
C'est pourtant simple, les comptes vont mieux quand on finit 4ème avec le salary cap que 16ème avec des salaires à 300000 euros.
Modérateurs : Barre transversale, Poteau gauche, Poteau droit, Ligne de but
On a de la chance ?Michel-Ange a écrit : ↑11 janv. 2022, 22:01Je dis exactement le contraire.baggio42 a écrit : ↑11 janv. 2022, 21:58Soit. Et encore je suis curieux de connaître le montant exact.Michel-Ange a écrit : ↑11 janv. 2022, 21:50Absolument pas.
J'ai la flemme de rechercher les chiffres pour expliquer toujours la même chose mais, de mémoire, j'avais détaillé que sur les 10 saisons avant Gasset, l'ASSE a plus dépensé en achat de joueurs qu'elle n'a récupéré en vente de joueurs 7 fois sur 10.
Mais le groupe était stable. C'est l'ère Galtier. Les résultats sportifs étaient au rendez vous. Avec les primes liées au classement.
Et l'argent de la coupe d'Europe.
En fait à vous lire, on se dit qu'à l'ASSE, quels que soient les résultats sportifs, bons voir très bons. Ou bien mauvais voir catastrophiques.
Le club n'a pas de fric.... Nous n'avons vraiment pas de chance![]()
Je n'ai jamais dit qu'on était bien géré, et je ne le pense pas.baggio42 a écrit : ↑11 janv. 2022, 22:06On a de la chance ?Michel-Ange a écrit : ↑11 janv. 2022, 22:01Je dis exactement le contraire.baggio42 a écrit : ↑11 janv. 2022, 21:58Soit. Et encore je suis curieux de connaître le montant exact.Michel-Ange a écrit : ↑11 janv. 2022, 21:50Absolument pas.
J'ai la flemme de rechercher les chiffres pour expliquer toujours la même chose mais, de mémoire, j'avais détaillé que sur les 10 saisons avant Gasset, l'ASSE a plus dépensé en achat de joueurs qu'elle n'a récupéré en vente de joueurs 7 fois sur 10.
Mais le groupe était stable. C'est l'ère Galtier. Les résultats sportifs étaient au rendez vous. Avec les primes liées au classement.
Et l'argent de la coupe d'Europe.
En fait à vous lire, on se dit qu'à l'ASSE, quels que soient les résultats sportifs, bons voir très bons. Ou bien mauvais voir catastrophiques.
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Tes écrits sont un billard à trois bandes, comme souvent. Comme un chat qui tombe toujours sur ses pattes.....
Bien sûr que le club est bien géré mais n'investit pas. Tout le monde avait compris![]()
Le problème n'est pas les bons ou/et mauvais recrutements.Michel-Ange a écrit : ↑11 janv. 2022, 22:09Je n'ai jamais dit qu'on était bien géré, et je ne le pense pas.baggio42 a écrit : ↑11 janv. 2022, 22:06On a de la chance ?Michel-Ange a écrit : ↑11 janv. 2022, 22:01Je dis exactement le contraire.baggio42 a écrit : ↑11 janv. 2022, 21:58Soit. Et encore je suis curieux de connaître le montant exact.Michel-Ange a écrit : ↑11 janv. 2022, 21:50Absolument pas.
J'ai la flemme de rechercher les chiffres pour expliquer toujours la même chose mais, de mémoire, j'avais détaillé que sur les 10 saisons avant Gasset, l'ASSE a plus dépensé en achat de joueurs qu'elle n'a récupéré en vente de joueurs 7 fois sur 10.
Mais le groupe était stable. C'est l'ère Galtier. Les résultats sportifs étaient au rendez vous. Avec les primes liées au classement.
Et l'argent de la coupe d'Europe.
En fait à vous lire, on se dit qu'à l'ASSE, quels que soient les résultats sportifs, bons voir très bons. Ou bien mauvais voir catastrophiques.
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C'est assez facile de faire de l'argent avec l'ASSE. On a souvent dilapidé cet argent avec de mauvais recrutements.
J'ai pourtant des souvenirs des deux rigolos qui disaient déjà à l'époque de Galtier dans des interviews qu'ils avaient un déficit structurel qu'ils ne pouvaient combler que par des ventes de joueurs (ou des emprunts du coup).Michel-Ange a écrit : ↑11 janv. 2022, 21:50Absolument pas.
