Direction toujours en place

[angevert1706]

Et surtout, je pense qu'il mesure comme nous la difficulté qu'ils auraient à refaire monter le club, sans moyens, mais aussi avec Romeyer sur place et un organigramme gangrené par des années de primauté du clientélisme et du relationnel sur la compétence.

Non seulement, il risque de ne jamais voir le club remonté, mais de continuer sa chute. Rien qu'avec une dizaine de millions de la vente, il a de quoi ne plus jamais remettre les pieds à Saint-Etienne.

L'autre c'est différent. Il n'existe que par le club qui a longtemps alimenté son égo. Aujourd'hui le miroir est cassé, mais la tentation de le réparer pour sauver son image, dans un climat de déni de ses responsabilités entretenu par sa cour, est à mon avis un facteur de risque non négligeable.

Beaucoup de gens croyent que Caiazzo a repris le club en L2. Ne pas oublié que sa prise officielle etait en juin d memoire, les des etaient deja jetté et le club remontait deja avant sa reprise.

On peut donc dire qu il ont recuperer le club en L1 et l auront bien pourri jusqu a l os. Ils peuvent remercier le cache misere qu a ete Galtier pendant de nombreuses années.

Il fait une offre au printemps 2003 qui est refusée.
18 décembre 2003 il achète 52% des parts avec 2 associés pour 5M et injecte 5M pour payer les salaires. Le 4 juin il devient président. Source Wikipedia.
C'est bien lui qui sauve le club en D2 en apportant 5M dans les caisses

Zozo etait la avec Schmider et Perrin

Apres n'oublions pas non plus les coups fourrés déjà en 2004 https://www.poteaux-carres.com/article- ... onseq.html

[Elliev]

Apparemment personne ne sais ce qu'il se passe. Ni Molina , ni Nanard Lions, ni Toubache, ni aucun twitos. Tout est suppositions.
La seule chose officielle, c ’était l’annonce prévue le 12 Juin.
L'annonce n'ayant pas eu lieu, il est clerc qu'il y a un os dans le potage.

Puisque personne n'est foutu d'essayer de comprendre comment se réalise la cession d'une entreprise, ce que j'ai déjà expliqué 2 fois et qu'on trouve partout sur internet, voici un exemple concret, tiré d'un article récent de Médiapart, qui explique comment la cession de l'entreprise de Gérald Dahan a capoté.

Un autre litige s’est noué autour de la péniche-spectacle au printemps 2021. À cette époque, Gérald Dahan cherche acquéreur pour la SCI Berthelot (le vrai nom de l’humoriste), qui possède la péniche et les deux sociétés qu’elle a à son bord : la SAS Trognes Company (qui possède la salle de spectacle) et la SAS L’Entracte (le restaurant).

Une promesse de vente est signée le 24 avril pour un montant de 335 000 euros. Les acquéreurs – cinq associés issus d’une même famille - commencent à solliciter les banques pour obtenir des emprunts. « Malgré nos nombreuses demandes, il ne nous a pas fourni à temps les documents (comme les bilans comptables) demandés par les banques afin d’obtenir les crédits dans un délai de deux mois. Il avait toujours une excuse », affirme Thierry Neyraud, qui a déposé une plainte pour escroquerie et abus de confiance en juillet 2021, classée sans suite par le parquet de Paris en septembre 2021.

Une semaine avant la fin de l’échéance de la promesse de vente, les avocats des acquéreurs avaient envoyé un courrier à Gérald Dahan pour casser la vente, estimant que « l’acte de promesse ainsi que les conditions dans lesquelles il a été consenti étaient particulièrement contestables ». Les conseils pointaient notamment le fait que les documents demandés « ont été fournis tardivement » et dénonçaient « des incohérences dans la structure financière de la société ». Deux banques ont attesté par courrier avoir été saisies par les acquéreurs, « mais ne pas avoir réceptionné l’ensemble des documents nécessaires à une prise de décision sur leur demande de crédit ».
Malgré cela, début juillet, trois chèques libellés par les deux filles de Thierry Neyraud au moment de la promesse de vente aux noms de Gérald Dahan, de son épouse et de sa mère, associés au sein de la SCI, sont encaissés, pour un montant de 16 000 euros. Deux autres chèques, signés à l’ordre des deux autres associés de Gérald Dahan au même moment, ne sont eux pas débités.


