[Cyclisme] Van der Poel remporte Paris-Roubaix

[la buse]

Pinot a bien fini son dernier tour d'Espagne et s'il n'était pas tombé malade il faisait podium du Giro 2018.
Je pense donc qu'il a une bonne chance du fait de cette expérience.
Mais il aura besoin d'une grosse équipe autour de lui.

[Coach-Mic]

http://www.slate.fr/story/179991/cyclis ... 1563867581

[pitchdobrasil]

http://www.slate.fr/story/179991/cyclis ... 1563867581

Article pas inintéressant mais très (trop ?) généraliste.
Vu le programme qui attend les coureurs cette semaine, j’ai de sérieux doutes sur la conclusion et la possibilité d’un record de moyenne cette année.

[ForeverGreen]

Chez les Ineos, Thomas bien que vainqueur l'année dernière reste un coureur qui n'a pas de grandes références sur les tours. En plus son début de saison a été compliqué. Bernal doit encore prouver ses aptitudes dans les grands tours sur 3 semaines. Avec ces incertitudes, l'équipe ne verrouille pas la course comme les années précédentes et les adversaires sont moins sur la réserve et savent qu'ils ont une carte à jouer sur ce tour.

Tu penses vraiment que ça se joue à ça ? Tu ne penses pas, plus simplement, que l'équipe est moins forte ? Je veux dire, partant du principe que Thomas est le leader, il n'est entouré que de Bernal et Poels qui grimpent vraiment bien, quand en 2017, Froome bénéficiait de Thomas, Landa, Nieve, et Henao. Et derrière, il me semble que Knees et Kiryenka étaient autrement mieux armés sur les pentes de col pour imprimer le premier rythme que Van Baarle et Castroviejo. Si l'on ajoute à ça un Kwiatko loin de son meilleur niveau, j'ai pas l'impression d'une équipe qui se laisse dépasser par ses incertitudes mais d'une équipe moins dominatrice.

[NomDeStade]

Chez les Ineos, Thomas bien que vainqueur l'année dernière reste un coureur qui n'a pas de grandes références sur les tours. En plus son début de saison a été compliqué. Bernal doit encore prouver ses aptitudes dans les grands tours sur 3 semaines. Avec ces incertitudes, l'équipe ne verrouille pas la course comme les années précédentes et les adversaires sont moins sur la réserve et savent qu'ils ont une carte à jouer sur ce tour.

Tu penses vraiment que ça se joue à ça ? Tu ne penses pas, plus simplement, que l'équipe est moins forte ? Je veux dire, partant du principe que Thomas est le leader, il n'est entouré que de Bernal et Poels qui grimpent vraiment bien, quand en 2017, Froome bénéficiait de Thomas, Landa, Nieve, et Henao. Et derrière, il me semble que Knees et Kiryenka étaient autrement mieux armés sur les pentes de col pour imprimer le premier rythme que Van Baarle et Castroviejo. Si l'on ajoute à ça un Kwiatko loin de son meilleur niveau, j'ai pas l'impression d'une équipe qui se laisse dépasser par ses incertitudes mais d'une équipe moins dominatrice.

Je pense qu'Ineos a eu pas mal de pépins dans la prépa, ce qui a sans doute bouleversé leur stratégie. Entre la blessure de Bernal avant le Giro, celle de Froome, celle de Thomas..

Et la méforme (passagère ?) de Kwiatko leur fait vraiment mal je pense.

[Camiloverde]

Chez les Ineos, Thomas bien que vainqueur l'année dernière reste un coureur qui n'a pas de grandes références sur les tours. En plus son début de saison a été compliqué. Bernal doit encore prouver ses aptitudes dans les grands tours sur 3 semaines. Avec ces incertitudes, l'équipe ne verrouille pas la course comme les années précédentes et les adversaires sont moins sur la réserve et savent qu'ils ont une carte à jouer sur ce tour.

Tu penses vraiment que ça se joue à ça ? Tu ne penses pas, plus simplement, que l'équipe est moins forte ? Je veux dire, partant du principe que Thomas est le leader, il n'est entouré que de Bernal et Poels qui grimpent vraiment bien, quand en 2017, Froome bénéficiait de Thomas, Landa, Nieve, et Henao. Et derrière, il me semble que Knees et Kiryenka étaient autrement mieux armés sur les pentes de col pour imprimer le premier rythme que Van Baarle et Castroviejo. Si l'on ajoute à ça un Kwiatko loin de son meilleur niveau, j'ai pas l'impression d'une équipe qui se laisse dépasser par ses incertitudes mais d'une équipe moins dominatrice.

