Il fera beau, il fera chaud, tous à Monaco ?

20/06 14:32

La Ligue a annoncé hier qu’à défaut de conclure sur l’essentielle question des droits TV, elle avait avancé sur le plus anecdotique, mais non moins attendu, sujet du calendrier.

C’est demain que sera dévoilé le calendrier complet de Ligue 1 (et de Ligue 2, mais c’est avec plaisir qu’on n’y prêtera pas attention). Rappelons que le championnat démarrera le week-end du 17 août. L’occasion en jetant un œil dans le rétro de souligner que, à rebours des vieilles traditions, Sainté est plutôt en réussite sur le premier match.

Ainsi si on met de côté les entrées en matière des deux dernières saisons en Ligue 2 (deux défaites à Dijon et contre Grenoble), les Verts présentent un bilan plus flatteur sur leurs 10 dernières saisons de Ligue 1 avec 6 victoires, 1 nul et 3 défaites. Dans le détail :

 

2022 : nul 1-1 contre Lorient

2021 : victoire 2-0 contre Lorient

2020 : victoire 2-1 à Dijon

2019 : victoire 2-1 contre Guingamp

2018 : victoire 1-0 contre Nice

2017 : défaite 2-3 à Bordeaux

2016 : défaite 1-2 à Toulouse

2015 : victoire 2-0 à Guingamp

2014 : victoire 1-0 à Ajaccio

2013 : défaite 1-2 contre Lille

 

Enfin, on se rappelle aussi que les deux dernières fois que Sainté est remonté en D1, il avait commencé contre Monaco, avec un délicieux nul 2-2 obtenu par les hommes du Nouz’ sur le Rocher à l'été 1999 et une courte défaite concédée par l’équipe de Baup (0-1) à GG à l'été 2004.

Jamais deux sans trois ?

Razik fier de son William serein

20/06 08:20

Dans la dernière édition du Progrès, Razik Nedder se réjouit de voir son ancien défenseur central William Saliba s'imposer en équipe de France.

"Je connais bien l’homme et le joueur. Il a la capacité à assumer ce rôle de pilier de la défense. Contre l’Autriche, il a été égal à lui-même, il excelle dans la sortie de balle. Même axe gauche, il n’est pas embêté, car c’est un joueur très technique. Les très bons joueurs, ce sont ceux qui enchaînent les prestations de ce calibre en maintenant l’exigence dans la performance. Il ne joue pas  sa carrière en Bleu sur cet Euro. Mais il a une carte à jouer. Et comme on parle d’un grand joueur, il va saisir sa chance. Vu son âge et son potentiel, il peut s’installer pour un bon moment."

La coupe était pleine depuis trop longtemps

20/06 07:33

Dans La vie en Vert, seconde mi-temps, livre de Pascal Pacaly paru le mois dernier aux éditions du Joyeux Pendu, un responsable des Green Angels revient sur les incidents qui ont ponctué le barrage contre Auxerre il y a deux ans.

"Tout ça, ce sont des années et des années de trop plein, de ras le bol. On n'en peut plus, on n'en marre. On accepte beaucoup de choses, on est fatigués d'être représentés par des joueurs qui en ont à cette époque parfois voire souvent rien à foutre du club et qui ne représentent pas l'esprit de la ville. Qu'est-ce qu'on allait faire ? Les applaudir ? En plus, il faut bien voir que ça fait 30 ans, oui 30 ans qu'on existe et pour UNE fois qu'on déborde... Alors, oui, bien sûr, faut pas croire, hein, ça nous fait chier les huis clos, les retraits de points, mais la coupe était pleine depuis trop longtemps, ça a débordé, puis explosé. OK, on a fait perdre 3 points, mais avc nos ambiances, combien de points on leur a fait gagner ? Mais ça on ne le dit pas."

Puel encense Saliba (3)

20/06 07:10

Dans la dernière édition du Progrès, Claude Puel encense une nouvelle fois William Saliba, convaincant il y a 3 jours contre l'Autriche et postulant pour être de nouveau titularisé demain soir contre les Pays-Bas.

"C'est légitime de le voir dans le onze de départ de l'équipe de France. En Angleterre, il est confronté au très, très haut niveau. Il fait face quotidiennement à des adversaires puissants, rapides ou techniques, ça l'a renforcé. Certains montrent leur puissance, taclent. William, lui, s'appuie sur un profil particulier. Il fait la différence par sa lecture de jeu, son sens de l'anticipation. C'est moins spectaculaire mais c'est toujours propre. C'est intéressant d'avoir cette touche technique supplémentaire."

Batlles est content que le club remonte

20/06 06:51

Dans un podcast mis en ligne hier soir sur la chaîne youtube de Ma Ligue 2 et dont nous avons retranscrit les principaux extraits, Laurent Batlles est revenu notamment sur ses vertes années d'entraîneur.

"Quand on est entraîneur et qu’on vit une éviction, ce n’est jamais évident. C’est un club qui me tenait à cœur, j’ai tout fait dans ce club, j’avais envie d’aller au bout de l’aventure avec mon staff. J’étais persuadé qu’on allait arriver sur l’objectif qu’on s’était fixé sur les deux ans. Parfois, il y a des planètes qui ne sont pas alignées, il y a des choses qui se passent sur quelques matches. Il y a eu cette éviction qui pendant quelque temps a été difficile à vivre. Quand on comme ça viré d’un club, ce n’est jamais facile car on s’investit énormément. Après, il faut prendre le temps de se ressourcer, de penser à soi. Après, on regarde beaucoup de matches, on essaye de se tenir au courant de tout ce qui se passe pour rester connecté au football. Quand on est passionné, on ne peut pas complètement couper. A certains moments, c’est important de regarder ce que font les autres. J’ai pas mal d’amis qui sont entraîneurs aussi en L1, L2 voire à l’étranger. C’est important de se remettre un peu en question et de se dire qu’il y a d’autres idées ailleurs qui sont intéressantes. Même si on a un projet de jeu, il faut savoir le faire évoluer.

A l’ASSE, j’ai été un peu à tous les postes. J’ai notamment été adjoint de Christophe Galtier pendant un an. Après, le fait d’entraîner avec sa propre façon de voir le football, c’est complètement différent que d’être l’adjoint d’un entraineur qui lui a ses idées. Même si vous essayer de les faire passer, obligatoirement, c’est l’entraîneur qui décide. Quand j’étais l’adjoint de Christophe, je lui ai dit que j’aimerais prendre la réserve pour mettre quelque chose en place moi-même. Dans un centre de formation, tu n’as pas une obligation de résultat extrême, ça te permet de pouvoir faire tes armes. On change souvent d’équipe car on joue parfois avec des U19, parfois il y a la Gambardella. Il y a un groupe assez étoffé et parfois d’un week-end à un autre il faut changer la moitié de l’équipe mais pour autant il fait garder le même système de jeu, il faut essayer d’avancer et parfois de rendre la mesure à un adversaire, jouer dans un certain système. Tu peux jouer dans n’importe quel système, tout cet apprentissage m’a servi quand je suis parti entraîner en pro.

