Là encore, je ne comprends pas trop l'idée.Machiavel a écrit : ↑12 avr. 2020, 13:04Elles sont indispensables si elles jouent le jeu fiscalement et socialement. Elles sont indispensable par leur capacité à réorienter leurs production si nécessaire. Mais si elles appliquaient une répartition équitable de leurs bénéfices: Investissement productif, recherche, salariés et dividendes en dernier... peut-être que ces entreprises seraient plus solides et surtout moins sujettes aux fluctuations de la bourse.Michel-Ange a écrit : ↑12 avr. 2020, 12:41Il me semble qu'une des choses que cette crise montre de manière éclatante c'est que les grosses entreprises sont une bénédiction pour un pays, et même plus, qu'elles sont en réalité indispensables.Machiavel a écrit : ↑12 avr. 2020, 12:26 Ce que j'aime les mecs qui osent de parler de "révolutionnaires en herbe", non parce qu'on peut aussi parler "des capitalistes de comptoir" aussi.
On va être sérieux à un moment, on parle pas des petits patrons, que le MEDEF ne represente pas du tout. Le MEDEF ce sont les grosses boites, alors quand un représentant de ces entreprises parle de bosser plus et de surtout lâcher du leste sur les conquis sociaux, j'entends derrière les actionnaires dirent : "on veut nos dividendes quoiqu'il en coûte"...
Concernant la crise qui vient, c'est sur qu'on ne l'avait pas vu arriver sous cette forme, mais sinon c'était une tendance qui se profilait. Croire que la belle petite musique de la mondialisation et du capitalisme financier allait pouvoir encore et toujours continuer à ce rythme c'était se leurrer. On allait à la catastrophe et ceux qui se gavent le savent pertinemment qu'on va dans le mur sur le plan financier, social et écologique... mais tant que la musique du profit sonne ils ne changeront pas leurs habitudes.
La crise qui se déroule sous nos yeux: l'OMC, les GAFA, les multinationales, les Etats qui ont fermé les yeux et se sont bouchés le nez en sont tous coresponsables. Ce n'est pas la faute à la providence...
Au final à qui va-t-on encore demander de payer l'addition, comme en 2008, comme lors des crises précédentes: les citoyens lambdas et les pays en développement et les PMA...
Pour le reste, d'accord sur rien, bien sûr.
La grande majorité des grands groupes traitent en particulier très bien leurs salariés.