RDV sur le post d'Ozzy pour valider vos pronos, bons z'ou mauvais !
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Bienvenue dans la quatrième dimension. Non, la première dimension de la première division !
Pinçons-nous encore une fois : la victoire dont on rêvait à Gerland (pour ce qui me concerne, j’aurais préféré un but de la main de Gonzalo en position de hors-jeu à la 98ème minute mais bon… va pour le coup-franc de Payet en pleine lucarne avec Toulalan qui croit à un centre au troisième poteau et Lloris qui s’étire, s’étire et s’écrase comme une fiente d’albatros dégingandé…warf-warf), qui plus est dans le centième derby de l’Histoire, et, cerise sur la gâteau, avec la conservation de notre statut de leader du championnat (pôvres Rennais qui avaient fêté à l’avance la première place croyant qu’on allait une fois de plus se faire battre à Gerbeland) eh bien, cette victoire est devenue réalité.
Il faut maintenant nous habituer à cadrer tous nos tirs, à avoir un taux de réussite de nos frappes digne du baccalauréat, à bénéficier de largesses du corps arbitral, à ne plus serrer les fesses dans les dix dernières minutes, à avoir deux internationaux, à scander « Direction absolution ! »…non, non, pour le dernier point c’est pas possible !
Et tout ça, on n’a plus l’habitude ; ça fout même les jetons quand on connaît les soubresauts de l’histoire de notre club et surtout quand on se dit qu’il y a six mois, on ne pouvait plus encadrer nos joueurs coupables de faire sombrer l’ASSE vers les rivages hideux de la Ligue 2.
Profitons tout simplement du moment présent, d’une équipe qui remet à l’ordre du jour le collectif, la fierté et l’ambition et qui surtout nous met la banane !!! Y’a de la joie comme le chantait Charles qui aurait malgré tout bien Trenet en Israël pour voir Gourcuff à poil à Tel Aviv ( désolé, fallait que je le place…)
Pour ceux qui auront suivi à la lettre ces pronostics inspirés par les chansons du fou chantant et qui auront eu les 10 bons résultats, le magnifique lot offert cette semaine sera :
un vinyle collector du tube de notre foot chantant, Jean-Pierre François dont le titre (« Je te survivrai ») résume bien le club où il fut un attaquant chevelu (difficile de trouver de qualificatif à son « jeu »)
ASSE - Marseille : 1
Dimitri Payet veut aussi être sélectionné pour l’Eurovision : « C’est un chaudron extraordinaire / Il y a des tocards qui parlent marseillais / Je tire un coup-franc serein ils remuent leur derrière / En m’disant « Thank you very much Monsieur Payet » »
Arles-Avignon - Auxerre : N
Jean Fernandez constate que son effectif réduit par les blessures et expulsions tient tout de même le choc : « Football à sept / Il faut le jouer qu'on aille à Milan à Sète / Que l'on soit deux trois quatre cinq six ou sept / C'est un foot qui fait recette / Foot des carences / Qui traverse la Bourgogne et la Provence »
Bordeaux - Lorient : N
Jean Tigana pessimiste sur la fin de saison des Girondins : « Galère / Qu’on voit danser le long des scapulaires / A des reflets d’agents / Galère / des reflets inquiétants / sous la pluie »
Lille - Montpellier : 1
Rudy Garcia s’est régalé devant le spectacle de son équipe au brio offensif retrouvé : « Moi, j'aime le magic-football / C'est le refuge des joueurs poètes / Ceux qui se montent pas du col / Et qui restent pour ça de grandes gentilles vedettes »
Monaco - Brest : N
Guy Lacombe résume le match manqué des deux équipes en dressant un parallèle entre le climat des deux villes : « Le soleil a rendez-vous avec la brume / Mais la brume n’est pas là et le soleil l’attend / Ici-bas souvent chacun pour sa chacune / Chacun doit en faire autant / La brume est là , la brume est là / La brume est là , mais le soleil ne la voit pas »
Nancy – Lyon : N
Pablo Correa tout heureux de prendre un point après une glissade de Lovren qui permet à Féret d’égaliser à la 95èmeminute : « Y a d'la joie / Bonjour bonjour les p’tites quenelles / Y a d'la joie / Dans le ciel par dessus le toit / Y a d'la joie / Et du soleil dans les ruelles / Y a d'la joie / Partout y a d'la joie / Tout le jour, mon cœur bat, chavire et chancelle / C'est l'amour qui vient avec je ne sais quoi / C'est l'amour bonjour, bonjour Jean-Michel / Y a d'la joie / Partout y a d'la joie »
Paris SG – Nice : N
Julien Sablé ironique après avoir marqué le but de l’égalisation à trois partout alors que le PSG menait 3-0 :« C’est l’arrogance de Paris / Au coin des rues elle fleurit / ça met au cœur des niçois laborieux / un peu de rêve et de ciel bleu »
Rennes - Toulouse : 1
Frédéric Antonetti ému après les louanges des journalistes en conférence de presse sur la qualité de son travail : « Fidèle, fidèle, je suis resté fidèle / A des choses sans importance pour vous / Un soir de montée, un stade au septième ciel / Un sourire de De Zerbi, un Bridonneau fou »
Sochaux - Lens : 1
Gervais Martel se lamente sur le départ de son ex entraineur Francis Gillot, époque qui a marqué le début des ennuis du RC Lens : « Que reste-t-il de nos amours / Que reste-t-il de ces beaux jours / Un poteau, un vieux poteau / De ma jeunesse »
Valenciennes – Caen : 1
Franck Dumas rigolard malgré une large victoire des Valenciennois : « Douche Franche / Cher défaite de mon enfance / Bercée de tendre insouciance / Je t'ai gardée dans mon coeur! »
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Potins