(HS) La Bibliothèque Verte

Discussion générale sur l'ASSE

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Naar
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Re: (HS) La Bibliothèque Verte

Message par Naar »

old_side a écrit :@Torquemada
Je ne les interprete pas, je les lis, et ils sont un peu confus. Tu nous donnes Rebatet pour un grand auteur, et quelques lignes plus loin tu nous expliques n'avoir que parcouru le livre cité en exemple. Perso, je ne poste que les livres lus ici, et parcours peu ou proue l'ensemble d'une oeuvre avant de crier au génie. Céline en est un à mes yeux, tout comme Bernanos ou Chateaubriand. Drieu, non : trop inegal.
Tu nous expliques ensuite qu'on detourne la pensée fasciste repentie de Rebatet : primo, il n'etait pas fasciste, mais nazi. Deuzio, il ne s'est jamais repenti, et sa pensée gangrenait ses romans. Celine operait un distingo entre son oeuvre litteraire et ses trois pamphlets. Difficile de faire de meme avec Rebatet.

@ Vertigogo
Guignol's band n'est pas le meilleur à mes yeux. Lui préferer d'un Chateau l'autre, sur la fuite à sigmaringen puis au danemark
Le livre dont je parle depuis le début, c'est Les épis mûrs, dont je dis le plus grand bien. J'évoque également les Deux étendards ainsi que les Décombres, et je n'ai parlé que d'une seule oeuvre que j'ai survolée, à savoir l'Histoire de la musique. Mes propos me paraisse clair. Si tu lis les Décombres, par exemple, tu verras que ce qui le fascine en premier lieu, c'est bel et bien Mussolini et il regrette, pendant au moins les 100 premières pages que la France ait refusé sa main tendue. Contre l'Allemagne d'Hitler. Bagatelles pour un massacre n'est pas un pamphlet. C'est ou un ballet, ce qui est soutenu par quelques spécialistes, ou un roman. Je me demande ce que tu as lu de Rebatet comme roman.
Après, si tu veux me dire que Céline et Chateaubriand sont au dessus de Rebatet, sans aucun doute, ce qui n'empêche pas ce dernier d'être un talentueux écrivain, un génie, qui s'est perdu dans ses passions politiques - encore une fois ce que je dis depuis le début - et sa mise au ban l'a empêché de rejoindre ce panthéon des plus grands.
nanesse
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Très, très drôle. :super:
Dernière modification par nanesse le 13 mai 2011, 15:03, modifié 1 fois.
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Re: (HS) La Bibliothèque Verte

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nanesse a écrit :Image

Très, très drôle. :super:
;)
nanesse
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Re: (HS) La Bibliothèque Verte

Message par nanesse »

vertigogo a écrit :
nanesse a écrit :Image

Très, très drôle. :super:
;)
Merci !
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Le Paris de l'entre-deux-guerres ce n'est pas que ce qu'on en voit dans le Woody Allen :mrgreen: :

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Naar
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Re: (HS) La Bibliothèque Verte

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vertigogo a écrit :Le Paris de l'entre-deux-guerres ce n'est pas que ce qu'on en voit dans le Woody Allen :mrgreen: :

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Tient, c'est amusant, je suis en train de l'achever.

Excellent roman.
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Re: (HS) La Bibliothèque Verte

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Torquemada a écrit :
vertigogo a écrit :Le Paris de l'entre-deux-guerres ce n'est pas que ce qu'on en voit dans le Woody Allen :mrgreen: :
Tient, c'est amusant, je suis en train de l'achever.

