
http://www.poteaux-carres.com/potin-P65 ... vient.html
Modérateurs : Barre transversale, Poteau gauche, Poteau droit, Ligne de but
Oui un club a un cycle, on s'inscrit pleinement dans le concept du storytelling, c'est l'émotion, l'histoire séduisante que raconte ce club qui va rentrer en contact avec l'univers du client (ici supporter).Vert|treV a écrit :C'est pas faux ce que tu dis.
Mais (oui, il y a un mais), le public peut aussi s'embourgeoiser et/ou élever son niveau d'exigences.
Si l'équipe ne suit pas cette courbe, le public se détournera peu à peu.
Même à Sainté.
On peut ressentir avoir fait un match moche et pourri, malgré une victoire (la statistique va retenir la victoire)Galibois a écrit :Et ma 1ère intervention tendait à démontrer que malgré la stat on est beaucoup à ressentir qu'on était une équipe de contre;
Bof, tu peux perdre avec de superbes stats. Ce qui restera c'est une émotion : la déception.Platoche a écrit :On peut ressentir avoir fait un match moche et pourri, malgré une victoire (la statistique va retenir la victoire)Galibois a écrit :Et ma 1ère intervention tendait à démontrer que malgré la stat on est beaucoup à ressentir qu'on était une équipe de contre;
Le ressenti est très personnel, donc non exploitable. La statistique elle, est exploitable, et permet de mettre à plat certaines idées reçues ou "ressenties"...
Tout aussi peu exploitable ce ressenti. Les mêmes matches une année de remontée où tout le stade est au taquet, et les commentateurs laudatifs, et l'équipe sera jugée formidable.merlin a écrit :Dîtes moi , les magiciens de P2 qui arrivent à nous faire passer un brouet insipide pour un plat succulent , vous n'auriez pas dans votre hotte la statistique des gens qui se font chi... au stade ?
Cette stat là pourrait être assez intéressante à analyser...
Si facile 100% de ceux qui se font chi... sont critiqu...merlin a écrit :Dîtes moi , les magiciens de P2 qui arrivent à nous faire passer un brouet insipide pour un plat succulent , vous n'auriez pas dans votre hotte la statistique des gens qui se font chi... au stade ?
Cette stat là pourrait être assez intéressante à analyser...
Galibois 1 Platoche 0Galibois a écrit :Bof, tu peux perdre avec de superbes stats. Ce qui restera c'est une émotion : la déception.Platoche a écrit :On peut ressentir avoir fait un match moche et pourri, malgré une victoire (la statistique va retenir la victoire)Galibois a écrit :Et ma 1ère intervention tendait à démontrer que malgré la stat on est beaucoup à ressentir qu'on était une équipe de contre;
Le ressenti est très personnel, donc non exploitable. La statistique elle, est exploitable, et permet de mettre à plat certaines idées reçues ou "ressenties"...
L'émotion est l'essence du sport, la stat ne perdure pas dans le temps.
L'adhésion à un sport, une équipe, un sportif se fait grâce au ressenti, à l'émotion, à l'histoire racontée.
L'épopée des Verts ne se racontent pas en statistiques, mais aux montagnes renversées, à l'émotion collective qu'elle a suscitée. Ca marche avec toute l'histoire du sport.
L'économie du sport exploite le vecteur émotion avant tout.
La stat est froide, exploitable et interprétable à l'infini.
Elle n'a pas d'âme et ne remplit pas les stades.
Pourquoi vouloir opposer l'émotion et les stats ?Galibois a écrit :Bof, tu peux perdre avec de superbes stats. Ce qui restera c'est une émotion : la déception.Platoche a écrit :On peut ressentir avoir fait un match moche et pourri, malgré une victoire (la statistique va retenir la victoire)Galibois a écrit :Et ma 1ère intervention tendait à démontrer que malgré la stat on est beaucoup à ressentir qu'on était une équipe de contre;
Le ressenti est très personnel, donc non exploitable. La statistique elle, est exploitable, et permet de mettre à plat certaines idées reçues ou "ressenties"...
L'émotion est l'essence du sport, la stat ne perdure pas dans le temps.
L'adhésion à un sport, une équipe, un sportif se fait grâce au ressenti, à l'émotion, à l'histoire racontée.
L'épopée des Verts ne se racontent pas en statistiques, mais aux montagnes renversées, à l'émotion collective qu'elle a suscitée. Ca marche avec toute l'histoire du sport.
L'économie du sport exploite le vecteur émotion avant tout.
La stat est froide, exploitable et interprétable à l'infini.
Elle n'a pas d'âme et ne remplit pas les stades.
Galibois 0 Platoche 1Alexdiasdealmeda a écrit :Galibois 1 Platoche 0Galibois a écrit :Bof, tu peux perdre avec de superbes stats. Ce qui restera c'est une émotion : la déception.Platoche a écrit :On peut ressentir avoir fait un match moche et pourri, malgré une victoire (la statistique va retenir la victoire)Galibois a écrit :Et ma 1ère intervention tendait à démontrer que malgré la stat on est beaucoup à ressentir qu'on était une équipe de contre;
Le ressenti est très personnel, donc non exploitable. La statistique elle, est exploitable, et permet de mettre à plat certaines idées reçues ou "ressenties"...
