[Basket] Reprise saison NBA
Modérateurs : Barre transversale, Poteau gauche, Poteau droit, Ligne de but
-
GreenFloyd
- Messages : 9780
- Inscription : 30 août 2005, 13:57
- Localisation : Aotearoa/New Zealand
-
Obi-Wan Kenobi
- Messages : 6002
- Inscription : 28 juil. 2005, 11:50
- Localisation : l autre pays du fromage
mais non, le "lutin magique" est de retour :Obi-Wan Kenobi a écrit :dommage, j ai bien peur que ce soit une saison merdique pour le Mans :???:
Shawnta Rogers, nouveau meneur du MSB
11/02/2007 - 14:49
L'américain Shawnta Rogers (1,62m, 31 ans) vient de signer un contrat jusqu'à la fin de la saison avec le MSB. Il retrouvera dès mardi prochain le maillot qu'il a porté entre 2000 et 2003 et subira tous les examens médicaux nécessaires à sa qualification pour le match de Chalon /S.
[img]http://www.msb.fr/images/clubs/logo/lemans.jpg[/img]
"Il y a des choses que le temps ne peut cicatriser,
des blessures si profondes,
qu'elles se sont emparées de vous "
"Il y a des choses que le temps ne peut cicatriser,
des blessures si profondes,
qu'elles se sont emparées de vous "
Salyers devrait etre interdit de jouer, avec sa coupe de cheveux il fait peur aux autres joueurs :protest: . Mais putain, quel joueur :shock: . .vinsanity a écrit :La Chorale remporte la semaine des As en battant Le Mans 87-82 !!!
Superbe victoire acquise dans un match très serré, où notre trio US a une fois de plus fait des merveilles. 29pts 7rbds 2int 3ast de Salyers, 18pts 4rbds 4ast de Spencer et 19pts 4rbds 2int de Harper. A noter aussi les bons matchs de Cazalon (7pts 3rbds 4ast) Badiane (9pts 3rbds 1int 1ctr).
En face 24pts de Gregory, 16 de Bogavac, 12 de Bokolo et Koffi et 10 de Campbell. Nicevic passe au travers avec un 2/9 et 6 ballons perdus.
28pts "francais" pour Le Mans et 21 pour Roanne.
Sinon, ce match se joue a pas grand chose, le panier de Soliman ( je crois bien ) de sa propre moitié de terrain, le 3 points de Salyers de 10 metres et la faute offensive sifflée contre Eric Campbell totalement injustifiée :evil: ont fait penché le match du mauvais coté
.Bravo a la Chorale, on se retrouve le 9 mars a Antares.
[img]http://www.msb.fr/images/clubs/logo/lemans.jpg[/img]
"Il y a des choses que le temps ne peut cicatriser,
des blessures si profondes,
qu'elles se sont emparées de vous "
"Il y a des choses que le temps ne peut cicatriser,
des blessures si profondes,
qu'elles se sont emparées de vous "
-
Greengexois exilé
- Messages : 4124
- Inscription : 12 sept. 2005, 13:16
- Localisation : Vonnas
et les 3 lancers manqués dans la dernière minute par les Manceaux.
Je vois une grosse deuxième partie de saison des cadors Manceaux, Palois (même si je ne l'espère pas ) et Strasbourgeois, je mettrais bien une petite pièce pour Gravelines
Je vois une grosse deuxième partie de saison des cadors Manceaux, Palois (même si je ne l'espère pas ) et Strasbourgeois, je mettrais bien une petite pièce pour Gravelines
"On peut rire de tout mais pas avec n'importe qui." Pierre Desproges.
ça c'est notre peché mignon :oops: 7/15 aujourd'hui , on est plus adroit a 3 pts qu'aux lancers francs :lol:greengexois a écrit :et les 3 lancers manqués dans la dernière minute par les Manceaux.
[img]http://www.msb.fr/images/clubs/logo/lemans.jpg[/img]
"Il y a des choses que le temps ne peut cicatriser,
des blessures si profondes,
qu'elles se sont emparées de vous "
"Il y a des choses que le temps ne peut cicatriser,
des blessures si profondes,
qu'elles se sont emparées de vous "
Pour l'instant, ils sont qualifiés en Eurocoupe avec son règlement merdique qui limite l'effectif à 2 extra communautaires. Donc il va falloir étoffer le banc pour cette compétition.LE SPHINX a écrit :Cela fait de la Chorale une équipe Européenne ?