https://www.mediapart.fr/journal/france ... arnaqueurs

Un prof qui donne la leçon sur la mécanique des cessions d'entreprises en s'appuyant sur un article de Mediapart : celle ci, elle va me faire la journée

[Michel-Ange]

Apparemment personne ne sais ce qu'il se passe. Ni Molina , ni Nanard Lions, ni Toubache, ni aucun twitos. Tout est suppositions.
La seule chose officielle, c ’était l’annonce prévue le 12 Juin.
L'annonce n'ayant pas eu lieu, il est clerc qu'il y a un os dans le potage.

Puisque personne n'est foutu d'essayer de comprendre comment se réalise la cession d'une entreprise, ce que j'ai déjà expliqué 2 fois et qu'on trouve partout sur internet, voici un exemple concret, tiré d'un article récent de Médiapart, qui explique comment la cession de l'entreprise de Gérald Dahan a capoté.

Un autre litige s’est noué autour de la péniche-spectacle au printemps 2021. À cette époque, Gérald Dahan cherche acquéreur pour la SCI Berthelot (le vrai nom de l’humoriste), qui possède la péniche et les deux sociétés qu’elle a à son bord : la SAS Trognes Company (qui possède la salle de spectacle) et la SAS L’Entracte (le restaurant).

Une promesse de vente est signée le 24 avril pour un montant de 335 000 euros. Les acquéreurs – cinq associés issus d’une même famille - commencent à solliciter les banques pour obtenir des emprunts. « Malgré nos nombreuses demandes, il ne nous a pas fourni à temps les documents (comme les bilans comptables) demandés par les banques afin d’obtenir les crédits dans un délai de deux mois. Il avait toujours une excuse », affirme Thierry Neyraud, qui a déposé une plainte pour escroquerie et abus de confiance en juillet 2021, classée sans suite par le parquet de Paris en septembre 2021.

Une semaine avant la fin de l’échéance de la promesse de vente, les avocats des acquéreurs avaient envoyé un courrier à Gérald Dahan pour casser la vente, estimant que « l’acte de promesse ainsi que les conditions dans lesquelles il a été consenti étaient particulièrement contestables ». Les conseils pointaient notamment le fait que les documents demandés « ont été fournis tardivement » et dénonçaient « des incohérences dans la structure financière de la société ». Deux banques ont attesté par courrier avoir été saisies par les acquéreurs, « mais ne pas avoir réceptionné l’ensemble des documents nécessaires à une prise de décision sur leur demande de crédit ».
Malgré cela, début juillet, trois chèques libellés par les deux filles de Thierry Neyraud au moment de la promesse de vente aux noms de Gérald Dahan, de son épouse et de sa mère, associés au sein de la SCI, sont encaissés, pour un montant de 16 000 euros. Deux autres chèques, signés à l’ordre des deux autres associés de Gérald Dahan au même moment, ne sont eux pas débités.


https://www.mediapart.fr/journal/france ... arnaqueurs

Un prof qui donne la leçon sur la mécanique des cessions d'entreprises en s'appuyant sur un article de Mediapart : celle ci, elle va me faire la journée

Rigolez pas. Si ça se trouve, les repreneurs, ils font un tour sur internet, pour jauger l'ambiance autour du club, ils tombent sur les posts de CP, on n'entend plus jamais parler d'eux.

[Yannick62530]

Pour moi Blitzer va racheter la sampdoria plutôt que nous . Il suffit de voir les noms cités pour notre mercato pour comprendre qu'il n'y aucune vente. De plus la présence de soucasse et perrin le prouve. Plus judicieux pour Blitzer d'acheter la sampdoria

[StephVert]

Apparemment personne ne sais ce qu'il se passe. Ni Molina , ni Nanard Lions, ni Toubache, ni aucun twitos. Tout est suppositions.
La seule chose officielle, c ’était l’annonce prévue le 12 Juin.
L'annonce n'ayant pas eu lieu, il est clerc qu'il y a un os dans le potage.

Puisque personne n'est foutu d'essayer de comprendre comment se réalise la cession d'une entreprise, ce que j'ai déjà expliqué 2 fois et qu'on trouve partout sur internet, voici un exemple concret, tiré d'un article récent de Médiapart, qui explique comment la cession de l'entreprise de Gérald Dahan a capoté.

