Tylith a écrit : ↑08 mars 2021, 11:55
very vert a écrit : ↑08 mars 2021, 11:41
Tylith a écrit : ↑08 mars 2021, 11:22
Belle façon de ne pas répondre à mon post.
Je suis désolé si ma réponse ne te convient pas.
Mais le trading, c'est à risque.
On sait très bien qu'à l'époque Galtier, on avait quasiment besoin de faire une grosse vente chaque année.
(Zouma, Guila, Aubame, Gradel, ...)
Effectivement, l'année où on y arrive pas, on est en difficulté.
C'est d'ailleurs ce qu'explique Nicollin dans son interview.
Pour les 35 millions, je te propose de remonter de quelques post.
Je pense avoir répondu à chacun de tes points, non ?
Sauf qu'on ne se mettait pas en situation de pouvoir y arriver et ce depuis l'époque Galtier, notre façon systématique de recruter des joueurs gratuits à fort salaire qu'on savait impossible à revendre fait que ce système trading on ne le comprennait pas et qu'on avait de plus en plus besoin de vendre en ayant de moins en moins de "ressource" disponible. Nous n'avions pas un système à risque, un système à risque c'est mettre les moyens sur des bons jeunes en équipe espoir qui ont déjà une certaine côte, c'est prendre Payet et Matuidi par exemple.
Nous nous mettions l'argent dans les primes de joueurs solides de ligue 1 en fin de contrat et on prenait des risques en allant chercher des inconnus en post formation qui ne fonctionnait presque jamais.
La chute était prévisible et inévitable.
Oui, c'est vrai.
Ton analyse est juste.
C'est vrai que la position de devoir vendre chaque année nous mettait en difficulté dès lors que nous n'avions plus de joueurs "bankable".
Ce sujet est un des points qui pour moi explique que la L1 reste un championnat inférieur aux championnats anglais, espagnol et allemand notamment.
(Alors que paradoxalement, la L1 fourni nombre de joueurs de talent)
Les cas Payet et Matuidi, ...
On revient dessus comme après l'époque Alex/Aloiso...
Je cite ça parce que ça illustre la façon dont le marché des joueurs a évolué.
À l'époque de Alex & Aloiso, on trouvait encore des bons joueurs accessibles financement au Brésil.
Cette manne s'est rapidement tarie.
On s'est tourné vers les jeunes joueurs français prometteurs. Les Payet et Matuidi sont les plus beaux coups à ce niveau.
Mais depuis, les mêmes jeunes de niveau et âge comparables sont devenus hors de prix. Les Saliba et Fofana sont bien là pour le démontrer.
Donc il reste comme solution, la formation et les recrutements dans les championnats européens secondaires et l'Afrique qui restent accessibles.
Ce qui nous rassemble, c'est la passion pour ce club ; Ce qui nous divise, c'est la passion pour ce club... !
Si tu prédis la fin du monde, tu n'es pas Dieu, tu n'es pas visionnaire, tu es juste pessimiste !