Je pense qu'Ineos a eu pas mal de pépins dans la prépa, ce qui a sans doute bouleversé leur stratégie. Entre la blessure de Bernal avant le Giro, celle de Froome, celle de Thomas..

Et la méforme (passagère ?) de Kwiatko leur fait vraiment mal je pense.

Attention quand même ! On a encore rien vu, le Tour se joue sur ces trois jours cette année.

[Benjis]

Chez les Ineos, Thomas bien que vainqueur l'année dernière reste un coureur qui n'a pas de grandes références sur les tours. En plus son début de saison a été compliqué. Bernal doit encore prouver ses aptitudes dans les grands tours sur 3 semaines. Avec ces incertitudes, l'équipe ne verrouille pas la course comme les années précédentes et les adversaires sont moins sur la réserve et savent qu'ils ont une carte à jouer sur ce tour.

Tu penses vraiment que ça se joue à ça ? Tu ne penses pas, plus simplement, que l'équipe est moins forte ? Je veux dire, partant du principe que Thomas est le leader, il n'est entouré que de Bernal et Poels qui grimpent vraiment bien, quand en 2017, Froome bénéficiait de Thomas, Landa, Nieve, et Henao. Et derrière, il me semble que Knees et Kiryenka étaient autrement mieux armés sur les pentes de col pour imprimer le premier rythme que Van Baarle et Castroviejo. Si l'on ajoute à ça un Kwiatko loin de son meilleur niveau, j'ai pas l'impression d'une équipe qui se laisse dépasser par ses incertitudes mais d'une équipe moins dominatrice.

Les coureurs de chez Ineos sont pas au même niveau que les années précédentes, Van Baarle et Castroviejo sont intrinsèquement meilleur grimpeur que Knees et Kiryenka mais comme quasi toute l'équipe en montagne ils sont pas au niveau escompté.

Après si on compare aux équipes 2016 et 2017 oui l'effectif est beaucoup plus faible sur le tour mais entre temps 3 d'entre eux sont partis et on est passé de 9 à 8 coureurs sur le tour. On peut se dire que Bernal à remplacé Landa ce qui est assez similaire mais Nieve et Henao et Kiryenka l'ont été par Castroviejo, Van Baarle et Moscon ce qui est moins bien même si cette année Henao est fantomatique.

[sam42]

Chez les Ineos, Thomas bien que vainqueur l'année dernière reste un coureur qui n'a pas de grandes références sur les tours. En plus son début de saison a été compliqué. Bernal doit encore prouver ses aptitudes dans les grands tours sur 3 semaines. Avec ces incertitudes, l'équipe ne verrouille pas la course comme les années précédentes et les adversaires sont moins sur la réserve et savent qu'ils ont une carte à jouer sur ce tour.

Tu penses vraiment que ça se joue à ça ? Tu ne penses pas, plus simplement, que l'équipe est moins forte ? Je veux dire, partant du principe que Thomas est le leader, il n'est entouré que de Bernal et Poels qui grimpent vraiment bien, quand en 2017, Froome bénéficiait de Thomas, Landa, Nieve, et Henao. Et derrière, il me semble que Knees et Kiryenka étaient autrement mieux armés sur les pentes de col pour imprimer le premier rythme que Van Baarle et Castroviejo. Si l'on ajoute à ça un Kwiatko loin de son meilleur niveau, j'ai pas l'impression d'une équipe qui se laisse dépasser par ses incertitudes mais d'une équipe moins dominatrice.

Par rapport à l'année dernière, il n'y a qu'un changement dans l'équipe Van Baarle à la place de Froome, les 7 autres coureurs sont les mêmes. Moscon avait même été exclus du tour lors de la 15ème étape. ça ne les a pas empêché d'écraser la course.