J'ai la flemme de rechercher les chiffres pour expliquer toujours la même chose mais, de mémoire, j'avais détaillé que sur les 10 saisons avant Gasset, l'ASSE a plus dépensé en achat de joueurs qu'elle n'a récupéré en vente de joueurs 7 fois sur 10.
Tout à fait d'accord. La notion de mauvais recrutement est très relative puisque la finalité reste de mettre des joueurs en concurrence avec d'autres. Le fait que certains ne s'imposent pas est inhérent à la logique de l'activité. Et puis sur les 10 dernières années, en incluant l'ère Galtier, l'ASSE a plutôt fait de bons recrutements.baggio42 a écrit : ↑11 janv. 2022, 22:15Le problème n'est pas les bons ou/et mauvais recrutements.Michel-Ange a écrit : ↑11 janv. 2022, 22:09Je n'ai jamais dit qu'on était bien géré, et je ne le pense pas.baggio42 a écrit : ↑11 janv. 2022, 22:06On a de la chance ?Michel-Ange a écrit : ↑11 janv. 2022, 22:01Je dis exactement le contraire.baggio42 a écrit : ↑11 janv. 2022, 21:58Soit. Et encore je suis curieux de connaître le montant exact.Michel-Ange a écrit : ↑11 janv. 2022, 21:50Absolument pas.
J'ai la flemme de rechercher les chiffres pour expliquer toujours la même chose mais, de mémoire, j'avais détaillé que sur les 10 saisons avant Gasset, l'ASSE a plus dépensé en achat de joueurs qu'elle n'a récupéré en vente de joueurs 7 fois sur 10.
Mais le groupe était stable. C'est l'ère Galtier. Les résultats sportifs étaient au rendez vous. Avec les primes liées au classement.
Et l'argent de la coupe d'Europe.
En fait à vous lire, on se dit qu'à l'ASSE, quels que soient les résultats sportifs, bons voir très bons. Ou bien mauvais voir catastrophiques.
Le club n'a pas de fric.... Nous n'avons vraiment pas de chance![]()
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C'est assez facile de faire de l'argent avec l'ASSE. On a souvent dilapidé cet argent avec de mauvais recrutements.
Même au Réal,Paris, ils recrutent mal.
L'importance est la capacité financière de l'actionnaire en face.
Quand le duo "casse" le faire play financier, il devait suivre en trésorerie.
Donc mettre au pot.
Je n'avais pas compris que tu croyais ce que racontent nanard et roro. Désolé.melhcast a écrit : ↑11 janv. 2022, 22:24J'ai pourtant des souvenirs des deux rigolos qui disaient déjà à l'époque de Galtier dans des interviews qu'ils avaient un déficit structurel qu'ils ne pouvaient combler que par des ventes de joueurs (ou des emprunts du coup).Michel-Ange a écrit : ↑11 janv. 2022, 21:50Absolument pas.
J'ai la flemme de rechercher les chiffres pour expliquer toujours la même chose mais, de mémoire, j'avais détaillé que sur les 10 saisons avant Gasset, l'ASSE a plus dépensé en achat de joueurs qu'elle n'a récupéré en vente de joueurs 7 fois sur 10.
J'ai retrouvé quelques articles d'ailleurs :
https://www.lessor42.fr/l-asse-mise-sur ... -9190.html
https://www.foot01.com/equipe/st-etienn ... -des-taxes
https://peuple-vert.fr/actualite/budget ... l-analyse/
(en fait il y en a plein d'interview des deux zygotos qui parlaient déjà de miser sur le CDF pour vendre et combler le déficit).
C'est le modèle économique de tous les clubs qui n'ont pas de propriétaire avec les reins solides, on a juste dérapé à un moment mais ils n'ont pas sur réagir ou beaucoup trop tard.
