Mais il faut arrêter avec ça. C'est l'argument sorti par Puel pour se défendre, mais ça n'a jamais été démontré. Au contraire, ceux qui étudient de près les comptes de l'ASSE répétaient qu'on n'a jamais été proche du dépôt de bilan.Elliev a écrit : ↑07 févr. 2024, 09:34Bah je veux bien mais la "perspective Mediapro", alors que les antécédents en Italie étaient connus... De toute manière Caiazzo a été au coeur du dossier et sans doute aveuglé par les $$$. Parce que oui, d'ailleurs, de ce que j'avais compris Puel est bien plus un recrutement connoté Caiazzo que Romeyer.NomDeStade a écrit : ↑07 févr. 2024, 09:21Tjs pareil. Il y avait la perspective Mediapro. Sinon on ne signe jamais Puel. Faut pas se faire d'illusion là-dessus.
Puel n'était pas la solution miracle trouvée par Romeyer pour résoudre les problèmes financiers. Il était lui aussi une partie de l'équation (même si bien sûr ce n'est pas à cause de lui qu'on doit les problèmes de dette).
Donc bref, j'entends tes arguments, mais une fois que la stratégie de "on s'endette avant les droits TV les plus hauts de l'histoire" capote, stratégie de génie soit dit en passant (je n'ai en tête aucun, mais aucun autre club ayant joué avec le feu de cette manière), on fait quoi ?
Parce qu'a cette période, oui, on allait tout droit au dépôt de bilan. A en lire certains (c'est pas pour toi NdS), on pourrait croire que Puel appauvrissait l'effectif par plaisir, et puis surtout, qu'il faisait ce qu'il voulait au club, avec limite un rôle au dessus des présidents. Faut pas déconner non plus.
Quand bien même la situation aurait été compliquée, quel est le bilan de Puel sur l'aspect économie de salaire ? Des plus gros salaires, seul M'Villa est parti. Et encore, il a été donné alors qu'il avait une valeur marchande !!!
Khazri, Boudebouz, Perrin et Debuchy sont allés au bout de leur contrat. Ruffier a été licencié, et le club a fini par lui payer les salaires qu'il lui devait. Donc je ne vois pas vraiment où Puel aurait réussi sa mission de faire des économies.
Quant au plaisir de Puel, il était tellement persuadé qu'il était si fort qu'il y arriverait avec uniquement des jeunes, qu'à défaut de plaisir, il l'a au moins fait par vanité. Parce que, même si les caisses n'étaient pas remplies, il avait quand même la possibilité de conserver Perrin ou Debuchy par exemple. Rien ne l'obligeait, non plus, à se passer (au moins temporairement) de Khazi, Boudebouz et Ruffier.