L'émotion est l'essence du sport, la stat ne perdure pas dans le temps.
L'adhésion à un sport, une équipe, un sportif se fait grâce au ressenti, à l'émotion, à l'histoire racontée.
L'épopée des Verts ne se racontent pas en statistiques, mais aux montagnes renversées, à l'émotion collective qu'elle a suscitée. Ca marche avec toute l'histoire du sport.
L'économie du sport exploite le vecteur émotion avant tout.
La stat est froide, exploitable et interprétable à l'infini.
Elle n'a pas d'âme et ne remplit pas les stades.
En foot, c'est aussi marquer des buts. L'exultation de joie sur le but, c'est ça la came fondamentale du supporter - même du plus cérébral.Parasar a écrit :N'oubliez pas que pour beaucoup l'émotion dans le sport de haut niveau c'est aussi (surtout) le résultat final.
Voilà un avis éclairé. Pourtant, il reste des cas où la statistique donnée est telle que le ressenti exprimé auparavant est nécessairement contredit : dire "on n'avait pas la possession de balle en 12/13" alors que la possession moyenne sur cette saison dépasse les 50%, c'est faux ; dire "on était une équipe de contres en 12/13" n'est par contre pas forcément antinomique avec la même statistique.castorp a écrit :Vos stats, c'est pas que c'est inintéressant, c'est un indicateur parmi d'autre, mais bon. Perso l'avis d'un bon connaisseur du foot m'éclaire plus que des stats de faible valeur..
Prenons vos statistiques sur les passes: déjà les passes se valent toutes. Alors qu'il y a toute sortes de passes avec des implications très différentes. Ensuite quelles sont les définitions? Une passe de 20 mètres vers la droite et 1 mètre vers l'avant, c'est compté comme une passe en avant?
Par exemple Clément ceux qui disent qu'ils joue vers l'arrière ne veulent-ils pas avant tout dire qu'il a un jeu prudent avec prises de risque minimales (ce qui n'est pas forcément un défaut), plus que stricto sensus il joue vers l'arrière. Il se retrouve souvent en position de défenseur central sur les phases offensives, quand les latéraux montent, et que les centraux s'écartent; Alors sauf à donner à Ruffier il donne vers l'avant; ok, c'est comptabilisé dans ses stats; mais ça prouve quoi pour son jeu vers l'avant?
Et les centres en retrait d'Hamouma, ils prouvent qu'il joue vers l'arrière ou en tout cas tempèrent le bon effet laisser par ses prises de balles orientées vers l'avant?
Bref, donc illustrer et étayer son ressenti avec des stats pourquoi pas, mais se contenter de dire, j'ai trouvé 56% donc ça c'est vrai et ça c'est faux, et il n'y a plus de place pour la discussion ça me semble pas avoir grande valeur.
Il y a pas mal de chose intéressante dans ce que tu dis mais je trouve que tu restes trop à charge et ce que tu reproches dans un sens l'est tout autant dans l'autre.castorp a écrit :Vos stats, c'est pas que c'est inintéressant, c'est un indicateur parmi d'autre, mais bon. Perso l'avis d'un bon connaisseur du foot m'éclaire plus que des stats de faible valeur..
Prenons vos statistiques sur les passes: déjà les passes se valent toutes. Alors qu'il y a toute sortes de passes avec des implications très différentes. Ensuite quelles sont les définitions? Une passe de 20 mètres vers la droite et 1 mètre vers l'avant, c'est compté comme une passe en avant?
Par exemple Clément ceux qui disent qu'ils joue vers l'arrière ne veulent-ils pas avant tout dire qu'il a un jeu prudent avec prises de risque minimales (ce qui n'est pas forcément un défaut), plus que stricto sensus il joue vers l'arrière. Il se retrouve souvent en position de défenseur central sur les phases offensives, quand les latéraux montent, et que les centraux s'écartent; Alors sauf à donner à Ruffier il donne vers l'avant; ok, c'est comptabilisé dans ses stats; mais ça prouve quoi pour son jeu vers l'avant?
Et les centres en retrait d'Hamouma, ils prouvent qu'il joue vers l'arrière ou en tout cas tempèrent le bon effet laisser par ses prises de balles orientées vers l'avant?
Bref, donc illustrer et étayer son ressenti avec des stats pourquoi pas, mais se contenter de dire, j'ai trouvé 56% donc ça c'est vrai et ça c'est faux, et il n'y a plus de place pour la discussion ça me semble pas avoir grande valeur.
Ah mais j'avouesam42 a écrit : je trouve que tu restes trop à charge
100% subjectif (ça c'est de la statsam42 a écrit :Déjà, qui appelles tu connaisseur ?