Pour les pansements, les bandes sont coupées en 2, pour économiser leur stock.
Ce ne sont que des exemples!!!

Modérateurs : Barre transversale, Poteau gauche, Poteau droit, Ligne de but
Néo-libéral. J'oublie souvent le néo. Paradigme qui associe :Michel-Ange a écrit : ↑26 avr. 2020, 14:08Mais je ne suis déjà en rien superbe. Tu me vois avec les yeux de l'amour.___ a écrit : ↑26 avr. 2020, 12:41L'Allemagne est sans doute plus privatisée, mais nettement moins libérale que nous. Les contre-pouvoirs au marché fou et aux capitalistes criminels sont ailleurs que dans l'État, mais ils sont là.Michel-Ange a écrit : ↑26 avr. 2020, 10:29Le système de santé allemand est beaucoup plus privatisé qu'en France.___ a écrit : ↑26 avr. 2020, 09:55 A la radio, surréalisme en direct : j'écoute une interview, je ne sais pas qui c'est, à propos de la situation de l'hôpital public. Le discours est très clair, convaincant, et pertinent.
Pour ceux qui n'ont pas compris pourquoi notre hôpital public est autant en déshérence, tout est expliqué, simplement et précisément : la politique délibérée de réduction du nombre de médecins et d'infirmières dans les années 90, la mauvaise application des 35h dans un secteur déjà en pénurie de main d'œuvre, la tarification à l'acte imposée sous Sarkozy pour assécher le public pour favoriser le privé (sachant que les patients vraiment mal sont renvoyés en public, sans dédommagement...)
Et encore, ça continue, et c'est horrifiant.
Résultats : flux tendus, épuisement, paupérisation, etc.
L'interview date de 2009.
Je hais les néo-liberaux. C'est à cause d'eux qu'aujourd'hui les gens meurent et que l'économie va s'effondrer à cause d'un stupide virus.
Il semble que c'est plus un excès d'administration qui entrave l'efficacité dans le système hospitalier français (qui reste néanmoins l'un des meilleurs du monde), plutôt qu'un défaut.
Donc, il faudrait plus de libéralisme, en fait ?
L'économie s'en remettra ne t'inquiète pas.![]()
M'enfin, je serais assez content que tu sois rattrapé par quelque vicissitude. Un petit coup de réa ou de pauvreté subie violemment (je te souhaite ni séquelle, ni pire) te ferait peut-être perdre de ta superbe - et découvrir la profondeur du réel de non-premiers de cordée.
L'Allemagne serait "moins libérale" parce qu'elle a des syndicat plus progressistes ? La logique m'échappe. L'Allemagne a moins de prélèvements obligatoires, moins de fonctionnaires, un marché du travail plus dérégulé, une protection sociale moins avantageuse, mais ce serait un pays "moins libérale" que la France ?
Je n'ai jamais compris la définition du "libéralisme" des "gauchistes" (désolé, je suis contraint d'employer ce terme car je me crois moi-même largement anti-libéral, donc il faut bien différencier).
S'il y a un point sur lequel à peu près tout le monde s'accorde s'agissant de cette crise en France, c'est que son excès de règles (parfois ubuesque) a nuit à son efficacité à de nombreux niveaux.___ a écrit : ↑27 avr. 2020, 11:03Néo-libéral. J'oublie souvent le néo. Paradigme qui associe :Michel-Ange a écrit : ↑26 avr. 2020, 14:08Mais je ne suis déjà en rien superbe. Tu me vois avec les yeux de l'amour.___ a écrit : ↑26 avr. 2020, 12:41L'Allemagne est sans doute plus privatisée, mais nettement moins libérale que nous. Les contre-pouvoirs au marché fou et aux capitalistes criminels sont ailleurs que dans l'État, mais ils sont là.Michel-Ange a écrit : ↑26 avr. 2020, 10:29Le système de santé allemand est beaucoup plus privatisé qu'en France.___ a écrit : ↑26 avr. 2020, 09:55 A la radio, surréalisme en direct : j'écoute une interview, je ne sais pas qui c'est, à propos de la situation de l'hôpital public. Le discours est très clair, convaincant, et pertinent.
