osvaldopiazzolla a écrit : ↑25 mai 2020, 20:52
Lubo777 a écrit : ↑25 mai 2020, 20:35
osvaldopiazzolla a écrit : ↑25 mai 2020, 17:42
Lubo777 a écrit : ↑25 mai 2020, 14:06
Au passage : 17 500 spectateurs pour un match pour le titre pour le titre en mai ... Si aujourd"hui on faisait 10 000 de plus dans les mêmes conditions, j"en connais bcp ici qui crieraient au déclin inexorable de notre public, qui dénonceraient l'apathie des supp, le tout fout le camp, etc.
Certes le monde du foot a évolué et on est en droit d'attendre plus pour un match comparable ... Mais Sainté a plutôt ralenti à la fois économiquement (en tt cas jusq'u'à une certaine période) et sportivement. Et pourtt son public est bel et bien là. Dc tous ces apitoiements sur le déclin du public de sainté sont juste ... faux. Il faut juste remettre les choses en pesrpective, en proportion.
Par rapport à ya quarante ans, c'est clair. par rapport à ya
dix ans, je suis pas sûr. Mais ça c'est le problème de la réécriture héroîque du passé.
Yavait juste personne au stade à l'époque.
D'ailleurs, yavait pas du tout 4 buts inscrits par les verts à la demi heure de jeu : yavait 2-1 ou 3-1 (d'après la vidéo)
10 ans c récent tt de même comme comparaison. Y'a aucun signe véritablement alarmant par rapport à 2010 . On fait juste qqll à coups en fonction des dynamiques de résultats.
Dire qu'il y avait personne à lépoque c aussi exagéré que dire que y'a plus personne aujourd'hui. Les affiches à 40 000 (contre Marseille) ou sur certains matchs à part n'étaient pas la norme mais elles comptent tt de même.et ont participé à plein du mythe. . Au passage cela confirme qu'à l'époque le véritable ennemi était bien l'OM
Qt à nos affluences des matchs ordinaires, elles étaient honorables pour l'époque et pour la ville.
oui, tous tes points sont pertinents et j'ai exagéré bien sûr.
Mais c'est globalement vrai que le public de la grande époque n'existait que pour les grands matches. c'est d'ailleurs, je pense (tentative de théorie à la louche) ce qui différencie psychologiquement les publics attachés à leur club des publics de consommateurs style parc des princes récent ou lol, c'est que dans les seconds, la fidélisation (= beacoup de monde quand les affiches sont moins attirantes) existe quant ils écrasent tout, tandis que dans les premiers la fidélisation est plus quand l'équipe remonte que quand elle est au top.
Dire qu'on n'existait pas pour les petits matchs , ça reste un peu dur qd même.
On n'a jamais vu 30 000 pour chaque match à Sainté, même si on s'en rapproche un peu depuis les années 2000. Une grande partie du public n'habite pas à côté (c aussi une vraie force), et ne peut pas être là chaque we. Mais vient tt de même régulièrement. Les grands matchs ont cette particularité que tt le monde se mobilise en même temps.
Il nous manque cette base qui nous permettrait de fr 30 000 tt le temps : la faute aux purs stéphanois, aux régionaux ... en tt cas là on a un (petit) manque.
Mais on peut nuancer en disant qu'on a svt été là non seulement dans les grands matchs, mais aussi dans les 1ers tours de CE (minimum 20 000 en semaine face à des clubs parfois pas très sexy c pas mal), et qd ça tournait mal (cf. les matchs pour ne pas descendre svt des gros succès d'affluence). Et notre réussite, c aussi de maintenir une progression d'affluence constante sur le long terme malgré des résultats parfois décourageants, preuve d'un vrai attachement qui fait que comme tu le dis dès que ça va un peu mieux, les gens reviennent et s enflamment vite.
Il est clair qu'une base du public va vieillir. Mais le club a déjà montré qu'il pouvait fédérer une jeunesse régionale sur laquelle s'appuyer, capable d'entretenir cette identité.
Surtt il a finalement plutôt bien traversé les années en termes de capital sympathie, d'image, etc.
Certains veulent voir le négatif.
Je pense que dans les années qui viennent on a vraiment un coup à jouer en valorisant cette image d'une identité plus authentique liée à une histoire avec les supps et pas seulement aux titres arrachés à coup de millions. Il y a une "clientèle" pour ça aussi.
(Et si le foot a suivi le libéralisme effréné de ces dernières années, qui sait si le balancier ne basculera pas dans l'autre sens à un moment donné)