Un autre litige s’est noué autour de la péniche-spectacle au printemps 2021. À cette époque, Gérald Dahan cherche acquéreur pour la SCI Berthelot (le vrai nom de l’humoriste), qui possède la péniche et les deux sociétés qu’elle a à son bord : la SAS Trognes Company (qui possède la salle de spectacle) et la SAS L’Entracte (le restaurant).

Une promesse de vente est signée le 24 avril pour un montant de 335 000 euros. Les acquéreurs – cinq associés issus d’une même famille - commencent à solliciter les banques pour obtenir des emprunts. « Malgré nos nombreuses demandes, il ne nous a pas fourni à temps les documents (comme les bilans comptables) demandés par les banques afin d’obtenir les crédits dans un délai de deux mois. Il avait toujours une excuse », affirme Thierry Neyraud, qui a déposé une plainte pour escroquerie et abus de confiance en juillet 2021, classée sans suite par le parquet de Paris en septembre 2021.

Une semaine avant la fin de l’échéance de la promesse de vente, les avocats des acquéreurs avaient envoyé un courrier à Gérald Dahan pour casser la vente, estimant que « l’acte de promesse ainsi que les conditions dans lesquelles il a été consenti étaient particulièrement contestables ». Les conseils pointaient notamment le fait que les documents demandés « ont été fournis tardivement » et dénonçaient « des incohérences dans la structure financière de la société ». Deux banques ont attesté par courrier avoir été saisies par les acquéreurs, « mais ne pas avoir réceptionné l’ensemble des documents nécessaires à une prise de décision sur leur demande de crédit ».
Malgré cela, début juillet, trois chèques libellés par les deux filles de Thierry Neyraud au moment de la promesse de vente aux noms de Gérald Dahan, de son épouse et de sa mère, associés au sein de la SCI, sont encaissés, pour un montant de 16 000 euros. Deux autres chèques, signés à l’ordre des deux autres associés de Gérald Dahan au même moment, ne sont eux pas débités.


https://www.mediapart.fr/journal/france ... arnaqueurs

Un prof qui donne la leçon sur la mécanique des cessions d'entreprises en s'appuyant sur un article de Mediapart : celle ci, elle va me faire la journée

[Michel-Ange]

Pour moi Blitzer va racheter la sampdoria plutôt que nous . Il suffit de voir les noms cités pour notre mercato pour comprendre qu'il n'y aucune vente. De plus la présence de soucasse et perrin le prouve. Plus judicieux pour Blitzer d'acheter la sampdoria

L'un n'empêche pas l'autre.
Blitzer veut investir dans plusieurs clubs.

[Kobalt]

Pour moi Blitzer va racheter la sampdoria plutôt que nous . Il suffit de voir les noms cités pour notre mercato pour comprendre qu'il n'y aucune vente. De plus la présence de soucasse et perrin le prouve. Plus judicieux pour Blitzer d'acheter la sampdoria

Impossible pour les fossiles-fossoyeurs de rester...

[Marée verte]

Pas convaincu également que notre club soit repris par Blitzer.

Nous allons avoir droit à l'arrivée au capital de Markarian et ce sera vendu comme une bonne nouvelle...Pff...

Saint Etienne descend en L2, nous avons une grave crise à gérer avec nos groupes, mais silence radio, tout va bien, le club va réussir son examen de passage devant la DNCG..

[Mattiloan]

Hier c'etait plutôt les optimistes en force ici, aujourd'hui c'est le bal des pessimistes... ce suspens va durer encore longtemps?

[Guinnessisgood]

Arrêtez de vous affoler, la vente n'est en rien liée à la DNCG (pour l'instant), Battles, la Sampdoria ou les dents de ma mère qui poussent!!

On en saura mieux rapidement je pense, pas besoin de se faire des nœuds au cerveau, il faut bien avancer sur le sportif en parallèle puisque la reprise est dans 2 semaines !

[Kishizo2]

Je pense que le nouveau propriétaire attend le résultat du passage devant la DNCG avant de prendre une décision définitive. Maintenant ça devrait aller très vite.