On ne peut en effet jamais être parfait dans le recrutement.Tryphôn a écrit : ↑11 janv. 2022, 22:27Tout à fait d'accord. La notion de mauvais recrutement est très relative puisque la finalité reste de mettre des joueurs en concurrence avec d'autres. Le fait que certains ne s'imposent pas est inhérent à la logique de l'activité. Et puis sur les 10 dernières années, en incluant l'ère Galtier, l'ASSE a plutôt fait de bons recrutements.baggio42 a écrit : ↑11 janv. 2022, 22:15Le problème n'est pas les bons ou/et mauvais recrutements.Michel-Ange a écrit : ↑11 janv. 2022, 22:09Je n'ai jamais dit qu'on était bien géré, et je ne le pense pas.baggio42 a écrit : ↑11 janv. 2022, 22:06On a de la chance ?Michel-Ange a écrit : ↑11 janv. 2022, 22:01Je dis exactement le contraire.baggio42 a écrit : ↑11 janv. 2022, 21:58Soit. Et encore je suis curieux de connaître le montant exact.Michel-Ange a écrit : ↑11 janv. 2022, 21:50Absolument pas.
J'ai la flemme de rechercher les chiffres pour expliquer toujours la même chose mais, de mémoire, j'avais détaillé que sur les 10 saisons avant Gasset, l'ASSE a plus dépensé en achat de joueurs qu'elle n'a récupéré en vente de joueurs 7 fois sur 10.
Mais le groupe était stable. C'est l'ère Galtier. Les résultats sportifs étaient au rendez vous. Avec les primes liées au classement.
Et l'argent de la coupe d'Europe.
En fait à vous lire, on se dit qu'à l'ASSE, quels que soient les résultats sportifs, bons voir très bons. Ou bien mauvais voir catastrophiques.
Le club n'a pas de fric.... Nous n'avons vraiment pas de chance![]()
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Tes écrits sont un billard à trois bandes, comme souvent. Comme un chat qui tombe toujours sur ses pattes.....
Bien sûr que le club est bien géré mais n'investit pas. Tout le monde avait compris![]()
C'est assez facile de faire de l'argent avec l'ASSE. On a souvent dilapidé cet argent avec de mauvais recrutements.
Même au Réal,Paris, ils recrutent mal.
L'importance est la capacité financière de l'actionnaire en face.
Quand le duo "casse" le faire play financier, il devait suivre en trésorerie.
Donc mettre au pot.
Là où je suis d'accord avec Michel-Ange, enfin du moins dans ce qu'il dit dans un post au-dessus mais dont je ne comprends pas forcément la cohérence avec sa thèse d'ensemble (chat alors!), c'est que le club était en meilleure santé quand nous dépensions plus et avions par conséquent de meilleurs résultats. C'est tout le problème de ce qui a été décidé il y a deux ans. Alors que le club s'était retrouvé sur une mauvaise trajectoire financière, l'ajustement structurel par l'allègement de la masse salariale a été conduit sans discernement. Les dépenses sont moindres, les recettes s'effondrent, la valeur marchande de l'équipe s'affaiblit et on est au bord de la quasi mort que représente la D2.
Maintenant, dans un club aussi affaibli, il faut inévitablement remettre au pot.
Sans avoir les mêmes chiffres ni sans doute les mêmes modes de calcul je ne me sens pas vraiment en désaccord avec cette analyse qui me semble rigoureuse.Pilou a écrit : ↑11 janv. 2022, 23:30 Les chiffres dont vous parlez sont là : https://www.poteaux-carres.com/article- ... rre-2.html
Le premier graph montre la différence entre revenus et coûts, chaque saison, hors ventes et achats de joueurs. Le fameux déficit structurel. Le tout basé sur les comptes publiés par la LFP. Le deuxième montre la différence entre ventes et achats. Bref, je vous laisse lire.
Panenka, sa période préférée de l'ASSE en réalité, c'est pas les 70's, c'est l'ère Roro.Akita a écrit : ↑12 janv. 2022, 10:33 https://www.courrierinternational.com/u ... -explosive
"Lyrique et nostalgique quand il s’agit de ballon rond, Panenka consacre par ailleurs un récit à “l’époque où Saint-Étienne dominait [le championnat français] et était aimé dans tout le pays”, notamment pour son épopée jusqu’en finale de la Coupe d’Europe de football, en 1976."
Si par hasard un d'entre vous trouve l'article.