Pour ceux qui n'ont pas compris pourquoi notre hôpital public est autant en déshérence, tout est expliqué, simplement et précisément : la politique délibérée de réduction du nombre de médecins et d'infirmières dans les années 90, la mauvaise application des 35h dans un secteur déjà en pénurie de main d'œuvre, la tarification à l'acte imposée sous Sarkozy pour assécher le public pour favoriser le privé (sachant que les patients vraiment mal sont renvoyés en public, sans dédommagement...)
Et encore, ça continue, et c'est horrifiant.
Résultats : flux tendus, épuisement, paupérisation, etc.
L'interview date de 2009.
Je hais les néo-liberaux. C'est à cause d'eux qu'aujourd'hui les gens meurent et que l'économie va s'effondrer à cause d'un stupide virus.
Il semble que c'est plus un excès d'administration qui entrave l'efficacité dans le système hospitalier français (qui reste néanmoins l'un des meilleurs du monde), plutôt qu'un défaut.
Donc, il faudrait plus de libéralisme, en fait ?
L'économie s'en remettra ne t'inquiète pas.![]()
M'enfin, je serais assez content que tu sois rattrapé par quelque vicissitude. Un petit coup de réa ou de pauvreté subie violemment (je te souhaite ni séquelle, ni pire) te ferait peut-être perdre de ta superbe - et découvrir la profondeur du réel de non-premiers de cordée.
L'Allemagne serait "moins libérale" parce qu'elle a des syndicat plus progressistes ? La logique m'échappe. L'Allemagne a moins de prélèvements obligatoires, moins de fonctionnaires, un marché du travail plus dérégulé, une protection sociale moins avantageuse, mais ce serait un pays "moins libérale" que la France ?
Je n'ai jamais compris la définition du "libéralisme" des "gauchistes" (désolé, je suis contraint d'employer ce terme car je me crois moi-même largement anti-libéral, donc il faut bien différencier).
- une volonté sans faille de casser toute régulation de nature à limiter le profit lié à la possession du capital et la conservation sociale qu'elle induit
- une utilisation ciblée de l'Etat, si possible le plus fort possible...en ce qui concerne la capacité à supprimer les règles citées ci-dessus et à faire respecter (jusqu'à l'éborgnage de manifestants pacifiques) les-dites suppressions
- une prédilection très marquée pour le développement technologique, mais pas sous n'importe quel angle : moyen idéal pour récupérer le fric perdu pour les salaires, et maîtriser les comportements individuels
- une propagande mensongère, travestissant l'avidité égoïste comme "la défense des libertés", le renforcement autoritaire de l'Etat par "l'amélioration de l'action publique" et l'aliénation par la techno comme "le Progrès".
Quand je te lis, je me dis que le problème n'est pas le manque de moyens! Mais le fait que cela dure depuis 14 ansricardeau a écrit : ↑27 avr. 2020, 09:35 Pour en revenir aux hôpitaux, j'y vais depuis 14 ans tous les mois durant quelques jours, et certaines infirmières ont des garrots fournis par des labos, car l'hôpital n'en à pas....
Pour les pansements, les bandes sont coupées en 2, pour économiser leur stock.