En principe les acheteurs ont accès à bien plus d’informations que la DNCG, ils n’ont aucun intérêt à attendre l’avis de la DNCG vu que si ils rachètent, les perspectives budgétaires seront très différentes. C’est pour ça que lorsqu’il y a eu des rachat de club précédemment au cours de l’intersaison, les potentiels acheteurs venaient présenter leur projet de budget à la DNCG.

Bref la situation ne semble pas évoluer rapidement vers une vente …

A mon avis, c'est plutôt la date à laquelle sera rendue la décision disciplinaire à l'encontre du club qui sera déterminante.
Juridiquement pour aboutir à une vente, il faut un accord entre les parties sur la chose et son prix, ce sont les deux éléments qui font qu'une vente peut se matérialiser. Bien entendu, il y a une relation entre les deux, on ne peut s'entendre sur un prix que si la chose est précisément connue. Comptablement elle l'est car comme tu le dis les comptes sont déjà mis à disposition de l'acquéreur potentiel et si quelques loups se cachent, une clause de garantie du passif sera sans doute intégrée à l'acte de vente. Tout cela n'empêche pas de se mettre d'accord sur la chose et le prix et d'aboutir.

A l'inverse la sanction disciplinaire à venir rend la négociation beaucoup plus compliquée, la chose entre un club participant au championnat de ligue 2 et un club participant au championnat de ligue 2 avec x points de handicap et une éventuelle suspension de stade pour x journées devient bien différente et joue sur la négociation du prix. De deux choses l'une, soit les vendeurs déjà pas en position de force pour la négociation vendent à un prix dévalué de ce à quoi ils pourraient prétendre en l'état, alors une clause prévoira que les acquéreurs ont parfaite connaissance de la sanction potentielle à venir et en acceptent les risques et périls, soit les vendeurs ou les acquéreurs conviennent qu'il faut mieux attendre le rendu de la décision disciplinaire pour avancer sur la négociation du prix en connaissance de cause de la sanction. Cette dernière solution m'apparait la plus probable.

Bref à mon avis, il n'y a encore aucune raison d'être pessimiste, ni optimiste non plus Négociation en cours freinée par l'attente d'une décision, elle aboutira ou pas, il faudrait être dans la tête des parties pour connaître le niveau réel du désir d'achat d'un côté et celui de vente de l'autre. S'il y a correspondance de volonté, bon alignement des planètes cela se fera

[Rob420]

Et surtout, je pense qu'il mesure comme nous la difficulté qu'ils auraient à refaire monter le club, sans moyens, mais aussi avec Romeyer sur place et un organigramme gangrené par des années de primauté du clientélisme et du relationnel sur la compétence.

Non seulement, il risque de ne jamais voir le club remonté, mais de continuer sa chute. Rien qu'avec une dizaine de millions de la vente, il a de quoi ne plus jamais remettre les pieds à Saint-Etienne.

L'autre c'est différent. Il n'existe que par le club qui a longtemps alimenté son égo. Aujourd'hui le miroir est cassé, mais la tentation de le réparer pour sauver son image, dans un climat de déni de ses responsabilités entretenu par sa cour, est à mon avis un facteur de risque non négligeable.

Beaucoup de gens croyent que Caiazzo a repris le club en L2. Ne pas oublié que sa prise officielle etait en juin d memoire, les des etaient deja jetté et le club remontait deja avant sa reprise.

On peut donc dire qu il ont recuperer le club en L1 et l auront bien pourri jusqu a l os. Ils peuvent remercier le cache misere qu a ete Galtier pendant de nombreuses années.

Il fait une offre au printemps 2003 qui est refusée.
18 décembre 2003 il achète 52% des parts avec 2 associés pour 5M et injecte 5M pour payer les salaires. Le 4 juin il devient président. Source Wikipedia.
C'est bien lui qui sauve le club en D2 en apportant 5M dans les caisses

5M€
Ça veut dire qu'il ne fera aucune plus value. Il ne vendra pas.
Ça sent une augmentation de capital avec Makarian

[Borotj42]

Arrêtez de vous affoler, la vente n'est en rien liée à la DNCG (pour l'instant), Battles, la Sampdoria ou les dents de ma mère qui poussent!!

On en saura mieux rapidement je pense, pas besoin de se faire des nœuds au cerveau, il faut bien avancer sur le sportif en parallèle puisque la reprise est dans 2 semaines !