[img]http://www.msb.fr/images/clubs/logo/lemans.jpg[/img]
"Il y a des choses que le temps ne peut cicatriser,
des blessures si profondes,
qu'elles se sont emparées de vous "
"Il y a des choses que le temps ne peut cicatriser,
des blessures si profondes,
qu'elles se sont emparées de vous "
Celà dit nous n'avons que 3 extra-communautaires cette saison. Et 2 voire 3 risquent de partir :sad:LE SPHINX a écrit :Mercilolo72 a écrit :Pour l'instant, ils sont qualifiés en Eurocoupe avec son règlement merdique qui limite l'effectif à 2 extra communautaires. Donc il va falloir étoffer le banc pour cette compétition.LE SPHINX a écrit :Cela fait de la Chorale une équipe Européenne ?
Profitons bien de cette saison, car nos US vont attirer bien des convoitises, et sauf qualif en EL, je vois pas comment on pourra les garder. Même si on risque de gagner pas mal d'argent, il sera impossible de recréer la même alchimie que cette saison. C'est le problème en basket, il est impossible de conserver un bon joueur car les contrats sont le plus souvent d'une seule année. Et dès que celui ci explose, il part dans un club plus huppé ou il sera mieux payé.
Roanne, un As dans sa manche
Roanne n'en finit plus de surprendre. Déjà étonnant co-leader de Pro A, la Chorale s'est imposée en finale de la Semaine des As face au grand favori, Le Mans (87-82). Dans un match indécis jusqu'au bout, Marc Salyers (29 points, 7 rebonds) a parfaitement conduit les siens à la victoire malgré le sursaut tardif des équipiers de Kenny Gregory (24 points), une nouvelle fois excellent côté manceau. Avec ce succès, le premier dans l'histoire du club, Roanne prive le MSB d'un deuxième sacre consécutif dans le tournoi.
Il faudra bien les prendre au sérieux un jour. Les Roannais ne sont plus cette petite équipe seizième de Pro A en 2005, dixième l'an dernier, uniquement capable de coups d'éclat ponctuels. Non, la Chorale est, cette saison, dans de bien meilleures dispositions. Co-leader du championnat en compagnie du Sluc Nancy, Roanne vient de prouver que cette situation en saison régulière n'était pas le fruit du hasard en s'adjugeant la prestigieuse Semaine des As aux dépens du tenant en titre désormais déchu, Le Mans (87-82). Les joueurs de Jean-Denys Choulet et Frédéric Brouillard ont mené ce rendez-vous capital dans l'histoire du club de bout en bout, sans trembler face au prétendu favori. Et même si les Manceaux ont cru pouvoir arracher les prolongations en toute fin de rencontre, rien ne pouvait enrayer la formidable montée en puissance de Roanne sur la scène nationale du ballon orange.
Marc Salyers en feu
La grande force des "petits" dans cette finale aura été de constamment trouver leur joueur en feu ce dimanche, Marc Salyers, d'ailleurs élu MVP. Intraitable, l'Américain à la crête dorée gratifiait le public d'incursions dans la raquette toutes plus convaincantes les unes que les autres. Ses 29 points et 7 rebonds assortis d'un excellent pourcentage au tir (66,7%) ont véritablement écoeuré les Sarthois, incapables de réduire son influence. Pourtant, les troupes de Vincent Collet arrosaient à trois points de manière admirable. Nebojsa Bogavac, Kenny Gregory et Yannick Bokolo trouvaient la cible plus de deux fois sur trois derrière la ligne mais ne parvenaient pas à réduire l'écart, encore mince à la pause (45-42).
Cette adresse conséquente effrayait quelque peu l'entraineur roannais, malgré l'avantage. "Ils nous font mal à trois points. On n'est pas très communicatifs sur les écrans et du coup, on est en retard au moment de leurs shoots. Je pense qu'ils vont nous bouger en deuxième période", avouait-il avant la reprise. Mais ses joueurs n'allaient pas souffrir davantage dans le troisième quart-temps. Mieux, c'est là qu'ils amplifiaient leur avance. Marc Salyers apprenait avec plaisir qu'il pouvait compter sur Dewarick Spencer (18 points, 4 rebonds) et Aaron Harper (19 points, 4 rebonds) pour enfoncer le MSB dans son incertitude.
Une dernière minute de folie
Seulement, les champions de France en titre voulaient tellement conserver leur trophée qu'ils allaient sortir un dernier quart-temps de folie. Dans la dernière minute du match, les Manceaux revenaient même à un point de leurs adversaires ! Il aurait simplement fallu plus de réussite à Yannick Bokolo sur ces derniers lancers-francs pour arracher la prolongation. Mais au vu du parcours de la Chorale dans cette semaine des As, il aurait été immérité que leur succès final s'envole pour si peu. Comme un symbole, Marc Salyers, meilleur joueur du match, ponctuait le score sur un ultime dunk (87-82).