L'équipe est moins forte du fait de l'absence d'un vrai leader (Froome) et que les 2 leaders sont moins sécurisants (légitimes ?) , cette saison. Ils sont, en plus, un peu plus en retrait au classement et pas forcément rassurant surtout Thomas, du coup tu ne cours pas de la même façon.
L'an dernier, ils étaient dans la défense du maillot et l'équipe devait faire le tempo. Cette année, ils sont derrière, Bernal et Thomas doivent aller chercher le maillot de leader sauf que pour le moment, ils n'ont pas les jambes pour. Mettre en train le rouleau compresseur, risque plus de faire sauter tes leaders que tes adversaires.
Si Thomas était 1er avec les mêmes jambes que l'an dernier, t'inquiète pas que la course serait plus verrouillée.

Ne pas oublier que Thomas en 13 participations à un grand tour à part l'an dernier, c'est seulement 2 fois 15ème du tour et que Bernal n'a qu'une référence avec aussi une 15ème place.

[NomDeStade]

Chez les Ineos, Thomas bien que vainqueur l'année dernière reste un coureur qui n'a pas de grandes références sur les tours. En plus son début de saison a été compliqué. Bernal doit encore prouver ses aptitudes dans les grands tours sur 3 semaines. Avec ces incertitudes, l'équipe ne verrouille pas la course comme les années précédentes et les adversaires sont moins sur la réserve et savent qu'ils ont une carte à jouer sur ce tour.

Tu penses vraiment que ça se joue à ça ? Tu ne penses pas, plus simplement, que l'équipe est moins forte ? Je veux dire, partant du principe que Thomas est le leader, il n'est entouré que de Bernal et Poels qui grimpent vraiment bien, quand en 2017, Froome bénéficiait de Thomas, Landa, Nieve, et Henao. Et derrière, il me semble que Knees et Kiryenka étaient autrement mieux armés sur les pentes de col pour imprimer le premier rythme que Van Baarle et Castroviejo. Si l'on ajoute à ça un Kwiatko loin de son meilleur niveau, j'ai pas l'impression d'une équipe qui se laisse dépasser par ses incertitudes mais d'une équipe moins dominatrice.

Par rapport à l'année dernière, il n'y a qu'un changement dans l'équipe Van Baarle à la place de Froome, les 7 autres coureurs sont les mêmes. Moscon avait même été exclus du tour lors de la 15ème étape. ça ne les a pas empêché d'écraser la course.

L'équipe est moins forte du fait de l'absence d'un vrai leader (Froome) et que les 2 leaders sont moins sécurisants (légitimes ?) , cette saison. Ils sont, en plus, un peu plus en retrait au classement et pas forcément rassurant surtout Thomas, du coup tu ne cours pas de la même façon.
L'an dernier, ils étaient dans la défense du maillot et l'équipe devait faire le tempo. Cette année, ils sont derrière, Bernal et Thomas doivent aller chercher le maillot de leader sauf que pour le moment, ils n'ont pas les jambes pour. Mettre en train le rouleau compresseur, risque plus de faire sauter tes leaders que tes adversaires.
Si Thomas était 1er avec les mêmes jambes que l'an dernier, t'inquiète pas que la course serait plus verrouillée.

Ne pas oublier que Thomas en 13 participations à un grand tour à part l'an dernier, c'est seulement 2 fois 15ème du tour et que Bernal n'a qu'une référence avec aussi une 15ème place.

Ne pas oublier que Thomas est une belle arnaque l'an dernier parce qu'au-delà même du Tour, il n'a aucun résultat ni sur le Giro ni sur le Vuelta (assez logiquement, il n'a participé qu'une fois à chaque)

G.Thomas c'était un peu le nouveau Wiggins quand même..

[Maugrim]

Attention vraiment aux Ineos dans les Alpes. Wout Poels a passé les dix premiers jours à faire la sieste, et il a commencé à montrer son nez très brièvement dans les Pyrénées. Il est frais comme un gardon, et monte en puissance. Bernal s'est accroché aussi, et n'a réellement perdu du temps que dans le contre-la-montre, il risque d'attaquer ou d'ouvrir la route pour Thomas (à la Froome 2012 pour Wiggins) selon le choix du Team. Et on est pas à l'abri d'une résurrection de Kwiatkowski et Castroviejo. Vu le parcours de cette année, et quand bien même les deux premières semaines ne se sont pas passées comme les Ineos l'auraient voulu, c'est assez évident qu'ils ont ciblé la séquence des Alpes en priorité pour rafler la mise. La preuve en est, ils n'ont pas cherché à développer leur train comme ils le font les autres années hormis une fois, dimanche, et pas longtemps. Le reste du temps, les Lotto et les FDJ le faisait pour eux.