Je ne me fais pas de nœuds au cerveau, mais je suis inquiet pour la dentition de ta mère du coup !?? comment va-t-elle ??

[Druss]

Et surtout, je pense qu'il mesure comme nous la difficulté qu'ils auraient à refaire monter le club, sans moyens, mais aussi avec Romeyer sur place et un organigramme gangrené par des années de primauté du clientélisme et du relationnel sur la compétence.

Non seulement, il risque de ne jamais voir le club remonté, mais de continuer sa chute. Rien qu'avec une dizaine de millions de la vente, il a de quoi ne plus jamais remettre les pieds à Saint-Etienne.

L'autre c'est différent. Il n'existe que par le club qui a longtemps alimenté son égo. Aujourd'hui le miroir est cassé, mais la tentation de le réparer pour sauver son image, dans un climat de déni de ses responsabilités entretenu par sa cour, est à mon avis un facteur de risque non négligeable.

Beaucoup de gens croyent que Caiazzo a repris le club en L2. Ne pas oublié que sa prise officielle etait en juin d memoire, les des etaient deja jetté et le club remontait deja avant sa reprise.

On peut donc dire qu il ont recuperer le club en L1 et l auront bien pourri jusqu a l os. Ils peuvent remercier le cache misere qu a ete Galtier pendant de nombreuses années.

Il fait une offre au printemps 2003 qui est refusée.
18 décembre 2003 il achète 52% des parts avec 2 associés pour 5M et injecte 5M pour payer les salaires. Le 4 juin il devient président. Source Wikipedia.
C'est bien lui qui sauve le club en D2 en apportant 5M dans les caisses

Oui dans mon souvenir, il fait, avec ses associés (Schmider et Perrin), la 2e partie de saison en L2. A partir de Noël. Mais c'est vrai qu'à l'époque, j'avais trouvé très moyen qu'on ne continue pas avec le projet d'Henri Grange. C'est un peu grâce à lui qu'on monte en L1. Il a mis tout le monde en place lors de la remontée (Villanova et Antonetti).

Il faudra aussi savoir ce qui s'est réellement passé à l'été 2003. Je me rappelle que Schmider l'avait bien mauvaise à cette époque quand Caiazzo l'avait doublé. Jamais trop compris ce que voulaient l'un et l'autre à l'époque (sachant que Schmider était bien plus impliqué dans le fonctionnement du club que Bozo)

[dodos]

Et surtout, je pense qu'il mesure comme nous la difficulté qu'ils auraient à refaire monter le club, sans moyens, mais aussi avec Romeyer sur place et un organigramme gangrené par des années de primauté du clientélisme et du relationnel sur la compétence.

Non seulement, il risque de ne jamais voir le club remonté, mais de continuer sa chute. Rien qu'avec une dizaine de millions de la vente, il a de quoi ne plus jamais remettre les pieds à Saint-Etienne.

L'autre c'est différent. Il n'existe que par le club qui a longtemps alimenté son égo. Aujourd'hui le miroir est cassé, mais la tentation de le réparer pour sauver son image, dans un climat de déni de ses responsabilités entretenu par sa cour, est à mon avis un facteur de risque non négligeable.

Beaucoup de gens croyent que Caiazzo a repris le club en L2. Ne pas oublié que sa prise officielle etait en juin d memoire, les des etaient deja jetté et le club remontait deja avant sa reprise.

On peut donc dire qu il ont recuperer le club en L1 et l auront bien pourri jusqu a l os. Ils peuvent remercier le cache misere qu a ete Galtier pendant de nombreuses années.

Il fait une offre au printemps 2003 qui est refusée.
18 décembre 2003 il achète 52% des parts avec 2 associés pour 5M et injecte 5M pour payer les salaires. Le 4 juin il devient président. Source Wikipedia.
C'est bien lui qui sauve le club en D2 en apportant 5M dans les caisses

Oui dans mon souvenir, il fait, avec ses associés (Schmider et Perrin), la 2e partie de saison en L2. A partir de Noël. Mais c'est vrai qu'à l'époque, j'avais trouvé très moyen qu'on ne continue pas avec le projet d'Henri Grange. C'est un peu grâce à lui qu'on monte en L1. Il a mis tout le monde en place lors de la remontée (Villanova et Antonetti).