Marc-Antoine Pellin, le meneur de poche roannais, savourait cette victoire mais attendait avec impatience la suite du championnat. "Désormais, il va falloir compter sur nous. Nous ne sommes pas une petite équipe", assurait-il. La hiérarchie sort donc bousculée de ce tournoi. Dans cette nouvelle donne, un nouvel as sort en première main. C'est Roanne, d'ores et déjà qualifié pour la coupe Uleb l'an prochain grâce à ce sacre et bien décidé à perturber de nouveau les cadors de Pro A d'ici la fin de championnat.
www.sports.fr
Roanne n'en finit plus de surprendre. Déjà étonnant co-leader de Pro A, la Chorale s'est imposée en finale de la Semaine des As face au grand favori, Le Mans (87-82). Dans un match indécis jusqu'au bout, Marc Salyers (29 points, 7 rebonds) a parfaitement conduit les siens à la victoire malgré le sursaut tardif des équipiers de Kenny Gregory (24 points), une nouvelle fois excellent côté manceau. Avec ce succès, le premier dans l'histoire du club, Roanne prive le MSB d'un deuxième sacre consécutif dans le tournoi.
Il faudra bien les prendre au sérieux un jour. Les Roannais ne sont plus cette petite équipe seizième de Pro A en 2005, dixième l'an dernier, uniquement capable de coups d'éclat ponctuels. Non, la Chorale est, cette saison, dans de bien meilleures dispositions. Co-leader du championnat en compagnie du Sluc Nancy, Roanne vient de prouver que cette situation en saison régulière n'était pas le fruit du hasard en s'adjugeant la prestigieuse Semaine des As aux dépens du tenant en titre désormais déchu, Le Mans (87-82). Les joueurs de Jean-Denys Choulet et Frédéric Brouillard ont mené ce rendez-vous capital dans l'histoire du club de bout en bout, sans trembler face au prétendu favori. Et même si les Manceaux ont cru pouvoir arracher les prolongations en toute fin de rencontre, rien ne pouvait enrayer la formidable montée en puissance de Roanne sur la scène nationale du ballon orange.
Marc Salyers en feu
La grande force des "petits" dans cette finale aura été de constamment trouver leur joueur en feu ce dimanche, Marc Salyers, d'ailleurs élu MVP. Intraitable, l'Américain à la crête dorée gratifiait le public d'incursions dans la raquette toutes plus convaincantes les unes que les autres. Ses 29 points et 7 rebonds assortis d'un excellent pourcentage au tir (66,7%) ont véritablement écoeuré les Sarthois, incapables de réduire son influence. Pourtant, les troupes de Vincent Collet arrosaient à trois points de manière admirable. Nebojsa Bogavac, Kenny Gregory et Yannick Bokolo trouvaient la cible plus de deux fois sur trois derrière la ligne mais ne parvenaient pas à réduire l'écart, encore mince à la pause (45-42).
Cette adresse conséquente effrayait quelque peu l'entraineur roannais, malgré l'avantage. "Ils nous font mal à trois points. On n'est pas très communicatifs sur les écrans et du coup, on est en retard au moment de leurs shoots. Je pense qu'ils vont nous bouger en deuxième période", avouait-il avant la reprise. Mais ses joueurs n'allaient pas souffrir davantage dans le troisième quart-temps. Mieux, c'est là qu'ils amplifiaient leur avance. Marc Salyers apprenait avec plaisir qu'il pouvait compter sur Dewarick Spencer (18 points, 4 rebonds) et Aaron Harper (19 points, 4 rebonds) pour enfoncer le MSB dans son incertitude.
Une dernière minute de folie
Seulement, les champions de France en titre voulaient tellement conserver leur trophée qu'ils allaient sortir un dernier quart-temps de folie. Dans la dernière minute du match, les Manceaux revenaient même à un point de leurs adversaires ! Il aurait simplement fallu plus de réussite à Yannick Bokolo sur ces derniers lancers-francs pour arracher la prolongation. Mais au vu du parcours de la Chorale dans cette semaine des As, il aurait été immérité que leur succès final s'envole pour si peu. Comme un symbole, Marc Salyers, meilleur joueur du match, ponctuait le score sur un ultime dunk (87-82).
Marc-Antoine Pellin, le meneur de poche roannais, savourait cette victoire mais attendait avec impatience la suite du championnat. "Désormais, il va falloir compter sur nous. Nous ne sommes pas une petite équipe", assurait-il. La hiérarchie sort donc bousculée de ce tournoi. Dans cette nouvelle donne, un nouvel as sort en première main. C'est Roanne, d'ores et déjà qualifié pour la coupe Uleb l'an prochain grâce à ce sacre et bien décidé à perturber de nouveau les cadors de Pro A d'ici la fin de championnat.
www.sports.fr
Wade s'offre les Spurs
Miami reprend la main. En s'imposant face aux Spurs, le Heat a remporté un succès précieux sur le plan comptable mais également pour le moral (100-85). La franchise floridienne a suffisamment perdu de temps depuis le début de la saison pour ne pas profiter de la moindre opportunité de se rapprocher de la tête de la ‘Southeast Division'. Dans les autres rencontres, Phoenix a subi la loi de Chicago (103-116), les Lakers ont perdu contre Cleveland (90-99) tandis que Dallas s'est baladé contre Philadelphie (106-89).