Soit ils n'ont effectivement pas les jambes, soit ils s'economisent pour porter l'estocade puis contrôler la course comme ils le font d'habitude. Cette fois ils le feraient un peu plus tard, soit dans les Alpes, là où en général Froome le faisait dès la première ou deuxième étape de montagne. Mais connaissant les Sky/Ineos depuis huit ans et leur très grand sens tactique, cela m'étonnerait beaucoup qu'ils n'aient pas un Plan bien défini et qu'ils fassent au jour le jour (contrairement aux autres équipes, à commencer par les Quickstep ou les FDJ). On peut dire ce qu'on veut sur leurs performances surhumaines aux britanniques, il faut leur concéder qu'ils sont très bons dans la gestion d'une course et dans leur approche tactique. Et ça, tout le dopage du monde n'aide pas à l'acquérir (hello Team Movistar).

[sam42]

Ne pas oublier que Thomas est une belle arnaque l'an dernier parce qu'au-delà même du Tour, il n'a aucun résultat ni sur le Giro ni sur le Vuelta (assez logiquement, il n'a participé qu'une fois à chaque)

G.Thomas c'était un peu le nouveau Wiggins quand même..

3 participations pour le Giro

2008 : 118ème
2012 : 80ème
2017 : abandon

[pitchdobrasil]

G.Thomas c'était un peu le nouveau Wiggins quand même..

Peut-être mais faudrait lui remettre ses roulettes. Il n’est visiblement pas encore prêt pour rouler sans.

[NomDeStade]

G.Thomas c'était un peu le nouveau Wiggins quand même..

Peut-être mais faudrait lui remettre ses roulettes. Il n’est visiblement pas encore prêt pour rouler sans.

Dingue comme ce coureur tombe souvent..

[ForeverGreen]

Chez les Ineos, Thomas bien que vainqueur l'année dernière reste un coureur qui n'a pas de grandes références sur les tours. En plus son début de saison a été compliqué. Bernal doit encore prouver ses aptitudes dans les grands tours sur 3 semaines. Avec ces incertitudes, l'équipe ne verrouille pas la course comme les années précédentes et les adversaires sont moins sur la réserve et savent qu'ils ont une carte à jouer sur ce tour.

Tu penses vraiment que ça se joue à ça ? Tu ne penses pas, plus simplement, que l'équipe est moins forte ? Je veux dire, partant du principe que Thomas est le leader, il n'est entouré que de Bernal et Poels qui grimpent vraiment bien, quand en 2017, Froome bénéficiait de Thomas, Landa, Nieve, et Henao. Et derrière, il me semble que Knees et Kiryenka étaient autrement mieux armés sur les pentes de col pour imprimer le premier rythme que Van Baarle et Castroviejo. Si l'on ajoute à ça un Kwiatko loin de son meilleur niveau, j'ai pas l'impression d'une équipe qui se laisse dépasser par ses incertitudes mais d'une équipe moins dominatrice.

Les coureurs de chez Ineos sont pas au même niveau que les années précédentes, Van Baarle et Castroviejo sont intrinsèquement meilleur grimpeur que Knees et Kiryenka mais comme quasi toute l'équipe en montagne ils sont pas au niveau escompté.

Après si on compare aux équipes 2016 et 2017 oui l'effectif est beaucoup plus faible sur le tour mais entre temps 3 d'entre eux sont partis et on est passé de 9 à 8 coureurs sur le tour. On peut se dire que Bernal à remplacé Landa ce qui est assez similaire mais Nieve et Henao et Kiryenka l'ont été par Castroviejo, Van Baarle et Moscon ce qui est moins bien même si cette année Henao est fantomatique.

Tu penses ? Autant, pour Kiryenka, je peux te suivre, même s'il avait une formidable capacité à mener grand train dans le pied des bosses, comparable à peu d'autres, autant Knees, c'était du solide dans les grimpettes. Il a même fait un top 20 du Tour

[Faiseur de Tresses]

G.Thomas c'était un peu le nouveau Wiggins quand même..

Peut-être mais faudrait lui remettre ses roulettes. Il n’est visiblement pas encore prêt pour rouler sans.