Il faudra aussi savoir ce qui s'est réellement passé à l'été 2003. Je me rappelle que Schmider l'avait bien mauvaise à cette époque quand Caiazzo l'avait doublé. Jamais trop compris ce que voulaient l'un et l'autre à l'époque (sachant que Schmider était bien plus impliqué dans le fonctionnement du club que Bozo)

En tout cas, à ce moment là, Anto avait dit qu'on se rendrai compte un jour ue L'ASSE avait fait un très mauvaise affaire avec Caiazzo...

[Dissident]

Il n'y avait pas eu cette histoire bizarre de shotgun où Schmider avait voulu racheter les parts de Caiazzo, mais comme l'autre avait refusé il avait dû racheter les parts de Schmider ?

[Junito]

Je pense que le nouveau propriétaire attend le résultat du passage devant la DNCG avant de prendre une décision définitive. Maintenant ça devrait aller très vite.

En principe les acheteurs ont accès à bien plus d’informations que la DNCG, ils n’ont aucun intérêt à attendre l’avis de la DNCG vu que si ils rachètent, les perspectives budgétaires seront très différentes. C’est pour ça que lorsqu’il y a eu des rachat de club précédemment au cours de l’intersaison, les potentiels acheteurs venaient présenter leur projet de budget à la DNCG.

Bref la situation ne semble pas évoluer rapidement vers une vente …

A mon avis, c'est plutôt la date à laquelle sera rendue la décision disciplinaire à l'encontre du club qui sera déterminante.
Juridiquement pour aboutir à une vente, il faut un accord entre les parties sur la chose et son prix, ce sont les deux éléments qui font qu'une vente peut se matérialiser. Bien entendu, il y a une relation entre les deux, on ne peut s'entendre sur un prix que si la chose est précisément connue. Comptablement elle l'est car comme tu le dis les comptes sont déjà mis à disposition de l'acquéreur potentiel et si quelques loups se cachent, une clause de garantie du passif sera sans doute intégrée à l'acte de vente. Tout cela n'empêche pas de se mettre d'accord sur la chose et le prix et d'aboutir.

A l'inverse la sanction disciplinaire à venir rend la négociation beaucoup plus compliquée, la chose entre un club participant au championnat de ligue 2 et un club participant au championnat de ligue 2 avec x points de handicap et une éventuelle suspension de stade pour x journées devient bien différente et joue sur la négociation du prix. De deux choses l'une, soit les vendeurs déjà pas en position de force pour la négociation vendent à un prix dévalué de ce à quoi ils pourraient prétendre en l'état, alors une clause prévoira que les acquéreurs ont parfaite connaissance de la sanction potentielle à venir et en acceptent les risques et périls, soit les vendeurs ou les acquéreurs conviennent qu'il faut mieux attendre le rendu de la décision disciplinaire pour avancer sur la négociation du prix en connaissance de cause de la sanction. Cette dernière solution m'apparait la plus probable.

Bref à mon avis, il n'y a encore aucune raison d'être pessimiste, ni optimiste non plus Négociation en cours freinée par l'attente d'une décision, elle aboutira ou pas, il faudrait être dans la tête des parties pour connaître le niveau réel du désir d'achat d'un côté et celui de vente de l'autre. S'il y a correspondance de volonté, bon alignement des planètes cela se fera

Effectivement la sanction disciplinaire est une épée de Damoclès susceptible de contrarier la vente, mais à trop attendre l'acquéreur risque aussi de perdre l'opportunité de refaire l'effectif à sa main en cette période cruciale de mercato.

Je mets un petit billet sur le fait qu'on s'achemine à un investissement minoritaire avec une clause d'achat en cas de remontée immédiate.

[Asse of Spades]

Pour moi Blitzer va racheter la sampdoria plutôt que nous . Il suffit de voir les noms cités pour notre mercato pour comprendre qu'il n'y aucune vente. De plus la présence de soucasse et perrin le prouve. Plus judicieux pour Blitzer d'acheter la sampdoria

Impossible pour les fossiles-fossoyeurs de rester...

Boulgour Man est à l'âffut.

[Druss]

Et surtout, je pense qu'il mesure comme nous la difficulté qu'ils auraient à refaire monter le club, sans moyens, mais aussi avec Romeyer sur place et un organigramme gangrené par des années de primauté du clientélisme et du relationnel sur la compétence.

