Neyou, c'est fou !
20/12/2020
Des anciens entraîneurs d'Yvan Neyou se remémorent leur collaboration avec l'actuel numéro 17 des Verts dans la dernière édition de la Pravda. Extraits.
Daniel Duroir, son entraîneur en U14 à l'AJA en 2011 :
"Il devait passer deux ans à l'INF avant de nous rejoindre. Mais il s'est fait virer de Clairefontaine six mois avant la fin. Du coup, je suis allé le récupérer dès décembre. Il était scolarisé en 3e et il est venu dormir chez moi. J'étais famille d'accueil. C'est un "Titi Parisien", de la banlieue, un gentil gamin, qui n'a peur de rien. Il était frêle, petiot, mais avec un gros poumon et une très bonne technique. C'était un joueur correct, comme beaucoup, sur lequel je n'aurais pas forcément misé. Il a bénéficié du fait que son agent soit de la famille de Claude Puel, qui a tenté le pari. Et malgré un parcours particulier, il est passé quand même. C'est fou, mais c'est bien. Ça casse les codes et donne des idées à d'autres jeunes."
Roger Lemerre, son entraîneur à Sedan (N) en 2016 :
"J'ai dû le voir évoluer avec la réserve, dont je suivais tous les matches, le dimanche après-midi. Si je l'ai fait débuter en National, c'est qu'il avait suffisamment de qualité, du talent et qu'il méritait de jouer à ce niveau. Mais pour être honnête, je ne me rappelle pas de lui. Ce joueur ne me dit rien. C'est d'ailleurs bizarre, car il est Camerounais, comme Zacharie Noah, le père de Yannick, avec qui j'ai joué à Sedan. Cela aurait dû m'interpeller. Surtout que j'étais très vigilant. Je suis venu pour une mission de six mois : rendre service et éviter la relégation du club."
Marco Simone, son entraîneur à Laval (L2) en 2017 :
"Quand il est arrivé, il était jeune. Il évoluait d'ailleurs avec eux et je ne l'ai pas fait beaucoup jouer, en Ligue 2. Trois ans, dans l'évolution d'un joueur, pour le voir arriver à maturité, ce n'est pas si étonnant. Tant mieux s'il explose cette saison, à Saint-Étienne."
Rui Santos, son entraîneur en équipe réserve à Braga en 2019-2020 :
"À mon arrivée, il jouait peu, il était souvent utilisé en 10, qui n'est pas le rôle pour lequel il est le plus adapté. C'est un box to box, qui peut jouer 6 ou 8. Il est agressif à la récupération et technique : quand il a le ballon c'est un joueur intelligent, il sait quoi en faire. Sa première qualité ? Il est toujours heureux de travailler, et il en demande toujours plus. Par exemple il voulait travailler les coups-francs, les penalties, parce qu'il aime marquer, aussi. À Braga, il aurait eu sa chance et Abel Ferreira croyait en lui, mais il s'est blessé pendant la préparation et ensuite, il est resté sur la touche. Sans cette blessure, il se serait imposé à Braga, j'en suis sûr : les joueurs aussi positifs, qui aiment autant travailler, réussissent toujours."

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