En ce week-end pascal (Feindouno), notre génie du ballon méritait bien son petit hommage potonaute. Sans doute appréciera-t-il cette comparaison avec un illustre personnage de la chanson française.

Pascalito, Pascalitarre

 Comme y'a eu Gainsbourg et Gainsbarre, y'a eu Pascalito et Pascalitarre.
Pascalitarre sort le soir et rentre tard;
Fait un peu trop la fête les soirs de défaites;
Il ne dort pas avant un match de Championnat;
Et les matchs de coupes, les loupe.

Pascalitarre aime les filles et oublie sa verte famille;
Danse jusqu'au bout de la nuit malgré un humiliant Derby;
Pour oublier boit de nombreux verres;
Sans penser au meurtri peuple Vert.

Pascalito danse avec un ballon,
Il se lève tôt pour humilier Lyon,
Pascalito pense à son avenir; son mariage,
Pour eux jusqu'en 2011 il s'engage;

Pascalito sait nous faire rêver,
En marchant, trois défenseurs il peut éliminer,
Pascalito c'est un génie du ballon,
Continue magicien, à embraser le Chaudron!

Pascalito reste à Sainté!
Ici, tu seras toujours apprecié;
L'Espagne c'est pour Pascalitarre;
Il y fait chaud, beau, mais l'on y joue trop tard.

La-bas tu ne seras plus le meilleur;
Tu n'auras plus cette ferveur;
Personne ne te regrettera même dans les bars;
Tu y seras bien seul, Pascalitarre.