Ce ne sont que des exemples!!!![]()
Ca te surprend ?Michel-Ange a écrit : ↑27 avr. 2020, 11:12S'il y a un point sur lequel à peu près tout le monde s'accorde s'agissant de cette crise en France, c'est que son excès de règles (parfois ubuesque) a nuit à son efficacité à de nombreux niveaux.___ a écrit : ↑27 avr. 2020, 11:03Néo-libéral. J'oublie souvent le néo. Paradigme qui associe :Michel-Ange a écrit : ↑26 avr. 2020, 14:08Mais je ne suis déjà en rien superbe. Tu me vois avec les yeux de l'amour.___ a écrit : ↑26 avr. 2020, 12:41L'Allemagne est sans doute plus privatisée, mais nettement moins libérale que nous. Les contre-pouvoirs au marché fou et aux capitalistes criminels sont ailleurs que dans l'État, mais ils sont là.Michel-Ange a écrit : ↑26 avr. 2020, 10:29Le système de santé allemand est beaucoup plus privatisé qu'en France.___ a écrit : ↑26 avr. 2020, 09:55 A la radio, surréalisme en direct : j'écoute une interview, je ne sais pas qui c'est, à propos de la situation de l'hôpital public. Le discours est très clair, convaincant, et pertinent.
Pour ceux qui n'ont pas compris pourquoi notre hôpital public est autant en déshérence, tout est expliqué, simplement et précisément : la politique délibérée de réduction du nombre de médecins et d'infirmières dans les années 90, la mauvaise application des 35h dans un secteur déjà en pénurie de main d'œuvre, la tarification à l'acte imposée sous Sarkozy pour assécher le public pour favoriser le privé (sachant que les patients vraiment mal sont renvoyés en public, sans dédommagement...)
Et encore, ça continue, et c'est horrifiant.
Résultats : flux tendus, épuisement, paupérisation, etc.
L'interview date de 2009.
Je hais les néo-liberaux. C'est à cause d'eux qu'aujourd'hui les gens meurent et que l'économie va s'effondrer à cause d'un stupide virus.
Il semble que c'est plus un excès d'administration qui entrave l'efficacité dans le système hospitalier français (qui reste néanmoins l'un des meilleurs du monde), plutôt qu'un défaut.
Donc, il faudrait plus de libéralisme, en fait ?
L'économie s'en remettra ne t'inquiète pas.![]()
M'enfin, je serais assez content que tu sois rattrapé par quelque vicissitude. Un petit coup de réa ou de pauvreté subie violemment (je te souhaite ni séquelle, ni pire) te ferait peut-être perdre de ta superbe - et découvrir la profondeur du réel de non-premiers de cordée.
L'Allemagne serait "moins libérale" parce qu'elle a des syndicat plus progressistes ? La logique m'échappe. L'Allemagne a moins de prélèvements obligatoires, moins de fonctionnaires, un marché du travail plus dérégulé, une protection sociale moins avantageuse, mais ce serait un pays "moins libérale" que la France ?
Je n'ai jamais compris la définition du "libéralisme" des "gauchistes" (désolé, je suis contraint d'employer ce terme car je me crois moi-même largement anti-libéral, donc il faut bien différencier).
- une volonté sans faille de casser toute régulation de nature à limiter le profit lié à la possession du capital et la conservation sociale qu'elle induit
- une utilisation ciblée de l'Etat, si possible le plus fort possible...en ce qui concerne la capacité à supprimer les règles citées ci-dessus et à faire respecter (jusqu'à l'éborgnage de manifestants pacifiques) les-dites suppressions
- une prédilection très marquée pour le développement technologique, mais pas sous n'importe quel angle : moyen idéal pour récupérer le fric perdu pour les salaires, et maîtriser les comportements individuels
- une propagande mensongère, travestissant l'avidité égoïste comme "la défense des libertés", le renforcement autoritaire de l'Etat par "l'amélioration de l'action publique" et l'aliénation par la techno comme "le Progrès".