Avec les chiffres de Pilou de 2012 à 2019 soit 7 années.Michel-Ange a écrit : ↑12 janv. 2022, 08:11Sans avoir les mêmes chiffres ni sans doute les mêmes modes de calcul je ne me sens pas vraiment en désaccord avec cette analyse qui me semble rigoureuse.Pilou a écrit : ↑11 janv. 2022, 23:30 Les chiffres dont vous parlez sont là : https://www.poteaux-carres.com/article- ... rre-2.html
Le premier graph montre la différence entre revenus et coûts, chaque saison, hors ventes et achats de joueurs. Le fameux déficit structurel. Le tout basé sur les comptes publiés par la LFP. Le deuxième montre la différence entre ventes et achats. Bref, je vous laisse lire.
Je pense que cette situation de déficit structurel compensé par les mutations de joueurs est inhérent à la position de notre club et à la place de la L1 dans le foot européen. C'était l'unique modèle possible pour avoir des résultats. Le fait d'avoir fait une saison ratée et d'avoir encaissé le COVID et médiapro a amené à l'énorme erreur de vouloir rétablir les équilibres par la seule baisse de la masse salariale et le plus rapidement possible. Cela a entrainé une baisse des résultats, donc des recettes, et enclenché le cercle vicieux dans lequel nous sommes aujourd'hui et une situation ubuesque où la seule marge de manœuvre lorsqu'il s'agit de se sauver est d'obtenir des prêts auprès au SCO Angers.ERIC8ASSE a écrit : ↑12 janv. 2022, 10:54Avec les chiffres de Pilou de 2012 à 2019 soit 7 années.Michel-Ange a écrit : ↑12 janv. 2022, 08:11Sans avoir les mêmes chiffres ni sans doute les mêmes modes de calcul je ne me sens pas vraiment en désaccord avec cette analyse qui me semble rigoureuse.Pilou a écrit : ↑11 janv. 2022, 23:30 Les chiffres dont vous parlez sont là : https://www.poteaux-carres.com/article- ... rre-2.html
Le premier graph montre la différence entre revenus et coûts, chaque saison, hors ventes et achats de joueurs. Le fameux déficit structurel. Le tout basé sur les comptes publiés par la LFP. Le deuxième montre la différence entre ventes et achats. Bref, je vous laisse lire.
On est en déficits structurel 6 fois sur 7 en moyenne - 3.3 M€ par an.
On vend plus que l'on achete 6 fois sur 7
En tout 32.7 M€ de positif contre 6€ de négatif soit 26.7€ de bénéfice .
Sur ces 7 années les transferts compensé le déficit structurel.
Pour les 2 dernieres année les droit tv ce sont écroulés et les ventes de Saliba et Fofana on du en partie combler les pertes ?
J'ai parcouru à nouveau rapidement l'article. Mais si je fais un rapprochement rapide, vu qu'on est souvent à l'équilibre entre revenus et coûts sans mutation, et plutôt bénéficiaire dans le trading joueur, on peut réellement s'interroger voire suggérer qu'il a manqué dans ce club d'un vrai investissement régulier dans le secteur sportif. Où fais-je fausse route dans mon interprétation ?ERIC8ASSE a écrit : ↑12 janv. 2022, 10:54Avec les chiffres de Pilou de 2012 à 2019 soit 7 années.Michel-Ange a écrit : ↑12 janv. 2022, 08:11Sans avoir les mêmes chiffres ni sans doute les mêmes modes de calcul je ne me sens pas vraiment en désaccord avec cette analyse qui me semble rigoureuse.Pilou a écrit : ↑11 janv. 2022, 23:30 Les chiffres dont vous parlez sont là : https://www.poteaux-carres.com/article- ... rre-2.html
Le premier graph montre la différence entre revenus et coûts, chaque saison, hors ventes et achats de joueurs. Le fameux déficit structurel. Le tout basé sur les comptes publiés par la LFP. Le deuxième montre la différence entre ventes et achats. Bref, je vous laisse lire.
On est en déficits structurel 6 fois sur 7 en moyenne - 3.3 M€ par an.
On vend plus que l'on achete 6 fois sur 7
En tout 32.7 M€ de positif contre 6€ de négatif soit 26.7€ de bénéfice .
Sur ces 7 années les transferts compensé le déficit structurel.
Pour les 2 dernieres année les droit tv ce sont écroulés et les ventes de Saliba et Fofana on du en partie combler les pertes ?