Le match
Quand Dwyane Wade fait son numéro, c'est tout Miami qui retrouve des airs de champion... Relativement discret durant les trois premiers quart-temps, Wade a sorti le grand jeu dans le money time en inscrivant 18 de ses 26 points pour écoeurer les Spurs et assurer la victoire aux siens. «C'était un très bon match jusqu'à ce que Dwyane Wade décide de s'y mettre. Après, c'était terminé», confirme Gregg Popovich, l'entraîneur des Spurs. Avec un Shaquille O'Neal pas encore complètement remis de sa blessure au genou, cette performance prend un sens tout particulier.
Si l'on y ajoute le premier double-double en carrière de Jason Kapono (13 points, 11 rebonds) ou encore la présence à plus de dix points de six joueurs du Heat, on comprend mieux la nécessité de cette équipe de foncer dans le sillage d'un leader. Après avoir boité bien bas du fait de nombreuses blessures, Miami commence à sérieusement relever la tête. Avec six succès en sept matches, le champion en titre se replace à la troisième place de la ‘Southeast Division' avec un bilan de 25 victoires pour 26 défaites. Si Orlando n'est pas très loin (26-26), Washington ne sera pas si évident à aller chercher (28-21)...
De leur côté les Spurs n'étaient évidemment pas ravis de leur performance. "Nous n'avons pas eu assez de consistance en attaque et en défense", confirme d'ailleurs Tim Duncan. Les Spurs auront pourtant pu compter sur la grinta de Manu Ginobili auteur de 26 points pour 3 rebonds. Tony Parker n'aura pas non plus démérité (voir par ailleurs) ? En revanche, la ligne de statistiques du boss, Tim Duncan, est très moyenne avec 13 points, 11 rebonds et 2 passes. Quand on sait que O'Neal n'a pas joué le dernier quart d'heure de la rencontre, cela prend un autre sens...
Les Français
Malgré la présence de Eva Longoria, Tony Parker n'a pas pu éviter la défaite des Spurs. TP a pourtant tout tenté scorant tout de même 20 points (9 sur 18 aux tirs) pour 5 passes et 2 rebonds. Avec 4 points (tous sur lancers francs) dans le dernier quart-temps, il n'aura pas apporté suffisamment dans le money time, victime de la grosse défense du Heat. De son côté Ronny Turiaf, a participé à la défaite des Lakers face à Cleveland. En 20 minutes, il aura mis 6 points (1 sur 3 aux tirs), 3 rebonds.
Fortunes diverses pour les deux Français de Seattle. Johan Petro a joué 18 minutes avec 12 points (3 sur 5 aux tirs) pris 9 rebonds et donné une passe tandis que Mickael Galabale est resté sur le banc.
Boris Diaw blessé au dos n'a pas participé à la défaite de son équipe face à Chicago. Mickael Pietrus lui aussi blessé a vu Golden State s'incliner contre Atlanta (105-106).
La stat
Et de 18 pour Boston ! Les temps sont durs pour le Celtics qui vient donc d'enchaîner 18 revers consécutifs et qui luttent désormais avec Memphis pour le bilan le plus mauvais de la Ligue (12-38 à Boston contre 13-39 à Memphis). Cette fois, Boston a subi la loi de Minnesota (107-109). Et pourtant, Paul Pierce a compilé 29 points, quatre autres joueurs ont tourné entre 11 et 17 points. Boston a bien cru pouvoir au moins arracher la prolongation pour enfin enrayer cette incroyable série. Mais les Timberwolves, par l'entremise de Ricky Davis au buzzer, ont arraché la victoire.
www.sports.fr
Miami reprend la main. En s'imposant face aux Spurs, le Heat a remporté un succès précieux sur le plan comptable mais également pour le moral (100-85). La franchise floridienne a suffisamment perdu de temps depuis le début de la saison pour ne pas profiter de la moindre opportunité de se rapprocher de la tête de la ‘Southeast Division'. Dans les autres rencontres, Phoenix a subi la loi de Chicago (103-116), les Lakers ont perdu contre Cleveland (90-99) tandis que Dallas s'est baladé contre Philadelphie (106-89).
Le match
Quand Dwyane Wade fait son numéro, c'est tout Miami qui retrouve des airs de champion... Relativement discret durant les trois premiers quart-temps, Wade a sorti le grand jeu dans le money time en inscrivant 18 de ses 26 points pour écoeurer les Spurs et assurer la victoire aux siens. «C'était un très bon match jusqu'à ce que Dwyane Wade décide de s'y mettre. Après, c'était terminé», confirme Gregg Popovich, l'entraîneur des Spurs. Avec un Shaquille O'Neal pas encore complètement remis de sa blessure au genou, cette performance prend un sens tout particulier.
