Loupé : c'était école privée, et non public.Couramiaud Poitevin a écrit : ↑01 avr. 2020, 11:41Et bien j'ai des convictions, mais pas des œillères.Florent a écrit : ↑01 avr. 2020, 11:23qu'avec tes convictions politiques, tu prones la concurrence entre le privé et le public en assumant que ce libéralisme aient des vertus de saine émulsion, oui, je te confirme que ça me fait marrer !Couramiaud Poitevin a écrit : ↑01 avr. 2020, 11:01
Exactement, une émulation ! Une situation monopolistique est rarement bonne !
Au lieu de ricaner et de simplifier grossièrement le propos, essaye d'y réfléchir.
Est-ce que ça serait bien s'il n'y avait qu'un seul assureur, et que tu n’aies pas le choix ?
Pour l'école, c'est exactement pareil.Tu m'obliges à me répéter. Voilà mon exemple concret
Je t'ai soumis un exemple très concret, vécu et je te demandes pour quelle solution tu aurais opté. Tu n'as pas répondu.
Contrairement à moi, tu ne fonctionnes que par idée toute faites, même quand elles se contredisent : tes parents étaient profs public, alors l'école privée, c'est tout caca, il en faut pas.
Toi tu bosses dans le privé, alors fixer des règles, des limites au libéralisme à tout crin, c'est tout caca.
Moi, je n'aime pas le sectarisme : les profs publics qui chient sur le privé m'ont toujours énervé. La bonne réponse, c'est de réfléchir, de comprendre pourquoi l'offre privée peut être éventuellement plus attractive que la notre, et de s'améliorer pour devenir nous-même plus attractif.
L'émulation, un ressort essentiel, sur lequel il faut jouer au maximum. Et quand, c'est pas possible (aéroport), et bien : service public.
Et pour la solution : cours individuel pour ton gamin ?