Tu dois avoir une maman passionnante pleine de connaissances sur Saint-Etienne.
J'ai eu la chance d'avoir un tel enseignant en primaire à Montbrison, Joseph Barou, mais je n'ai pas le souvenir de le voir supporter des verts, cela ne doit pas être lui. Sinon je peux le trouver pour lui tirer les verts du nez
L'apport de Couramiaud est intéressant mais on ne connaît pas la source de Vandel.
A l'inverse de l'association, rue des jardins, vert, j'ai plus de mal à voir s'inventer ce lien avec un vitrail de Notre Dame. C'est ce qui fait que j'ai tendance à lui apporter plus de crédit. Cette enquête est loin d'être bouclée
L'essentiel, même si nous ne découvrons pas de preuve tangible est d'apprendre des choses et c'est mon cas. Je me rappelle avoir interloqué une cousine hors département lors d'une conversation en lui parlant de l'ASS qu'elle avait pris pour la SS
Bien entendu c'est d'usage courant pour tous les supporters locaux de faire sauter le E, et j'avais dans l'idée que c'était par facilité de langage, mais en se penchant sur l'histoire du club comme on le fait, je viens de comprendre que non. Plutôt une habitude conservée puisque dans l'évolution du club :
https://archives.saint-etienne.fr/arkot ... e_present=
Et puis ce soir je me suis passé le documentaire sur Marguerite Gonon et la résistance dans le Forez pour prolonger les échanges quelques pages précédentes, je recommande car j'avais lu quelques écrits sur le groupe de Résistance d’Arthun notamment :En 1927, l'ASC fusionne avec le Stade Forézien Universitaire (FSU) pour devenir l'Association Sportive Stéphanoise (ASS). Sous l'impulsion de Pierre Guichard, fils de Geoffroy, les résultats s'améliorent et le club décide de se lancer dans l'aventure du professionnalisme dans le football à l'automne 1933.
http://forezhistoire.free.fr/images/113 ... n-2012.pdf
Mais Marguerite Gonon c'est encore mieux parce que c'est une conteuse née et quand le sujet la concerne directement cela prend encore une autre dimension, son récit du pigeon voyageur dans le train
de l'émotion contenue mais perceptible à de nombreuses fois notamment à l'évocation d'Elise Gervais, de l'Oncle Georges (frère de Geoffroy Guichard), une attirance troublante pour le comte de Neufbourg, bref tout pour faire un blockbuster forézien