Un film à voir............ ou à éviter

[Palmeiras]

Je ré-exhume ce topic.

Habituellement, je n'ai pas trop le temps d'aller au cinéma mais là, sans enfants pendant quelques jours durant l'été, j'ai pu aller voir le film de cedric Klapisch qui s'appelle "la venue de l'avenir".

J'ai beaucoup beaucoup aimé. C'est du klapisch. Film plutôt doux et positif, drole, et franchement, ça fait du bien. Le message véhiculé derriere le scénario me semble tout à fait juste egalement.
Je conseille donc.

[Tom Bombadil]

Je ré-exhume ce topic.

Habituellement, je n'ai pas trop le temps d'aller au cinéma mais là, sans enfants pendant quelques jours durant l'été, j'ai pu aller voir le film de cedric Klapisch qui s'appelle "la venue de l'avenir".

J'ai beaucoup beaucoup aimé. C'est du klapisch. Film plutôt doux et positif, drole, et franchement, ça fait du bien. Le message véhiculé derriere le scénario me semble tout à fait juste egalement.
Je conseille donc.

Bien aimé aussi, à part la fille Lindon-Kiberlain que je trouve fade, Pomme a 100 fois plus de charisme dans les quelques scènes auxquelles elle participe.

Vu hier "En boucle", film japonais sur le même thème que Hedgehog day (Un jour sans fin), mais la boucle temporelle dure 2 minutes, c'est assez original.

[Palmeiras]

Je ré-exhume ce topic.

Habituellement, je n'ai pas trop le temps d'aller au cinéma mais là, sans enfants pendant quelques jours durant l'été, j'ai pu aller voir le film de cedric Klapisch qui s'appelle "la venue de l'avenir".

J'ai beaucoup beaucoup aimé. C'est du klapisch. Film plutôt doux et positif, drole, et franchement, ça fait du bien. Le message véhiculé derriere le scénario me semble tout à fait juste egalement.
Je conseille donc.

Bien aimé aussi, à part la fille Lindon-Kiberlain que je trouve fade, Pomme a 100 fois plus de charisme dans les quelques scènes auxquelles elle participe.

Vu hier "En boucle", film japonais sur le même thème que Hedgehog day (Un jour sans fin), mais la boucle temporelle dure 2 minutes, c'est assez original.

Oui je te rejoins assez sur la fille lindon meme si je trouve le teme fade est peu dur et qu'elle ne gâche pas le film. J'ai trouvé bien de ne pas avoir une femme parfaite physiquement pour le premier rôle mais c'est un choix un peu étrange qui valide une forme d'entre soi. Même si pour moi, Suzanne lindon n'était pas mauvaise non plus.

[Barek]

Je ré-exhume ce topic.

Habituellement, je n'ai pas trop le temps d'aller au cinéma mais là, sans enfants pendant quelques jours durant l'été, j'ai pu aller voir le film de cedric Klapisch qui s'appelle "la venue de l'avenir".

J'ai beaucoup beaucoup aimé. C'est du klapisch. Film plutôt doux et positif, drole, et franchement, ça fait du bien. Le message véhiculé derriere le scénario me semble tout à fait juste egalement.
Je conseille donc.

Bien aimé aussi, à part la fille Lindon-Kiberlain que je trouve fade, Pomme a 100 fois plus de charisme dans les quelques scènes auxquelles elle participe.

Vu hier "En boucle", film japonais sur le même thème que Hedgehog day (Un jour sans fin), mais la boucle temporelle dure 2 minutes, c'est assez original.

Oui je te rejoins assez sur la fille lindon meme si je trouve le teme fade est peu dur et qu'elle ne gâche pas le film. J'ai trouvé bien de ne pas avoir une femme parfaite physiquement pour le premier rôle mais c'est un choix un peu étrange qui valide une forme d'entre soi. Même si pour moi, Suzanne lindon n'était pas mauvaise non plus.

La venue de l avenir vraiment in super moment à passer. Du très bon Klapisch.

[Fun fact]

Je ré-exhume ce topic.

