___ a écrit : ↑Hier, 22:26
100 sociétaires ?! Ah non, il n'y a aucune limite légale de ce genre. Je n'ai pas ouvert ton lien, mais ce n'est pas une bonne source. Va plutôt traîner ici :
https://www.les-scic.coop/presentation
(Et d'ailleurs c'est fort dommage si dans tes engagements politiques, vous ne vous êtes jamais intéressés aux SCIC. Je ne dis pas ça pour être méchant, juste que c'est quand même une forme de plus en plus usitée pour mener des projets économiques d'intérêt général, en co-portage société civile et collectivités notamment).
Je ne m'intéresse pas spécialement aux questions de gouvernances d'entreprises, qui me dépassent. je me suis penché sur la question de la structuration des partis politiques, puisque je n'accepte pas de militer dans une organisation non démocratique. C'est ce qui m'a fait me pencher sur la question. j'ai donc découvert que les partis sont obligatoirement des associations loi de 1901, et les militant·es y ont des droits en tant qu'adhérent·es mais il existe un parti qui me concernait plus spécialement pour lequel le nombre d'adhérent est limité à 3 (les minces statuts autorisent d'autres adhésions, mais l'adhésion pour être valable doit recevoir l'agrément des 2/3 des adhérent·es donc des trois, qui refusent systématiquement).
Les milliers de militant·es ne sont pas adhérent·es, ils ne sont statutairement rien et n'ont aucun droits. Les 3 décident de tout, en particulier des investitures et des répartitions des millions reçus en financements.
Pour en revenir au socios vert, l'adhésion donne des droits démocratiques, et les socias vont forcément exister, même sans peser dans les prises de décisions, puisqu'ils seront présents dans les instances et deviendront forcément des interlocuteur·rices de Kilmer, ils pourront avoir des infos et faire passer des messages, à minima.
Je pense que les Potos intéressés à s'impliquer dans le fonctionnement de l'ASSE ont vocation à adhérer. Et si le bureau de l'assoc ne leur convient pas, et bien ils peuvent s'opposer à lui.