On ne parle pas des mêmes règles, je crois. En tout cas, je distingue les règles liées au profit et à la régulation de l'activité économique, et celles qui encadrent la gestion des services publics. Il y a d'ailleurs une concomitance indéniable entre tournant néo-libéral, assouplissement des règles en matière économique, renforcement par l'absurde des règles liées à la gestion des services publics (dont les hôpitaux, mais pas que.)Michel-Ange a écrit : ↑27 avr. 2020, 11:12S'il y a un point sur lequel à peu près tout le monde s'accorde s'agissant de cette crise en France, c'est que son excès de règles (parfois ubuesque) a nuit à son efficacité à de nombreux niveaux.___ a écrit : ↑27 avr. 2020, 11:03Néo-libéral. J'oublie souvent le néo. Paradigme qui associe :Michel-Ange a écrit : ↑26 avr. 2020, 14:08Mais je ne suis déjà en rien superbe. Tu me vois avec les yeux de l'amour.___ a écrit : ↑26 avr. 2020, 12:41L'Allemagne est sans doute plus privatisée, mais nettement moins libérale que nous. Les contre-pouvoirs au marché fou et aux capitalistes criminels sont ailleurs que dans l'État, mais ils sont là.Michel-Ange a écrit : ↑26 avr. 2020, 10:29Le système de santé allemand est beaucoup plus privatisé qu'en France.___ a écrit : ↑26 avr. 2020, 09:55 A la radio, surréalisme en direct : j'écoute une interview, je ne sais pas qui c'est, à propos de la situation de l'hôpital public. Le discours est très clair, convaincant, et pertinent.
Pour ceux qui n'ont pas compris pourquoi notre hôpital public est autant en déshérence, tout est expliqué, simplement et précisément : la politique délibérée de réduction du nombre de médecins et d'infirmières dans les années 90, la mauvaise application des 35h dans un secteur déjà en pénurie de main d'œuvre, la tarification à l'acte imposée sous Sarkozy pour assécher le public pour favoriser le privé (sachant que les patients vraiment mal sont renvoyés en public, sans dédommagement...)
Et encore, ça continue, et c'est horrifiant.
Résultats : flux tendus, épuisement, paupérisation, etc.
L'interview date de 2009.
Je hais les néo-liberaux. C'est à cause d'eux qu'aujourd'hui les gens meurent et que l'économie va s'effondrer à cause d'un stupide virus.
Il semble que c'est plus un excès d'administration qui entrave l'efficacité dans le système hospitalier français (qui reste néanmoins l'un des meilleurs du monde), plutôt qu'un défaut.
Donc, il faudrait plus de libéralisme, en fait ?
L'économie s'en remettra ne t'inquiète pas.![]()
M'enfin, je serais assez content que tu sois rattrapé par quelque vicissitude. Un petit coup de réa ou de pauvreté subie violemment (je te souhaite ni séquelle, ni pire) te ferait peut-être perdre de ta superbe - et découvrir la profondeur du réel de non-premiers de cordée.
L'Allemagne serait "moins libérale" parce qu'elle a des syndicat plus progressistes ? La logique m'échappe. L'Allemagne a moins de prélèvements obligatoires, moins de fonctionnaires, un marché du travail plus dérégulé, une protection sociale moins avantageuse, mais ce serait un pays "moins libérale" que la France ?
Je n'ai jamais compris la définition du "libéralisme" des "gauchistes" (désolé, je suis contraint d'employer ce terme car je me crois moi-même largement anti-libéral, donc il faut bien différencier).
- une volonté sans faille de casser toute régulation de nature à limiter le profit lié à la possession du capital et la conservation sociale qu'elle induit
- une utilisation ciblée de l'Etat, si possible le plus fort possible...en ce qui concerne la capacité à supprimer les règles citées ci-dessus et à faire respecter (jusqu'à l'éborgnage de manifestants pacifiques) les-dites suppressions
- une prédilection très marquée pour le développement technologique, mais pas sous n'importe quel angle : moyen idéal pour récupérer le fric perdu pour les salaires, et maîtriser les comportements individuels
- une propagande mensongère, travestissant l'avidité égoïste comme "la défense des libertés", le renforcement autoritaire de l'Etat par "l'amélioration de l'action publique" et l'aliénation par la techno comme "le Progrès".