Habituellement, je n'ai pas trop le temps d'aller au cinéma mais là, sans enfants pendant quelques jours durant l'été, j'ai pu aller voir le film de cedric Klapisch qui s'appelle "la venue de l'avenir".

J'ai beaucoup beaucoup aimé. C'est du klapisch. Film plutôt doux et positif, drole, et franchement, ça fait du bien. Le message véhiculé derriere le scénario me semble tout à fait juste egalement.
Je conseille donc.

Bien aimé aussi, à part la fille Lindon-Kiberlain que je trouve fade, Pomme a 100 fois plus de charisme dans les quelques scènes auxquelles elle participe.

Vu hier "En boucle", film japonais sur le même thème que Hedgehog day (Un jour sans fin), mais la boucle temporelle dure 2 minutes, c'est assez original.

C'est "groundhog day"
Un Hedgehog c'est un hérisson, pas une marmotte

[Nemo42]

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Habituellement, je n'ai pas trop le temps d'aller au cinéma mais là, sans enfants pendant quelques jours durant l'été, j'ai pu aller voir le film de cedric Klapisch qui s'appelle "la venue de l'avenir".

J'ai beaucoup beaucoup aimé. C'est du klapisch. Film plutôt doux et positif, drole, et franchement, ça fait du bien. Le message véhiculé derriere le scénario me semble tout à fait juste egalement.
Je conseille donc.

Bien aimé aussi, à part la fille Lindon-Kiberlain que je trouve fade, Pomme a 100 fois plus de charisme dans les quelques scènes auxquelles elle participe.

Vu hier "En boucle", film japonais sur le même thème que Hedgehog day (Un jour sans fin), mais la boucle temporelle dure 2 minutes, c'est assez original.

Dans les oeuvres visuelles dans le genre groundhog day, celle là restera toujours mon péché mignon :




Sinon vu Superman la semaine dernière,
Il se regarde plutôt bien et ne mérite pas la haine qu'il subit en ligne, les personnages secondaires sont attachants et apportent un vrai plus.
Si vous aimez les Gardiens de la Galaxie de James Gunn, vous aimerez aussi probablement ce Superman.
Pas une révolution du film de super héros, mais un bon divertissement.

[Tom Bombadil]

Je ré-exhume ce topic.

Habituellement, je n'ai pas trop le temps d'aller au cinéma mais là, sans enfants pendant quelques jours durant l'été, j'ai pu aller voir le film de cedric Klapisch qui s'appelle "la venue de l'avenir".

J'ai beaucoup beaucoup aimé. C'est du klapisch. Film plutôt doux et positif, drole, et franchement, ça fait du bien. Le message véhiculé derriere le scénario me semble tout à fait juste egalement.
Je conseille donc.

Bien aimé aussi, à part la fille Lindon-Kiberlain que je trouve fade, Pomme a 100 fois plus de charisme dans les quelques scènes auxquelles elle participe.

Vu hier "En boucle", film japonais sur le même thème que Hedgehog day (Un jour sans fin), mais la boucle temporelle dure 2 minutes, c'est assez original.

C'est "groundhog day"
Un Hedgehog c'est un hérisson, pas une marmotte

Mes plates excuses au marmottes, et aux hérissons (dire que je suis adhérent à la FNE...)

[Tom Bombadil]

Je garde un très bon souvenir de la lecture de "Marche ou crève" de Richard Bachman (un pseudo de Stephen King) que j'ai dévoré il y a presque 40 ans.
Quelqu'un est il allé voir son adaptation ?

[Druss]

Je garde un très bon souvenir de la lecture de "Marche ou crève" de Richard Bachman (un pseudo de Stephen King) que j'ai dévoré il y a presque 40 ans.
Quelqu'un est il allé voir son adaptation ?

