Sinon petit truc presque anecdotique, j'ai bien aimé l'utilisation du papier pour passer les consignes de repositionnement.
"C’est la même logique qui pousse à l’exploitation sexuelle des enfants (...), de celui qui dit : ‛Laissons les forces invisibles du marché réguler l’économie' (...), du 'utilise et jette', qui engendre tant de résidus (...)."
Comme tu le dis les trois offensifs ont été Aouchiche, Bouanga et Khazri, mais leur positionnement peut paraître bizarre :
Sans voir un « Drôle de Drame » samedi soir le « Prévert » de M. Jacques au Vélodrome n’était pas à notre avantage alors oui « Vous avez dit bizarre, comme c’est bizarre »
Il y a encore beaucoup de boulot, pas sur que la trêve internationale suffise.
Les hommes naissent libres et égaux en droit. Après ils se démerdent . Jean Yanne
Merci Pilou
C'est très intéressant...effectivement, pas sur que la trêve suffise. Après toutes les équipes n'ont pas de joueurs de la qualité technique de Marseille. Le plus embêtant est le manque de coordination du pressing.
Marseille nous a fait tres mal dans ces mouvements, c’est évident on a pas su y répondre. On voyait d’ailleurs kolo s’en plaindre.
L’idée de demander à khazri et bouanga de bloquer les côtés, pourquoi pas. Quoi que pour moi Aouchiche aurait du avoir ce role à la place de Khazri. Pour garder khazri en pointe comme une vrai menace offensive.
Là on a eu le pauvre Aouchiche seul devant a presser les trois centraux. Ça n’avait pas de sens. Seul il ne pouvait rien faire. Est ce qu’il ne valait mieux pas demander à Aouchiche de ne pas presser les centraux et rester plus bas pour simplement empêcher la création d’un sur nombre avec la montée d’un des centraux ?
Bon, bien plus facile à dire après coup. Puel a tenté un truc, ça n’a pas marché. Il a rectifié par la suite. Mais faut saluer Marseille parce que réellement on ne voit pas souvent des équipes jouer comme ca. Mais pas sûr que ça marche contre tout le monde.
Poteau gauche a écrit : ↑03 sept. 2021, 15:16
Sacré Patrick !
Mais quel salaud !
"C’est la même logique qui pousse à l’exploitation sexuelle des enfants (...), de celui qui dit : ‛Laissons les forces invisibles du marché réguler l’économie' (...), du 'utilise et jette', qui engendre tant de résidus (...)."