Excellent roman.
Je suis partagé. Je me demande si ce n'est pas là (une partie de) l'avénement d'un petit nombrilisme parisien que nous connaissons bien aujourd'hui dans l'édition (certes Drieu le dénonce mais n'en ai pas moins dedans). Par ailleurs, les personnages sont presque trop détestables dans leur ensemble. Les personnages féminins manquent d'épaisseur. Par contre, l'évocation des Dada-surréalistes, des arcanes de la IIIème République, et le personnage de Carentan sont intéressants. Sans être génial ou particulièrement original, le style est précis et vivant, imparable, comme j'ai l'habitude de dire.
deadken
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Magnifique!
bab'trot
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Message par bab'trot »

deadken a écrit :Image

Magnifique!
Deadken, tu as raison: quitte à lire un écrivain de l'entre deux guerres, je crois qu'il vaut mieux lire le sang noir (Anjou! feu!), roman sur l'arrière pendant la 1ère guerre mondiale, miné par l'obligation à adhérer au nationalisme et à la germanophobie, et certains professeurs comme élèves qui parviennent parfois à échapper au sentiment commun; il ressort du roman une ambiance noire, misanthrope,le "héros" est un anti héros, philosophe, mais aussi clochardisé et chahuté par ses élèves.... c'est plus réaliste que chez Céline, c'est plus sympathique que les romans de ce poseur de Drieu, mais c'est aussi assez noir; la lecture n'en est pas facile, car le roman est protéïforme, on suit plusieurs personnages et l'intrigue est mince (il n'y en a pas)...Mais je suis de ton avis c'est excellent!
nanesse
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Message par nanesse »

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Résumé sur evene.fr : "Le nouveau livre de Virginie Despentes n'est pas un roman, mais le récit intime et militant d'une femme née avec la révolution sexuelle à la fin des années soixante. Punkette violée à l'âge de 17 ans par trois banlieusards qui la prennent en stop, prostituée occasionnelle sélectionnant ses clients sur Minitel deux ans plus tard, réalisatrice de 'Baise-moi' qui connut les détracteurs et les censeurs que l'on sait, Virginie Despentes raconte pour la première fois, avec pudeur et véhémence, comment elle est devenue Virginie Despentes et conteste les discours bien-pensants sur le viol, la prostitution et la pornographie. Mêlant les réflexions inspirées par la lecture des grandes féministes américaines, méconnues en France, d'Angela Davis à Joan Rivière en passant par Gail Pheterson et Judith Butler, et les coups de gueule contre la soumission complice de chacun et chacune à un ordre établi dans lequel la répartition des rôles et des pouvoirs interdit l'épanouissement de tous, ce texte porte sur la féminité et le rapport entre les sexes aujourd' hui."

Qu'on aime le personnage ou pas, qu'on 'aime ses romans ou pas (les ai pas lus), voilà une saine lecture, qui fait vraiment du bien, surtout cette semaine. Si ça gagne pas ça débarrasse, et puis ça gagne souvent. Difficile de choisir parmi les pépites qui font plaisir. Allez juste une : "La chaudasserie la plus pathétique, ils veulent nous la refourguer comme sympathique et pulsionnelle. Mais c'est rare d'être Bukowski, la plupart du temps, c'est juste des tocards lambda." Wise girl.
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Message par nanesse »

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nanesse a écrit :Image
Un avis ?
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Message par nanesse »

vertigogo a écrit :
nanesse a écrit :Image
Un avis ?

Heu, ça partait bien, sans grosse révélation mais intéressant sur le fonctionnement d'Hollywood et le concept tout relatif du cinéma "indépendant", mais j'ai arrêté pour cause de besoin de roman - besoin de fiction irrépressible qui m'a menée vers

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Résumé sur Decitre.fr : "Nathan Price, pasteur baptiste américain au fanatisme redoutable, part en mission au Congo belge en 1959 avec sa femme et ses quatre filles.
Ils arrivent de Géorgie dans un pays qui rêve d'autonomie et de libertés. Tour à tour, la mère et les quatre filles racontent la ruine tragique de leur famille qui, même avec sa bonne volonté et ses croyances de fer, ne résiste à rien, ni à la détresse, ni aux fourmis, ni aux orages... ni aux Saintes Ecritures. Après L'Arbre aux haricots et Les Cochons au paradis, Barbara Kingsolver a écrit son roman le plus ambitieux, un roman qui prend sa place dans la littérature postcoloniale."