Marche ou crève c’est dans mon top 3 des œuvres de Stephen King ( et c’est pas 3e). Étonnant qu’une adaptation n’ait pas été tourné plus tôt tant l’idée du livre repose sur un concept simple mais efficace parfaitement adapté au cinéma.
Par contre, j’ai peur que le film tourne vite en rond. Le livre est court et se concentre uniquement sur la "course". Sur 2h, faut voir ce que ca donne.
Pas encore vu mais les retours son plutôt corrects Le choix et le jeu des acteurs semblent être le gros point fort du film ce qui est encourageant puisque le développement des personnages et de leurs relations est au cœur du livre.

[Faiseur de Tresses]

Petit déterrage de thread, cette semaine il y avait un festival internationnal à Dijon qui s'intitule "les écrans de l'Aventure". J'ai vu aucun des lauréats car j'ai attrapé le truc en route tardivement, mais ça m'a permis de voir 3 films en 2 jours :

- Out of Africa, que je ne présenterai pas car tout le monde a dû soit le voir, sois en entendre parler. Je ne l'avais pour ma part encore jamais vu (j'ai une excuse, j'étais pas né). Je l'ai trouvé magnifique !

- Ivohiboro, un documentaire type Science grand format. Le film est un reportage sur une équipe internationale et malgache de 30 chercheurs et chercheuses biologistes aux compétences très variées, partis étudier la faune et la flore d'un forêt humide en plein centre de l'île, dans une vallée au milieu des terres sèches protégée par les montagnes et les vents, étirée seulement sur 14km². J'ai trouvé la réalisation très bonne, le sujet et le travail des scientifiques ont été décrits avec beaucoup de détails de manière très pédagogique (d'ailleurs le coréalisateur qui a filmé les images a parlé au public après la séance et nous a raconté que, n'ayant pas fait d'études, c'est lui qui a insisté pour que les scientifiques expliquent "comme à un enfant"). Les images sont également superbes.

- Le sommet des Dieux, film d'animation franco-luxembourgeois adapté d'un mangas éponyme sur l'alpinisme. Le film était beau et j'ai trouvé la narration excellente. Je peux pas juger le côté adaptation n'ayant pas lu le manga d'origine, je suppose qu'une bonne partie du côté descriptif des pratiques d'alpinismes ont été écourtées mais on remarque quand même le réalisme et une attention au détail.

[___]

Le manga original est de Jiro Taniguchi, un excellent mangaka dont le célèbre Quartier Lointain est un classique à avoir lu dans sa vie

[Malmont]

Le manga original est de Jiro Taniguchi, un excellent mangaka dont le célèbre Quartier Lointain est un classique à avoir lu dans sa vie

Je confirme, excellent mangaka, avec une précision époustouflante dans le dessin.
Le sommet des Dieux, en 5 tomes est incroyable... au point qu'il rend l'animé un peu décevant par la qualité graphique (et bien sûr le scénario est bien plus riche). C'est dire, alors que le studio français qui l'a réalisé avait fait un beau travail.
Mais franchement, même pour les personnes qui n'ont jamais lu de manga, c'est une expérience captivante. Je l'ai offert à mes beaux-parents, 78 et 79 ans et passionnés de montagne en pratique et lecture, ils ont adoré !

[Jean Sans Terre]

En ce moment est dispo sur Canal une adaptation russe du roman "Le Maître et Marguerite" de Boulgakov, un livre compliqué à adapter avec une construction complexe. Je trouve que le film s'en tire bien et je le conseille, pour les fans de Boulgakov (certains diront que le film n'est pas assez fidèle au roman) et pour les autres.

[___]

En ce moment est dispo sur Canal une adaptation russe du roman "Le Maître et Marguerite" de Boulgakov, un livre compliqué à adapter avec une construction complexe. Je trouve que le film s'en tire bien et je le conseille, pour les fans de Boulgakov (certains diront que le film n'est pas assez fidèle au roman) et pour les autres.

Il y a quelques années, j'en avais vu une adaptation au théâtre (à la MC93, je crois) qui ne s'en t'irait pas si mal. Et ce n'est pas peu dire, en effet...

Tiens, tu m'as donné envie de remettre le nez dans du Boulgakov. Ça fait (trop) longtemps.