Dingue comme ce coureur tombe souvent..

Merde j'ai loupé, il est tombé ?

[NomDeStade]

G.Thomas c'était un peu le nouveau Wiggins quand même..

Peut-être mais faudrait lui remettre ses roulettes. Il n’est visiblement pas encore prêt pour rouler sans.

Dingue comme ce coureur tombe souvent..

Merde j'ai loupé, il est tombé ?

Ouaip, il y a 15 minutes, dans un virage, il a tapé le trottoir. Rien de méchant.

[NomDeStade]

Chez les Ineos, Thomas bien que vainqueur l'année dernière reste un coureur qui n'a pas de grandes références sur les tours. En plus son début de saison a été compliqué. Bernal doit encore prouver ses aptitudes dans les grands tours sur 3 semaines. Avec ces incertitudes, l'équipe ne verrouille pas la course comme les années précédentes et les adversaires sont moins sur la réserve et savent qu'ils ont une carte à jouer sur ce tour.

Tu penses vraiment que ça se joue à ça ? Tu ne penses pas, plus simplement, que l'équipe est moins forte ? Je veux dire, partant du principe que Thomas est le leader, il n'est entouré que de Bernal et Poels qui grimpent vraiment bien, quand en 2017, Froome bénéficiait de Thomas, Landa, Nieve, et Henao. Et derrière, il me semble que Knees et Kiryenka étaient autrement mieux armés sur les pentes de col pour imprimer le premier rythme que Van Baarle et Castroviejo. Si l'on ajoute à ça un Kwiatko loin de son meilleur niveau, j'ai pas l'impression d'une équipe qui se laisse dépasser par ses incertitudes mais d'une équipe moins dominatrice.

Les coureurs de chez Ineos sont pas au même niveau que les années précédentes, Van Baarle et Castroviejo sont intrinsèquement meilleur grimpeur que Knees et Kiryenka mais comme quasi toute l'équipe en montagne ils sont pas au niveau escompté.

Après si on compare aux équipes 2016 et 2017 oui l'effectif est beaucoup plus faible sur le tour mais entre temps 3 d'entre eux sont partis et on est passé de 9 à 8 coureurs sur le tour. On peut se dire que Bernal à remplacé Landa ce qui est assez similaire mais Nieve et Henao et Kiryenka l'ont été par Castroviejo, Van Baarle et Moscon ce qui est moins bien même si cette année Henao est fantomatique.

Tu penses ? Autant, pour Kiryenka, je peux te suivre, même s'il avait une formidable capacité à mener grand train dans le pied des bosses, comparable à peu d'autres, autant Knees, c'était du solide dans les grimpettes. Il a même fait un top 20 du Tour

Je pense que tu ne peux pas trop t'appuyer sur un top20, sauf à regarder en détail les conditions de course.

Un mec peut faire top20 si il a participé à une échappée fleuve par exemple. (bon certains gagnent même le Tour comme ça )

[ForeverGreen]

Chez les Ineos, Thomas bien que vainqueur l'année dernière reste un coureur qui n'a pas de grandes références sur les tours. En plus son début de saison a été compliqué. Bernal doit encore prouver ses aptitudes dans les grands tours sur 3 semaines. Avec ces incertitudes, l'équipe ne verrouille pas la course comme les années précédentes et les adversaires sont moins sur la réserve et savent qu'ils ont une carte à jouer sur ce tour.

Tu penses vraiment que ça se joue à ça ? Tu ne penses pas, plus simplement, que l'équipe est moins forte ? Je veux dire, partant du principe que Thomas est le leader, il n'est entouré que de Bernal et Poels qui grimpent vraiment bien, quand en 2017, Froome bénéficiait de Thomas, Landa, Nieve, et Henao. Et derrière, il me semble que Knees et Kiryenka étaient autrement mieux armés sur les pentes de col pour imprimer le premier rythme que Van Baarle et Castroviejo. Si l'on ajoute à ça un Kwiatko loin de son meilleur niveau, j'ai pas l'impression d'une équipe qui se laisse dépasser par ses incertitudes mais d'une équipe moins dominatrice.

Les coureurs de chez Ineos sont pas au même niveau que les années précédentes, Van Baarle et Castroviejo sont intrinsèquement meilleur grimpeur que Knees et Kiryenka mais comme quasi toute l'équipe en montagne ils sont pas au niveau escompté.