Merci pour ces précisions. En fait, ce que l'on peut regretter, c'est plutôt le fait d'avoir été trop passif lors des saisons post-victoire en CDL. Car pendant 2-3 saisons, on a vraiment été très mou, privilégiant les recrutements à très bas coût (Pajot, KMP, les multiples prêts type Saivet, Bahebeck) à des recrutements malins et pas forcément onéreux (Gradel, Hamouma, Corgnet, Tabanou).Pilou a écrit : ↑12 janv. 2022, 16:00 Et au cas où ce n'est pas Clerc pour l'ASSE. On était un club bien géré (pour Ligue 1), plutôt à l'équilibre, avec une balance de transferts positive qui couvrait le léger déficit structurel tout en renouvelant l'effectif. Ce n'était pas un long fleuve tranquille, il y a toujours des erreurs de recrutement, des joueurs ou de staff, mais de manière générale le club arrivait à compenser ces erreurs. Et investissait le surplus d'argent dans les infrastructures (achat du centre de formation) ou le futur (les bonnes générations 1999-2001 qu'on a sorti, elles ont été recrutées partout en France autour de 2014). Même si selon moi depuis 2015 ça a commencé a être plus "on compense des erreurs" que "on choisit nos investissements", ce n'était pas si mal.
Ensuite, en 2018, les propriétaires ont eu l'idée d'essayer d'enclencher une spirale positive. D'abord avec un investisseur (Peak6), puis en changeant d'approche quand l'annonce Mediapro a été faite. Un afflux important d'argent et l'idée (pas si bête sur papier) a été de dépenser cet argent avant les autres clubs, pour démarrer avant eux. Emprunts fait, investissements sportifs importants... et échec. Car non seulement l'argent Mediapro qu'on a dépensé a fini par ne pas arriver, mais en plus la crise sanitaire détruit les autres sources de revenu. Bref, on a espéré passer au palier supérieur et on se retrouve au contraire, au niveau inférieur.
Tout ce que le club fait depuis l'arrivée de Puel est de freiner au maximum cette chute, d'arrêter cette spirale négative, pour retrouver un équilibre de fonctionnement. Et voir ensuite comment faire pour redémarrer un cycle.
Je ne comprends pas pourquoi tu fais très bien le lien entre dépenses de masse salariale et résultats et donc recettes dans ton raisonnement initial et que tu fais totalement disparaître cette dimension pour expliquer l'après 2020. Le choix de gestion effectué en 2020 produit une accélération de la dégringolade de l'ASSE, elle ne la freine manifestement pas, malgré la chance énorme d'avoir réalisé deux ventes exceptionnelles. En sabrant dans les dépenses salariales, les résultats et les recettes se sont effondrés. La valeur de l'effectif est en chute libre. Si l'ASSE arrive demain en L2 avec l'effectif qui sera le sien en juin 2022, cette politique aura été un énorme échec. Les comptes seront peut-être bien propres, mais la situation du club sera bien pire à celle d'une ASSE qui aurait maintenu un train de vie plus élevé et avec un peu plus d'endettement (dans certaines proportions). Ca se voit avec un autre indicateur financier, la valeur du club qui est aussi manifestement en chute libre comme l'illustre les atermoiements du processus de vente.Pilou a écrit : ↑12 janv. 2022, 16:00 Et au cas où ce n'est pas Clerc pour l'ASSE. On était un club bien géré (pour Ligue 1), plutôt à l'équilibre, avec une balance de transferts positive qui couvrait le léger déficit structurel tout en renouvelant l'effectif. Ce n'était pas un long fleuve tranquille, il y a toujours des erreurs de recrutement, des joueurs ou de staff, mais de manière générale le club arrivait à compenser ces erreurs. Et investissait le surplus d'argent dans les infrastructures (achat du centre de formation) ou le futur (les bonnes générations 1999-2001 qu'on a sorti, elles ont été recrutées partout en France autour de 2014). Même si selon moi depuis 2015 ça a commencé a être plus "on compense des erreurs" que "on choisit nos investissements", ce n'était pas si mal.
Ensuite, en 2018, les propriétaires ont eu l'idée d'essayer d'enclencher une spirale positive. D'abord avec un investisseur (Peak6), puis en changeant d'approche quand l'annonce Mediapro a été faite. Un afflux important d'argent et l'idée (pas si bête sur papier) a été de dépenser cet argent avant les autres clubs, pour démarrer avant eux. Emprunts fait, investissements sportifs importants... et échec. Car non seulement l'argent Mediapro qu'on a dépensé a fini par ne pas arriver, mais en plus la crise sanitaire détruit les autres sources de revenu. Bref, on a espéré passer au palier supérieur et on se retrouve au contraire, au niveau inférieur.