Mais tu rêves ! L'inefficacité du service public, c'est l'un des principaux objectifs réels des réformes menées depuis au moins 30 ans, ils ne vont pas revenir là-dessus alors que ça marche à mort ! Et encore moins faire sauter des baronnies, quelles qu'elles soient, alors qu'elles sont le meilleur moyen de maîtriser ce qui se passe !baggio42 a écrit : ↑27 avr. 2020, 11:18Ca te surprend ?Michel-Ange a écrit : ↑27 avr. 2020, 11:12S'il y a un point sur lequel à peu près tout le monde s'accorde s'agissant de cette crise en France, c'est que son excès de règles (parfois ubuesque) a nuit à son efficacité à de nombreux niveaux.___ a écrit : ↑27 avr. 2020, 11:03Néo-libéral. J'oublie souvent le néo. Paradigme qui associe :Michel-Ange a écrit : ↑26 avr. 2020, 14:08Mais je ne suis déjà en rien superbe. Tu me vois avec les yeux de l'amour.___ a écrit : ↑26 avr. 2020, 12:41L'Allemagne est sans doute plus privatisée, mais nettement moins libérale que nous. Les contre-pouvoirs au marché fou et aux capitalistes criminels sont ailleurs que dans l'État, mais ils sont là.Michel-Ange a écrit : ↑26 avr. 2020, 10:29Le système de santé allemand est beaucoup plus privatisé qu'en France.___ a écrit : ↑26 avr. 2020, 09:55 A la radio, surréalisme en direct : j'écoute une interview, je ne sais pas qui c'est, à propos de la situation de l'hôpital public. Le discours est très clair, convaincant, et pertinent.
Pour ceux qui n'ont pas compris pourquoi notre hôpital public est autant en déshérence, tout est expliqué, simplement et précisément : la politique délibérée de réduction du nombre de médecins et d'infirmières dans les années 90, la mauvaise application des 35h dans un secteur déjà en pénurie de main d'œuvre, la tarification à l'acte imposée sous Sarkozy pour assécher le public pour favoriser le privé (sachant que les patients vraiment mal sont renvoyés en public, sans dédommagement...)
Et encore, ça continue, et c'est horrifiant.
Résultats : flux tendus, épuisement, paupérisation, etc.
L'interview date de 2009.
Je hais les néo-liberaux. C'est à cause d'eux qu'aujourd'hui les gens meurent et que l'économie va s'effondrer à cause d'un stupide virus.
Il semble que c'est plus un excès d'administration qui entrave l'efficacité dans le système hospitalier français (qui reste néanmoins l'un des meilleurs du monde), plutôt qu'un défaut.
Donc, il faudrait plus de libéralisme, en fait ?
L'économie s'en remettra ne t'inquiète pas.![]()
M'enfin, je serais assez content que tu sois rattrapé par quelque vicissitude. Un petit coup de réa ou de pauvreté subie violemment (je te souhaite ni séquelle, ni pire) te ferait peut-être perdre de ta superbe - et découvrir la profondeur du réel de non-premiers de cordée.
L'Allemagne serait "moins libérale" parce qu'elle a des syndicat plus progressistes ? La logique m'échappe. L'Allemagne a moins de prélèvements obligatoires, moins de fonctionnaires, un marché du travail plus dérégulé, une protection sociale moins avantageuse, mais ce serait un pays "moins libérale" que la France ?
Je n'ai jamais compris la définition du "libéralisme" des "gauchistes" (désolé, je suis contraint d'employer ce terme car je me crois moi-même largement anti-libéral, donc il faut bien différencier).
- une volonté sans faille de casser toute régulation de nature à limiter le profit lié à la possession du capital et la conservation sociale qu'elle induit
- une utilisation ciblée de l'Etat, si possible le plus fort possible...en ce qui concerne la capacité à supprimer les règles citées ci-dessus et à faire respecter (jusqu'à l'éborgnage de manifestants pacifiques) les-dites suppressions
- une prédilection très marquée pour le développement technologique, mais pas sous n'importe quel angle : moyen idéal pour récupérer le fric perdu pour les salaires, et maîtriser les comportements individuels
- une propagande mensongère, travestissant l'avidité égoïste comme "la défense des libertés", le renforcement autoritaire de l'Etat par "l'amélioration de l'action publique" et l'aliénation par la techno comme "le Progrès".
