Tu as raison, et au final, on aura consacré beaucoup trop de temps à parler de Puel pour le peu qu'il a apporté au club..___ a écrit : ↑08 déc. 2023, 14:12Ce débat on l'a fait 15 fois, ça me saoule. Trop de pro-machin ou d'anti-truc se sont amusés à disséquer des bouts d'interviews sortis de leur contexte comme si tous les protagonistes de cette affaire étaient des diplomates chevronnés fomentant des complots à la Game of Thrones. Le campisme, c'est de la merde.Thobar a écrit : ↑08 déc. 2023, 12:54Tu ne réponds qu'à une partie de mon message.___ a écrit : ↑08 déc. 2023, 12:45
Vardy (comme Cris, comme d'autres) a retrouvé sa place de titulaire dès le match d'après, et jusqu'au bout.
Seulement lui il n'a pas envoyé son agent dans la presse pour essaye d'avoir la peau de son coach, aussi con fût-il.
Je suis peut-être vieux jeu, mais je crois qu'en foot, les joueurs doivent obéir au coach, et je crois que dans le monde professionnel, tu ne gères pas les conflits personnels avec ta hiérarchie par médias interposés.
Déjà il a été viré à peine 4 mois après avoir fait ça avec Vardy.
Et pour Ruffier, Puel (encore en interview, tiens) a affirmé que Ruffier refusait d'être numéro 2 derrière Moulin. Donc il n'avait pas vraiment l'intention de le refaire jouer, si ? Habile pour faire craquer un gars comme Ruffier et son gros salaire, tu ne trouves pas ?
La situation est pour moi beaucoup plus simple : les 2 ont un caractère de merde. Ruffier a été titulaire avec Puel, indiscutable pendant 1 an, et il a lui même filé le brassard.
En revanche, Puel a voulu piquer l'orgueil de Ruffier dans une période où il était nul, comme il l'a fait avec plein d'autres joueurs dans sa carrière, sauf que ce dernier a réagi comme un con égoïste. C'était une bêtise de Puel de ne pas avoir anticipé que Ruffier réagirait comme un con égoïste, ce n'est pas une méthode de management que je trouve bonne, mais enfin celui qui a agi comme un con égoïste et transgressé toutes les règles normales de fonctionnement du collectif, reste Ruffier.
Merci pour son apport au club, incomparable à celui de Puel (c'est même une injure de les comparer). Mais sur cette affaire, je suis désolé, Ruffier a chié à la gueule de toute l'ASSE en faisant passer son égo devant ses obligations professionnelles, je ne le plaindrais pas mais je ne lui en voudrais même pas - si son caca nerveux n'avait pas eu pour seule et unique conséquence de rendre la situation insoluble autrement que par le psychodrame, et de fragiliser un club qui n'en avait pas besoin.
Pour l'histoire de l'orgueil, je nuancerai légèrement ton argumentaire qui semble s'appuyer sur la seule mise sur le banc de Ruffier. Process qui pouvait trouver sa logique dans le déroulé de la saison alors. La nuance réside dans le fait que la première prise de bec entre les 2 hommes a lieu dès leur premier match en commun, et ai du fait de Puel. On peut donc légitimement s'interroger sur le fait que Puel avait "envie" de se coltiner Ruffier depuis le départ et s'interroger également sur le climat de pression "psychologique" que Puel pouvait instaurer.
Au passage, l'attribution du brassard n'est pas en soi forcément un gage de confiance, mais peut être vu comme un défi ou une provocation à la limite.