Anto aurait pu revenir

23/05/2024
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"Les conditions ne sont pas réunies pour que je retourne à Saint-Étienne. C’est à dire que je ne travaillerai jamais avec Monsieur Caïazzo, je dis Monsieur mais j’aurais dû dire Caïazzo. J’ai été contacté par Saint-Étienne, pas plus tard qu’il y a trois jours. J’ai même été harcelé parfois. Je n’y retourne pas parce que les conditions ne sont pas réunies" avait déclaré Frédéric Antonetti sur le plateau du Canal Football Club le 10 décembre dernier. "Je crois beaucoup en Saint-Étienne, pour y avoir vécu pendant trois ans, c’est un potentiel énorme. Ça doit être bien géré… Le fait que le club ne trouve pas un acheteur crédible, c’est quelque chose que je ne comprends pas. Si j’avais de l’argent, j’irais. Pour l’avoir vécu de l’intérieur c’est exceptionnel."

Alors que l'ASSE a enfin trouvé l'oiseau rare et fortuné (Tanenbaum épaulé par Ivan Gazidis), Anto a évoqué à nouveau son come-back avorté à Sainté aujourd'hui sur A Corsica TV.

"Je ne me voyais plus sur le terrain faire ce que j’ai fait pendant toutes ces années, des clubs moyens à redresser. J’en avais assez fait. Mon dernier challenge, ça a été Strasbourg. Ça s’est plutôt bien passé. Le football a beaucoup changé avec les nouveaux investisseurs… Après, si j’avais eu un club à un moment donné qui aurait eu les moyens de jouer le haut de tableau, je pense que j’aurais été tenté par l’expérience. Mais les places sont prises, c’est difficile aujourd’hui. J’ai eu une ou deux touches intéressantes. Après, j’aurai pu partir à Saint-Etienne, encore, j’aurai pu parti à Nantes. J’avais des propositions mais j’ai préféré rester tranquille chez moi et j’allais voir les matches du Sporting.

Et puis est arrivé ce match Bastia-Saint-Etienne, cette défaite 4-0. Ça s’est un peu affolé, la rue s’est un petit peu affolée. Comme j’étais sur place, les gens ont pensé à moi, automatiquement. Après, Claude Ferrandi et Pierre-Noël Luiggi m’ont convaincu par leur sincérité. Il y a un autre aspect qui m’a plu. J’étais dans les tribunes et je voyais tous ces gamins, toutes ces familles qui étaient là. Comme il y avait toujours 11 000 ou 12 000 personnes… Il faut connaître la vie du Sporting, hein ! 11 000 ou 12 000 personnes, c’est ce qu’on faisait en Coupe d’Europe. Avant on ne les faisait pas, on faisait 3 000 ou 4 000. J’ai dit aux dirigeants bastiais que j’allais venir apporter mon expérience."

 

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