On croule sous le mille feuille administratif.
Et comme en haut ils ne savent même pas comment ca se passe....j'espère que cette crise va faire sauter les barronies locales au profit d'emplois de terrain.
Une utopie....
Ecoute ça, tout y est : https://www.franceculture.fr/emissions/ ... avril-2020baggio42 a écrit : ↑27 avr. 2020, 11:14Quand je te lis, je me dis que le problème n'est pas le manque de moyens! Mais le fait que cela dure depuis 14 ansricardeau a écrit : ↑27 avr. 2020, 09:35 Pour en revenir aux hôpitaux, j'y vais depuis 14 ans tous les mois durant quelques jours, et certaines infirmières ont des garrots fournis par des labos, car l'hôpital n'en à pas....
Pour les pansements, les bandes sont coupées en 2, pour économiser leur stock.
Ce ne sont que des exemples!!!![]()
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Les personnels ont dû remonter ces dysfonctionnements.
Que font les cadres de santé ?
Et les agences régionales de santé ?
Peu importe : ce que dis tu as raison n'est pas du tout incompatible avec ce que je dis, au contraire : c'est un résultat concret et très opérationnel de ce que cette politique de merde (et meurtrière) produit.Faiseur de Tresses a écrit : ↑26 avr. 2020, 18:41C'est pas contre toi, mais avec Olaf on a la moitié de notre famille dans l'hospitalier ; on connait ça un peu mieux que par Facebook...tu as raison a écrit : ↑26 avr. 2020, 15:45Connaissant les hôpitaux, ce qui ne marche pas, c'est qu'il n'y a aucun management. Pas de chef pour les infirmiers (encore moins pour les médecins). L'infirmier-chef ne peut rarement se compter comme un leader... Ca fait que quand tu vas à l'hôpital, tu peux te trouver avec 6 infirmiers qui n'ont rien à faire et pas de médecin (alors que tu voulais le médecin). Ou voire les infirmiers qui contredisent le médecin... Ou d'autres choses inimaginables... ce qui ne se passe pas en entreprise.___ a écrit : ↑26 avr. 2020, 09:55 A la radio, surréalisme en direct : j'écoute une interview, je ne sais pas qui c'est, à propos de la situation de l'hôpital public. Le discours est très clair, convaincant, et pertinent.
Pour ceux qui n'ont pas compris pourquoi notre hôpital public est autant en déshérence, tout est expliqué, simplement et précisément : la politique délibérée de réduction du nombre de médecins et d'infirmières dans les années 90, la mauvaise application des 35h dans un secteur déjà en pénurie de main d'œuvre, la tarification à l'acte imposée sous Sarkozy pour assécher le public pour favoriser le privé (sachant que les patients vraiment mal sont renvoyés en public, sans dédommagement...)
Et encore, ça continue, et c'est horrifiant.
Résultats : flux tendus, épuisement, paupérisation, etc.
L'interview date de 2009.
Je hais les néo-liberaux. C'est à cause d'eux qu'aujourd'hui les gens meurent et que l'économie va s'effondrer à cause d'un stupide virus.
Je pense que le gros problème, c'est la façon dont sont gérés les infirmiers et c'est le cas depuis des années (+ de 30 ans minimum ?).
Ce qui est bien, sur facebook, c'est que je connais un infirmier (qui publie des vidéos foutage de gueule de ses patients) et un médecin qui soutenait Raoult (photo de son profil) et qui confirment, je le suppose, ce que je pense. Par contre, j'ai jamais vu de plaintes pour les flux tendus, l'épuisement ou la paupérisation (?).
Je ne suppose pas que ce soit à cause d'une influence trop de droite le problème... Je suppose que c'est un problème de personnes (comme dans tout, il y a des bons et des plus mauvais).
