Pour un bon texte de veillée d'armes, quoi de mieux que de s'inspirer de Winston Churchill ?

J’ai, personnellement, la ferme assurance que si tout le monde fait son devoir, que si rien n’est négligé, que si les meilleurs choix sont faits, comme ils sont faits actuellement, nous devons être capables de défendre notre but, de repousser l’ouragan Benzéma, de détruire la menace de l’OL-Tyrannie. Même si cela doit durer 96 minutes. Même si nous devons le faire seuls.

A tous les niveaux, c’est ce que nous allons essayer de faire. C’est la résolution du club, de chaque membre de celui-çi. C’est la volonté des supporters et de tout le peuple vert.

Un défenseur grec et un défenseur brésilien, unis pour la cause et pour le besoin, défendront jusqu’à la mort leur surface de réparation, s’aidant l’un l’autre en bons camarades pour optimiser leurs forces.

Même si de vastes étendues de la Ligue, et de nombreux vieux arbitres célèbres sont tombés ou risquent de tomber entre les mains d’Aulas et de l’odieuse règle du « qui-ne-saute-pas-n’est-pas-Lyonnais », nous ne devons pas faiblir, nous ne devons pas nous manquer.

Nous devons aller jusqu’au bout, nous devons nous battre à Gerland.
Nous devons nous battre sur les touches et les corners.
Nous devons nous battre avec une confiance grandissante, et une force grandissante dans le jeu aérien.
Nous devons défendre notre but, quel qu’en soit le prix.
Nous devons nous battre sur les ailes.
Nous devons nous battre sur les coup-francs.
Nous devons nous battre dans les surfaces, et dans le rond central.
Nous devons nous battre dans les tribunes.
Nous ne devons jamais nous rendre !

Librement inspiré du discours de Winston Churchill, 4 juin 1940.
http://www.presentationhelper.co.uk/winston_churchill_speech_fight_them_on_beaches.htm