Tout ce que le club fait depuis l'arrivée de Puel est de freiner au maximum cette chute, d'arrêter cette spirale négative, pour retrouver un équilibre de fonctionnement. Et voir ensuite comment faire pour redémarrer un cycle.
Ce que tu ne prends pas en compte dans ce raisonnement, c'est le surendettement dans lequel le club était rentré en 2018. D'ailleurs Pilou est sympa de parler seulement d'anticipation des revenus Médiapro pour justifier cette politique, en vérité le mercato d'hiver sous JLG a été validé par la direction sous la panique.Tryphôn a écrit : ↑12 janv. 2022, 17:29Je ne comprends pas pourquoi tu fais très bien le lien entre dépenses de masse salariale et résultats et donc recettes dans ton raisonnement initial et que tu fais totalement disparaître cette dimension pour expliquer l'après 2020. Le choix de gestion effectué en 2020 produit une accélération de la dégringolade de l'ASSE, elle ne la freine manifestement pas, malgré la chance énorme d'avoir réalisé deux ventes exceptionnelles. En sabrant dans les dépenses salariales, les résultats et les recettes se sont effondrés. La valeur de l'effectif est en chute libre. Si l'ASSE arrive demain en L2 avec l'effectif qui sera le sien en juin 2022, cette politique aura été un énorme échec. Les comptes seront peut-être bien propres, mais la situation du club sera bien pire à celle d'une ASSE qui aurait maintenu un train de vie plus élevé et avec un peu plus d'endettement (dans certaines proportions). Ca se voit avec un autre indicateur financier, la valeur du club qui est aussi manifestement en chute libre comme l'illustre les atermoiements du processus de vente.Pilou a écrit : ↑12 janv. 2022, 16:00 Et au cas où ce n'est pas Clerc pour l'ASSE. On était un club bien géré (pour Ligue 1), plutôt à l'équilibre, avec une balance de transferts positive qui couvrait le léger déficit structurel tout en renouvelant l'effectif. Ce n'était pas un long fleuve tranquille, il y a toujours des erreurs de recrutement, des joueurs ou de staff, mais de manière générale le club arrivait à compenser ces erreurs. Et investissait le surplus d'argent dans les infrastructures (achat du centre de formation) ou le futur (les bonnes générations 1999-2001 qu'on a sorti, elles ont été recrutées partout en France autour de 2014). Même si selon moi depuis 2015 ça a commencé a être plus "on compense des erreurs" que "on choisit nos investissements", ce n'était pas si mal.
Ensuite, en 2018, les propriétaires ont eu l'idée d'essayer d'enclencher une spirale positive. D'abord avec un investisseur (Peak6), puis en changeant d'approche quand l'annonce Mediapro a été faite. Un afflux important d'argent et l'idée (pas si bête sur papier) a été de dépenser cet argent avant les autres clubs, pour démarrer avant eux. Emprunts fait, investissements sportifs importants... et échec. Car non seulement l'argent Mediapro qu'on a dépensé a fini par ne pas arriver, mais en plus la crise sanitaire détruit les autres sources de revenu. Bref, on a espéré passer au palier supérieur et on se retrouve au contraire, au niveau inférieur.
Tout ce que le club fait depuis l'arrivée de Puel est de freiner au maximum cette chute, d'arrêter cette spirale négative, pour retrouver un équilibre de fonctionnement. Et voir ensuite comment faire pour redémarrer un cycle.
L'année prochaine, dans une ASSE en L2, les comptes seront bien propres, mais l'ampleur des investissements nécessaires à une remontée en haut, en omettant même toute la réussite qu'il faut avoir, nous éloignera durablement du haut du tableau de L1. Il faudra alors trouver un investisseur bien spécifique, rachetant le club pas cher mais ayant une surface financière importante en spéculant sur une réussite à 5/6 ans. Je pense que c'est plus difficile à trouver qu'un acheteur d'une ASSE en D1 à un prix plus élevé et avec un endettement plus important.