Deux jours après la descente du club en Ligue 2, Loïc, avec qui j’ai joué, et Jef Soucasse, avec qui j’étais au centre de formation, m’appellent et me disent : « Écoute, on voudrait te rencontrer, est-ce que ça t’intéresserait de venir entraîner l’ASSE ? ». Quand vous êtes là, que vous avez vécu dans ce club… Je me suis dit « je tente le coup », même si je savais très bien que ça allait être compliqué, notamment après la descente. Parce qu’il y a eu un gros traumatisme dans la ville et notamment aussi tout ce qui s’était passé à la télé. On ne pouvait pas l’ignorer. Mais ça s’est fait totalement naturellement, j’ai presque dit oui de suite, ça a été presque logique pour moi. Si je ne l’avais pas fait, je l’aurais regretté. Je voulais entraîner ce club. Je savais que la première année allait être compliquée, avec tous les départs. Ça a été encore plus compliqué que je ne le pensais. Je suis arrivé avec moins 3 points, 4 matches à huis clos, et des mecs qui sont partis le 31 août. J’ai commencé avec des mecs en sachant qu’ils ne resteraient pas.

On fait 3 matches nuls sur les 5 premiers matches donc on est à 0 point… On commence le championnat le 31 août alors qu’il y a déjà des clubs qui ont beaucoup de points. Ce n’est pas évident. A la trêve, on a 16 points, on est plus ou moins derniers. Dans ces moments-là, on s’est battu, le club a fait un recrutement assez judicieux. Mais c’était normal, pour moi c’était logique d’entrainer ce club-là. Même dans la difficulté, même après ce qui s’est passé, aujourd’hui je ne regrette en rien le fait d’avoir entraîné ce club. Les premiers mois, ça a été très compliqué car personne n’avait pris en compte la mesure du championnat et de ce que représentait la Ligue 2. Je pense que jouer contre Saint-Etienne, battre Saint-Etienne, ça représente énormément de choses. Les ressorts, c’est juste de se dire qu’il faut s’accrocher, qu’il faut travailler, qu’on va trouver des moyens, que des joueurs vont partir et d’autres vont arriver.

Il y a eu la Coupe du monde au milieu, ça m’a fait un mois et demi de coupure. On a pu travailler, on a pu remettre la tête à l’endroit de certains sans avoir la pression des résultats et des matches. Cette coupure internationale a permis de laver les têtes, de faire un peu d’autres choses, de prendre le temps pour nous, de repartir de zéro. On a retravaillé sur l’effectif, sur les vidéos, on a retravaillé avec les joueurs. Ça nous a permis de faire une seconde partie de saison presque irréelle. Je crois qu’on a perdu que deux matches, on finit avec 61 buts alors que c’était du jamais vu. Après, on a pris beaucoup de buts. Quand tu as 16 points à la trêve et que tu es entraîneur, il faut aller chercher le maintien. J’ai dit à mes joueurs qu’on allait tenter le coup, qu’on allait presser pour mettre des buts, qu’on en prendrait sûrement mais qu’il fallait en mettre un de plus que l’adversaire pour prendre des points. On a enchaîné beaucoup de bons résultats, ça nous a permis de finir 6èmes à la fin du championnat malgré notre handicap de départ de moins 3 points.

Lors de cette trêve internationale, il n’y avait plus cette pression des matches, ces conférences de presse où tout le monde vous rappelle : « alors, vous êtes derniers… » A à moment donné tu rentres dans un fonctionnement beaucoup plus normal, beaucoup plus lisse, tu peux prendre le temps de parler avec tes joueurs, tu peux leur dire : « des joueurs vont arriver cet hiver, on va partir sur ça, il nous a manqué ça, là c’est suffisant, là ça ne l’est pas. » En fait ça a été une trêve qui a été salvatrice au niveau de notre fonctionnement. On s’est dit qu’il fallait lors de ce mercato hivernal prendre des joueurs qui déjà veulent venir, ce n’était pas facile vu notre situation. Il fallait aussi que ce soit des mecs qui connaissent le championnat par cœur et qui soient capables de faire des différences rapidement et tenir un vestiaire. Il y avait des mecs qui le tenaient mais quand les résultats ne viennent pas, la légitimité des mecs est remise en cause. Les mecs qui sont arrivés ont performé, ça a reboosté les autres. On a récréé quelque chose.

On finit la saison en trombe. L’arrivée de Kader Bamba, même s’il a été blessé, nous a fait énormément de bien car pour la Ligue 2 il avait un niveau technique vraiment au-dessus de la moyenne. On a rentré vraiment de bons joueurs. Charbo se blesse rapidement mais malgré tout on arrive à récréer quelque chose avec un fonctionnement d’équipe. Au lieu de joueur comme je jouais avec un losange au milieu, on a joué plus avec un carré. C’était plus approprié aux joueurs que j’avais. On a performé car les joueurs aux valeurs offensives étaient au-dessus. De là à dire que ça positionnait l’équipe pour l’année d’après de la même façon… Je ne pense pas car on a eu des pertes très importantes comme Jean-Philippe Krasso et Niels Nkounkou qui avaient quand même surfé sur la Ligue 2. Kader Bamba est parti.

Dans le domaine offensif, on a pas mal perdu, sachant qu’en plus Wadji s’est pété toute la saison. Ibra, un peu comme Touzghar, c’est quelqu’un qui a une profondeur énorme dans le jeu. Ce n’est pas la peine de lui demander de faire partie du jeu en lui-même, par contre ça fait reculer les équipes adverses et ça donne la possibilité au milieu d’avoir plus d’espace dans l’entrejeu. La deuxième année, on n’a pas pu faire les mêmes choses que les six mois précédents car on avait pas les mêmes joueurs. On a eu des virus, des virus, des mecs avec des kilos en moins. Après on a enchaîné 10 matches sans perdre mais en changeant totalement de système. Je ne pouvais plus jouer dans le même système, je n’avais pas plus les joueurs pour. On est parti à Caen en se disant qu’on allait bloquer les couloirs car il fallait absolument qu’on prenne des points. Ce match-là, Gautier a été extraordinaire, on a gagné et ça nous a lancés.

L’effectif n’était pas apte à un certain moment à pouvoir jouer dans le système que je voulais mettre. J’avais des blessés voire pas les joueurs pour. Ibra Sissoko, c’est un mixte entre Wadji et Krasso mais sans être vraiment un joueur de profondeur et sans être vraiment un joueur d’interligne. Il fallait faire avec car quand JP nous a dit qu’il partait, il fallait trouver des joueurs. Ibra partait de Sochaux libre, on a saisi l’opportunité d’avoir un attaquant qui connaissait la Ligue 2, qui était performant et était un vrai buteur. Mais c’est une autre approche, c’est pour ça qu’il a fallu changer tactiquement.

Comment j’explique nos 5 défaites consécutives alors qu’on sortait d’une série de 10 matches d’invincibilité ? Parce que, parce que, parce que… Parce que je me retrouve avec Gautier qui se fait mal. Avant le match d’Angers, j’ai dans la semaine 5 blessés. Des mecs comme Larsonneur, Batubinsika, Wadji qui se refait mal, Bentayg aussi je crois… Pfff ! Est-ce que c’est pour ça que derrière on a eu les défaites, je ne sais pas quoi dire. Je ne veux pas non plus tout assimiler au fait qu’il y ait des blessures. Mais malgré tout, quand tu perds des joueurs importants à un certain moment et notamment sur ces matches-là, pfff ! Ben y’a ça et y’a peut-être aussi des choix… De toute façon, je ne peux pas tout mettre sur l’aspect des blessures. Il y a peut-être aussi des choix que j’aurais dû faire différemment.