Intéressant;Latornade a écrit : ↑27 avr. 2020, 12:41 "Un laboratoire met au point le premier test mesurant le degré d'immunité au coronavirus" : http://www.lefigaro.fr/flash-actu/un-la ... s-20200427
paritaires au niveau de l'entreprise ou au niveau national ?Tom Bombadil a écrit : ↑27 avr. 2020, 09:05J'ai énormément œuvré dans mon entreprise en réunion paritaires ces 10 dernières années, je peux vous confirmer que durant les négociations avec représentants patronaux ou gouvernementaux, la seule proposition de la CFDT peut se résumer à se pencher pour ramasser la savonnette tombée dans la douche...
Très peu d'informations pour nous lecteurs (des données et une prudence à l'opposée de l'IHU) mais une recherche interessante puisque visant les malades à l'aube du fameux 14 ème jour.Michel-Ange a écrit : ↑27 avr. 2020, 13:56Intéressant;Latornade a écrit : ↑27 avr. 2020, 12:41 "Un laboratoire met au point le premier test mesurant le degré d'immunité au coronavirus" : http://www.lefigaro.fr/flash-actu/un-la ... s-20200427
ça, aussi :
https://www.aphp.fr/contenu/tocilizumab ... e-covid-19
Dernier hs pour répondre à Florent : paritaires locales, pour info je n'étais pas encarté et dans une entreprise où les seuls syndicats étaient CFDT et UNSA. Au national c'était pire et il était de notoriété publique que les leaders nationaux faisaient tout pour garder leur place et aller bouffer avec les représentants des patrons après les commissions.Florent a écrit : ↑27 avr. 2020, 15:16paritaires au niveau de l'entreprise ou au niveau national ?Tom Bombadil a écrit : ↑27 avr. 2020, 09:05J'ai énormément œuvré dans mon entreprise en réunion paritaires ces 10 dernières années, je peux vous confirmer que durant les négociations avec représentants patronaux ou gouvernementaux, la seule proposition de la CFDT peut se résumer à se pencher pour ramasser la savonnette tombée dans la douche...
La faute en revient-elle aux syndicats, aux politiques ou aux mouvements patronaux ?baggio42 a écrit : ↑26 avr. 2020, 22:06La finalité du syndicalisme est de proposer avant de combattre.la buse a écrit : ↑26 avr. 2020, 21:581er mais isolé et discrédité.baggio42 a écrit : ↑26 avr. 2020, 21:411er syndicat de France privé /public depuis 2018.la buse a écrit : ↑26 avr. 2020, 19:57La CFDT n'a besoin de personne pour se ridiculiser.Michel-Ange a écrit : ↑26 avr. 2020, 17:09En France, toute la gauche radicale crache sur la CFDT.Latornade a écrit : ↑26 avr. 2020, 17:06Tu as raison. Après va savoir si les syndicats auraient été opposés à l’ensemble des propositions. Ils participent activement a la defense des intérêts collectifs de l’ensemble d’une branche et de l’ensemble des salariés, non pas d’une catégorie et ne mènent pas de lutte idéologique. Le contraire des syndicats français.la buse a écrit : ↑26 avr. 2020, 15:21 L'Allemagne bénéficie de syndicats forts et écoutés. Le dialogue social y existe réellement et il aurait été impossible d'y conduire des lois antisociales comme en France avec l'opposition de 90 % de ceux-ci. Et puis aussi c'est un état décentralisé, la gestion de la crise s'y fait sur le terrain et non dans des bureaux déconnectés du pays.![]()
Un mépris poli suffit amplement.
Même la CGC a combattu la réforme des retraites.
Tu faisais allusion à l'Allemagne. Leurs philosophies sont à des années lumières des syndicats français.
Ces derniers sont d'un autre temps. Incapables de vivre avec leurs epoques.Si il y a aussi peu de salariés syndiqués en France, il y a bien des raisons, non ?!
Pour un citoyen lambda, la CFDT apparaît être un syndicat avec force de proposition.
