Varrault revient sur ses vertes années

10/02/2018
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Vivant très probablement sa dernière saison de joueur professionnel, le défenseur central dijonnais Cédric Varrault (38 ans) replonge dans ses vertes années dans un entretien publié aujourd'hui sur le site de So Foot. Extraits.

 

"Je suis parti dans l'idée d'arrêter à la fin de saison. J’avais prolongé mon contrat d’un an la saison dernière, avec ensuite une probable reconversion au DFCO. Dijon, c’est une ville où je me sens bien. Ma femme et mes enfants apprécient d’y vivre, nous y avons noué des amitiés. Partir relever un autre challenge à 38 ans, ce n’est pas facile. Je suis plutôt en train de préparer ma reconversion. Je ne m’imagine pas à rester sans rien faire. Je prendrai deux bons mois de vacances après la fin de la saison. J’ai déjà commencé ma formation pour passer mes diplômes d’entraîneur. Je n’en suis qu’au début, mais je vais m’orienter vers ça. Une chose est certaine, jouer me manquera...

 

J'ai rejoint Sainté en juin 2007, cela faisait presque neuf ans que j’étais à Nice. Il fallait voir autre chose. Un an plus tôt, j’avais failli partir à Bordeaux. Saint-Étienne aussi s’était déjà manifesté. Nice avait refusé. Mais cette fois-ci, mes dirigeants étaient d’accord pour que je parte. Et puis, Saint-Étienne, ce n’est pas n’importe quel club. La première saison, d’ailleurs, tout se passe bien : on termine à la cinquième place et on décroche une qualification en Ligue Europa, avec Laurent Roussey comme coach. C’est ensuite que ça s’est gâté... Les deux années suivantes, on termine à la dix-septième place. Il y a même une saison (2008-2009) où on se sauve à la dernière journée, grâce à un succès 4-0 contre Valenciennes, et à d’autres résultats favorables.

 

Je me souviens du contexte assez pesant : les supporters stéphanois étaient à cran, il y avait des CRS autour du stade, au cas où ça se passe mal... Quand je suis venu ici, je connaissais la passion des gens pour le club. Quand tout va bien, c’est génial. Quand c’est plus compliqué, ça devient chaud. Parfois, tu attends une ou deux heures avant de sortir du stade. J’ai déjà vu les supporters envahir le terrain d’entraînement. À Nice aussi, les supporters sont passionnés. Moi, cela ne m’a jamais posé de problèmes. Même en Grèce, où certains supporters sont carrément fanatiques, je ne me suis jamais senti en danger."

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