[ForeverGreen]

Vu hier en séance unique au cinéma à Amiens le Freaks de Tod Browning. Je m'attendais à un grand film, j'ai quand même réussi à être séché par le chef d’œuvre que j'ai eu sous les yeux. Tout le cinéma américain des 30 années suivantes était là, condensé dans cette heure de film. Inclassable, lorgnant sur l'horreur, le thriller, le drame, anticipant le film noir, offrant une galerie de personnages absolument incroyable sous une caméra de plus en plus oppressante. Cela faisait très longtemps que je n'avais pas vu une aussi grande œuvre.

Faut dire que Tod Browning n'est pas un manche, je conseille tout particulièrement Le Club des Trois, sorte de brouillon version film de gangster de Freaks.

[NomDeStade]

Vu la semaine dernière, Une bataille après l'autre, bonne petite claque. Grosse grosse perf des acteurs, notamment Sean Penn.

Et sinon je confirme ce que j'ai lu plus haut, Le Sommet des Dieux c'est vraiment un très bon manga à découvrir.

[Danish]

Et sinon je confirme ce que j'ai lu plus haut, Le Sommet des Dieux c'est vraiment un très bon manga à découvrir.

Il est pas loin d'être dans mon Top 5 en effet.
Allez, disons qu'il est dans le Top 6 (et il permet de briller en société en plus).

[Platoche]

Vu hier en séance unique au cinéma à Amiens le Freaks de Tod Browning. Je m'attendais à un grand film, j'ai quand même réussi à être séché par le chef d’œuvre que j'ai eu sous les yeux. Tout le cinéma américain des 30 années suivantes était là, condensé dans cette heure de film. Inclassable, lorgnant sur l'horreur, le thriller, le drame, anticipant le film noir, offrant une galerie de personnages absolument incroyable sous une caméra de plus en plus oppressante. Cela faisait très longtemps que je n'avais pas vu une aussi grande œuvre.

Faut dire que Tod Browning n'est pas un manche, je conseille tout particulièrement Le Club des Trois, sorte de brouillon version film de gangster de Freaks.

Freaks, c'est vieux, c'est sale, c'est déguelasse, mais c'est tellement poétique dans la crasse ce film, effectivement inclassable....

+1 pour le sommet de dieux, magnifique épopée.

Pour les amateurs de varap, je vous conseille le film/documentaire FREE SOLO avec le grimpeur Alex Honnold.

https://films.nationalgeographic.com/free-solo



Pour ceux qui n'ont pas le vertige....

[riflebird]

Une bataille après l'autre de Paul Michael Anderson,
Extreme gauche contre extrême droite en Amérique dans les années 80 et aujourd'hui. Ça envoi du (très) lourd avec Caprio et Penn au sommet de leur art, une distribution parfaite et une belle cinématographie.

Nouvelle Vague de Richard Linklater.
Le tournage d'À bout de souffle et beaucoup de cigarettes.
Drôle et rafraîchissant. A voir si on aime le cinéma.

[Friteuse]

Vu deux classiques de la fin années 70 récemment, ce que j'en ai retiré ne pourrait pas être plus contrasté.

Commençons par Les Guerriers de la Nuit (The Warriors en VO) de Walter Hill (1979), où un gang fictif de Coney Island tente de rentrer chez lui après une sorte de congrès d'Appalachin en plus désastreux en étant pourchassé par tous les autres. Dans les points positifs, les scènes de baston sont plutôt agréables, l'ambiance du New York des années 70 se ressent plutôt bien, c'est cool de voir James Remar (dans un rôle de gros abruti) plus jeune quand on le connaît surtout comme étant le père de Dexter... Et c'est à peu près tout. Le film se traîne en longueur, certaines esthétiques de gang sonnent carrément ridicules aujourd'hui (tout ce maquillage y compris sur les joueurs de baseball, je veux bien que votre territoire comprenne le stade des Yankees vu qu'on reconnaît le palais de justice du Bronx mais vous faites tellement pitié), l'exploration des relations conflictuelles entre les membres du gang gratte à peine la surface y compris sur des points qui semblent évidents aujourd'hui mais ne sont pas explorés, parfois peut-être à cause de la censure (genre personne a capté que Rembrandt est gay ). Mais ce qui donne avant tout un aspect vieilli au film, c'est sa construction : même au vu du synopsis, on aurait le droit d'attendre un peu de gras autour du squelette basique de "va sur le territoire d'ennemis, rencontre le gang local, baston, recommence", là on dirait un jeu vidéo et pas un des plus aboutis. En somme, assez étonné que beaucoup semblent le considérer encore comme un classique. À l'époque ça devait envoyer oui, mais entre-temps on a énormément progressé.