Si l'on y ajoute le premier double-double en carrière de Jason Kapono (13 points, 11 rebonds) ou encore la présence à plus de dix points de six joueurs du Heat, on comprend mieux la nécessité de cette équipe de foncer dans le sillage d'un leader. Après avoir boité bien bas du fait de nombreuses blessures, Miami commence à sérieusement relever la tête. Avec six succès en sept matches, le champion en titre se replace à la troisième place de la ‘Southeast Division' avec un bilan de 25 victoires pour 26 défaites. Si Orlando n'est pas très loin (26-26), Washington ne sera pas si évident à aller chercher (28-21)...
De leur côté les Spurs n'étaient évidemment pas ravis de leur performance. "Nous n'avons pas eu assez de consistance en attaque et en défense", confirme d'ailleurs Tim Duncan. Les Spurs auront pourtant pu compter sur la grinta de Manu Ginobili auteur de 26 points pour 3 rebonds. Tony Parker n'aura pas non plus démérité (voir par ailleurs) ? En revanche, la ligne de statistiques du boss, Tim Duncan, est très moyenne avec 13 points, 11 rebonds et 2 passes. Quand on sait que O'Neal n'a pas joué le dernier quart d'heure de la rencontre, cela prend un autre sens...
Les Français
Malgré la présence de Eva Longoria, Tony Parker n'a pas pu éviter la défaite des Spurs. TP a pourtant tout tenté scorant tout de même 20 points (9 sur 18 aux tirs) pour 5 passes et 2 rebonds. Avec 4 points (tous sur lancers francs) dans le dernier quart-temps, il n'aura pas apporté suffisamment dans le money time, victime de la grosse défense du Heat. De son côté Ronny Turiaf, a participé à la défaite des Lakers face à Cleveland. En 20 minutes, il aura mis 6 points (1 sur 3 aux tirs), 3 rebonds.
Fortunes diverses pour les deux Français de Seattle. Johan Petro a joué 18 minutes avec 12 points (3 sur 5 aux tirs) pris 9 rebonds et donné une passe tandis que Mickael Galabale est resté sur le banc.
Boris Diaw blessé au dos n'a pas participé à la défaite de son équipe face à Chicago. Mickael Pietrus lui aussi blessé a vu Golden State s'incliner contre Atlanta (105-106).
La stat
Et de 18 pour Boston ! Les temps sont durs pour le Celtics qui vient donc d'enchaîner 18 revers consécutifs et qui luttent désormais avec Memphis pour le bilan le plus mauvais de la Ligue (12-38 à Boston contre 13-39 à Memphis). Cette fois, Boston a subi la loi de Minnesota (107-109). Et pourtant, Paul Pierce a compilé 29 points, quatre autres joueurs ont tourné entre 11 et 17 points. Boston a bien cru pouvoir au moins arracher la prolongation pour enfin enrayer cette incroyable série. Mais les Timberwolves, par l'entremise de Ricky Davis au buzzer, ont arraché la victoire.
www.sports.fr
Detroit au septième ciel
En dominant sans coup férir les Los Angeles Clippers dans la nuit de lundi à mardi (92-74), Detroit, emmené par Chris Webber (19 points), a signé son septième succès de rang, s'affirmant une fois de plus comme un prétendant sérieux au titre NBA cette saison. Dans les autres matches de la nuit, Golden State, sans Mike Pietrus, resté sur le banc, a chuté à Denver (123-111), victime de l'adresse conjuguée de Carmelo Anthony et J.R. Smith (28 points chacun), tandis que les Utah Jazz ont corrigé Atlanta (102-76).
Le match
Et de sept pour Detroit! Après New Jersey, Milwaukee, Cleveland, Boston, les Lakers et Toronto, les Los Angeles Clippers ont été victimes lundi de Pistons de plus en plus maîtres des éléments. A sa décharge, la franchise californienne jouait là son septième et dernier match de rang à l'extérieur, dans des conditions météo (froid, neige...) bien éloignées de celles, ensoleillées, qu'elle a l'habitude de rencontrer sur la côte Ouest des Etats-Unis. "C'est dur pour les équipes de l'Ouest, reconnaîtra d'ailleurs sportivement le coach de Detroit, Flip Saunders, parce qu'elles passent de 25 à -10 degrés, tout ce qu'elles veulent en arrivant c'est se mettre bien au chaud à l'hôtel."
