Je crois qu'on est en train de battre des records !
On avait joué (et gagné) un match à Metz période Baup où il y avait tellement de blessés que ledit Baup avait failli chausser les crampons pour faire le nombre
"Depuis que les hommes ne croient plus à rien, ils croient à tout." G.-K. Chesterton
Gazidis dans son interview a laissé entendre que les blessés en nombre ne sont pas logique et que le secteur médical du club sera certainement revu.
Cela dure depuis des années et beaucoup de monde ici le disent. Je pense qu'il va secouer la fourmilière en janvier.
Denis07 a écrit : ↑23 déc. 2024, 13:58
Gazidis dans son interview a laissé entendre que les blessés en nombre ne sont pas logique et que le secteur médical du club sera certainement revu.
Cela dure depuis des années et beaucoup de monde ici le disent. Je pense qu'il va secouer la fourmilière en janvier.
Denis07 a écrit : ↑23 déc. 2024, 13:58
Gazidis dans son interview a laissé entendre que les blessés en nombre ne sont pas logique et que le secteur médical du club sera certainement revu.
Cela dure depuis des années et beaucoup de monde ici le disent. Je pense qu'il va secouer la fourmilière en janvier.
tombombadil42 a écrit : ↑23 déc. 2024, 17:11
ou en est ben old?
Chez nous, on ne le reverra pas avant la rentrée...de septembre.
A mon avis y'a une chance qu'il rejoue vers Mars maintenant les croisés en 4 ou 5 mois tu rejoue
Avec notre staff médical, 4 mois c'est plutôt le délai qu'il faut pour se remettre d'une entorse
Sachant le mec joue mais que derrière il a toujours une rechute qui le rend indisponible de nouveau pour 2 mois (jurisprudence Beric, Maçon voire Briançon) considérons 2 matchs de sa part au printemps et puis rideau jusque fin de saison
Avant d’affronter les Canaris d’Antoine Kombouaré, Eirik Horneland a rapidement confirmé la tendance : l’ASSE va devoir composer avec un groupe similaire à celui ayant affronté Paris dimanche dernier (2-1). Si Aiki est de retour, plusieurs questions subsistent sur Anthony Briançon, absent de la séance ce vendredi, et Augustine Boakye, touché à la hanche.
Par ailleurs, Ibrahim Sissoko va purger le troisième de ses cinq matchs de suspension, tandis que Ben Old, Aïmen Moueffek, Ibrahima Wadji et Thomas Monconduit sont toujours sur le flanc
Bon ben un collègue m'avait parlé d'un twette, comme quoi y aurait des grippés coté Sainté...... fake alors...
Pourtant que la montagne est belle, Comment peut-on s'imaginer En voyant un vol d'hirondelles Que l'automne vient d'arriver ? ..vive l'ardeche....
Retour en Ligue 1 Saison 202./202. déja bien je vois avant le champ 2029-2030 :-)
epopee76 a écrit : ↑21 janv. 2025, 16:20
Maçon et Wadji qui recourent.
Monconduit à l'entrainement collectif.
En voilà, de potentielles "recrues" !
"C’est la même logique qui pousse à l’exploitation sexuelle des enfants (...), de celui qui dit : ‛Laissons les forces invisibles du marché réguler l’économie' (...), du 'utilise et jette', qui engendre tant de résidus (...)."
epopee76 a écrit : ↑21 janv. 2025, 16:20
Maçon et Wadji qui recourent.
Monconduit à l'entrainement collectif.
En voilà, de potentielles "recrues" !
Wadji
Ok c est triste mais je préfère en rigoler c est nerveux
D'un autre côté, l'histoire l'an dernier a été tellement belle...
On le disait comme une blague au départ qu'il jouerait le barrage et qu'il marquerait le but de la montée.
I want to believe !
"C’est la même logique qui pousse à l’exploitation sexuelle des enfants (...), de celui qui dit : ‛Laissons les forces invisibles du marché réguler l’économie' (...), du 'utilise et jette', qui engendre tant de résidus (...)."
Eirik arrive à faire ressortir des joueurs le meilleur d’eux-mêmes. Il est très attentif à l’investissement que les joueurs mettent à l’entraînement. A Haugesund, ça ne fonctionnait pas comme à Sainté. Chez les Verts, on bossait pas mal la préparation physique la semaine avec Thierry Cotte. A Haugesund, le préparateur physique n’intervenait quasiment que le week-end. C’est plus le kiné qui nous préparait pour les matches, on faisait davantage de prévention de blessure. A Sainté, les kinés on ne les voyait que lorsqu’on était blessé.