payer moins cher . ( je devais me baisser au guichet pour paraître plus petit. ) )
BC RR : "Le club passera toujours avant nos intérêts personnels"
Friteuse a écrit : ↑03 mai 2023, 03:39
Merci P² pour cette retranscription et merci à l'auteur de nous livrer ce chapitre gratuitement !
Bon, comme d'habitude, même si les anecdotes sont sympa, y'a quand même énormément à redire sur la mythification générale autour de Sainté, qu'on parle de la ville ou du club. Les Verts des années 70 étaient à la pointe de la modernité dans le foot, que ce soit dans les bons ou les moins bons aspects, le poncif passéiste dans lequel verse l'auteur (comme beaucoup d'autres) me paraît donc complètement anachronique.
Oui, c'est vraiment gentil à lui, même si je n'accroche pas tant sur le fond que sur la forme.
Disons que je préfère de loin la prose de Parasar.
"C’est la même logique qui pousse à l’exploitation sexuelle des enfants (...), de celui qui dit : ‛Laissons les forces invisibles du marché réguler l’économie' (...), du 'utilise et jette', qui engendre tant de résidus (...)."