Quelques desiderata-miflu pour ne pas prendre l’hiver en grippe:
- Que Bergessio arrête de faire briller les gardiens et caresser les poteaux
- Que muscles, tendons et ligaments se contractent, s’étirent, soutiennent, se tendent mais évitent de nous présenter la f(r)acture à la fin du match
- Qu’Alain Perrin perde un peu cette vilaine habitude de nous concocter des compos-surprise
- Que Dimitri ne soit pas condamné à se les geler dans son costard (à Payet, forcément) sur le banc
- Que Ben avoine sa défense, qu’il la dirige avec autorité et classe car il en a l’étoffe
- Qu’Hautcoeur de la tempête, Yohan râtisse mais ne se prenne pas pour un 10
- Que dans le vent mauvais, Gelson la révolte
- Que Mirallas et N’Daw arrêtent de chercher à nous convaincre que pour 4 briques, t’as plus rien
- Que possession rime avec pion, consécration et célébration
- Qu’Ilan nous rassure sur le caractère très ponctuel de sa rechute «tête baissée-ballon collé au pieds»
- Que nos défenseurs arrêtent de simuler les duels aériens sur corner (Cédric, si tu nous lis…)
- Qu’ils contredisent les 19 entraineurs de France qui pensent que face à Sainté il suffit de presser haut pour faire vaciller la défense
- Qu’enfin quelqu’un (mais qui bordel?) nous fasse oublier les coups francs de Machado
- Que Trafalgar, Sort, Sâle, Bambou, Tordu laissent la place à Fumant, Bol, Maître, Génie à l’heure de commenter les coups de la partie
- Qu’on évite de donner du grain à moudre à tous les pompiers pyromanes, cons-sultants péremptoires et/ou basques et commentateurs lapidaires qui peuplent la bande fhaine
- Que Janot nous refasse le coup de la bataille navale
- Qu’on évite de démontrer que la crise d’automne n’est pas qu’une spécialité parisienne
- Que transpiration et serrage de coudes sur le pré riment avec étreinte et levage de coudes sur le zinc
- Qu’on soit fiers de nos Verts, tous simplement