Formidable :amen:
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Un bouquin pour les geeks :

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Certes pas de la grande littérature mais intéressant par ses expérimentations formelles.
José
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Message par José »

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Je relis un bouquin que Jorge Semprun m'avait sympathiquement dédicacé. :/
"Celui qui se perd dans sa passion est moins perdu que celui qui perd sa passion" (Saint-Augustin)
"Allez les Verts !" (Saint-Etienne)
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Message par dronchau »

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Pas encore la pleine maturité de Fante, pour moi :

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rouge
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Message par rouge »

Ténèbres prenez moi par la main
un très bon thriller de Denis Lehanne
une fois commencé on ne lâche plus le bouquin
Il faut allier le pessimisme de l'intelligence à l'optimisme de la volonté :(Gramsci)
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Message par Vertige76 »

rouge a écrit :Ténèbres prenez moi par la main
un très bon thriller de Denis Lehanne
une fois commencé on ne lâche plus le bouquin

Toute la série des D.Lehane avec le duo Kenzie/Gennaro (sans oublier l'inoubliable Boubba :mrgreen: ) est remarquable.A noter la sortie du dernier tome mooline mile paru récemment (acheté mais pas encore lu )
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Tic et Tac ; la tactique qui nous nique !
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Message par bab'trot »

José a écrit :Image

Je relis un bouquin que Jorge Semprun m'avait sympathiquement dédicacé. :/
Qu'est ce que cela vaut? J'imagine que Semprun raconte ses années de militantisme communiste après guerre, sujet qui m'intéresse moins que ses deux romans récits de l'univers concentrationnaire, le grand voyage et le mort qu'il faut, que j'avais vraiment trouvé fabuleux...
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Message par GreenPeace »

hommage toute la semaine sur france Q de 20h00 à 20h30.
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Parasar
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Message par Parasar »

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Bien écrit, moderne, facile à lire, efficace. Fin laissant sur notre faim...
Et sujet malgré tout assez plombant pour un père de famille (une mère aussi ... enfin j'imagine :mrgreen: ).
I'm waiting for my club...
It's never early, it's always late,
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Message par ......... »

Parasar a écrit :Image

Bien écrit, moderne, facile à lire, efficace. Fin laissant sur notre faim...
Et sujet malgré tout assez plombant pour un père de famille (une mère aussi ... enfin j'imagine :mrgreen: ).
Fargues est pour moi un parangon des dérives de l'édition française contemporaine.

http://www.paperblog.fr/1532564/nicolas ... ue-j-aime/" onclick="window.open(this.href);return false;
Parasar
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Re: (HS) La Bibliothèque Verte

Message par Parasar »

Je comprends qu'il puisse agacer, mais il n'y a rien dans le blog que tu cites (c'est pas interdit d'être beau mec pour être écrivain), pas une once de critique sur le fond (son style, la façon d'aborder le sujet etc etc).

Deux critiques pour contrebalancer
Télérama (spéciale dédicace à guinnesstime) : La cruauté du titre explose dès les premières pages, quand son futur simple, l'évidence rassurante de sa formulation, « Tu verras », se heurte de plein fouet à l'imparfait dont le narrateur est contraint presque immédiatement d'user. Clément ne verra pas. La transmission est brutalement interrompue. Le père a perdu son fils, victime d'un accident de métro. Clément, 12 ans à jamais, ne verra pas comment le latin aide plus tard « à mieux connaître les structures du français », ne mesurera pas l'importan­ce de ce que lui disait son père, à longueur de journées, « pour son bien ». Nicolas Fargues dit avec force la douleur de ce « bien » quand on ne peut plus « savourer ce mira­cle banal » de constater que son enfant est « en vie et en bonne santé ». A quoi riment a posteriori ces heures passées à lui répéter de remonter son jean tombé à mi-fesses, à fustiger la vulgarité au kilomètre de la musique qui remplit son iPod ?

