Laurey et Saadi se remettent au vert

24/11/2017
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Avant de retrouver le Chaudron, l'entraîneur strasbourgeois et son numéro 9 replongent dans leurs vertes années dans Les Dernières Nouvelles d'Alsace. Extraits.

 

Thierry Laurey : "J’ai toujours eu de bonnes relations avec Saint-Étienne. La preuve, c’est que lorsque j’ai postulé pour devenir recruteur, ça s’est super-bien passé. J’ai habité à l’Etrat dans la partie hôtelière. Je vivais au quotidien ce que vivaient les Stéphanois. C’est un club assez familial, même s’il traverse en ce moment quelques soubresauts. C’est aussi un grand club avec une grosse ferveur populaire. Mais dans l’ère nouvelle dans laquelle est entré le foot, avec de riches actionnaires étrangers, c’est un peu plus difficile pour lui. Malgré tout, les Verts ont réussi des saisons extraordinaires avec Christophe. Quand tu termines 4e , 5e ou 6e , ça prouve la qualité de ton club et ton effectif. Mon premier match dans le Chaudron, le club était dernier de D1. Mais il y avait beaucoup de monde et une très bonne ambiance. Nous avons battu Cannes et fini 13es. Les gens sont très gentils, en ville, dans les villages. Ils parlent beaucoup foot, un peu comme ici. C’était bon enfant. Mon plaisir, c’est de jouer des matches avec les anciens Verts, de toutes générations. Même si ça fait un moment que je ne l’ai plus fait, c’est toujours dans un esprit de camaraderie extraordinaire. J’ai joué avec Jacques Santini, Christian Lopez, Yves Triantafilos, Éric Bellus, Jean-Louis Zanon et plein d’autres. Des super mecs contents de se revoir. Souvent, quand tu joues des matches d’anciens, ils croient avoir encore 25 ans. Là, non. Il n’y a pas un mot plus haut que l’autre, pas de prise de tête. C’est un régal."

 

Idriss Saadi : "Revenir à Geoffroy-Guichard, c'est forcément particulier. Je n’y ai pas enchaîné les saisons, mais j’y ai vécu de magnifiques ambiances. J’ai toujours un lien étroit avec le centre de formation et mes formateurs, mais pas avec les pros. J’ai commencé mon histoire à Saint-Étienne, mais je ne l’y ai pas écrite. J’y connais Jonathan Bamba, Stéphane Ruffier et Loïc Perrin. Mais j’appartiens à la génération des Pierre-Emerick Aubameyang, Josuha Guilavogui, Faouzi Ghoulam et Loris Néry. Mes années au centre ont été les meilleures. On vit, on galère, on fait plein de belles choses entre collègues, comme battre Lyon dans les derbies."

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