


Modérateurs : Barre transversale, Poteau gauche, Poteau droit, Ligne de but
calmos on est pas le centre du mondeGreenSedvnvm a écrit : ↑03 sept. 2019, 14:42 La répression en France a pris un degré supplémentaire en cette nouvelle saison.
La FFF veut des stades pleins, sans ultras, une ambiance à l'anglaise quoi...
Je vous le dis, tout ce fric n'apporte rien de bon..
Sainté reçoit des punissions,(kops fermés, interdictions de déplacements) semaine après semaine, suite à divers banderoles contre la ligue, divers torches.. Etc..Etc...
Un des derniers clubs à ne rien lâcher contre le football populaire..
Un des derniers clubs où les gens viennent des 4 coins de France ou de Suisse comme moi pour chanter pour les verts..
Un des derniers clubs où les 35000 personnes par week-end font 5-6h de voiture, par passion..
La passion d'un club ne s'achète pas..
La Fédération Française ne nous aura pas ! Vive la liberté d'expression, vive les ultras ! Ne lâchez rien svp !
Riolo est vraiment un sale type.Jelp a écrit : ↑04 sept. 2019, 21:51 Insupportable Riolo ce soir (comme d hab)
Bataille verbale avec un membre des Um de bdx
Avant d'être coupé, l'ultra parle de l incohérence de soutenir la coupe du monde au Qatar pays bien connu pour la bienveillance envers les homosexuels et de la soit disante lutte contre l homophobie dans les stades en France.
Sur quoi rigolo conclu, que cet argument (dénoncer le qatar pour son homophobie) est une stupidité.
Si même un Suisse le dit...
Quelle surprise ! Je suis sûr le cul de constater tant de différences de traitement entre les clubs alors que les instances du football français ont prouvé maintes fois leur impartialité par le passé.
Ils sont trois, en rang d’oignon devant les juges. Pas vraiment fiérots. Ils ont entre 22 et 29 ans. L’un travaille dans une banque, un autre suit des études supérieures. « Ils sont tous insérés socialement, inconnus sur le terrain pénal » précise leur avocat. Mais ils doivent répondre d’injure publique envers un dépositaire de l’autorité. Et pas n’importe lequel : Evence Richard, préfet de la Loire.inconnuvert a écrit : ↑05 sept. 2019, 21:50 Article du progrés mais payant donc j'ai que le.début.
Des supporters du kop sud condamnés à des amendes pour injure du préfet sur une banderolle.
Si la photo colle à l'article c'etait.
ER tu es aussi con qu'un délégué de la ligue.
Paie ta liberté d'expression...rayonvert a écrit : ↑05 sept. 2019, 22:02Ils sont trois, en rang d’oignon devant les juges. Pas vraiment fiérots. Ils ont entre 22 et 29 ans. L’un travaille dans une banque, un autre suit des études supérieures. « Ils sont tous insérés socialement, inconnus sur le terrain pénal » précise leur avocat. Mais ils doivent répondre d’injure publique envers un dépositaire de l’autorité. Et pas n’importe lequel : Evence Richard, préfet de la Loire.inconnuvert a écrit : ↑05 sept. 2019, 21:50 Article du progrés mais payant donc j'ai que le.début.
Des supporters du kop sud condamnés à des amendes pour injure du préfet sur une banderolle.
Si la photo colle à l'article c'etait.
ER tu es aussi con qu'un délégué de la ligue.
C’était lors du match ASSE-Nimes, le 1er avril, au stade Geoffroy-Guichard. Une banderole occupant les trois quarts de la tribune Jean-Snella est déployée en deuxième mi-temps. Elle porte un texte sans ambiguïté : « Bravo Evence, tu es encore plus c… qu’un délégué de la Ligue. » Le représentant de l’État porte plainte.
« Ils savaient qu’ils allaient outrager le préfet »
Les trois prévenus ont été identifiés comme les « instigateurs » grâce à la vidéosurveillance du stade. Ils reconnaissent avoir participé au déploiement de la bannière. Mais pas plus. « Je ne suis pas à l’origine du message, je suis juste un exécutant » prétend l’un. Un autre renchérit. « Ce n’est pas la première fois que je tiens une banderole dans le kop sud, je ne sais jamais ce qui est écrit. »
Le contexte global du match n’était cependant pas placé sous le signe des amabilités par rapport à la préfecture, puisque des affichettes « préfet dictateur » avaient déjà fleuri en début de rencontre. Guillaume Delore, procureur, souligne d’ailleurs « une foultitude de messages injurieux ce jour-là. La banderole était visible par le plus grand nombre, d’autant que le match était télévisé. Ils savaient qu’ils allaient outrager le préfet. » Il demande une amende de 3.000 euros.
En défense, Me Laurent Verilhac reprend le déroulé des faits. « Des milliers de personnes étaient sous la banderole, on peut entendre que toutes n’ont pas participé à sa conception ! Le message n’est pas envoyé contre la personne elle-même, mais par rapport à l’incarnation de l’État. C’était une réaction par rapport à des décisions prises, qui mettent à mal le football au sens populaire du terme ».
Le tribunal condamne le trio à une amende de 1.000 euros chacun. « En principe, a osé l’un d’eux pendant le procès, on met sur nos banderoles des messages simplistes comme : bon anniversaire. » « Pendant un match de foot, vraiment ? » a taclé la présidente, Isabelle Simon.
Il faut surtout que les ultras adaptent leurs moyens d'action car à pratiquer l'injure à tout bout de champ on tombe forcément sous le coup de la loi.