Tu restes 10 matches sans perdre et tu enchaînes 5 défaites, tu ne comprends pas. Sur la fin, notamment quand on perd 3-1 contre Guingamp mon dernier match, j’ai presque la même équipe que j’avais 5 matches avant. Gautier reprend mais malheureusement il n’avait fait qu’un entraînement avant de reprendre le match. Il me dit « je veux absolument jouer. » Je lui dis : « tu ne peux pas jouer, tu vas te refaire mal. » Il me dit « non, non, je joue. » Après… Je pense que l’explication c’est peut-être ces blessures, peut-être aussi des choix d’équipes, je ne peux pas ne pas me mettre dedans, ce serait trop facile.

Parfois tu ne comprends pas vraiment pourquoi ça se passe comme ça. Parfois il n’y a rien pour nous. Contre le Paris FC, ils frappent 2 fois dans le match, on perd 1-0. A Amiens, on a 70% de possession, ils ont une frappe dans le match et on perd 1-0. Tu vas à Auxerre, t’en prends 5 alors que t’es une des équipes les plus costauds du championnat. On ne prenait presque pas de but et d’un seul coup on en pend 5… Tu te dis «qu’est-ce qui se passe ? » Ce sont des périodes où il faut essayer de faire le dos rond. En tant qu’entraîneur t’arrives à le faire, après, peut-être que les dirigeants à ce moment-là n’ont pas fait le dos rond.

Je sais que ce stade Geoffroy-Guichard est fantastique. Il peut l’être comme il peut être dur aussi. Moi j’ai joué à Marseille et j’ai joué dans ce stade aussi. Quand ça va, c’est fantastique. Quand ça va moins, c’est un peu plus compliqué. Pour autant, les supporters ont toujours été là, ils ont toujours poussé, ils ont toujours essayé d’aider les joueurs. Pour faire une belle saison, il faut te servir de tes bons résultats à domicile. Après, on sait comment ça se passe. Tu joues contre des blocs bas, il y a des contres, ce n’est jamais évident. Mais le Chaudron est un lieu pour jouer au football qui est fort en émotions.

On l’a vu sur cette fin de saison, quand ça se passe très bien, tout joueur a envie de jouer dans ce stade-là avec cette ambiance-là. Après ça peut parfois inhiber en fonction des résultats, on l’a vu l’année où le club est descendu. Parfois ce n’est pas facile pour les joueurs de pouvoir y jouer, même pour des joueurs d’expérience. Je ne pense pas que ça a joué cette saison et que ça explique notre mauvaise série. Les blessures ont coûté très cher, il y a eu aussi des faits de jeu et peut-être des choix que j’aurais dû faire différemment. Parfois tu fais des choix et tout se passe bien, parfois t’en fait et ça se passe moins bien. Ça fait partie du football.

On n’a pas pu faire notre dernier match de préparation l’été dernier à cause d’un virus. Ça a été terrible. Il y a un joueur qui perdu 7 kilos. Briançon, derrière, on pensait qu’il était rétabli mais il s’est entraîné une fois, il ne pouvait pas. Il y en a 4 ou 5 voire 6 qui étaient comme ça. On ne savait plus quoi faire. On a fait des analyses. Quand tu commences le championnat et que t’en es là… C’est pas évident mais tu ne peux pas te retrancher derrière ça. Le foot est ainsi fait que tu joues tes matches et tu dois les gagner, point barre.

J’ai eu énormément de messages de mes anciens joueurs. La plupart des joueurs qui sont dans cet effectif aujourd’hui, j’ai fait des pieds et des mains pour les avoir. Parfois contre l’avis de beaucoup de monde… Ils le savent et bien sûr que je suis heureux que le club remonte. Je vis toujours à Saint-Etienne. Je suis heureux pour eux aussi parce qu’il y a des joueurs qui ont vécu des moments pas faciles. Mais on a des liens avec certains qui seront à vie. Il y en a beaucoup qui m’ont envoyé des messages. Je leur renvoie la balle car c’est aussi grâce à eux que j’ai vécu de très bons moments en tant qu’entraîneur. Des moins bons malgré tout mais ça fait partie de la vie. J’ai eu beaucoup de messages d’eux par rapport à ce que l’on avait vécu sur la première partie de saison.

 J’ai été très touché par tous les messages de mes anciens joueurs. Ça ne se fait pas tout le temps mais en regardant les matches de barrage et tout ça… Même s’il y a eu bien sûr un travail qui a été fait derrière, dans la construction de ce que l’on voulait mettre en place, on avait dit qu’on avait un objectif et je pense qu’on ne s’était pas si trompé que ça. Maintenant, il y a eu quand même un mercato hivernal qui a été très intéressant du côté de Saint-Etienne, notamment un joueur que je voulais depuis un moment, que je voulais récupérer car je savais qu’il avait des stats avec Brest. Il ne pouvait pas ou ne voulait pas venir à un certain moment.

J’aurai aimé démarrer la saison avec Irvin Cardona mais ça ne pouvait pas se faire car il y a des choses malgré tout dans le football où quand des joueurs s’en vont d’un endroit, ils se disent « ouais, on va aller ailleurs, on va réussir là, » et en fait comme ils ne réussissent pas ils se disent « en fait, je vais peut-être revoir ma copie. » Pour Niels Nkounkou, ça avait été pareil. Quand on appelle à l’intersaison de l’été, on vous dit : «non, on préfère avoir un club de Ligue 1, on préfère ci, on préfère ça. » Mais quand ça joue un peu moins, les joueurs se disent « autant aller dans un club de L2 qui joue la montée, ça peut me permettre de me relancer. » C’est pour ça qu’avec Loïc et avec Jef et Samuel Rustem, en appelant les joueurs, on leur a tenu ce discours-là : « on a eu une première partie compliquée, vous aussi. Si vous faites une seconde de partie de saison intéressante, c’est bénéfique pour tout le monde ». C’est ce qui se passe souvent.

Kemlin s'affiche, l'ASSE se fâche

19/06 23:03

Candidat aux élections législatives dans la première circonscription de la Loire, Xavier Kemlin a choisi dans le cadre de sa campagne de s'afficher à l’intérieur du Chaudron avec, en arrière-plan les logos de l’ASSE et de Saint-Etienne Métropole. Selon France Bleu, le club et le propriétaire du stade envisagent d'entamer des démarches juridiques pour faire retirer les affiches et les tracts. Mais l'arrière petit-fils de Geoffroy-Guichard explique à la radio qu'il ne compte pas les retirer.

"Matériellement je ne peux pas. Je n'avais même pas vu qu'il y avait marqué ASSE et Saint-Étienne Métropole. Et puis moi je suis très surpris de cette attitude à l'égard d'un descendant de Geoffroy-Guichard. J'ai sans doute beaucoup plus de légitimité que tous ces gens-là à ouvrir ma gueule. Quand il y a eu l'histoire des Lyonnais, il n'y a eu personne de la Métropole pour dire que c'était scandaleux que les Lyonnais chantent "emmenez-nous à Geoffroy-Guichard au pays des bâtards" ! C'est moi qui ai fait cracher Aulas au profit d'une association. Donc OK, au second tour s'il faut, je changerai d'affiches, mais là, c'est me tirer une balle derrière la tête et ça je ne suis pas du genre à l'accepter !"