Alors bien sûr, sur ce thread, t'as l'impression que la CGT c'est FillonAlors la CFDT
![]()
Ouais c est clairement flippant ces chiffres qui ne baissent pratiquement pas
Oui + de 4600 pour le Covid +
Neo libéralisme avec une dépense publique à 56% du PIB___ a écrit : ↑27 avr. 2020, 11:03Néo-libéral. J'oublie souvent le néo. Paradigme qui associe :Michel-Ange a écrit : ↑26 avr. 2020, 14:08Mais je ne suis déjà en rien superbe. Tu me vois avec les yeux de l'amour.___ a écrit : ↑26 avr. 2020, 12:41L'Allemagne est sans doute plus privatisée, mais nettement moins libérale que nous. Les contre-pouvoirs au marché fou et aux capitalistes criminels sont ailleurs que dans l'État, mais ils sont là.Michel-Ange a écrit : ↑26 avr. 2020, 10:29Le système de santé allemand est beaucoup plus privatisé qu'en France.___ a écrit : ↑26 avr. 2020, 09:55 A la radio, surréalisme en direct : j'écoute une interview, je ne sais pas qui c'est, à propos de la situation de l'hôpital public. Le discours est très clair, convaincant, et pertinent.
Pour ceux qui n'ont pas compris pourquoi notre hôpital public est autant en déshérence, tout est expliqué, simplement et précisément : la politique délibérée de réduction du nombre de médecins et d'infirmières dans les années 90, la mauvaise application des 35h dans un secteur déjà en pénurie de main d'œuvre, la tarification à l'acte imposée sous Sarkozy pour assécher le public pour favoriser le privé (sachant que les patients vraiment mal sont renvoyés en public, sans dédommagement...)
Et encore, ça continue, et c'est horrifiant.
Résultats : flux tendus, épuisement, paupérisation, etc.
L'interview date de 2009.
Je hais les néo-liberaux. C'est à cause d'eux qu'aujourd'hui les gens meurent et que l'économie va s'effondrer à cause d'un stupide virus.
Il semble que c'est plus un excès d'administration qui entrave l'efficacité dans le système hospitalier français (qui reste néanmoins l'un des meilleurs du monde), plutôt qu'un défaut.
Donc, il faudrait plus de libéralisme, en fait ?
L'économie s'en remettra ne t'inquiète pas.![]()
M'enfin, je serais assez content que tu sois rattrapé par quelque vicissitude. Un petit coup de réa ou de pauvreté subie violemment (je te souhaite ni séquelle, ni pire) te ferait peut-être perdre de ta superbe - et découvrir la profondeur du réel de non-premiers de cordée.
L'Allemagne serait "moins libérale" parce qu'elle a des syndicat plus progressistes ? La logique m'échappe. L'Allemagne a moins de prélèvements obligatoires, moins de fonctionnaires, un marché du travail plus dérégulé, une protection sociale moins avantageuse, mais ce serait un pays "moins libérale" que la France ?
Je n'ai jamais compris la définition du "libéralisme" des "gauchistes" (désolé, je suis contraint d'employer ce terme car je me crois moi-même largement anti-libéral, donc il faut bien différencier).
- une volonté sans faille de casser toute régulation de nature à limiter le profit lié à la possession du capital et la conservation sociale qu'elle induit
- une utilisation ciblée de l'Etat, si possible le plus fort possible...en ce qui concerne la capacité à supprimer les règles citées ci-dessus et à faire respecter (jusqu'à l'éborgnage de manifestants pacifiques) les-dites suppressions
- une prédilection très marquée pour le développement technologique, mais pas sous n'importe quel angle : moyen idéal pour récupérer le fric perdu pour les salaires, et maîtriser les comportements individuels
- une propagande mensongère, travestissant l'avidité égoïste comme "la défense des libertés", le renforcement autoritaire de l'Etat par "l'amélioration de l'action publique" et l'aliénation par la techno comme "le Progrès".
Ou pas. Un article du Monde parle d'un taux de mortalité de 40% pour les covid+ en réa, sans parler des vieux dans les EHPAD...