Après si on compare aux équipes 2016 et 2017 oui l'effectif est beaucoup plus faible sur le tour mais entre temps 3 d'entre eux sont partis et on est passé de 9 à 8 coureurs sur le tour. On peut se dire que Bernal à remplacé Landa ce qui est assez similaire mais Nieve et Henao et Kiryenka l'ont été par Castroviejo, Van Baarle et Moscon ce qui est moins bien même si cette année Henao est fantomatique.

Tu penses ? Autant, pour Kiryenka, je peux te suivre, même s'il avait une formidable capacité à mener grand train dans le pied des bosses, comparable à peu d'autres, autant Knees, c'était du solide dans les grimpettes. Il a même fait un top 20 du Tour

Je pense que tu ne peux pas trop t'appuyer sur un top20, sauf à regarder en détail les conditions de course.

Un mec peut faire top20 si il a participé à une échappée fleuve par exemple. (bon certains gagnent même le Tour comme ça )

Pas souvenir. Knees faisait partie de ceux que je suivais un peu, plus ou moins incompréhensiblement, pas souvenir que ce fut dû à cela. Pour te donner une idée, j'ai toujours eu pour manie de faire un listing des coureurs encore présent dans le peloton une fois qu'il ne comptait plus qu'un vingtaine, trentaine d'unités. Je pense que c'est de là que vient le suivi que j'ai eu de Knees.

[Faiseur de Tresses]

G.Thomas c'était un peu le nouveau Wiggins quand même..

Peut-être mais faudrait lui remettre ses roulettes. Il n’est visiblement pas encore prêt pour rouler sans.

Dingue comme ce coureur tombe souvent..

Merde j'ai loupé, il est tombé ?

Ouaip, il y a 15 minutes, dans un virage, il a tapé le trottoir. Rien de méchant.

Zut.

[ForeverGreen]

Les dernières années, la purge insupportable du Tour, c'était les Sky, cette année, c'est Bernard Canetti, j'en peux plus ptn

[Faiseur de Tresses]

Les dernières années, la purge insupportable du Tour, c'était les Sky, cette année, c'est Bernard Canetti, j'en peux plus ptn

Ça devrait être interdit ce matraquage. Que ce soit lui ou Castaldi, j'ai envie de les frapper.

[Michel-Ange]

Attention vraiment aux Ineos dans les Alpes. Wout Poels a passé les dix premiers jours à faire la sieste, et il a commencé à montrer son nez très brièvement dans les Pyrénées. Il est frais comme un gardon, et monte en puissance. Bernal s'est accroché aussi, et n'a réellement perdu du temps que dans le contre-la-montre, il risque d'attaquer ou d'ouvrir la route pour Thomas (à la Froome 2012 pour Wiggins) selon le choix du Team. Et on est pas à l'abri d'une résurrection de Kwiatkowski et Castroviejo. Vu le parcours de cette année, et quand bien même les deux premières semaines ne se sont pas passées comme les Ineos l'auraient voulu, c'est assez évident qu'ils ont ciblé la séquence des Alpes en priorité pour rafler la mise. La preuve en est, ils n'ont pas cherché à développer leur train comme ils le font les autres années hormis une fois, dimanche, et pas longtemps. Le reste du temps, les Lotto et les FDJ le faisait pour eux.

Soit ils n'ont effectivement pas les jambes, soit ils s'economisent pour porter l'estocade puis contrôler la course comme ils le font d'habitude. Cette fois ils le feraient un peu plus tard, soit dans les Alpes, là où en général Froome le faisait dès la première ou deuxième étape de montagne. Mais connaissant les Sky/Ineos depuis huit ans et leur très grand sens tactique, cela m'étonnerait beaucoup qu'ils n'aient pas un Plan bien défini et qu'ils fassent au jour le jour (contrairement aux autres équipes, à commencer par les Quickstep ou les FDJ). On peut dire ce qu'on veut sur leurs performances surhumaines aux britanniques, il faut leur concéder qu'ils sont très bons dans la gestion d'une course et dans leur approche tactique. Et ça, tout le dopage du monde n'aide pas à l'acquérir (hello Team Movistar).

Tu n'as pas dû beaucoup regarder le Giro ou la Vuelta.
Ineos, ex-Sky, ils savent aussi simplement ne pas être bons.