Des Appelous chez nous

19/06 22:29


Ces Appelous vont arriver à l'ASSE : Ethan Laurenson, Rayan Diaf, Tom Feigenbrugel, Charly Desage, Manel Akkouche et Antoine Foray

Nombreux ont été les Appelous à intégrer la formation stéphanoise : dans le passé Anthony Losilla, l'inoxydable joueur du Vfl Bochum 1848, et plus récemment, Habib Koné (désormais à Andrézieux), Clément Moulineau, Kaïs Bendriss, Elias Herek, Alpha et Christ N'Gongar, Amine Chouchani ont débuté au FCO Firminy et sont ensuite passés à l'ASSE.

Cette intersaison verra également bon nombre d'Appelous rejoindre les Verts :
- Ethan Laurenson, Rayan Diaf, Tom Feigenbrugel : futurs U12
- Charly Desage : futur U13
- Manel Akkouche : future U15F,
- Antoine Foray : futur U16

Ce dernier, qui a pu bénéficier des conseils d'un ancien du centre de formation, Anthony Badel, devrait donc évoluer avec les U16 de Kevin De Jesus.

A noter que le staff des seniors du FCO Firminy a une forte coloration verte avec, outre Anthony Badel, Clément Peillon, Sylvain Pretin

Pantaloni bientôt Merlu ?

19/06 22:24

Selon Ouest-France, l'ancien milieu de terrain stéphanois et actuel entraîneur ajaccien Olivier Pantaloni (57 ans) est pressenti pour succéder à Régis Le Bris sur le banc des rélégués lorientais. Bruno Irles, Stéphane Le Mignan et Jocelyn Gourvennec sont également cités par le quotidien le plus diffusé de France.

Un homme et une flamme

19/06 18:49

C'était un secret de polichinelle mais France Bleu le sort du tiroir : Jean-Michel Larqué sera le dernier relayeur à porter la flamme à Sainté et allumera la vasque olympique surnommée le chaudron au pied du stade Geoffroy-Guichard ce samedi 22 juin vers 19h30.

Massons-nous à Massot !

19/06 18:33

L'Eveil de la Haute-Loire évoque le match amical que les Verts joueront contre le Clermont Foot le samedi 20 juillet à 18h00 au stade Massot (Le Puy-en-Velay)

"Contrairement à la campagne d'abonnement de l'ASSE qui a débuté ce mercredi matin, la billetterie n'est pas encore ouverte. Cette dernière se fera uniquement de façon matérialisée dans trois points de ventes : la Mie Câline (centre-ville au Puy-en-Velay), le magasin Darty (Vals-près-le-Puy) et à la boutique de l'ASSE à Saint-Étienne. Pour l'instant, la date exacte de l'ouverture de la billetterie n'est pas connue. Toutefois, 2 000 places en tribunes et 2 500 billets en pourtour seront mis en vente. Au niveau des tarifs, les tickets en tribune seront à 12 € et 8 € en pourtour."

Et Platoche embrasa le Chaudron

19/06 10:10

Dans une série sur le fabuleux Euro 84, la Pravda du jour revient sur le (non moins) fabuleux France-Yougoslavie (3-2) disputé il y a 40 ans à Sainté :

5 jours après avoir sonné creux pour Espagne-Roumanie (1-1 devant 17 012 personnes), Geoffroy-Guichard déborde de 45 789 spectateurs pour le dernier match de groupe des Bleus. « J’aimerais que l’équipe de France soit brillante » exhorte Michel Platini, l’ancien Vert (1979-1982) motivé à l’idée d’embraser un Chaudron où fument encore les cendres du barrage retour D1-D2 perdu un mois plus tôt face au RC Paris (0-2, 0-0 à l’aller) qui a précipité l’ASSE en D2 (…) Replacé un cran plus haut, Platini régale Geoffroy-Guichard d’un nouveau triplé : but du gauche (59è), tête plongeante (62è), et coup franc direct en feuille morte du droit (77è). Sur ce coup, il se montre roublard en déplaçant le ballon de deux bons mètres sur la gauche pour avoir un meilleur angle. « Il connaissait le moindre mètre carré de cette pelouse observe Yvon Le Roux, admiratif. Le talent a fait le reste ».

Le plastique, c'est fantastique !

19/06 08:09

Dans La vie en Vert, seconde mi-temps, livre de Pascal Pacaly paru le mois dernier aux éditions du Joyeux Pendu, un responsable des Green Angels parle des tifos du groupe ultra réputé pour être le meilleur et le plus inventif de France dans ce domaine.

"La saison 1999-2000, c’est vraiment une date importante dans l’historique du tifo. Avant, les feuilles étaient en papier et ça nous limitait pour plein de choses. Depuis cette époque, c’est du plastique et plastique… c’est fantastique ! Déjà, vis-à-vis de la peinture qui se nettoie plus facilement, tout comme la bière ! On peut aussi foutre du scotch transparent sans que ça déchire la feuille. Après, le plastique, c’est plus flashy et surtout on peut plus travailler sur les détails du dessin, et les couleurs. Je me souviens d’un tifo, c’était un immense Cochise, on avait pu user une dizaine de couleurs différentes. Véritablement, avec le plastique, on a pu créer des tifos plus ambitieux et en se prenant moins la tête.

Désormais on part d’une maquette dessinée sur PC puis on projette le tout sur un mur. Je dis "désormais" car au début c’était à main levée puis via des diapositives et enfin via vidéoprojecteur. Pour ce qui est du message que l’on va écrire dessus, tout dépend évidemment du contexte – si on joue le maintien, la montée, l’Europe – du club que l’on reçoit. Après, l’idée d’un texte, ça peut très bien venir de l’un des gars qui boit une bière au bar et qui dit : "Hey, pourquoi pas écrire ça, ça sonnerait bien ?!". Un tifo, c’est trois semaines à plusieurs mois de travail avec des gens qui donnent de leur temps pour le groupe et le club. Tout ça est fait de manière bénévole, pour Sainté."

Armand Fouillen passe l'arme à gauche

19/06 07:39

Comme le rapporte Le Télégramme, l'ancien attaquant stéphanois Armand Fouillen est décédé avant-hier à l'âge de 91 ans. Le natif de Lorient, qui a entraîné le Stade Brestois et dirigé son centre de formation, a marqué 4 buts sous le maillot vert lors de la saison de D1 1956-1957, qui s'est achevée par le premier sacre de l'histoire de l'ASSE.

Feu vert pour Lucas Roche

18/06 20:58

La page Facebook de Montluçon Football nous apprend que l'attaquant Lucas Roche (né le 27 mars 2009) rejoindra cet été les rangs du centre de formation de l'ASSE. Avant d'opérer pour le Montluçon Football, il avait été formé à l'AS Domérat. 

Lors de sa saison U15, ce joueur endurant ( il a notamment remporté le cross de son école dans la catégorie poussins en novembre 2019, et plus tard celui de son collège dans la catégorie minimes en octobre 2022) a fréquemment joué avec les U16 R2. On peut penser qu'il devrait faire ses débuts en vert avec les U16 de Kevin De Jesus, à moins de passer directement avec les U17 nationaux de David Le Moal. Mais ceci est une autre histoire ! A lui de l'écrire !