Au-delà de l'émotion crue qu'il dégage, c'est dans le vif de questions fondamentales que tranche ce livre proprement éblouissant. Que transmet-on à ses enfants ? Comment vit-on avec eux ? Comment les aime-t-on ? Nicolas Fargues explore, à travers la souffrance du père qu'il met en scène, l'actualité de ces questions. Avec une justesse saignante. Et une totale liberté, sans tabous, ni souci du politiquement correct. Il observe, marque l'époque à la culotte et n'hésite jamais à dire ce qu'il voit, à donner les noms, à dénoncer les tics et les tactiques d'évitement d'une société contemporaine narcissique et immature. Tu verras met ainsi en mouvement le bal grinçant des familles éclatées et des enfants écartelés, celui des « ex » des uns et des autres, des demi-frères et des quarts de soeur, des parents à mi-temps et des jobs jusqu'à pas d'heure, la course folle à la jeunesse éternelle, les pères rivalisant avec leurs fils, les « copines », quinze ans plus jeu­nes, incapables d'assumer les enfants de leurs mecs, les grand-pères dissimulant leur âge, vieux jeunes hommes démodés, dans leurs jeans délavés. « C'est bizarre, l'amour parental », s'interroge le narrateur. « Aimer son enfant, est-ce aimer un autre que soi ou bien continuer de s'aimer soi-même, mais sans s'accabler de la mauvaise conscience d'être égoïste ?

Le Monde litteraire :
A travers la confession d'un père endeuillé, Nicolas Fargues compose un roman d'amour et de filiation pour exorciser ses propres peurs. A passer un peu vite devant les titres de ses livres, le lecteur pourrait croire que les romans de Nicolas Fargues sont à l'image de ce que semblent annoncer les couvertures : un peu détachés, presque plats, dépourvus d'effets ou de profondeur. Rien de plus faux. Car s'ils n'ont en effet nul clinquant, s'ils jouent volontiers de ce petit côté « mine de rien » que cultive l'auteur, depuis son premier roman, (Le Tour du propriétaire, POL, 2000), ces titres renvoient toujours à des textes beaucoup plus poignants qu'il n'y paraît.
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Re: (HS) La Bibliothèque Verte

Message par ......... »

Sans vouloir écarter ton argumentation abruptement, je n'accorde aucune valeur aux critiques littéraires institutionnelles qui sont dictées dans l'immense majorité des cas par des considérations n'ayant qu'un rapport très lointain avec la qualité littéraire. Télérama et Le Monde Litt font partie des "institution" les plus fangeuses en la matière. De fait, ces critiques démontrent seulement que Fargues a de solides appuis dans le milieu, ce qui est en réalité une évidence, puisque c'est le cas de l'immense majorité des auteurs "dont on connait les noms", c'est d'ailleurs précisemment pour cela qu'on connait leur nom (Cf. le plan de com hallucinant dont a bénéficié Nicolas Rey pour son dernier livre, sorte de rédaction spongieuse digne d'un élève de 4ème, et encore, un élève pas très doué).

Ce que je trouve particulièrement intéressant dans le propos retranscrit de Nicolas Fargues c'est qu'il avoue qu'il "n'écrit pas le genre de littérature qu'il aime"... cela me semble édifiant et symptomatique de l'époque éditoriale dans laquelle nous sommes. Ce qui est amusant, c'est que j'ai surpris un jour Paul Otchakovsky-Laurens, qui n'est autre que l'éditeur de Fargues (P.O.L.), à avouer son amour immodéré pour Kafka. Je n'ai naturellement pas pu m'empêcher de relever l'absurdité de clamer son adoration pour Kafka pour finir par publier Fargues ! Le pauvre homme n'a pu que se réfugier dans le silence et le mépris.

Ceci dit, chacun a le droit d'aimer les livres qu'il veut, pas de problème, je ne fais ici part que de mon avis personnel (d'ailleurs, je ne dis pas que ce livre est mauvais, ne l'ayant pas lu).
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