S'ils devaient subitement retrouver leur domination en troisième semaine ce serait sans doute plus dû aux "vertus miraculeuses" de la journée de repos qu'à un grand sens tactique.

[Maugrim]

Attention vraiment aux Ineos dans les Alpes. Wout Poels a passé les dix premiers jours à faire la sieste, et il a commencé à montrer son nez très brièvement dans les Pyrénées. Il est frais comme un gardon, et monte en puissance. Bernal s'est accroché aussi, et n'a réellement perdu du temps que dans le contre-la-montre, il risque d'attaquer ou d'ouvrir la route pour Thomas (à la Froome 2012 pour Wiggins) selon le choix du Team. Et on est pas à l'abri d'une résurrection de Kwiatkowski et Castroviejo. Vu le parcours de cette année, et quand bien même les deux premières semaines ne se sont pas passées comme les Ineos l'auraient voulu, c'est assez évident qu'ils ont ciblé la séquence des Alpes en priorité pour rafler la mise. La preuve en est, ils n'ont pas cherché à développer leur train comme ils le font les autres années hormis une fois, dimanche, et pas longtemps. Le reste du temps, les Lotto et les FDJ le faisait pour eux.

Soit ils n'ont effectivement pas les jambes, soit ils s'economisent pour porter l'estocade puis contrôler la course comme ils le font d'habitude. Cette fois ils le feraient un peu plus tard, soit dans les Alpes, là où en général Froome le faisait dès la première ou deuxième étape de montagne. Mais connaissant les Sky/Ineos depuis huit ans et leur très grand sens tactique, cela m'étonnerait beaucoup qu'ils n'aient pas un Plan bien défini et qu'ils fassent au jour le jour (contrairement aux autres équipes, à commencer par les Quickstep ou les FDJ). On peut dire ce qu'on veut sur leurs performances surhumaines aux britanniques, il faut leur concéder qu'ils sont très bons dans la gestion d'une course et dans leur approche tactique. Et ça, tout le dopage du monde n'aide pas à l'acquérir (hello Team Movistar).

Tu n'as pas dû beaucoup regarder le Giro ou la Vuelta.
Ineos, ex-Sky, ils savent aussi simplement ne pas être bons.

S'ils devaient subitement retrouver leur domination en troisième semaine ce serait sans doute plus dû aux "vertus miraculeuses" de la journée de repos qu'à un grand sens tactique.

Je regarde assez souvent, même si je suis moins attentif que pour le Tour (la période de l'année ne s'y prête pas aussi). Et il ne faut pas oublier qu'ils y ont fait des résultats, sans parler du fait que le Tour de France a toujours été, est et sera toujours leur priorité. Contrairement à d'autres équipes qui bataillent certes chez nous, mais préfèrent briller ailleurs.

Même l'US Postal n'a jamais su briller ailleurs que sur le Tour d'ailleurs, hormis dans les dernières années il me semble. Et encore heureux.

Après, le fil de mon propos n'est pas de dire qu'ils ne trichent pas. C'est plutôt qu'il ne faut pas croire qu'ils vont se rendre sans tenter un coup.

[sam42]

Tu penses ? Autant, pour Kiryenka, je peux te suivre, même s'il avait une formidable capacité à mener grand train dans le pied des bosses, comparable à peu d'autres, autant Knees, c'était du solide dans les grimpettes. Il a même fait un top 20 du Tour

Il fait un top 20 en 2009 suite au déclassement de Armstrong et Astarzola. On est surtout à une autre époque où le dopage important était encore présent.

[ForeverGreen]

Tu penses ? Autant, pour Kiryenka, je peux te suivre, même s'il avait une formidable capacité à mener grand train dans le pied des bosses, comparable à peu d'autres, autant Knees, c'était du solide dans les grimpettes. Il a même fait un top 20 du Tour

Il fait un top 20 en 2009 suite au déclassement de Armstrong et Astarzola. On est surtout à une autre époque où le dopage important était encore présent.

J'avais pourtant le souvenir d'un top 20 à la fin du Tour, comme quoi, la mémoire. Cela dit, j'ai jamais contesté le fait qu'il ait pu être chargé, c'est un autre débat, mais il termine dans les eaux d'Hincapie, Rolland ou Roche, donc dans des eaux où ça monte bien les cols, quand même.