Cette arrivée d'un joueur de Montluçon Football (anciennement Etoile Des Sports Montluçon) est l'occasion de rappeler le nom des joueurs ou entraîneurs qui ont évolué également à l'ASSE : Pascal Carrot (entraîneur), Eliott Gattier, Jérémy Mellot, Jonathan Pérot, Cyril Lécluse, Gérard Placide et Marcel Capelle 

Toto Losilla compare Bochum à Sainté

18/06 19:26

Pur produit du centre de formation de l'ASSE et exemplaire capitaine de Bochum (maintenu en Bundesliga à l'issue d'un renversant barrage), l'inoxydable Anthony Losilla (38 ans) a accordé un intéressant entretien à Ouest-France. Extraits.

"A mon arrivée à Bochum, il n’y avait pas un francophone dans l’effectif. Je me débrouillais pas trop mal en allemand, mais j’ai été obligé de vraiment faire les efforts pour m’intégrer. C’est à partir de là que je me suis imprégné et que j’ai su apprécier la qualité de vie et la culture allemande. Sans prendre de cours, en me forçant à parler avec mes coéquipiers. Aujourd’hui, avec du recul, je pense que c’est primordial d’apprendre la langue quand on arrive dans un nouveau pays. C’est la première chose à faire pour s’intégrer dans un club.

Je suis passé du joueur qui ne parle pas la langue au capitaine d’une équipe allemande. Au début, c’était davantage par intermittence. Puis, ça doit faire six ans que c’est devenu régulier. Avec le temps, j’ai non seulement appris la langue, mais aussi la façon dont fonctionnait le club, son identité, ses valeurs, que j’essaie de transmettre sur le terrain. J’ai toujours eu cette fibre. Après, je ne suis pas le capitaine qui aboie et harangue. Je le fais quand c’est utile mais je pense surtout être un capitaine par l’exemple sur le terrain et à l’entraînement.

Bochum, c’est une ville de la Ruhr, une région historiquement minière. C’est un peu comme le Forez, ma région natale. Il y a beaucoup de similitudes dans la mentalité des gens : très ouverts, travailleurs, avec un goût prononcé de l’effort. C’est exactement les valeurs que le club veut transmettre. Mouiller le maillot signifie vraiment quelque chose ici. Un mot revient souvent ici : “Malocher”, que l’on pourrait traduire par « travailleur acharné ». Il colle vraiment à l’ADN du club. Ici, on est vraiment sur la Ruhr authentique.

Sincèrement, en France, on ne sent pas l’engouement qu’il y a ici, en Allemagne. En France, il y a bien sûr des exceptions, des clubs bien connus pour leur ambiance comme Saint-Etienne, mais la différence, c’est qu’ici, ça concerne tout le monde. Par exemple, dans la région, il y a un club de D4 allemande, l’Alemannia Aache, qui joue la montée cette saison devant 30 000 spectateurs par match. C’est un bon exemple de l’état d’esprit des Allemands. Peu importe le niveau du club qu’ils supportent, c’est le club de leur ville. C’est leur club. Ils vivent pour lui, et c’est assez fou à voir, même après douze ans.

Il y a quelques années, une réforme du football allemand donnait la possibilité à un investisseur étranger d’entrer dans le capital du club. Mais ici, comme ailleurs dans le pays, les fans sont très méfiants et opposés à ça. Ils ont peur que leur club perde leur identité. Ici, le football concerne l’ensemble de la famille. Dans chaque club, ou presque, il y a une tribune pour les enfants. Il y a une vraie volonté de transmission de génération en génération. On sent que les matches rythment le quotidien de personnes, qui attendent le week-end avec impatience. Le jour du match est entièrement consacré à celui-ci. On voit des familles aux abords du stade quatre heures avant. Ils mangent ensemble avant, ils y restent après.

À Bochum nous avons fait un très mauvais début de saison, l’année dernière. Les supporters sont restés fidèles toute la saison. Alors, ce qu’il y a aussi de différent, c’est que les clubs allemands entretiennent le contact avec leurs supporters. En tant que capitaine, j’ai beaucoup de rencontres avec nos fans, notamment nos ultras. Il y a de réels échanges entre leurs attentes et les nôtres, où on leur demande souvent patience et indulgence, en remettant le club dans son contexte. J’ai le sentiment qu’il y a davantage de dialogues entre joueurs et fans qu’en France.

Chaque jour, mes enfants, qui en sont à l’équivalent de l’école primaire et du collège, vont à l’école jusqu’à 13 h 30, maximum. Ils ont donc chaque après-midi de libre. Le but est de pouvoir allier la scolarité, le matin, avec les loisirs, comme le sport ou la musique, l’après-midi. Ça fait partie de l’éducation et c’est tellement appréciable de pouvoir voir ses enfants s’épanouir dans plusieurs domaines. Ça me paraît si logique, un enfant ne peut pas être concentré sur ses cours de 8 h à 16 h 30, comme c’est le cas en France. Le système allemand m’a fait comprendre que le système français est aberrant. Et, dans un sens, avec ma femme, ça nous oriente encore plus dans la volonté de rester en Allemagne après ma carrière. Mes enfants se sentent bien dans ce système, ma reconversion pour un poste d’entraîneur, ici à Bochum, est déjà dans les tuyaux."

La République tchèque est verte

18/06 19:12

Si William Saliba est le seul joueur ancien Vert à participer à l'Euro, deux membres du staff de la République tchèque (qui va affronter ce soir le Portugal) ont défendu eux aussi les couleurs de l'ASSE. Il s'agit du sélectionneur Yvan Hasek, coach de l'ASSE en 2006-2007, et du préparateur physique Nicolas Dyon. Préparateur physique du Borussia Mönchengladbach (Allemagne) depuis un an, ce dernier a été détaché auprès de la Reprezentace pour la compétition. Au départ, Hasek, le sélectionneur tchèque  avait songé à un autre préparateur physique français, Michel Dufour, qu'il avait côtoyé à l'ASSE (2006-2007). Mais Dufour était disponible sauf si un autre de ses compagnons de route, Antoine Kombouaré, trouvait un club. Et Kombouaré a de nouveau signé à Nantes en mars. Nicolas Dyon, 46 ans, qui a notamment travaillé avec Frédéric Antonetti à Saint-Étienne, Nice et Rennes, a lui accepté cette mission temporaire.

Nicolas Dyon est né le 15 août 1977 à Saint-Rémy. De 1991 à 1996, il joue milieu de terrain à Louhans-Cuiseaux, des moins de 17 ans à la CFA2. En 1999, il intègre le centre de formation de l'ASSE en tant que préparateur physique transversal et entraîneur des moins de 13 ans. Parallèlement, il obtient le DESS "Performance motrice" à l'UFR Staps de Dijon. Durant l'été 2001, il dirige la préparation physique de l'équipe nationale du Qatar pour les éliminatoires de la Coupe du Monde 2002. En septembre 2001, il remplace au poste de préparateur physique Jean-Paul Ancian, démissionnaire comme Alain Michel. Après avoir effectué un excellent travail, il quitte l'ASSE en juin 2004, solidaire de Frédéric Antonetti dont le contrat n'avait pas été renouvelé.

