Comolli a dû séparer Nanard et Roro
03/05/2024
La Pravda du jour met à l'honneur Damien Comolli. Extraits.
"Arsène Wenger raconte : "Il m'a approché et ça a démarré de là. Comme Damien est un passionné total du football, très intelligent, autocritique, intéressant par sa volonté de toujours avancer et de progresser, je l'ai encouragé pour son développement personnel. À Arsenal, je l'ai embauché comme scout. Cela lui a été bénéfique, parce qu'il possède un autre avantage : il parle beaucoup de langues. Cela l'a aidé à développer des connections dans un football de plus en plus internationalisé."
Damien Comolli s'est façonné l'image d'un dirigeant mystérieux, avare de confidences, à la fois intransigeant et avant-gardiste. Davantage à l'étranger qu'en France, où ses expériences comme directeur sportif de l'AS Saint-Étienne demeurent mitigées (2004-2005, puis 2008-2010). Élie Baup, entraîneur des Verts lors de son premier passage, se rappelle : "Apôtre d'Arsène Wenger, ses idées de jeu sont bonnes. Mais avec ses croyances fortes, il reste trop sur ses idées. Ce n'est pas un mec consensuel. Influencé par la culture britannique, il garde cette posture de pince-sans-rire à l'anglaise qui met tout le monde à distance."
Rare Français à avoir occupé le poste de directeur sportif dans des clubs aussi prestigieux que Tottenham (2005-2008) et Liverpool (2010-2012), il est encore arrivé à le décrocher à Fenerbahçe (TUR), au sortir d'une traversée du désert de 6 ans. Comolli est devenu un stratège aux yeux des richissimes quinquagénaires américains s'offrant des clubs européens. Du Californien John Henry, qui l'a fait venir à Liverpool, au New-Yorkais Gerry Cardinale, fondateur de RedBird Capital Patners, qui lui a confié la présidence du TFC.
"Damien pilote désormais tout seul, comme le Monarque, observe Baup. S'il se montre froid, il est capable de dégoupiller." Wenger acquiesce : "Comme tous les passionnés, il peut être excessif, dans le positif comme le négatif. Le football mène à ça." À monter sur le bureau de ses présidents stéphanois, pour que Bernard Caïazzo et Roland Romeyer arrêtent de s'attraper par le col, ou en se présentant éméché devant les médias, après la victoire en Coupe de France."

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