Et quand en plus de vivre difficilement ce choc thermique, la franchise californienne se voyait privée au coup d'envoi de l'une de ses pièces maîtresses, Elton Brand (touché au dos), on comprend mieux pourquoi elle n'a jamais pu tenir la comparaison face à des Pistons qui ont toujours fait la course en tête pour s'imposer au final 92-74. Soit la huitième victoire de rang face aux Clippers pour Detroit qui, une fois de plus, a pu s'appuyer sur le talent de celui qui s'est affirmé depuis son arrivée en provenance de Philadelphie cet hiver comme le véritable leader de l'équipe, Chris Webber (19 points, 9 rebonds). "Webber leur donne une autre dimension parce qu'il rend les choses faciles, constatait d'ailleurs le coach de Los Angeles, Mike Dunleavy, déçu de voir la série à l'extérieur s'achever sur un bilan de deux victoires pour cinq défaites. Ce fut vraiment un bon choix pour eux, et ils jouent vraiment bien." Autant dire que les Pistons font de plus en plus peur, certains, à l'instar de Kobe Bryant, victimes lui aussi avec ses Lakers de Webber, Prince, Hamilton, Billups et consorts la semaine dernière, les voyant même comme des prétendants très sérieux à la succession de Miami.
Les Français
Il n'y a pas eu d'affrontement entre Mike Pietrus et Yakhouba Diawara la nuit dernière. Pourtant, leurs franchises, Golden State et Denver, se sont bien rencontrées, mais le premier n'a pas joué, victime d'une entorse à la cheville droite. Il a donc assisté à distance à la défaite des Warriors, privés également de leur maître à jouer, Baron Davis (qui doit subir une arthroscopie au genou) 123-111 face aux Nuggets, emmenés par un trio de feu, Carmelo Anthony, J.R. Smith (28 points chacun) et Nene (24 points). Yakhouba Diawara n'a de son côté guère eu l'occasion de se mettre en valeur, se contenant de 7 minutes de jeu pour zéro point (aucun tir tenté) et deux rebonds.
La stat
Cinquième victoire de rang pour Utah lundi soir, une série qui confirme le net retour en forme de l'équipe de Salt Lake City, puisqu'elle a notamment accroché à son tableau de chasse San Antonio et Phoenix. Cette fois, le pedigree de l'adversaire était plus modeste puisque c'était Atlanta qui rendait visite aux Jazz, mais face aux partenaires de Mehmet Okur, meilleur marqueur du match avec 19 points, les Hawks n'ont pas existé, s'inclinant très lourdement (102-76). Detroit signe là son 34e succès de la saison (pour 17 défaites), seuls Dallas (42) et Phoenix (39) ont fait mieux cette saison.
www.sports.fr
En dominant sans coup férir les Los Angeles Clippers dans la nuit de lundi à mardi (92-74), Detroit, emmené par Chris Webber (19 points), a signé son septième succès de rang, s'affirmant une fois de plus comme un prétendant sérieux au titre NBA cette saison. Dans les autres matches de la nuit, Golden State, sans Mike Pietrus, resté sur le banc, a chuté à Denver (123-111), victime de l'adresse conjuguée de Carmelo Anthony et J.R. Smith (28 points chacun), tandis que les Utah Jazz ont corrigé Atlanta (102-76).
Le match
Et de sept pour Detroit! Après New Jersey, Milwaukee, Cleveland, Boston, les Lakers et Toronto, les Los Angeles Clippers ont été victimes lundi de Pistons de plus en plus maîtres des éléments. A sa décharge, la franchise californienne jouait là son septième et dernier match de rang à l'extérieur, dans des conditions météo (froid, neige...) bien éloignées de celles, ensoleillées, qu'elle a l'habitude de rencontrer sur la côte Ouest des Etats-Unis. "C'est dur pour les équipes de l'Ouest, reconnaîtra d'ailleurs sportivement le coach de Detroit, Flip Saunders, parce qu'elles passent de 25 à -10 degrés, tout ce qu'elles veulent en arrivant c'est se mettre bien au chaud à l'hôtel."
Et quand en plus de vivre difficilement ce choc thermique, la franchise californienne se voyait privée au coup d'envoi de l'une de ses pièces maîtresses, Elton Brand (touché au dos), on comprend mieux pourquoi elle n'a jamais pu tenir la comparaison face à des Pistons qui ont toujours fait la course en tête pour s'imposer au final 92-74. Soit la huitième victoire de rang face aux Clippers pour Detroit qui, une fois de plus, a pu s'appuyer sur le talent de celui qui s'est affirmé depuis son arrivée en provenance de Philadelphie cet hiver comme le véritable leader de l'équipe, Chris Webber (19 points, 9 rebonds). "Webber leur donne une autre dimension parce qu'il rend les choses faciles, constatait d'ailleurs le coach de Los Angeles, Mike Dunleavy, déçu de voir la série à l'extérieur s'achever sur un bilan de deux victoires pour cinq défaites. Ce fut vraiment un bon choix pour eux, et ils jouent vraiment bien." Autant dire que les Pistons font de plus en plus peur, certains, à l'instar de Kobe Bryant, victimes lui aussi avec ses Lakers de Webber, Prince, Hamilton, Billups et consorts la semaine dernière, les voyant même comme des prétendants très sérieux à la succession de Miami.