Il retrouvera Anto en juin 2005 à l'OGC Nice dont il devient le préparateur physique jusqu'en juin 2009. Il suivra encore Frédéric Antonetti à Rennes de juin 2009 à juin 2013. Après une année sans club, il officiera de juin 2014 à septembre 2014 à Al Fujairah (EAU) avant de rebondir au Grasshopper Zurich de mars 2015 à mars 2017, puis au FC Lugano (Suisse) de juin 2017 à avril 2018. Il retourne au  Grasshopper Zurich de juin 2019 à février 2020. Il revient à l'OGC Nice de décembre 2020 à juin 2021 avant d'arriver au Borussia Moenchengladbach en juillet 2023.  Il est l'auteur d'une étude sur "Les blessures musculaires aux ischios jambier en football : méthode de prévention.". 

Latéraux, à gauche toutes ?

18/06 16:53

Non il ne s'agit pas de consignes de vote de nos latéraux pour les échéances à venir, mais d'une analyse rapide des forces en présence à ce poste.

Après avoir évoqué la situation de nos défenseurs centraux, poursuivons avec nos latéraux.

Comme pour les centraux, le temps de jeu a été quasi monopolisé par 3 joueurs : Pétrot, Appiah et Maçon avec respectivement 33, 30 et 19 titularisations. Le décalage s’expliquant par l’arrivée de Maçon au mercato d’hiver. Au-delà de ces trois piliers de notre saison, Bentayg avec 2 titularisations (mais 21 entrées en jeu), sans s’imposer, a su se rendre utile.  

Question expérience dans l’élite, comme nos 3 centraux, nos 3 latéraux ne sont pas puceaux : Appiah, 32 ans, a logiquement le plus beau CV : 67 titularisations avec Caen entre 2014 et 2016, puis 65 avec Nantes entre 2019 et 2022, avec au milieu un intermède à Anderlecht où il a été titulaire à 38 reprises en 2 saisons. En Belgique il s’est aussi construit une belle expérience européenne avec 14 titularisations en Ligue Europa et en Ligue des Champions, auxquelles il faut ajouter 2 titularisations en Ligue Europa avec Nantes en 2022.

A 27 ans, Pétrot est lui un Vert qui n’est plus vraiment un bleu, et il faut se rappeler qu’il a connu 21 fois les joies de la titularisation avec Lorient en Ligue 1 lors de la saison 2021-22.

Enfin, Maçon, à 25 ans, a des stats à peu près comparables avec 27 titularisations en Ligue 1 (qu’il est le seul à avoir connu en Vert avec Moueffek, Green et Nadé), réparties sur 3 saisons (sa grave blessure en 2020 l’ayant privé d’une saison 2020-21 complète alors qu’il semblait voué à s’installer dans la durée au poste de latéral droit après son très bon début de saison).

Si le renfort de Maçon a été le bienvenu à un poste où on était sans plan B derrière Appiah, on peut donc à la fois au vu de leur CV et de leur saison conclure qu’on a 3 latéraux dont la présence dans un groupe de Ligue 1 semble largement défendable, trois valeurs sûres. Comme titulaires ? Cela reste sans doute plus à démontrer y compris pour Appiah qui a perdu depuis Caen son statut de titulaire inamovible (à Nantes lors de ses trois saisons complètes, il a été titulaire 18, puis 16, puis 22 fois avant d’être prêté à Sainté à l’issue d’une phase aller où il avait été titulaire à 9 reprises).

Bentayg, tant par son profil offrant plus de garanties offensives que défensives, que par son faible temps de jeu cette saison représente à 24 ans plus un pari et il ne serait pas très surprenant de voir ODO réclamer du renfort sur le côté gauche de sa défense.

  

Le masque gênait trop Cafaro

18/06 16:07

Victime d'une fracture du nez avec déplacement de la cloison nasale le 27 avril contre Caen, Mathieu Cafaro explique à la Pravda pourquoi il n'aura pas porté longtemps le masque qu'on lui avait confectionné. Extraits.

"Je n'ai pas voulu me faire opérer pour ne pas manquer la fin de saison avec Saint-Étienne. Il restait trois matches et avec l'opération je devais manquer entre 10 et 15 jours. Je ne me suis pas encore fait opérer car il y a eu les barrages et je suis parti en vacances ensuite, mais je vais devoir le faire. En attendant, il y a des difficultés pour respirer, avec les narines qui sont régulièrement bouchées.

On m'a fait un masque en prenant les mesures via la 3D. C'était en carbone si mes souvenirs sont bons. Très rigide et qui résiste aux coups et aux ballons dans la figure. J'ai tenu un entraînement et 20 minutes en match. J'ai enlevé le masque au bout de 20 minutes parce que ça gênait trop ma vision.

Tu vois beaucoup moins bien avec donc c'est très gênant. Il n'y a pas trop de soucis avec la respiration à cause du masque, mais la vision est difficile. J'ai pris un risque à jouer sans masque, c'était au petit bonheur la chance si je reprenais un coup. Cette blessure fait vraiment mal. Il faut du temps quand même pour que la douleur disparaisse."

William serein bat les Autrichiens

18/06 07:07

Pour sa première titularisation dans une compétition majeure en équipe de France, William Saliba a maté les rugueux Autrichiens hier soir à Düsseldorf. Seul joueur passé par l'ASSE à disputer actuellement l'Euro, le défenseur central de 23 ans a remporté tous ses duels, réussi tous ses tacles et tous ses dribbles, 94% de ses passes et s'est par ailleurs distingué par ses 7 interceptions.

Le natif de Bondy a donné satisfaction à son sélectionneur Didier Deschamps, dont la Pravda relate les propos. "Si j’ai décidé de mettre William Saliba, c’est parce que je pense qu’il est plus apte qu’Ibou Konaté pour un tel match. Mais je ne veux perdre personne non plus, j’aurai besoin de tout le monde. Avec Dayot Upamecano, ils n'ont que 120 minutes en commun en équipe de France, ce n’est pas énorme, mais ils ont cette capacité à être très solides dans le un contre un. Même s’il y a des sorties de balle qu’on peut améliorer, ils ont dégagé beaucoup de force et de sérénité, il y avait besoin de ça face à un tel adversaire."

Dans le même quotidien sportif, Rudi Garcia souligne également la bonne prestation de notre William serein. "Il a apporté de la sérénité derrière. J’ai apprécié la lucidité française dans les sorties de balle, hormis une ou deux frayeurs de Hernandez. Saliba s’est intégré en première pour monter en puissance en seconde. C’est une victoire importante dans son intégration."

Mounier, le baiseur baisé (10)

18/06 06:46

Dans La vie en Vert, seconde mi-temps, livre de Pascal Pacaly paru le mois dernier aux éditions du Joyeux Pendu, un responsable des Magic Fans évoque le passage éclair d’Anthony Mounier à l’ASSE en janvier 2017.

"On a réussi à faire échouer ce transfert et on en est fiers ! On a eu des échanges avec les dirigeants à l’Etrat et on leur a fait comprendre qu’il était hors de question, mais vraiment hors de question que ce mec vienne chez nous ! On leur a expliqué qu’on était prêts à venir le secouer en plein match !"

Dernis redevient pailladin

18/06 06:42

Champion de France il y a 12 ans avec le MHSC, l'ancien milieu offensif stéphanois Geoffrey Dernis (43 ans), à la recherche d’un challenge depuis son départ de l’ES Pérols en fin de saison 2022-2023, va rebondir du coté de l’Atlas Paillade (R1) comme entraineur principal, selon le site Allez Paillade.