Et puis Suspiria de Dario Argento (1977) pour lequel je n'avais pas tellement d'attentes à part un vague respect... Mais même 48 ans après il met une vraie claque. Ambiance sonore exceptionnelle avec tous ces effets dub et ces murmures bruités, éclairage fantastique qui est en plus assez souvent justifié par l'omniprésence des vitraux, un peu de gore sans que ça devienne fatigant, tout dans l'ambiance fonctionne à merveille. Saluons aussi le fait que pour un film qui se concentre en priorité sur le meurtre de jeunes danseuses dans les années 70, on a pas trop l'impression de sentir de fétichisation du meurtre d'innocentes qui peut parfois être un peu lourde dans des films d'horreur de cette époque, l'accent est vraiment mis sur un mal ancien et plus profond. Lui mérite son titre de classique sans difficulté.

[ForeverGreen]

Vu deux classiques de la fin années 70 récemment, ce que j'en ai retiré ne pourrait pas être plus contrasté.

Commençons par Les Guerriers de la Nuit (The Warriors en VO) de Walter Hill (1979), où un gang fictif de Coney Island tente de rentrer chez lui après une sorte de congrès d'Appalachin en plus désastreux en étant pourchassé par tous les autres. Dans les points positifs, les scènes de baston sont plutôt agréables, l'ambiance du New York des années 70 se ressent plutôt bien, c'est cool de voir James Remar (dans un rôle de gros abruti) plus jeune quand on le connaît surtout comme étant le père de Dexter... Et c'est à peu près tout. Le film se traîne en longueur, certaines esthétiques de gang sonnent carrément ridicules aujourd'hui (tout ce maquillage y compris sur les joueurs de baseball, je veux bien que votre territoire comprenne le stade des Yankees vu qu'on reconnaît le palais de justice du Bronx mais vous faites tellement pitié), l'exploration des relations conflictuelles entre les membres du gang gratte à peine la surface y compris sur des points qui semblent évidents aujourd'hui mais ne sont pas explorés, parfois peut-être à cause de la censure (genre personne a capté que Rembrandt est gay ). Mais ce qui donne avant tout un aspect vieilli au film, c'est sa construction : même au vu du synopsis, on aurait le droit d'attendre un peu de gras autour du squelette basique de "va sur le territoire d'ennemis, rencontre le gang local, baston, recommence", là on dirait un jeu vidéo et pas un des plus aboutis. En somme, assez étonné que beaucoup semblent le considérer encore comme un classique. À l'époque ça devait envoyer oui, mais entre-temps on a énormément progressé.

Et puis Suspiria de Dario Argento (1977) pour lequel je n'avais pas tellement d'attentes à part un vague respect... Mais même 48 ans après il met une vraie claque. Ambiance sonore exceptionnelle avec tous ces effets dub et ces murmures bruités, éclairage fantastique qui est en plus assez souvent justifié par l'omniprésence des vitraux, un peu de gore sans que ça devienne fatigant, tout dans l'ambiance fonctionne à merveille. Saluons aussi le fait que pour un film qui se concentre en priorité sur le meurtre de jeunes danseuses dans les années 70, on a pas trop l'impression de sentir de fétichisation du meurtre d'innocentes qui peut parfois être un peu lourde dans des films d'horreur de cette époque, l'accent est vraiment mis sur un mal ancien et plus profond. Lui mérite son titre de classique sans difficulté.