Les Français
Il n'y a pas eu d'affrontement entre Mike Pietrus et Yakhouba Diawara la nuit dernière. Pourtant, leurs franchises, Golden State et Denver, se sont bien rencontrées, mais le premier n'a pas joué, victime d'une entorse à la cheville droite. Il a donc assisté à distance à la défaite des Warriors, privés également de leur maître à jouer, Baron Davis (qui doit subir une arthroscopie au genou) 123-111 face aux Nuggets, emmenés par un trio de feu, Carmelo Anthony, J.R. Smith (28 points chacun) et Nene (24 points). Yakhouba Diawara n'a de son côté guère eu l'occasion de se mettre en valeur, se contenant de 7 minutes de jeu pour zéro point (aucun tir tenté) et deux rebonds.
La stat
Cinquième victoire de rang pour Utah lundi soir, une série qui confirme le net retour en forme de l'équipe de Salt Lake City, puisqu'elle a notamment accroché à son tableau de chasse San Antonio et Phoenix. Cette fois, le pedigree de l'adversaire était plus modeste puisque c'était Atlanta qui rendait visite aux Jazz, mais face aux partenaires de Mehmet Okur, meilleur marqueur du match avec 19 points, les Hawks n'ont pas existé, s'inclinant très lourdement (102-76). Detroit signe là son 34e succès de la saison (pour 17 défaites), seuls Dallas (42) et Phoenix (39) ont fait mieux cette saison.
www.sports.fr
Pau sur le chemin de Rome
L'heure est arrivée pour Pau-Orthez. Mercredi soir, les Palois entament la seconde phase de l'Euroligue en disputant le prestigieux Top 16, pour la première fois depuis 2004. En déplacement à Rome pour le compte du groupe D, une poule particulièrement relevée, les Palois entendent faire un coup dès la première journée. Si la qualification pour les quarts de finale de la compétition relèverait de l'exploit, l'Elan n'a pas l'intention de faire de la figuration. Après une semaine d'entraînement, les Palois sont prêts au combat.
Ils sont impatients d'en découdre. Au terme d'une semaine d'entraînement au Palais des Sports de Pau effectuée pendant la Semaine des As , les joueurs de Gordon Herbert ont fait le plein d'énergie. Fatigués par l'accumulation des matches disputés au mois de janvier (neuf au total), les Palois ont trouvé ces derniers jours la juste mesure entre récupération et entraînement. Place au match, désormais, avec une évidente excitation à l'idée de disputer le Top 16 pour la première fois depuis 2004. Bien plus à l'aise cette saison sur la scène européenne que dans le championnat de Pro A où ils pointent à une très modeste 10e place, les Palois veulent faire parler d'eux face aux gros poissons du Vieux continent.
Certes, le tirage au sort n'a pas gâté les Béarnais avec, dans le groupe D, le Maccabi Tel-Aviv (champion d'Europe en 2004, 2005 et finaliste l'an passé), Vitoria (présent lors des deux derniers Final Four) et Rome. La tâche ne s'annonce donc pas facile dans une épreuve où les deux premiers de chaque groupe seront qualifiés pour des quarts de finale croisés, sachant que les places convoitées semblent promises au Maccabi et à Vitoria. En attendant, la première étape du Top 16 emmène les Palois à Rome, ce mercredi soir.
Prendre du plaisir avant tout
Une première rencontre déjà capitale pour les coéquipiers de Thierry Rupert, qui, bien que conscients de la difficulté de la tâche, veulent profiter du moment. Prendre du plaisir, tel est en outre le message du directeur exécutif Pierre Seillant. Les Palois tenteront de profiter de la récente défaite des Transalpins en quart de finale de la Coupe d'Italie face à Trévise (67-75) pour imposer leur loi. Mais pour espérer surprendre Rome, l'Elan devra museler des garçons comme Mire Chatman et David Hawkins, très adroits sous les paniers contre Trévise. Ce premier round mettra en tous les cas les Français dans le rythme, avant de recevoir Vitoria le 22 février prochain à domicile.
www.sports.fr
L'heure est arrivée pour Pau-Orthez. Mercredi soir, les Palois entament la seconde phase de l'Euroligue en disputant le prestigieux Top 16, pour la première fois depuis 2004. En déplacement à Rome pour le compte du groupe D, une poule particulièrement relevée, les Palois entendent faire un coup dès la première journée. Si la qualification pour les quarts de finale de la compétition relèverait de l'exploit, l'Elan n'a pas l'intention de faire de la figuration. Après une semaine d'entraînement, les Palois sont prêts au combat.