Anto, le dix vins chauve

17/06 17:48

Dans La vie en Vert, seconde mi-temps, livre de Pascal Pacaly paru le mois dernier aux éditions du Joyeux Pendu, des Green Angels se rémémorent le cadeau que leur a fait Anto.

"Frédéric Antonetti, c'est sans doute celui qu'on a le plus apprécié. Au début, c'était pas simple car un de ses premiers matches à Geoffroy-Guichard, c'était contre Le Havre et on avait sorti une banderole où il était écrit : "Un berger corse pour garder des chèvres", ce qui a amené des discussions avec lui. Mais après, le groupe était devenu très proche qvec lui ! A tel point qu'on avait fait une manif' pour le soutenir quand il a été viré. Pour dire quel genre d'homme c'était, quand il est parti, il nous a promis du vin corse. Trois mois après, on en recevait dix cartons ! Oui, dix !"

Lobry ne joue pas la prolongation

17/06 17:06

Malgré ses cadeaux faits aux Verts il y a un mois et demi au Roudourou, le numéro 22 de l'EAG Victor Lobry s'était vu proposer une prolongation de 3 ans par les dirigeants costarmoricains. D'après Le Télégramme, les deux parties ne sont pas parvenues à se mettre d’accord sur l’aspect financier. Reste à savoir où va rebondir l'ancien milieu de terrain stéphanois, qui a fêté hier ses 29 ans...

Panov, le flapi Russe

17/06 15:22

Ancien capitaine de Rémy Cabella à Krasnodar, le gardien Matvey Safonov (25 ans) s'est engagé pour 5 ans avec le QSG vendredi dernier. Comme le rappelle aujourd'hui le site officiel de la L1, 12 Russes ont déjà évolué en L1. Parmi eux, c'est Aleksandr Panov (48 ans) qui a joué le moins de matches (7) dans l'élite française. Pour rappel, celui qui avait mis un prometteur doublé contre l'Ajax en amical n'aura claqué qu'un pion (à Toulouse) en 16 matches officiels sous le maillot vert.

Au cours du long entretien qu'il nous avait accordé en février 2010, Alain Bompard avait évoqué les problèmes de cet attaquant.

"Panov, ça reste un mystère pour moi. On est allé le voir avec Gérard Soler et Robert Nouzaret. On était tous les trois impliqués. On l'a vu jouer deux fois à Saint-Petersbourg. C'était un garçon exceptionnel qui avait marqué deux buts avec la Russie contre les Bleus au Stade de France. A chaque fois que nous l'avions visionné, il avait fait preuve de performances authentiques. Il avait été épatant lors du match amical contre l'Ajax qu'on avait gagné 5-2. Tout le monde avait dit: "C'est Speedy Gonzalez, c'est fou, quel joueur !" Tout le monde était du même avis.

Un mois plus tard, je vais à l'entraînement, et je trouve ce garçon lent, trainaillant, les yeux rouges. Je m'inquiète. Je vais voir le médecin. Je lui dis : "Ecoute, est-ce que ce garçon ne boit pas un petit peu d'alcool, je trouve qu'il a changé dans son comportement, il est moins efficace. Est-ce que vous avez fait les prises de sang nécessaires ?" On me répond : "Ah ben non car il fallait signer vite le contrat !" J'ai donc demandé à ce qu'on les fasse et là on a découvert qu'il avait l'hépatite A et l'hépatite B..."

Larqué prône la neutralité

17/06 13:17

Alors que l'équipe de France de William Saliba défiera l'Autriche ce lundi à 21h00, Jean-Michel Larqué s'exprime dans le quotidien belge Le Soir.

"Le climat est en France est de plus en plus anxiogène. La politique occupe toute la tribune et on tente d’y faire monter les joueurs de l’Equipe de France. La FFF a eu, me semble-t-il, un coup de retard en attendant les sorties de Marcus Thuram et de Kylian Mbappé, porteur d’un message politique explicite, pour mettre un cadre au débat de l’expression des sportifs en période de rassemblement sous la banière tricolore.

La FFF aurait dû anticiper un mouvement qui se dirige inexorablement vers l’instrumentalisation de la parole des internationaux français. Avec une récupération immanquable de la part des deux camps et ce qui peut être dommageable, surtout lorsque cela provient des extrêmes, à gauche comme à droite. Lors des réveillons ou dans les dîners de mariage, la meilleure manière de foutre le bordel est de parler de religion ou de politique.

Même si l’heure est grave, je pense que chacun doit rester en face-à-face avec sa conscience politique et que ce n’est pas aux sportifs de s’impliquer dans le débat, surtout quand ils ne sont pas dans le cadre de leur vie privée comme c’est le cas lorsqu’ils portent les couleurs de leur fédération. Je comprends évidemment les bonnes intentions qui se cachent derrière le propos de Thuram et Mbappé, mais imaginez un jour qu’un athlète se serve de cette même tribune pour s’afficher exactement à l’opposé de cette opinion ? Il estimerait avoir parfaitement le droit de ses idées et on ferait comment dans ce cas-là ?

Personnellement, je reste donc favorable à une neutralité absolue pour éviter de fracturer un peu plus la société française qu’elle ne l’est. En revanche, l’appel au vote et à l’utilisation de celui-ci, lancé ces jours-ci par tous les joueurs passés en conférence de presse et confirmé par le communiqué de la Fédération, me convient tout à fait. Il constitue une piqûre de rappel concernant le devoir citoyen au cœur des institutions de la République. La neutralité du sportif de haut niveau, dans un contexte de sphère publique je précise, est la meilleure garantie de ne pas troubler davantage les esprits qu’ils ne le sont déjà."

Une charnière de Ligue 1 ?

17/06 12:36

Alors qu’aucune info ne filtre depuis le début du mercato Olivier Dall’Oglio avait cru bon, la montée acquise, de préciser qu’il faudra amener des renforts dans chaque ligne, ajoutant il faudra de la maîtrise, de l’expérience, de la solidité défensive. (Andy) Dès lors se pose la question de la capacité des joueurs nous ayant offert cette fin de saison de dingue à postuler pour faire partie du groupe en Ligue 1.

C’est notamment le cas de nos défenseurs centraux. Dans ce secteur la situation de départ est assez simple puisque seuls trois joueurs ont réellement contribué à faire de Sainté la meilleure défense du championnat : le capitaine Anthony Briançon, Dylan Batubinsika et Mickaël Nadé.

Ils se sont assez bien répartis les titularisations cette saison : 29 pour Briançon (12 après la trêve), 23 pour Batubinsika (10 après la trêve) et 25 pour Nadé (20 après la trêve).

Si on reprend les déclas d’ODO, le premier constat à faire est qu’aucun des 3 joueurs ne peut être considéré comme manquant d’expérience : Briançon a 29 ans et a 3 saisons de L1 au compteur avec Nîmes entre 2018 et 2021 (67 matchs). Pour Batu, s’il est à peine plus jeune (28 ans), il n’a pas encore connu la L1 mais a connu l’élite dans 3 pays différents : la Belgique avec le Royal Antwerp durant 4 saisons (73 matchs), le Portugal avec Famalicao (22 matchs), puis Israël avec le Maccabi Haïfa (25 matchs). Au-delà du championnat, Batu a joué 7 matchs de Ligue Europa avec Antwerp et 5 de Ligue des Champions avec Haïfa.