Non seulement, il risque de ne jamais voir le club remonté, mais de continuer sa chute. Rien qu'avec une dizaine de millions de la vente, il a de quoi ne plus jamais remettre les pieds à Saint-Etienne.

L'autre c'est différent. Il n'existe que par le club qui a longtemps alimenté son égo. Aujourd'hui le miroir est cassé, mais la tentation de le réparer pour sauver son image, dans un climat de déni de ses responsabilités entretenu par sa cour, est à mon avis un facteur de risque non négligeable.

Beaucoup de gens croyent que Caiazzo a repris le club en L2. Ne pas oublié que sa prise officielle etait en juin d memoire, les des etaient deja jetté et le club remontait deja avant sa reprise.

On peut donc dire qu il ont recuperer le club en L1 et l auront bien pourri jusqu a l os. Ils peuvent remercier le cache misere qu a ete Galtier pendant de nombreuses années.

Il fait une offre au printemps 2003 qui est refusée.
18 décembre 2003 il achète 52% des parts avec 2 associés pour 5M et injecte 5M pour payer les salaires. Le 4 juin il devient président. Source Wikipedia.
C'est bien lui qui sauve le club en D2 en apportant 5M dans les caisses

Oui dans mon souvenir, il fait, avec ses associés (Schmider et Perrin), la 2e partie de saison en L2. A partir de Noël. Mais c'est vrai qu'à l'époque, j'avais trouvé très moyen qu'on ne continue pas avec le projet d'Henri Grange. C'est un peu grâce à lui qu'on monte en L1. Il a mis tout le monde en place lors de la remontée (Villanova et Antonetti).

Il faudra aussi savoir ce qui s'est réellement passé à l'été 2003. Je me rappelle que Schmider l'avait bien mauvaise à cette époque quand Caiazzo l'avait doublé. Jamais trop compris ce que voulaient l'un et l'autre à l'époque (sachant que Schmider était bien plus impliqué dans le fonctionnement du club que Bozo)

En tout cas, à ce moment là, Anto avait dit qu'on se rendrai compte un jour ue L'ASSE avait fait un très mauvaise affaire avec Caiazzo...

Je viens de lire le potin mentionné au-dessus. Très instructif concernant la situation à l'été 2004 (pas 2003 comme dans mon précédent message). Du coup, je comprends mieux le départ de Schmider. Il a donc présenté sa démission après le désaveu de son projet de prolonger avec Anto/Villanova. Et dans la foulée, Caiazzo a racheté les parts de Perrin en s'associant avec Romeyer/Carvalho. Il n'y a pas à dire. C'est une belle bande d'opportunistes. Au final, ils auront bien plus profite du bon travail des autres, qu'autre chose. Et j'en reviens pas que certains arrivent encore à leur trouver du crédit vu tous les squelettes dans leurs placards.

[Tom]

Quand je lis le bouquin de B Lions sur la gestion degueulasse Romeyer et Caiazzo pour chaque étape (achats de joueurs, entraîneur, négociation de primes etc et ..) ça fait peur! Vivement du débarras et j’espère un nouveau gars qui instaure une ligne très claire

[Zarle]

Il n'y avait pas eu cette histoire bizarre de shotgun où Schmider avait voulu racheter les parts de Caiazzo, mais comme l'autre avait refusé il avait dû racheter les parts de Schmider ?

Sa fille est dans la classe de mon loupiot, je vais profiter de la traditionnelle kermesse pour lui demander s’il veut bien nous accorder un peu de temps. Préparez vos questions, je vous tiens au jus…..

[Kowalsky]

Je pense que le nouveau propriétaire attend le résultat du passage devant la DNCG avant de prendre une décision définitive. Maintenant ça devrait aller très vite.

En principe les acheteurs ont accès à bien plus d’informations que la DNCG, ils n’ont aucun intérêt à attendre l’avis de la DNCG vu que si ils rachètent, les perspectives budgétaires seront très différentes. C’est pour ça que lorsqu’il y a eu des rachat de club précédemment au cours de l’intersaison, les potentiels acheteurs venaient présenter leur projet de budget à la DNCG.

