Nanard chez Pierrot : le résumé (1)
09/09/2011
Pour les potonautes n'ayant pas la possibilité d'écouter l'interview de notre Nanard national chez Pierre Menès, en voici les grandes lignes :
Le recrutement
« On arrivait à la fin d’un cycle. Il fallait nettoyer le fameux mercato 2009 de l’AS Saint-Etienne qui avait été catastrophique, Comolli-Tong Cuong nous avaient fait dépenser 22 M€ avec des salaires qui étaient montés très haut et qui avaient causé beaucoup de soucis. (...) Dans le groupe, il y a aucun joueur qui a un salaire au-dessus des 90 000 €, ce qui pour un club comme Saint-Etienne est la bonne base. Il y a un équilibre qui se fait, c’était l’objectif. (...) On a vendu pour 26 ou 27 M€ et on a acheté pour à peu près la moitié, avec une baisse de la masse salariale. On a encore quelques joueurs qui ne sont pas partis, on espère qu’ils vont partir dans les mercatos dits exotiques, comme Bayal Sall, Monsoreau, Sanogo. Ce qui était important, c’était d’assainir les comptes du club ».
Le nouveau mode de rémunération
« Il y a un système de primes très important, il y a une forte motivation. On a un contrat top player, c’est 90 000 € de fixe, mais si le joueur fait 25 matches il aura une prime très importante, s’il fait 35 matches il aura une prime encore très importante. Par exemple, si un joueur fait 35 matches et qu’on termine huitième, il passera de 90 000 à 120 000 € par mois, recalculés avec le système de primes. Ça veut dire qu’il y a une forte motivation à jouer, à la performance. C’est un peu un système à l’allemande qu’on a essayé de mettre en place »
L'arrivée de Stéphane Ruffier
« D’abord, avec le cumul de primes Stéphane Ruffier va gagner autant qu’à Monaco. Deuxièmement, sa motivation première était de retrouver l’équipe de France. Et puis on a eu de la chance. Rennes était venu avant, Monaco à l’époque en voulait 6 M€, Rennes a laissé tomber et ont pris Costil. Nous, on est tombé dans une bonne période. Stéphane Ruffier voyait qu’il n’avait pas beaucoup de possibilités sur les clubs français. Et Leonardo nous a dit, quand on a traité Matuidi, que si on n’avait pas pris Ruffier, il aurait été allé le chercher comme gardien du Paris Saint-Germain. Ce qui prouve qu’on est arrivé au bon moment, qu’on a eu de la chance. Si Mandanda ou Lloris étaient partis, ou si Leonardo était arrivé plus tôt, on n’aurait jamais eu Ruffier à Saint-Etienne ».
« On arrivait à la fin d’un cycle. Il fallait nettoyer le fameux mercato 2009 de l’AS Saint-Etienne qui avait été catastrophique, Comolli-Tong Cuong nous avaient fait dépenser 22 M€ avec des salaires qui étaient montés très haut et qui avaient causé beaucoup de soucis. (...) Dans le groupe, il y a aucun joueur qui a un salaire au-dessus des 90 000 €, ce qui pour un club comme Saint-Etienne est la bonne base. Il y a un équilibre qui se fait, c’était l’objectif. (...) On a vendu pour 26 ou 27 M€ et on a acheté pour à peu près la moitié, avec une baisse de la masse salariale. On a encore quelques joueurs qui ne sont pas partis, on espère qu’ils vont partir dans les mercatos dits exotiques, comme Bayal Sall, Monsoreau, Sanogo. Ce qui était important, c’était d’assainir les comptes du club ».
Le nouveau mode de rémunération
« Il y a un système de primes très important, il y a une forte motivation. On a un contrat top player, c’est 90 000 € de fixe, mais si le joueur fait 25 matches il aura une prime très importante, s’il fait 35 matches il aura une prime encore très importante. Par exemple, si un joueur fait 35 matches et qu’on termine huitième, il passera de 90 000 à 120 000 € par mois, recalculés avec le système de primes. Ça veut dire qu’il y a une forte motivation à jouer, à la performance. C’est un peu un système à l’allemande qu’on a essayé de mettre en place »
L'arrivée de Stéphane Ruffier
« D’abord, avec le cumul de primes Stéphane Ruffier va gagner autant qu’à Monaco. Deuxièmement, sa motivation première était de retrouver l’équipe de France. Et puis on a eu de la chance. Rennes était venu avant, Monaco à l’époque en voulait 6 M€, Rennes a laissé tomber et ont pris Costil. Nous, on est tombé dans une bonne période. Stéphane Ruffier voyait qu’il n’avait pas beaucoup de possibilités sur les clubs français. Et Leonardo nous a dit, quand on a traité Matuidi, que si on n’avait pas pris Ruffier, il aurait été allé le chercher comme gardien du Paris Saint-Germain. Ce qui prouve qu’on est arrivé au bon moment, qu’on a eu de la chance. Si Mandanda ou Lloris étaient partis, ou si Leonardo était arrivé plus tôt, on n’aurait jamais eu Ruffier à Saint-Etienne ».

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