Enfin, Mickäel Nadé, s’il est le plus jeune vient quand même de fêter ses 25 ans. Son expérience dans l’élite est plus réduite et exclusivement verte, avec une première titularisation à 18 ans, et un total de 31 matchs joués en Ligue 1, quasiment toutes l’année de la descente.

Si on se réfère à la dynamique des derniers mois, Nadé est le pilier de la défense centrale, celui à qui ODO a le plus témoigné sa confiance. Mais il est en fin de contrat et si on peut supposer qu’ODO souhaite qu’il prolonge, le joueur, contrairement à Moueffek par exemple, n’a jamais clairement fait part de ses souhaits.

Batubinsika et Briançon ont eux alterné ces derniers mois aux côtés de Nadé, donnant objectivement autant l’un que l’autre satisfaction.

En résumé, par leur âge, leur expérience, mais également leurs performances cette saison, il semble assez naturel d’espérer voir les 3 joueurs rester en Ligue 1, la question étant de savoir si ODO veut malgré tout se renforcer à ce poste pour aborder la saison avec 4 titulaires potentiels (dans l’hypothèse d’une prolongation de Nadé).

Pour mémoire, Sainté est descendu il y a deux ans avec dans son groupe 5 défenseurs centraux : Kolo, Mangala, Moukoudi, Nadé et Sow.

Lubo travaille à Nitra

17/06 12:31

Avant le match qui opposera les Diables Rouges à son pays ce lundi à 18h00, Lubomir Moravick (59 ans) s'est confié à l'excellent quotidien belge Le Soir. Extraits.

"Je suis toujours conseiller municipal à Nitra (Slovaquie), ma ville natale. Mon domaine c’est le sport. J’essaye de donner un coup de main à tous les clubs et pas seulement en football. Par exemple, Nitra a une bonne équipe de hockey sur glace et on réfléchit à un nouveau stade pour cette équipe. Cela me plaît énormément de lancer des projets au niveau municipal.

J'ai affronté l’équipe nationale belge à 4 reprises lors des campagnes de qualification pour les Coupes du monde 1990 et 1994. La première confrontation me laisse une bonne impression parce que les deux pays se sont qualifiés pour le tournoi en Italie. Le second volet est un peu moins positif car la Roumanie et les Diables Rouges sont allés aux États-Unis, pas nous...

Sur un plan personnel, j’éprouve des regrets parce que j’avais 28 ans à l’époque, j’étais au sommet de ma forme avec l’expérience de la Ligue 1 à Saint-Etienne. Je pense que j’étais meilleur qu’à l’occasion de la précédente Coupe du monde mais hélas je n’ai pas pu participer à un second tournoi. Après l’indépendance, je jouais avec la Slovaquie et le niveau était moins bon. Je vieillissais et cela devenait plus compliqué de se qualifier.

Au Mondial 90, l’arbitre belge Marcel Van Langenhove, qui officiait alors comme juge de ligne, avait annulé pour hors-jeu l’égalisation de la Tchécoslovaquie. La politique existe dans le football. Celui qui dit le contraire est à côté de la plaque. Si on avait fait match nul ce soir-là, l’Italie aurait dû quitter Rome et déménager à Bari. On ne peut rien y faire : personne ne voulait nous voir jouer à Rome...

Il faut reconnaître aussi que nous étions dominés par l’Italie mais on a marqué un but parfaitement valable qui n’a pas été accordé. On a été un peu volé quand même. Mais bon, je n’en veux pas à cet arbitre. En quart, c’est un arbitre autrichien qui a accordé penalty aux Allemands et m’a exclu. C’est comme ça le football, les plus forts passent. C’est la vie, malheureusement..."

A cet âge-là, l'essentiel c'est de s'amuser !

17/06 08:14

Le Parisien revient sur le sacre des U12 stéphanois il y a 15 jours à la GIF CUP dans l'Essonne. Extraits.

"C’est le tournoi où il faut être", affirme Laurent Fournier qui vient de lancer son académie de perfectionnement pour les jeunes des catégories U11 à U13. "Mes joueurs n’avaient encore jamais eu la chance de se confronter à de grosses équipes. Et on le sait tous, tous les recruteurs de l’Île-de-France sont ici." Et pour cause, en 20 ans d’existence, la Gif Cup affiche un beau palmarès. En 2009, alors sous les couleurs de Rennes, un jeune garçon de 12 ans nommé Kylian Mbappé embrassait le trophée.

"Et ce n’est pas le seul", assure fièrement Philippe Renard qui, en plus d’organiser l’événement est le président du club OC Gif football. "Sept des joueurs qui s'apprêtent à jouer l'Euro avec l'équipe de France sont passés par ici." Kingsley Coman, Adrien Rabiot, Aurélien Tchouaméni, Ibrahima Konaté, Bradley Barcola et Ferland Mendy ont un jour tenté de gagner ce trophée. "Les enfants, n’oubliez pas, vous êtes d’abord là pour rêver', martèle Philippe Renard au micro.

Romain Hamouma, qui a porté 10 ans le maillot de l'ASSE, est venu encourager son fils Victor, qui joue lui aussi à Saint-Étienne [il est haut à gauche sur la photo ci-dessus, ndp2]. "Évidemment, il aimerait devenir professionnel. Mais à cet âge-là, on lui rappelle que l’essentiel c’est qu’il s’amuse. Même si son ambition aujourd’hui est de gagner les tournois, il faut qu’il garde le plaisir de jouer" souligne l'ancien attaquant stéphanois."

 

 

Les supporters des Verts affichent leurs couleurs en banlieue

17/06 07:45

Le Progrès met aujourd'hui à l'honneur les Associés Supporters de l'ASSE, en particulier ceux d'entre eux qui affichent leurs couleurs en banlieue. Extraits.

"Avant le Covid, ils revendiquaient 4 500 membres environ et 250 sections.  Le Covid a rebattu les cartes pour les associations comme dans le monde du travail. "Nous avons perdu un bon tiers des effectifs parfois plus de 50 % selon les sections et il reste aujourd’hui les fidèles, le noyau dur"  soilgne leur président Jean-Charles Schuler. "Les opportunistes reviennent néanmoins depuis trois mois où on a senti un nouvel attrait pour nos sections."

Jean-Charles Schuler a mis un point d’honneur à ce qu’il existe puis persiste une section des Associés supporters à Lyon. Cette section compte actuellement 39 membres (ils étaient 90 avant le Covid), mais sur l’embellie actuelle il espère atteindre la cinquantaine de membres d'ici à quelques mois. Ils font briller les couleurs dans la capitale des Gaules avec fierté et sont allés voter dimanche avec la tunique verte sur les épaules."

Beric ouvre le score mais perd encore

17/06 07:22

Robert Beric, qui fête aujourd'hui ses 33 ans, a marqué avant-hier son 4e but de la saison lors de la 15e journée de l'élite chinoise sur le terrain de Hanhzhou Lucheng. Malgré l'ouverture du score de l'ancien attaquant stéphanois (de la tête sur corner), Changchung Yatai a encore perdu (3-1) et rétrograde à la 13e place, à égalité de points avec l'avant-dernier (premier relégable).

Partager