C'est marrant ces différences de perception, parce que Les Guerriers de la Nuit, c'est vraiment une des découvertes que j'ai faites ces 12 derniers mois qui m'a le plus marqué positivement (avec Freaks, donc, Les trois jours du Condor et du bien trop méconnu À cause d'un assassinat, thriller paranoïaque, portrait d'une Amérique du complot, à la mécanique encore plus terrible que celui avec Redford précédemment cité).

Pourtant, j'ai un rapport attraction-répulsion avec les années 70 qui comptent certains des plus grands chefs d’œuvre (Taxi Driver, Alien, Halloween, Les Moissons du ciel, Vol au-dessus d'un nid de coucou, 1900, Une journée particulière, Chinatown, Nous nous sommes tant aimés, Papillon, Massacre à la tronçonneuse, Aguirre, Les Choses de la vie et, bien sûr, Le Parrain 1 et 2) mais dont je trouve aussi que beaucoup de classiques ont mal vieilli (French Connection, Conversations secrètes, Guet-Apens, Apportez-moi la tête d'Alfredo Garcia, Mad Max) ou sont chiants comme la pluie (La Maman et la Putain, Jeanne Dielman, Opening Night).

Et ben clairement, je ne mets pas Les Guerriers de la nuit dans la seconde catégorie, je trouve au contraire qu'il a franchement bien vieilli (beaucoup mieux que Driver, du même réalisateur). Et cela est dû, à mon sens, à la simplicité du film qui se concentre sur l'essentiel, la tension d'un "road trip" halluciné dans de rues de New York rendues hostiles. J'ai trouvé, au contraire, que cette hostilité se retrouvait partout, dans la bande son, dans la photographie d'un New York poisseux à souhait. C'est froid, implacable, glaçant, et c'est ce qui fait toute l'efficacité du film à mes yeux. J'y vois vraiment une inspiration au New York 1997 de Carpenter, pour lequel j'ai également une adoration.


Sinon, pour ce qui est d'Argento, pas vu Suspiria, mais absolument fan de son cinéma, de ses mouvements de caméras complexes et de ses bandes-son toujours soignées. Pour ma part, préférence assumée pour Ténèbres.

[Bronzino]

Y- a-t-il un pilote dans l’avion ? Un remake des années 80 à la sauce stéphanoise. Un flop

[THBz]

Je sors de l’avant première de Kaamelott Volet 2 (Partie 1)
Je reste volontairement light pour ne pas spoiler, mais j’ai vraiment adoré.

J’ignore ce que ça pourra donner auprès d’un public non averti. Mais en tant que grand, grand fan de l’oeuvre d’Astier, je me suis régalé, bien plus qu’avec le Volet 1 qui, maintenant que j’ai un point de comparaison, est en dessous en tous points, tout en restant un bon film. L'âme de la série est vraiment présente sur celui-ci, tout en prenant la dimension du grand ecran. Le vrai depart de la trilogie au cinéma à mon sens. Hate de voir la suite en Novembre 2026 !

[Faiseur de Tresses]

Bon, bah tu m'as motivé pour finalement voir le volet 1 du coup !

[Stratienne]

Je sors de l’avant première de Kaamelott Volet 2 (Partie 1)
Je reste volontairement light pour ne pas spoiler, mais j’ai vraiment adoré.

J’ignore ce que ça pourra donner auprès d’un public non averti. Mais en tant que grand, grand fan de l’oeuvre d’Astier, je me suis régalé, bien plus qu’avec le Volet 1 qui, maintenant que j’ai un point de comparaison, est en dessous en tous points, tout en restant un bon film. L'âme de la série est vraiment présente sur celui-ci, tout en prenant la dimension du grand ecran. Le vrai depart de la trilogie au cinéma à mon sens. Hate de voir la suite en Novembre 2026 !

j'ai beaucoup apprécié également malgré qu on reste un peu sur notre faim malgré qu'il y ait le volet 2 à venir c'est un peu frustrant.