Ils sont impatients d'en découdre. Au terme d'une semaine d'entraînement au Palais des Sports de Pau effectuée pendant la Semaine des As , les joueurs de Gordon Herbert ont fait le plein d'énergie. Fatigués par l'accumulation des matches disputés au mois de janvier (neuf au total), les Palois ont trouvé ces derniers jours la juste mesure entre récupération et entraînement. Place au match, désormais, avec une évidente excitation à l'idée de disputer le Top 16 pour la première fois depuis 2004. Bien plus à l'aise cette saison sur la scène européenne que dans le championnat de Pro A où ils pointent à une très modeste 10e place, les Palois veulent faire parler d'eux face aux gros poissons du Vieux continent.
Certes, le tirage au sort n'a pas gâté les Béarnais avec, dans le groupe D, le Maccabi Tel-Aviv (champion d'Europe en 2004, 2005 et finaliste l'an passé), Vitoria (présent lors des deux derniers Final Four) et Rome. La tâche ne s'annonce donc pas facile dans une épreuve où les deux premiers de chaque groupe seront qualifiés pour des quarts de finale croisés, sachant que les places convoitées semblent promises au Maccabi et à Vitoria. En attendant, la première étape du Top 16 emmène les Palois à Rome, ce mercredi soir.
Prendre du plaisir avant tout
Une première rencontre déjà capitale pour les coéquipiers de Thierry Rupert, qui, bien que conscients de la difficulté de la tâche, veulent profiter du moment. Prendre du plaisir, tel est en outre le message du directeur exécutif Pierre Seillant. Les Palois tenteront de profiter de la récente défaite des Transalpins en quart de finale de la Coupe d'Italie face à Trévise (67-75) pour imposer leur loi. Mais pour espérer surprendre Rome, l'Elan devra museler des garçons comme Mire Chatman et David Hawkins, très adroits sous les paniers contre Trévise. Ce premier round mettra en tous les cas les Français dans le rythme, avant de recevoir Vitoria le 22 février prochain à domicile.
www.sports.fr
Je me permet de quoter lolo72 pour vous indiquer que ce soir se déroule le 8ème de finale retour de la coupe ULEB entre Nancy et Strasbourg.lolo72 a écrit :SIG - Nancy c'est ici :
http://www.eurosport.fr/basketball/mc_vid31512.shtml
ou la :
mms://event-2-all.eurosport.com/reflector:41354
ULEB Cup – Nancy veut rebondir en quart
Cyril Julian (Nancy)Défait de trois points au match aller (89-86) par Strasbourg, Nancy veut rallier les 1/4 de finale de l’ULEB Cup après son échec à la Semaine des As. Le SLUC devra s’imposer de plus de trois points à domicile mardi à 20h, en direct sur Eurosport 2. Mercredi, Dijon se déplace à Gérone en FIBA EuroCup, mais est d’ores et déjà éliminé.
ULEB Cup, 1/8e de finale – Match retour
Mardi 13 février
Nancy – Strasbourg, à 20h30 en direct sur Eurosport 2
Les Nancéiens auront-ils digéré leur élimination en demi-finale de leur Semaine des As ? Les Strasbourgeois trouveront-ils la solution à l’absence de leur meneur Lonnie Cooper ? L’équipe qui répondra par l’affirmative à la question la concernant aura de grande chance de se qualifier pour les quarts de finale. Le SLUC s’appuiera à l’intérieur sur un Cyril Julian rageur tandis que le jeune meneur strasbourgeois Gauthier Darrigand sera sous les feux de la rampe. Le vainqueur de ce derby de l’Est rencontrera en quart le vainqueur du huitième opposant Lietuvos rytas et Udine, les Italiens comptant un avantage de trois points avant de se rendre en Lituanie mardi.
FIBA EuroCup, 2e Tour – 5e Journée
Mercredi 14 février
Akasvayu Girona – Dijon, à 20h30
Tout comme les Dijonnais à la Semaine des As, les Catalans n’ont pas passé le premier tour de la Copa del Rey, éliminé par Badalone. Toujours invaincus lors du deuxième tour, ils sont d’ores et déjà qualifiés pour les quarts de finale de la FIBA EuroCup, tandis que Dijon est éliminé. Un match sans pression donc, pour les deux équipes. L’occasion pour le jeune Abdou M’Baye d’engranger encore un peu plus d’expérience face à l’Américano-slovène Arriel McDonald.
LS
tu y crois toujours Vince ?????????vinsanity a écrit :Ouaip ... ça sent pas bon pour Nancy. Mais je pense qu'ils peuvent revenir.
[img]http://www.msb.fr/images/clubs/logo/lemans.jpg[/img]
"Il y a des choses que le temps ne peut cicatriser,
des blessures si profondes,
qu'elles se sont emparées de vous "
"Il y a des choses que le temps ne peut cicatriser,
des blessures si profondes,
qu'elles se sont emparées de vous "