Bref la situation ne semble pas évoluer rapidement vers une vente …

A mon avis, c'est plutôt la date à laquelle sera rendue la décision disciplinaire à l'encontre du club qui sera déterminante.
Juridiquement pour aboutir à une vente, il faut un accord entre les parties sur la chose et son prix, ce sont les deux éléments qui font qu'une vente peut se matérialiser. Bien entendu, il y a une relation entre les deux, on ne peut s'entendre sur un prix que si la chose est précisément connue. Comptablement elle l'est car comme tu le dis les comptes sont déjà mis à disposition de l'acquéreur potentiel et si quelques loups se cachent, une clause de garantie du passif sera sans doute intégrée à l'acte de vente. Tout cela n'empêche pas de se mettre d'accord sur la chose et le prix et d'aboutir.

A l'inverse la sanction disciplinaire à venir rend la négociation beaucoup plus compliquée, la chose entre un club participant au championnat de ligue 2 et un club participant au championnat de ligue 2 avec x points de handicap et une éventuelle suspension de stade pour x journées devient bien différente et joue sur la négociation du prix. De deux choses l'une, soit les vendeurs déjà pas en position de force pour la négociation vendent à un prix dévalué de ce à quoi ils pourraient prétendre en l'état, alors une clause prévoira que les acquéreurs ont parfaite connaissance de la sanction potentielle à venir et en acceptent les risques et périls, soit les vendeurs ou les acquéreurs conviennent qu'il faut mieux attendre le rendu de la décision disciplinaire pour avancer sur la négociation du prix en connaissance de cause de la sanction. Cette dernière solution m'apparait la plus probable.

Bref à mon avis, il n'y a encore aucune raison d'être pessimiste, ni optimiste non plus Négociation en cours freinée par l'attente d'une décision, elle aboutira ou pas, il faudrait être dans la tête des parties pour connaître le niveau réel du désir d'achat d'un côté et celui de vente de l'autre. S'il y a correspondance de volonté, bon alignement des planètes cela se fera

Effectivement la sanction disciplinaire est une épée de Damoclès susceptible de contrarier la vente, mais à trop attendre l'acquéreur risque aussi de perdre l'opportunité de refaire l'effectif à sa main en cette période cruciale de mercato.

Je mets un petit billet sur le fait qu'on s'achemine à un investissement minoritaire avec une clause d'achat en cas de remontée immédiate.

C est un scénario de merde ça

[Kabigon]

Apparemment personne ne sais ce qu'il se passe. Ni Molina , ni Nanard Lions, ni Toubache, ni aucun twitos. Tout est suppositions.
La seule chose officielle, c ’était l’annonce prévue le 12 Juin.
L'annonce n'ayant pas eu lieu, il est clerc qu'il y a un os dans le potage.

La date du 12 juin n'a jamais rien eu d'officiel, c'est une date sortie par un mec de But

Exactement.

On rafraîchit la mémoire des uns et des autres :



En plus le mec s'auto-promeut... et l'info était erronée. But! ne brille décidément pas par la qualité des rumeurs qu'ils lancent...

[d4221]

Moi perso j ai pas confiance en bcp d informateurs
Mais Molina je lui fais confiance et il est optimiste

Le jour ou il changera de discours je serai alarmiste
Pour le moment ce n est pas le cas et il ne faut pas oublié que l on parle pas d un paquet de pate ou baguette de pain

c est long mais ca devrait le faire (mode optimiste on)

[ggspirit]

Apparemment personne ne sais ce qu'il se passe. Ni Molina , ni Nanard Lions, ni Toubache, ni aucun twitos. Tout est suppositions.
La seule chose officielle, c ’était l’annonce prévue le 12 Juin.
L'annonce n'ayant pas eu lieu, il est clerc qu'il y a un os dans le potage.

La date du 12 juin n'a jamais rien eu d'officiel, c'est une date sortie par un mec de But

Exactement.

On rafraîchit la mémoire des uns et des autres :



En plus le mec s'auto-promeut... et l'info était erronée. But! ne brille décidément pas par la qualité des rumeurs qu'ils lancent...

Autant pour moi.
Je suis retourné voir le communiqué officiel et la date est bien clairement mentionnée: dans quelques temps.
"Dans quelque temps, nous annoncerons une nouvelle importante concernant l’avenir du club et le nôtre"